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Histoire de fesses

Chapitre 1

Une jolie mère Noël

Divers
Tout commence un premier samedi de décembre. Dépressif après mon premier infarctus, pour la toute première fois depuis pas mal de temps, j’ai eu envie de sortir, mais de sortir seul. Quoi de mieux, pour être seul, qu’au beau milieu de la foule qu’un grand centre commercial. Il en existe un dans ma région, énorme, le plus grand qui soit à ma connaissance. C’est donc en voiture que j’y suis allé. Là, devant l’entrée principale, après avoir bu un café, que je m’installais. Je retirais mes chaussures et posais mes pieds nus là, justes sur mes pompes. Étendu sur mon banc, je fermais mes yeux en grillant une cigarette. Je n’entendais plus cette foule qui se pressait déjà pour leurs achats de noël. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je me sentais merveilleusement bien. Cela faisait longtemps que je ne m’étais senti aussi serein et calme, en paix avec moi-même. Certes, j’étais marié à une femme depuis plus de vingt ans, nous avions eu un fils.
Fils âgé maintenant d’une bonne vingtaine d’années. Mais même avec eux, je me sentais oppressé, mal à l’aise, plus à ma place depuis ce premier infarctus.
Là, devant ce grand magasin, je me sens bien, vautré sur ce banc en profitant de ce soleil qui peine pourtant à me réchauffer. Mais là où je me trouve, la donne change et change dans le plus beau sens du terme. C’est en ouvrant mes yeux que je découvre ce changement très agréable. Devant moi, une ravissante petite mère noël. Une belle petite rousse d’environ l’âge de mon fils qui me regarde fixement. Elle semble se poser mille et une questions à mon sujet. Je la regarde, tout sourire. Elle finit par me sourire à son tour, rassurée de me savoir vivant et plus ou moins bien portant.
— Vous n’avez pas froid ?— Non, au contraire, en vous voyant, je sens une douce chaleur m’envahir, un bien-être que je n’avais plus ressenti depuis bien des années. Si je suis mort, vous devez certainement être le plus bel ange de ces cieux juste au-dessus de nous. — Non, je vous rassure, vous êtes bien vivant. Mais pourquoi rester au froid, dehors ?— Parce que j’en avais tout simplement envie, envie de me sentir seul. — Seul ! Au milieu de toute cette foule ?— On peut être très seul au beau milieu de ces gens pressés comme des diables, vous savez !— Vous êtes un homme étonnant. — Non, pas plus que la normal. Déraisonnable serait nettement plus juste. C’est que depuis ce matin, je n’aime plus faire comme tout le monde. — Je vois ça. Vous ne voulez pas quelque chose à boire de chaud ?— Pourquoi pas, si c’est en votre charmante compagnie. — Vous êtes vraiment étonnant ! Ne bougez pas, je reviens.

Je n’avais aucune intention de bouger d’un cil de toute manière. Enfin, sauf si elle m’avait demandé de la suivre au bout du monde, cette belle petite mère noël. En la regardant s’éloigner, je me suis demandé qui était le pervers qui avait dessiné cette superbe combinaison moulante. D’une blancheur immaculée et bordée de fausse fourrure rouge, la tenue moule le corps telle une seconde peau. À croire que ça a été fait exprès. Et puis, il y a cette jupe très courte qui donne un charme supplémentaire avec cette capeline posée sur ses frêles épaules. Du coup, je me suis mis à regretter mes 42 ans, c’est certain. Je ferme mes yeux, histoire de regarder le silence. Pourtant, mon silence est à nouveau troublé, un merveilleux trouble. Elle est de retour, tenant deux cafés bien chauds. Elle m’en tend le mien, d’une petite poche cachée dans sa jupette, elle sort deux portions de sucre et de crème. Je lui souris en lui redisant que pour un ange de noël, elle un sublime ange de noël.
Désormais, il me sera bien difficile de rêver plus bel ange à l’avenir.
Je me pousse un peu, histoire de lui faire une place déjà bien chaude, pour qu’elle ne prenne pas froid à son adorable petite croupe si joliment dessinée. À ma place, elle ne cesse de me fixer comme une bête étrange. En voulant m’allumer une autre cigarette, je laisse mon briquet s’échapper de ma main. Elle se lève aussi sec, posant sa main sur mon genou et se penche par-dessus mes jambes, sans plier les siennes. Un coup de vent malicieux vint soulever le fin tissu de sa jupette. Je ne sais ce qu’il me prend parce que je lui assène une bonne petite claque sur son postérieur si joliment offert. Un agent de sécurité a tout vu de mon geste quelque peu déplacé et s’approche déjà et à grand pas. Se redressant, ma jolie mère noël me fixe brièvement, étonnée par mon geste inconsidéré. Puis, elle fixe l’agent de sécurité et lui demande, d’une voix délicieusement douce, de ne pas intervenir, qu’elle gère la situation.
Enfin, redressée, elle me fixe encore, tenant mon briquet dans ses deux petites mains. Elle s’assoit, me tendant mon objet, sans me quitter de son regard d’azur. J’allume ma cigarette le plus tranquillement du monde.
— Cela vous arrive souvent de fesser une jeune femme ?— Non, c’est même la toute première fois, je vous l’avoue, mais l’occasion était trop belle ! — Et cela ne vous...— Je l’ai fait sans arrière-pensée, comme ça, sans plus, peut-être parce que vous le méritiez ou pour vous signifier que vous aviez les plus belles fesses que la terre puisse porter. — Ben vous, on peut dire que vous êtes gonflé... Dites, vous recommenceriez ?— Je n’en sais rien. Ça été si vite que je n’y ai même pas pensé. Devant son aplomb, je n’ai pas perdu le nord.— Je vois ça. Mais plus sérieusement, recommenceriez-vous ?— Oui, oui mais avec vous uniquement. — Venez, suivez-moi.

