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L'histoire incroyable de Nina et Joy.

Chapitre 2

Le vœu

Lesbienne
Journal de Nina, vendredi 16 mai 2042

Je m’appelle Nina et j’ai vécu une histoire incroyable. En commençant la journée, je n’imaginais pas que mes choix changeraient ma vie à tout jamais. Je vis avec mes parents, mon frère et mon chat, Cherry. Mes parents n’arrêtaient pas de se disputer depuis un mois. Au fil des jours, leurs querelles devenaient plus intenses. Il semblerait que leur couple soit en danger. De plus, mon oncle est venu s’installer chez nous depuis quelques jours. Il dort dans la chambre d’amis au 1er étage. Tandis que ma chambre et celle de mon frère sont au rez-de-chaussée. Nous avons pris le petit-déjeuner comme tous les matins. Mon frère, Tom, déprimait, car sa copine l’avait largué après une semaine. Bref, tout allait mal dans ma famille. J’avais peur que mes parents divorcent, mon frère broya du noir et mon oncle était au chômage.Au moment de partir pour l’école, tonton Victor m’a gentiment proposé.
— Tu veux, je t’emmène ? Ce n’est pas prudent de partir seule.— Non, je vais rejoindre une amie. Bonne journée, tonton.
Je demandais à ma mère.
— Maman, je peux inviter une amie à dormir ce Week-end ?— Bien sûr, ma chérie !
Depuis peu, j’ai témoigné de la sympathie avec Joy. Nous prenons le train ensemble. Elle habite dans la même rue que moi. Je voyais qu’elle subissait des moqueries constamment. J’ai trouvé dommage, car c’est une fille adorable. Elle manque de confiance en elle et ne se rend pas compte de son potentiel. J’avais du mal à m’attacher à quelqu’un et la plupart du temps, je restais seule. J’ai décidé de devenir son amie, car je l’apprécie beaucoup.Donc je lui ai proposé.
— Tu veux dormir chez moi pour ce week-end ?
Elle semblait ravie.
— Merci, j’accepte avec joie.— J’ai entendu parler d’un endroit agréable, on pourrait y aller faire un tour pour se promener.
La proposition semblait lui plaire.

— Tu es tellement gentille avec moi.— Ben, ça me fait plaisir. Et puis, je n’avais pas envie d’y aller toute seule.
Nous restions ensemble. Dans les couloirs, nous entendions des filles discuter de sexe.
—... Il m’a fait jouir deux fois de suite.— Raconte-nous tous les détails. Elle est comment sa bite ?
Ce genre de conversation était courant. On peut dire qu’à côté d’elles, je me sentais inexpérimenté. C’est pour cela que je ne me sentais pas à ma place avec les autres filles. Joy se sentait gênée. Puis, je ne sais pas pourquoi. Je lui ai demandé.
— Tu l’as déjà fait ?— Faire quoi ?
Pourquoi, je lui avais dit ça ? Joy était déjà gênée. La question était embarrassante. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
— Tu sais bien, faire... Euh... Avec un garçon...
Elle hésita à répondre.
— Je suis encore vierge.
Rien ne l’obligeait à me dire la vérité. C’était une preuve de confiance envers moi.
— Moi aussi. Ne t’inquiète pas, nous allons nous trouver de beaux garçons.
Je suis restée avec elle. Nous avons discuté toute la journée. Je lui ai raconté mes problèmes de famille. Je constatais que les garçons l’ennuyaient sans arrêt. Alors, je la réconfortais en disant qu’un jour, elle trouvera quelqu’un de bien avec qui partager sa vie.
Puis, lorsque les cours étaient finis, nous avons pris le train en direction d’une ville que j’avais vu sur Internet. Nous avons longtemps marché. Joy me racontait qu’elle n’avait jamais eu de chance avec les garçons. Elle passait le plus clair de son temps, seule. Nous avons traversé un chemin en retrait par rapport à la ville. Il y avait quelques arbres. Puis, c’est là que nous avons trouvé un vieux temple. Intriguées, nous nous sommes approchées. J’avais entendu dire que l’on pouvait faire un vœu.
