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Histoire de fesses

Chapitre 2

Aïe mon cœur

Divers
Dans l’un des restaurants, je me pose, je me prends une petite bière, regarde cette foule de fous furieux aller et venir. On dirait des vagues qui se suivent, comme sur le bord de mer. Parfois, une vague va à contre sens. Et c’est une sorte de ballet qui commence, bien loin du lac des cygnes. Une femme se pose près de moi, son parfum m’enivre, il sent si bon. Je me retourne, c’est elle, cette femme si impudique, si joliment perverse pour habiller ces filles de manière si dissolue, si friponne et le lui dis ouvertement. Je regarde le contenu de l’enveloppe qu’elle glissait dans ma main tantôt. Une carte de réduction valant son pesant d’or puisqu’elle m’accorde 25% de rabais sur mes achats futurs. Je prends sa main, l’embrasse, la retourne, lèche le creux de cette main. Je la trouble, j’en suis heureux. Je me sens pousser des ailes. Alors, sans tout lui dire, seulement comment, je lui raconte ma rencontre avec mon bel ange.
Et puis merde, au diable les varices, disait ma grand-mère, je détaille, je détaille les détails, les approfondis. Je me surprends à parler amoureusement de mon ange de Noël. Je sens mon cœur s’emballer en parlant avec amour de mon ange, de ma mère Noël. Jamais, au grand jamais je n’avais parlé ainsi d’une femme. En face, un visage illuminé me fixe, il est aussi ému que moi. Sa main caresse la mienne. Ses doigts cherchent les miens, ils se croisent.
— Vous êtes peu banal pour un homme. — Comprenez qu’elle me ressuscite, que je renais grâce à elle. J’étais au fond du trou et me revoilà à la surface et il fait merveilleusement beau.

Elle se lève, pose ses lèvres sur les miennes, me quitte sans un mot. Si, une courte phrase ; on va se revoir, croyez-moi ! Je lui souris en la regardant partir en direction de son officine licencieuse, si sensuellement épicurienne. Je la trouve charmante. Sur ma montre, midi approche, je me presse. Dans ma voiture, je file attendre mon ange vers la sortie du personnel. Dehors, le temps se couvre. À la radio, on annonce des précipitations neigeuses jusqu’en plaine, voilà qui me réjouit. Elle tarde à me rejoindre. Je me grille une cigarette. Je pense à cette femme m’écoutant, buvant mes paroles. Une question m’assaille, serait-elle en train de fesser mon ange ? Après tout, pourquoi pas ! Je souris à cette délicieuse pensée. Jaloux, moi ? Non plus, jamais plus ce sentiment qui détruit plus qu’il ne construit.
Une demi-heure passe avant qu’elle n’arrive, me saute au cou, m’embrasse. Mes mains sur ses fesses, elle esquisse une petite grimace.
— Elle t’a fessé, la bougresse ?

Un sourire honteux se dessine sur son visage. Je l’embarque avec moi. En me tournant, je la vois qui sort, me fait signe. J’abaisse ma vitre.
— Vous avez raison de l’aimer, elle est merveilleuse. Merci. — Montez, je vous en prie.

