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L'histoire incroyable de Nina et Joy.

Chapitre 3

Les conséquences du vœu.

Voyeur / Exhibition
Journal de Joy, samedi 17 mai 2042

Lorsque je me réveillai, j’étais toute nue dans le lit de Nina, blottie contre elle. Je n’avais pas aussi bien dormi depuis bien longtemps. Je m’habillai. Une chemise de nuit beaucoup trop grande. Mais je l’aimais bien, car je pouvais attacher tous les boutons. Je sortis de la chambre. Le frère de Nina, Tom, avait sa chambre juste à côté. Je me souvins du bruit que nous avions fait hier soir. J’espérais seulement qu’il ne nous avait pas entendues. Je partis prendre une douche. Ensuite, je me dirigeai vers la cuisine. Tom se trouvait déjà là. Il était plutôt beau garçon. Taille moyenne, les cheveux très courts, brun. Je m’installai à la table et me servis un bol de lait. Il me fixa du regard. Cela me déstabilisa, car habituellement, les garçons ont les yeux fixés sur ma poitrine. Son regard insistant me mit mal à l’aise. Puis il se décida à me parler.
— Tu es célibataire ?
Je répondis "oui", ne sachant pas trop où il voulait en venir.
— Tu te moques de moi, là ! C’est impossible ! Une fille aussi jolie.
Je ne savais pas comment interpréter ce message. On ne m’avait jamais fait de compliment auparavant.
— Je ne suis pas jolie. Je suis trop grosse.— Non, ce n’est pas vrai. En tout cas, moi, je te trouve jolie.
Je ne savais pas s’il était sincère en disant cela. Mais j’avais l’habitude des beaux parleurs. À force d’observer les garçons et les filles de ma classe.
— Je parie que tu dis ça à toutes les filles.— Seulement aux filles qui sont jolies.
Je me mis à rire. Il avait au moins le mérite de m’avoir divertie. Puis, j’entendis Victor, l’oncle de Nina descendre les escaliers pour venir s’installer.
— Salut, les jeunes !
C’était un homme assez musclé, mal rasé, et avait les cheveux arrivant dans le cou. Il portait une chemise à carreaux de plusieurs couleurs. Il se servait un café.
— Alors, vous parliez de quoi ?
Tom répondit :
— Elle dit qu’elle ne se trouve pas jolie.
Victor m’observa un moment et répondit :
— L’important, ce n’est pas la façon dont les autres te voient. Il suffit de rester naturel. Ne te focalise pas sur ça. D’autant que tu es très bien comme tu es. Ne change rien. Je te trouve très désirable.
Les parents de Nina arrivèrent à leur tour dans la cuisine. Le père, John, dont il manquait la moitié des cheveux sur la tête, semblait plutôt bien portant. Il portait un t-shirt avec un personnage humoristique. La mère, Marianne, avait un corps plutôt sportif. Elle avait de longs cheveux. Elle portait une robe qui la mettait bien en valeur. Mais surtout, j’ai pu constater en voyant son décolleté qui laissait paraître une poitrine qui n’avait rien à envier de la mienne. Seulement au contraire de moi qui faisais une petite taille. Ses deux attributs lui allaient très bien. Cela la rendait même sexy. Elle me demanda.
— Alors, bien dormi ?— Oui, très bien, Madame !
Le chat était installé sur un meuble et buvait un bol de lait. Il ne manquait plus qu’une personne. Nina. Je la vis passer la porte de la cuisine. J’ai eu un choc lorsque je la vis apparaître. Elle était toute nue ! Cela était trop irréel. Elle prit une tasse et se servit un café. Toute sa famille se comportait normalement. Je n’arrivai pas à croire ce que je voyais. Mon amie se promenait toute nue et tout le monde trouvait cela normal. J’ai tout d’abord pensé que je rêvai. Je restai bouche bée. Elle venait s’asseoir sur une chaise à côté de moi. Je me suis même pincée pour être sûre que je ne rêvai pas. Ils discutaient tous normalement. Les parents semblaient trouver normal de voir leur fille toute nue. J’étais tellement abasourdie en voyant la scène qui se déroulait devant mes yeux. Je n’écoutais même plus ce qu’ils disaient. Lorsque Marianne m’interpellait.
—... Joy... Joy... Quelque chose ne va pas ?
Puis, tout le monde me regardait, comme si j’étais une bête curieuse. Je ne savais plus quoi répondre tellement ce que je voyais semblait surréaliste. Nina me prit par le bras.
— Viens t’allonger dans le fauteuil, ça ira mieux !
Je laissai Nina me tirer jusqu’au salon. Elle s’assit dans le fauteuil à côté de moi. Juste en face de moi, je voyais ses seins. Marianne s’inquiéta pour moi.
— On dirait qu’elle ne se sent pas bien ! Je vais chercher une serviette mouillée.
Elle partit et revenait avec une serviette mouillée pour la poser sur mon front. Je lui répétai.
— Je vais très bien.
Tandis que tout le monde semblait s’inquiéter pour moi. Nina n’avait aucune honte à s’exposer ainsi devant toute sa famille. Il y avait quelque chose d’anormal. Je ne comprenais pas. Nina me chuchota à l’oreille.
— Est-ce que c’est à cause d’hier soir ?— Non... Mais...— Attends, je vais te chercher un verre d’eau.
Chacun se comportait comme si tout était normal. Nina se promenait toute nue dans la maison, cela ne choquait personne. Je commençais à croire que je devenais folle. Je me suis levé d’un coup, car je voulais avoir des explications avec Nina. Juste au moment de franchir la porte de la cuisine. Nina renversait son verre sur elle.
— Ah, zut !
Sa mère lui dit.
— Fais attention ma chérie, tu es toute trempée.— Je vais me changer et je reviens !
Elle partit dans sa chambre. Je comprenais encore moins. Elle parlait de « changer ». Que pouvait-elle changer ? Marianne me demandait.
— Si ça ne va pas, je peux appeler ta mère si tu veux.
Même si j’étais dans la confusion la plus totale, je décidai de jouer le jeu.
— Non, je vais bien. J’ai juste eu un petit vertige.— Fais attention, tout de même.
Nina revenait. Elle était toujours toute nue. En l’apercevant, sa mère lui dit alors.
— Tu as remis encore ce vieux t-shirt.— Je l’aime bien, moi. Mes affaires sont dans le bac de linge sale.
Je comprenais encore moins. Nina affirmait porter un t-shirt. Pourtant, je la voyais toute nue. Ensuite, Nina me chuchota.
— Viens, allons dans ma chambre !