J’écrase ma clope et la suis. Elle m’emmène à travers le dédale des réserves, des entrepôts, là où les clients ne mettent jamais les pieds. Dans un petit local, elle me pousse à l’intérieur, referme la porte à double tour. Elle m’assoit presque de force. J’avoue être un peu perdu face à cette jeune demoiselle et sa détermination. Mais quand elle place sa main entre ses cuisses, qu’elle ouvre sa combinaison par le bas, je reste pantois. Elle ne porte rien en dessous, rien de rien. Je la vois rougir divinement en se couchant en travers de mes cuisses. Surtout quand elle me dit :
— Il vous faut me fesser papa, je n’ai pas été gentille de toute la semaine. Je ne suis qu’une méchante fifille.

Inutile d’ajouter quoi que ce soit, je la fesse et copieusement et je la fesse avec d’autant plus de plaisir qu’elle insiste sur ses pseudos désobéissances. Ce faisant, elle fait son mea culpa en me récitant ses fautes. J’avoue que j’avais, dans mon pantalon, une érection que je n’avais pas eue depuis des mois. Je la fesse, je la caresse et elle jouit, un beau et long soupir de satisfaction, le rêve, noël avant l’heure. Sa jupe sur un carton, elle ouvre entièrement sa combinaison en s’asseyant sur mes cuisses. En me fixant, de mon pantalon, elle en extrait mon pénis et s’y empale très lentement, divinement. Je masse ses seins, l’embrasse, la caresse. Je me sens bien avec ce bel ange, merveilleusement bien et cela faisait longtemps que cela ne m’était plus arrivé. Nous avons fait l’amour encore et encore.
Pendant je ne sais combien de temps, cette petite jouit, me faisant jouir en elle. Oui, aucun doute, je suis bien, je reprends goût à la vie. Oh certes, je ne suis pas encore au mieux de ma forme, loin de là, c’est très rapidement que mon pénis rend les armes face à cette petite délurée. Mais ma bouche fait des merveilles, elle. Un peu plus tard, dans le grand hall de ce centre commercial, elle me tend un café bien chaud, bien fort. Par-dessus le gobelet, elle y dépose une carte. Sa bouche se pose brièvement sur ma bouche et elle disparaît dans les allées du magasin, se perdant dans la foule.
Dehors, sur un banc, je bois mon café tout en découvrant cette jolie carte de noël. Il y est écrit qu’elle tient absolument à me revoir. Ben tiens, moi aussi pardi ! Sur l‘autre face, une adresse, un numéro de téléphone et une adresse mail. Je termine mon café sur la route du retour. Au passage, je fais le plein, bois une bière. Une bière, bon sang de bois, cela faisait des lustres que je n’avais pas bu de pression. Et puis, je me suis revu dans ce local, fessant cette gamine. Je regarde ma montre, en tout, cette aventure n’avait duré qu’un peu plus de trois bonnes heures. En trois bonnes heures, j’avais fessé une jeune femme totalement inconnue et même baisé avec. Je ne crois pas être parvenu à mes fins aussi vite de toute ma vie.
Enfin, chez moi, sur ma bécane, je puise dans mon inspiration revenue pour lui envoyer un mail enflammer dans lequel, je lui exprime le désir de vouloir me montrer encore plus sévère si elle refaisait encore de nouvelles bêtises avec un inconnu, le tout avec une belle petite pointe d’humour. En l’écrivant, ma femme vient me bombarder de question, où j’étais allé, ce que j’avais fait et beaucoup d’autres dont elle n’eut pour toute réponse que j’étais sorti prendre l’air, point barre ! Dans mon lit, je n’avais qu’à fermer mes yeux pour revoir cette jeune femme et revivre ces délicieux instants.
À mon réveil, je m’étonnais de constater que j’avais une belle érection, ça aussi, il y avait longtemps. En regardant du côté où dormait ma femme, elle retombait bien vite, cette belle érection. Sur mon ordinateur, ouvrant ma boîte mail, je vis une belle créature, presque nue, ne portant que son bonnet de mère noël. Trois images d’elle, trois positions invitant à la fessée ou à lui faire l’amour. Au bas de son mail, je souris, ému en lisant qu’elle a congé de midi aujourd’hui à dimanche prochain, toute une semaine. Sans ne réveiller personne, je boucle rapidement un baise-en-ville. J’embarque mon téléphone portable et son chargeur.