Derrière, elle s’installe. Ma petite se serre contre moi. En chemin, cette femme me raconte comment ma petite mère Noël fut fessée par-dessus sa combinaison. D’une main, je masse ses petites fesses encore douloureuses à en croire cette femme. Je me rends à l’adresse de mon ange. Nous sortons de la voiture. Dans le petit appartement, devant nous, mon ange retire sa combinaison, se couche sur mes cuisses en me tendant cette cravache à l’extrémité en forme de main. Près de moi, cette femme me rejoint, soutenant le visage de notre bel ange qu’elle embrasse. Je fustige ce cul mignon. Je n’ose frapper trop fort, juste ce qu’il faut pour mettre le feu à ce corps qui se tortille de bonheur. La bouche de cette femme m’embrasse. Je me permets une petite pause pour dégager sa poitrine opulente, la masser. Mère Noël glisse sous cette jupe, remonte le long de ses jambes si joliment galbées. Moi, je tète cette poitrine.
On ne se contrôle plus, seules nos pulsions nous poussent à faire des choses licencieuses, merveilleusement indécentes. Écartant ses cuisses, elle laisse le passage à notre ange. Sur mon pantalon, elle se penche, me libère mon pénis déjà trop à l’étroit. Sa bouche gourmande s’en empare, me la tète, me l’aspire, ma la lèche, me le suce et je me sens bien, merveilleusement bien. De ma main encore libre, je fustige ses deux postérieurs. Cette femme est comme mon ange, elle aime se sentir punie comme une méchante gamine désobéissante. J’y ajoute de mots, des mots méchants parfois, sans ne jamais être vulgaire. Pas de salope, de putain ni même de pute, non, rien de tout ça. Je leur parle comme à des méchantes fifilles. Comme un père à ses enfants peu sages. Cette femme jouit de la bouche de notre ange, je jouis de cette femme. Avec elle, nous soulevons notre ange. Moi entre ses petites fesses, elle sur ce minou éclot, nos langues s’affairent en cet ange merveilleux.
Puis, une main curieuse s’empare de mon pénis, l’attire entre les cuisses de cette femme. Je me glisse en elle, de petits coups de reins en grands coups de reins, je l’entraîne vers le plaisir de jouir. Au bout de ma langue, de celle de cette femme que je baise, un bel ange hurle son bonheur.
Plus je me donne, plus ce sentiment de renaitre m’envahit. Je me sens encore mieux qu’hier et demain, ce sera encore mieux, j’en suis certain. À l’oreille de mon ange, je lui glisse m’être réveillé avec une belle érection en lui confiant que cela n’était plus arrivé depuis mon infarctus. Sa bouche sur la mienne, ses mains parcourant nos corps, cette femme jouit, laissant son corps et sa bouche exprimer son bonheur, son bien-être, son enchantement. Puis, lentement, tout se calme. Caresses, baisers, corps contre corps, c’est tout, rien de plus, seul le plaisir d’être là, tous les trois ensemble.
Puis, je me couche en travers des cuisses si fermes de cette femme. Déjà, sa main claque mon cul, je sens ce plaisir monter en moi, ce feu qui va se déchaîner, me dévaster sous peu. Je le réclame, le supplie de m’emporter, de me disloquer, de me tuer de plaisir. Sur ma bouche, un bel ange pose ses lèvres, lèche mon visage, m’embrasse copieusement. Je vais exploser, décoller pour rejoindre le nirvana des orgasmes. C’est fait, je pars, je décolle, je m’envole, laissant ma bouche le proclamer haut et fort, ce bonheur qui m’envahit. Je m’écroule sur ses cuisses merveilleuses. Des mains parcourent amoureusement mon corps. Je suis bien, je suis guéri, heureux d’être dehors de ce puits sans fond. Sur le dos, mon regard se perd sur ce plafond blanc. Il me semble que mon regard voit au-delà de ce blanc, oui, ce sont les étoiles que je vois en regardant ces deux anges. Mes deux anges qui s’embrassent, se caressent, s’aiment enfin, toutes les deux, sans moi, pur moment de bonheur.
Je les observe, caressant ces corps lascifs, saphiques. Moment délicieux, elles se délectent l’une de l’autre et j’approuve par mes caresses, mes baisers sur ces corps amoureux. Jamais, non jamais je ne pensais vivre cela un jour. Même ma tête n’osait imaginer plus merveilleuse scène. Mais voilà, je ne suis pas au mieux encore. La fatigue s’empare de moi, mes yeux peinent à rester sur ces corps si beaux. Je n’entends plus que les gémissements de ces plaisirs saphiques, mais le son décline, je ne les entends qu’à peine, puis c’est le silence.
Ouvrant un œil, deux corps sont merveilleusement blottis contre moi, me faisant face. Je glisse, là, un sein, je le baise de ma bouche. Je me tourne, baise l’autre. Les corps s’allongent sur le dos. Déjà à genoux, mes mains parcourent ces corps si délicieusement offerts à mes caresses, mes baisers. Une main se pose sur ma tête, me presse contre ce pubis, les jambes se replient, s’écartent. Je lape, lèche, suce, bois, m’introduis de ma langue. Deux mains attirent ma tête plus haut sur ce corps de femme. Je me guide en ce lieu, berceau de la vie. Mon pénis y pénètre, se délecte. Une bouche s’empare de la mienne. Ce corps de femme est sublime, sensible, réceptif, je le baise tout en douceur, tout en tendresse. Deux jambes enlacent mes reins. Je vais et viens en elle, merveille des merveilles. Poitrine contre poitrine, nos tétons nous électrisent. Bouche contre bouche, c’est le feu qui nous envahit. Un jeune et joli corps d’ange s’étire près de nous. Des yeux superbes nous observent.
Deux mains partent à l’aventure sur nos corps enlacés. Je n’ai plus vingt ans et je le ressens. Pourtant, je me dépasse pour ces femmes. Je n’ai qu’une envie, les sentir, les voir, les entendre jouir. Je peine déjà, pourtant, je continue, dépassant, et de loin, mes capacités. Je donne tout ce que j’ai en réserve, trop peut-être. Mon corps ne veut plus, il me le fait savoir, c’est le noir.
— C’est son cœur, il a trop donné. — Mais, il m’avait dit que...— En l’état, il n’est pas opérable. Du moins pas encore. Il lui faut du repos.— Merci docteur. Quand va-t-on l’opérer ?— Après demain, si tout va bien. — Faites en sorte qu’il nous revienne. — On va faire le maximum.