— J’ai entendu qu’il fallait faire sonner la cloche et faire un vœu. J’ai une idée ! Si on faisait un vœu chacune ?— D’accord ! Tu commences !
J’ai donc fait sonner la cloche et formulé mon vœu, sans vraiment y croire.
— J’aimerais que toi et moi vivions heureux en amour et en sexe. Ainsi que toute ma famille.
Joy riait.
— Ah ! Ah ! Ah ! Ah oui, carrément !— Allez, à ton tour !
Joy fit sonner la cloche et fit son vœu.
— J’aimerais connaître toute la vie de Nina. Je veux tout savoir d’elle !
J’étais surprise qu’elle fasse un tel vœu.
— Pourquoi avoir demandé ça ? Tu aurais pu demander autre chose. Il doit y avoir quelque chose que tu désires plus que tout ?
Joy m’avoua.
— C’est la seule chose que je désire. Tu es si gentille avec moi. J’aimerais que l’on reste ami.— Très bien, si tu veux mieux me connaître. Tu vas rencontrer ma famille.

Nous sommes rentrées ensuite direction ma maison. Je ne me doutais pas un seul instant que les vœux que nous avions faits allaient changer toute notre vie.
En rentrant, mes parents étaient de bonne humeur. Mon amie a reçu un chaleureux accueil. Après un délicieux repas, elle a dormi dans ma chambre. J’ai installé un matelas sur le sol. Joy a retiré sa chemise.
— Cela ne t’embête pas ? J’ai l’habitude de dormir en sous-vêtements.— Non, mets-toi à ton aise. Fais comme chez toi.
Aussitôt dit, Joy retira ses habits. Je pouvais voir sa gigantesque poitrine. Je n’imaginais pas voir quelque chose de si spectaculaire. Ses seins semblaient beaucoup plus gros. D’ordinaire, ils étaient cachés et compressés sous sa chemise. À présent libres, ils basculaient de gauche à droite. J’avais l’impression d’être une privilégiée de pouvoir les admirer ainsi. Le reste de son corps était agréable au regard. Elle avait des belles jambes, des belles fesses bien rondes. Je ne sais pas pourquoi Joy se trouvait grosse, car ce n’était pas du tout le cas. Il y avait seulement sa poitrine qui était très impressionnante.
— Arrête de me regarder comme ça, ça me gêne.
Je devais lui dire la vérité. Il fallait que je lui fasse savoir.
— Tu es vraiment très belle ! Je ne comprends pas ce que tu reproches à ton corps.— Ne dis pas n’importe quoi ! Je suis grosse et j’ai des seins énormes !— Tu n’es pas grosse. Tu ne t’en rends pas compte. Tes seins sont vraiment magnifiques. Je t’assure que tu es vraiment belle.
Joy refusait de me croire. Je retirai mon t-shirt pour montrer mes seins à mon amie.
— Regarde, mes seins sont petits. Je t’envie d’avoir une poitrine pareille.— Je préfère les tiens largement. Les miens sont trop lourds, c’est difficile à supporter.
Nous nous sommes couchées alors sur ces mots. Cependant, depuis que j’avais vu le corps de Joy, je ressentais une étrange sensation. Je n’arrivais pas à l’expliquer. Car je n’avais encore jamais ressenti cela. Ce n’était pas de la jalousie. Non, c’était beaucoup plus fort que cela. Il était impossible de trouver le sommeil. Elle dormait juste à côté de moi. J’avais envie de la rejoindre sur son matelas. Je me sentais attiré. C’est la première fois que je ressentais un tel sentiment. Cela me faisait peur. Je regardais le réveil. Une heure s’était écoulée. Je n’arrêtais pas de me retourner dans mon lit. Je ne cessais de penser à Joy. Puis, j’entendis sa voix.
— Est-ce que tu dors ?— Non !
À ma grande surprise, elle me demanda.
— Est-ce que je peux te rejoindre, pour dormir avec toi ?— Euh... D’accord.