Dans ma voiture, je roule sur de petites routes. Tout autour, de la brume, là des cygnes nagent dans ce petit lac pas encore gelé. Je m’arrête, les observe un moment. Il me semble que je redécouvre le monde, la vie, la nature. Oui, c’est comme si je renaissais ou que je me réveillais après des années plongées dans un profond sommeil. Sur la radio de la voiture, Brahms est à l’honneur, cela va bien avec ce que je regarde. Le jour se lève au-dessus de cette petite brume. Je me sens tellement bien. Sur mon téléphone portable, je rentre l’adresse Email de cette belle-mère noël, lui envoie un nouveau message. Je lui dis que je suis près d’un petit lac, que je regarde des cygnes nager tranquillement, que je les compare à son corps et que je me sens merveilleusement bien. Je lui ajoute que je ne prendrais plus de médicament à l’avenir, j’ai mon nouvel antidépresseur, elle, ma mère noël ! Un vent léger et glacial se lève, il me donne le frisson. Je remonte dans ma voiture.
J’envoie un SMS à ma femme, lui disant de ne pas se faire de souci, qu’il me faut reprendre pied dans ce monde de fou, que je rentrerais dans la semaine ou, au plus tard, dans deux. Bref, je n’en sais rien encore, je n’en sais rien de la date de mon retour, même que je m’en moque carrément. Je roule, je suis bien, la musique est bonne et mon cœur est déjà rempli de cette très jeune femme. Et si cela ne fonctionne pas entre elle et moi, ce n’est pas grave, ce n’aura été qu’une belle et courte et délicieuse petite aventure. Un bip m’avertit d’une réponse. Devant ce café qui ouvre, je vais me boire un jus de chaussette, me manger un ou deux croissants. Ça aussi, il y a longtemps que je ne l’avais pas fait. Sur mon portable, je lis ce mail. Divine créature, mon bel ange m’annonce qu’elle est pressée d’être à midi. Je ne lui en veux pas, moi aussi. Quoique pour moi, en moi, je ne vis pas cela comme elle.
Non, il n’y a que je n’ai plus envie de courir après le temps désormais et c’est exactement ce que je lui réponds.
Dans ma voiture, je me rapproche d’elle, de ce centre commercial. Pourtant, il n’ouvre qu’à neuf heures, pas avant. Ce n’est pas grave, j’ai tout mon temps désormais, toute la vie. Alors, je m’arrête encore, me bois encore un café, mange un croissant en lisant des journaux dont j’avais oublié jusqu’à leur existence. Mais bon, vu le nombre de bonne nouvelle, je perds plus de temps à tourner les pages qu’à lire. À la radio, on diffuse les informations, corruption par ici, attentat par là, pas de quoi sauter de joie, je paie et continue ma route. Devant le centre commercial, les portes s’ouvrent au moment où j’arrive. Devant moi, tout sourire, mon bel ange et ses petites taches de rousseurs. Elle n’ose me sauter au cou, une femme un peu moins âgée que moi, semble donner ses instructions pour la journée. Un petit signe, deux baiser qui se croisent, volent vers l’autre. Je profite qu’elle est occupée pour faire un tour pendant que c’est encore calme.
Je me dirige vers le rayon informatique. Là, je débusque un ordi portable qui me plaît. Il a tout ce qu’il faut pour que je puisse écrire. Écrire, c’est bien, si on le fait souvent, on y mémorise nos souvenirs, nos pensées, nos fantasmes, nos envies, même nos coups de gueule et nos moments de tristesse. Non et puis, c’est pratique, peu encombrant. Bref, je me l’offre !
Dans le hall, un café près de moi, je me connecte au WIFI du centre commercial. Là, j’en profite pour faire les éternelles mises à jour. Pendant que cela se fait, je commence à écrire. Plus précisément, je décris cette très jolie mère noël. Enfin, de manière un peu romancée, je décris cette sublime rencontre. Tout y est, même les images qu’elle m’envoyait dans son mail. Elles me servent à illustrer mon récit. Sur les pages, je me rends vite compte que je ne peux pas laisser son visage à la vue de tous. Je le floute rapidement. Dans un dossier visible que par moi, je garde précieusement ce doux visage espiègle bien au chaud.
— Mon papounet fait sa liste au Père Noël ?— Oui ma douce. Bien que ce soit au Père Fouettard à qui je l’adresse si tu n’es pas sage.— Je ne dis pas non, pour autant que ce soit du noisetier. — Mademoiselle est connaisseuse ?— Oui papa. Mais au lieu de l’écrire, mon papounet devrait descendre au sous-sol, il y a mieux. — Toi, tu as encore fait des bêtises !— Je l’avoue et des moches, de très vilaines bêtises même.