C’est tout ce que j’entends. Je sais, oui, je sais que je me suis surpassé, que j’ai trop donné. Me voilà dans de sales draps. On va m’opérer, je m’en réjouis. Une main se pose sur moi, je la reconnais, c’est celle de ma femme. Où sont mes anges ?
— Madame, il était si heureux de se sentir revivre. — Il le sera davantage après l’opération.

Qui parle près de ma femme, mon ange ? Oui, c’est elle. À l’entendre, ma femme ne semble pas jalouse, pas même rancunière. Si je pouvais ouvrir un œil, rien qu’un. Mais mon corps refuse tout ordre que je lui donne. On me pique, je me sens bizarre, comme si je planais au-dessus des nuages. J’entends la voix de ma femme qui raconte notre vie à cet ange, mon petit ange. Mes yeux s’ouvrent sur trois visages de femmes tristes. D’un geste peu assuré, je prends une main, mon petit ange se penche sur mon visage, s’exclame que je reprends vie. Sa bouche se dépose furtivement sur la mienne. Trois bouches baisent ma bouche. Ma femme semble particulièrement émue. Je peine à la reconnaitre après toutes ces dernières années sans me voir. Un homme en blouse blanche prend mon pouls. Il rassure, mon cœur va mieux.
— On va vous opérer, vous remettre en état de marche. Nous avons d’excellents plombiers pour vous changer vos artères.— Une bonne révision ne me ferait pas de mal, toubib. — C’est exactement ce que nous allons vous faire, une révision des quarante ans avec trois ans de retard. Comment vous sentez-vous ?— Merveilleusement bien, j’ai trois anges qui veillent amoureusement sur moi désormais. Ma femme, je te demande de ne pas m’en vouloir. J’aime ces deux femmes. Grâce à elles, je suis revenu à la vie. Même si j’ai risqué de tout perdre. — Je ne leur en veux pas. C’est moi qui m’en veux. Elles m’ont tout raconté dans les moindres détails. — Merci mes anges, mille mercis à vous deux. Femmes, je vous aime. — Tu sais mon beau fesseur, nous allons, toutes les trois, t’attendre.

On m’emmène, mon lit se faufile dans les méandres des couloirs de cet hôpital. Devant moi, des portes s’ouvrent, nous descendons dans les profondeurs. Une voix me demande pourquoi cette jeune femme m’avait appelé le fesseur. Je souris, lui réponds parce qu’elles aiment que je les fesse avec amour. Un visage se penche sur le mien, un charmant visage plus tout jeune. Ce visage me sourit, me traite tendrement de vicieux personnage, un compliment en somme. Puis, dans cette pièce bruyante, on me part de tuyaux, de fils, on me pique, on me retire ma chemise, on me couvre, je m’endors.
Autour de moi, des bips, des clics, des bings. Je ne sais où je suis, ni depuis quand. Une voix dit que je reviens, mais depuis où ?
— Vous pouvez bouger ?

Je bouge une main, du moins, il me semble. La voix fait : « Pas encore, il est encore dans le brouillard. » J’écoute sans pouvoir répondre. On m’informe que je suis en salle de soins intensifs, que l’opération s’est bien déroulée, que j’ai trois artères toutes neuves. J’en suis heureux au fond de moi en pensant à mes anges.
Les jours s’égrènent, je reviens à la vie petit à petit. Si je ne peux encore me lever, je me sens déjà nettement mieux.
— Alors joli fesseur, on se sent mieux ?— Oui, beaucoup mieux, il me tarde de retrouver mes anges. — Mais elles sont là. — Merveille des merveilles, qu’elles viennent !

Trois doux visages sont là, penchés au-dessus de moi. Trois bouches qui déposent leurs hommages sur la mienne. Mes douces amies, si je pouvais vous aimer là, sur ce lit, l’une après l’autre. Une main se glisse sous le drap qui me recouvre. La douce voix qui accompagne ce geste sensuel me dit que tout est prêt pour mon retour à la maison. Quelle maison, dans quelle ville ou village ? Si je peine à reconnaitre la voix, la main, elle, est celle de mon petit ange, ma mère Noël.
— Alors il ne nous mentait pas quand il disait vous aimer toutes les trois ?— Nous l’aimons comme il nous aime. Je regrette seulement de le découvrir un peu tard.— Mais pourtant, vous êtes sa...— Sa femme, oui, exactement. Malheureusement une femme bien négligente. Il aura fallu qu’il fasse un second infarctus pour que je redécouvre que mon mari est un amant qui sait aimer, donner de sa personne pour nous...— Je vois ça, on va vous le dorloter. — Si je peux, n’en abuser pas trop quand même.