Je fis de la place, pour laisser mon amie s’installer dans mon lit. Elle se trouvait juste en face de moi. Sa poitrine opulente juste sous mes yeux. Je pouvais sentir son odeur. J’avais très envie de la toucher et de la caresser. J’avais envie de ma copine. Je tentais de me retenir. Car j’avais peur de me faire repousser. Je n’avais jamais ressenti une telle émotion. Je devais me rendre à l’évidence, j’étais tombée amoureuse de Joy. Est-ce que deux filles pouvaient s’aimer ? Est-ce que c’était bien ou mal ? Alors que je me torturais l’esprit mentalement. L’envie d’elle se fit de plus en plus forte. Il fallait que je fasse quelque chose avant de devenir folle. Incapable de refréner mes ardeurs, j’ai eu l’idée de me rapprocher d’elle jusqu’à la coller. C’était dangereux. Je sentais le contact de sa peau sur la mienne. Sa poitrine était écrasée sur mon ventre. Je sentais son souffle sur moi. Ses cuisses entre les miennes. Soudainement, Joy se mit à me caresser. Je la laissais faire.
J’étais au comble du bonheur. D’abord sur mon bras, après quelques instants, elle descendit sa main sur mon dos. Ses caresses étaient divines. J’étais bien, mais seulement, je ressentais le besoin d’en avoir plus. Je me mis à la caresser à mon tour. Seulement la seule chose que j’ai obtenue était davantage de désir. À présent, c’était de l’excitation que je ressentais. Je la désirais plus que tout. J’ai glissé mon corps plus bas pour que ma poitrine touche la sienne. Machinalement, je ne pouvais pas m’empêcher de me frotter à elle. Tout doucement, je frottais mes seins contre les siens. Je ne pouvais plus m’arrêter. Impossible de faire machine arrière. J’avais atteint un point de non-retour. Mes cuisses étaient entremêlées avec les siennes. J’ai déplacé ma cuisse gauche plus haute pour pouvoir toucher ses parties les plus intimes. Je sentais sa chatte mouiller, contre ma cuisse, au travers de sa petite culotte. Joy était autant excitée que moi.
Elle fit de même, elle déplaça sa cuisse et elle la frotta sur ma chatte. Je mouillais beaucoup. Ma petite culotte était trempée. On se frottait l’une contre l’autre. Sans dire un mot, nous laissions parler les gestes. Je ressentais son désir. Je la désirais autant qu’elle me désirait. Son visage si proche du mien. Je sentais sa respiration qui s’accélérait. Son souffle sur moi. D’une main, elle attrapa ma tête et ses lèvres se sont collées aux miennes. Elle ouvrit la bouche, comme si elle voulait me manger. Je plongeai ma langue à l’intérieur. Je la fis tournoyer autour de la sienne. Elle cherchait chaque recoin de ma bouche avec sa langue. Ce fut un long baiser fougueux. Tandis que je continuais de me frotter à elle. Je quittais ses lèvres. Un long filet de salive s’étira jusqu’à ma bouche. Je descendis un peu plus. Je lui léchais le cou. Je suis descendu jusqu’au haut de ses seins. J’attrapai son soutien-gorge pour le baisser.
Ainsi découvrir sa merveilleuse poitrine qui me faisait tant envie. J’ai plongé la tête dedans. Avec mes mains, j’attrapais les deux grosses masses de chair. Ma tête et mes mains semblaient s’enfoncer dedans. Je léchais ses seins partout. Sa peau avait un goût sucré. Je jouais avec ses tétons qui pointaient. Après être descendu plus bas, j’ai commencé à lui retirer sa petite culotte toute trempée. J’ai rapidement plongé ma tête entre ses cuisses. Elle mouillait tellement que j’en avais plein sur le visage. Je léchais tout le jus qui débordait. Joy poussa des gémissements de plaisir. Poussé sans cesse par l’envie d’aller plus loin, je léchais les grandes lèvres. Puis, ma langue s’introduit à l’intérieur. J’ai écarté sa chatte avec les doigts, pour rentrer ma langue plus profondément. Elle débordait de jus. Tandis que j’enfonçais ma langue au fond de sa grotte secrète, j’aspirais en même temps la cyprine qui ne cessait de couler. Elle avait un goût sucré.