J’éteins mon ordinateur après une ultime mise à jour, me lève. Sans lui demander si elle a du temps, je l’emmène avec moi, au sous-sol. Là, elle me guide dans ce magasin tenu par une femme, la même qui donnait ses instructions quand j’arrivais. Elle me sourit, ma mère noël m’entraîne dans le fond, le coin maudit par beaucoup. Je la vois caresser amoureusement des martinets, des cravaches. Je m’adosse à une colonne, la regarde s’émerveiller. Je l’oblige à choisir l’instrument qui va martyriser ses petites fesses. Elle me fixe, ses yeux brillent. La tenancière arrive, me regarde, comprend, repart. Ma petite mère noël choisit une cravache, l’extrémité en forme d’une petite main, elle prend encore un martinet aux fines lanières. De mon côté, je prends de quoi l’immobiliser, l’entraver. À la caisse, devant cette femme quelque peu surprise que je lui dise que c’est pour punir ma fille peu gentille. Je paie en fixant cette femme.
En remontant, près du banc, j’ordonne tendrement à mon bel ange de m’attendre quelques instants. Je redescends, me dirige vers cette femme. Près d’elle, je lui demande si c’est elle qui avait imposé ces costumes à ces mères noël. Elle rougit un peu en me répondant affirmativement. Je l’embrasse sur ses joues avant de lui glisser que comme femme, c’est une délicieuse vicieuse. Je rejoins ma mère noël, elle est en mission avec un couple. Je souris en regardant sa croupe se dandiner comme celui d’un canard. La femme du sex-shop s’approche de moi, se pose près de moi.
— Vous l’avez fouettée ?— Fessée, oui. C’est con, mais c’est... Je n’aurais jamais pensé le faire et je l’ai fait. — Elle a...— Aimé, oui et pas qu’elle. Ça s’est passé hier, sans que l’on se connaisse.

En me tournant vers elle, son regard plonge dans le mien. Visiblement émue, un peu comme moi. Elle ne doit pas avoir plus de 35 ans. Elle me glisse une petite enveloppe dans la main, se lève, me sourit et regagne sa boutique sulfureuse, licencieuse, lascive, mais surtout perverse par son coin sombre. Son magasin est à des années-lumière de ressembler à ces autres boutiques puritaines, si décentes en comparaison de celle-ci. En les regardant, à mon passage, en arrivant, je les trouvais un peu trop pudibonde, un peu trop vertueuse. Même les boutiques où les rayons présentant de la lingerie fine me semblaient fades, sans ce petit quelque chose de libertin, d’osé.
Ma mère noël me revient, tout sourire. Je lui prends sa main, lui montre la petite enveloppe de sa chef. Dans un recoin, loin des regards, je la colle contre moi, l’embrasse en massant ses petites fesses si belles. Baiser de feu, explosif si l’on insiste. Sa main sur mon pénis, je la pousse, l’agenouille, la force. Elle, jouant la vaincue, l’obligée, la docile s’en empare, le porte à sa bouche. Me penchant un peu, je masse un sein. Je sens très vite ce bonheur m’envahir, pourtant, je le retiens, oh, juste ce qu’il faut pour qu’il soit plus merveilleux encore. Cette bouche affable est une merveille, une bénédiction. Oui, c’est dimanche, une jeune femme habillée en mère noël me fait la plus divine des fellations qui soient dans un centre commercial ouvert ce dimanche précédent noël. Je jouis longuement, mes jambes peinent à me supporter, je dois prendre appui contre ce mur. Elle, délicieuse, lave mon sexe, le remet dans sa cachette, le cache bien, remonte le long de mon corps.
Nos bouches se soudent, baiser tendre, lascif, merveilleux. Elle me demande de l’attendre, midi est encore si loin de nous. Je lui assène une petite claque amoureuse sur sa croupe délicieuse, la renvoyant à sa mission première, guider, informer les clients. Putain de bordel de merde, je pète la forme ! J’ai vingt ans dans ma tête, à défaut de mon corps, mon seul regret.

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