Plus un mot, c’est le silence des voix. Seuls ces bips, ces clics, ces bings se font entendre. J’ai la haine de ces bruits, ils me brisent les tympans. Sous le drap, cette main continue ses caresses toutes douces sur mon sexe inerte. On baise ma bouche, mes yeux n’arrivent plus à tenir ouverts. Je sombre petit à petit dans un autre sommeil. Je me sens si faible encore.
Les jours se succèdent, je suis dans une chambre, seul, au calme. Je peux enfin m’assoir dans mon lit. Sur la table de nuit, une télécommande, mon ordinateur, celui de mon domicile. Je l’allume, pianote mon mot de passe. J’écris, sur l’écran, les lettres s’enchaînent les unes aux autres. Des mots se forment, des phrases, des paragraphes s’affichent. Une voix joviale m’apprend sa surprise. Cette voix est douce. Le visage qui transporte cette voix est tout aussi doux que jeune. C’est pourtant à peine si je la regarde et pourtant, pourtant elle est si belle. Près de moi, elle prend mon poignet, lisant ce que je tape encore.
— Vous êtes un romantique vous !— Non, un amoureux. — Je vois ça. Comment, trois femmes ?— Trois anges, trois mères Noël, les trois joyaux de ma vie. — La vache, c’n’est pas mon copain qui me parlerait comme vous. — Pauvre femme, je vous plains !

Elle lit encore, se redresse subitement en me fixant, me demande si je les fesse souvent. Ma réponse a de quoi l’étonner, la surprendre.
— Je les fesse autant qu’elles me fessent. C’est si bon, si vous saviez.

Elle me quitte, visiblement troublée par ma réponse, mon texte. Je souris, je ris même de ce trouble. Je la devine racontant mes vices à ses collègues. Moi, je continue, envoie mail après mail à mes amours. Un jeune homme entre, une mignonne demoiselle l’accompagne, c’est mon fils. Lui, enfin, il est là, se rappelle que j’existe encore. Devant moi, il n’est pas très fier. Pourtant, je le rassure en caressant sa joue. Il me présente sa compagne. Je baise sa main, essayant de cacher ce texte aussi amoureux que pervers, voire vicieux. Mais trop tard, elle a pu en lire un bel extrait pendant que mon fils me donnait une belle accolade. Je ne lui en veux pas, au contraire, je tourne l’écran vers elle. Je parle longuement à mon fils. Il me fait serment de nous aider plus souvent à la maison, surtout aider sa mère, ma femme. Il ne me juge pas, c’est aussi dans son intérêt. Une petite voix lit l’entier de ces dix pages déjà mémorisées quelque part dans mon ordinateur.
Mon fils écoute cette douce voix qui met en avant les détails de ce récit, mettant le ton qu’il faut quand on lit ce genre de texte. Même que si une personne devait lire mon récit en public, c’est cette voix que je voudrais entendre, pas une autre. Sa voix est juste sur chacun des mots qui composent ce court récit. Au mot à suivre, elle se redresse, me fixe en serrant, de ses mains, celle de mon fils. Je lis son trouble sur son visage. Je devine qu’elle doit se poser des milliers de questions sur le père de son amoureux.
Jour après jour, je reprends des forces. Je parviens même à me lever, à faire déjà quelques pas. Je ne force pas, pour ça, je me réserve pour mes trois anges. En revenant dans ma chambre, deux infirmières sont penchées sur l’écran de mon ordinateur encore en fonction. Je racle ma gorge doucement. L’une se retourne, le visage délicieusement rouge de honte. Je caresse cette joue, lui souris. Je prends mon ordi, lis, à haute voix, la suite. Je n’ai pas la voix, encore moins le ton utilisé par Cindy, l’amie de mon fils, c’est certain. À la fin, toujours à haute voix, je continue à écrire cette histoire. Sans aucune vulgarité, je raconte, décris, détaille chaque moment passé près de mon bel ange de Noël, de cette femme gérante d’une boutique hautement sensuelle, érotique et si tellement délicieusement débauchée. J’y décris tout, jusque dans le plus insignifiant petit détail. Le texte s’arrête là, en ce jour avant Pâques où deux infirmières en mal de bonheur affectif lisent mon texte.
Je les trouble en les décrivant comme sublimes, belles avec leur postérieur qui mérite une grande attention. Je donne le détail de ces corps cachés sous ces uniformes blancs. C’est vrai que je ne suis pas encore au mieux de ma forme, cette petite marche m’a épuisé. Pourtant, maintenant couché sur mon lit, je me sens las. Deux bouches s’empressent de baiser mes joues en faisant un peu de mon lit. Elles ne me quittent pas, elles s’enfuient en rougissant encore.
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