Des bruits de succion et des gémissements envahissaient la pièce. C’était la première fois que je faisais ce genre de chose. J’avais honte de ce que je faisais. Malgré tout, je ne pouvais pas m’arrêter. C’était dégoûtant, mais bon à la fois. J’avais du mal à croire que je faisais ce genre de chose. Joy enroula ses cuisses autour de mon cou. Elle s’agrippa à ma tête pour me forcer à continuer.
— C’est bon... Ne t’arrête pas... C’est tellement bon...
Ma tête était coincée entre ses cuisses. J’ai poursuivi ce que je faisais, continuant d’avaler son jus et de farfouiller l’intérieur de sa chatte avec ma langue. Elle n’arrêtait pas de mouiller. J’adorais le goût de sa chatte. Au bout d’un moment, elle se raidit, parcourue de spasmes. Elle appuya sur ma tête. Je l’ai entendue jouir un grand coup. En poussant un grand râle de plaisir. Après deux secondes, elle me relâcha enfin, me libérant la tête. Je me relevai et essuyai mon visage tout humide. Je venais de lécher la chatte de ma copine. Qu’est-ce qui m’avait pris ? Joy arbora un grand sourire. Elle n’éprouvait aucune honte.
— Je n’ai jamais ressenti cela. C’était tellement agréable.
Ensuite, elle voulut faire de même avec moi.
— Allez ! À ton tour maintenant ! Je veux savoir quel goût tu as !
J’ai eu à peine le temps de réaliser ce que je venais de faire. Joy se mit en position. Elle écarta mes cuisses.
— Non, Joy ! Arrête !
Alors que je prononçais ces mots, je me laissais faire. Joy savait que j’étais beaucoup trop gêné.
— Chut ! Laisse-toi faire !
J’avais envie de la stopper. Cependant, mon corps refusait de m’obéir. C’était comme s’il n’était pas d’accord avec moi.
— S’il te plaît, arrête ! Je n’ai jamais fait ça ! J’ai trop honte !
Joy était déjà placée entre mes cuisses. Elle répéta.
— Laisse-toi faire ! Tu vas adorer !
Aussitôt, elle plongea sa tête dans ma chatte. Elle se mit à me lécher. J’étais morte de honte. Je n’en revenais pas que je me fasse lécher par ma copine. Je trouvais cet acte si dégoûtant. En même temps, cela m’excitait tant. Elle me dévorait, comme une affamée qui n’avait pas mangé depuis plusieurs jours. Elle appuya sur mes cuisses, afin que j’écarte au maximum. Facilitant le passage de sa langue qui parcourut chaque recoin de ma chatte. J’entendis des bruits tellement obscènes qu’elle faisait avec sa langue. Je me sentais tellement perverse. Je l’ai laissée faire. Des gémissements sortaient de ma bouche. J’avais l’impression que je ne contrôlais rien. Je ressentais un énorme plaisir et j’en avais tellement honte. Elle mordillait mon clitoris. Elle enfonçait sa langue dans mes parties les plus intimes. Je ne pouvais pas empêcher les gémissements sortir de ma bouche. Toutes sortes de bruits indécents ont envahi la chambre. Je ne mis pas longtemps pour atteindre l’orgasme.
Je suis devenu toute raide, agrippant les draps très forts. Dans un dernier, râle de plaisir. J’ai eu l’impression de décoller et de m’envoler très haut. J’ai presque perdu connaissance. J’eus tant de mal à reprendre mes esprits. Lorsque j’aperçus le visage de Joy en face de moi. Elle avait un regard lubrique. Ses seins gros comme deux ballons de foot qui ballottaient juste devant moi. J’avais encore mes jambes autour d’elle. Elle me fit un énorme sourire qui laissait penser qu’elle avait adoré me dévorer.
— Est-ce que cela t’a plu ?— J’ai l’impression d’être une perverse.
Elle riait. Puis, s’approcha pour venir coller ses lèvres sur les miennes. J’ai laissé sa langue rentrer. Elle fit tournoyer sa langue, en délaissant la cyprine en trop qu’elle avait conservée. Je gardais le goût un peu amer et sucré dans ma bouche. Je me suis laissé aller. Ensuite, je ne me souviens plus de rien. J’étais trop exténuée.
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