Je suivais alors Nina jusqu’à sa chambre. Elle referma la porte. Cela me faisait trop bizarre. Je m’assis sur le lit. Elle prit une profonde respiration et s’assit à côté.
— Pardon, je suis vraiment désolé pour hier soir. Je ne pensais pas que cela te tourmenterait autant.
Nina semblait croire que j’étais perturbé par ce que nous avions fait hier soir.
— Non, je t’assure, cela n’a rien à voir.
Elle continua encore. Elle se sentait fautive.
— Je ne sais pas ce qui m’a pris, hier. Je ne recommencerai plus, je te le promets.— Non. Tu n’as pas à te sentir coupable. Je voudrais juste te demander quelque chose. Cela te paraîtra peut-être absurde.— Demande-moi tout ce que tu veux.
J’ai hésité avant de lui demander.
— Est-ce que tu portes des vêtements en ce moment ?
Elle me regarda de travers.
— Je ne comprends pas. De quoi tu parles ?
J’hésitai à tout lui raconter, elle pourrait me prendre pour une folle.
— Ce matin, est-ce que tu portais un t-shirt ?
Elle riait. Ne prenant pas mes propos au sérieux.
— C’est un nouveau jeu ou quoi ?
J’ai alors pensé que c’était peut-être une blague et qu’ils se moquaient tous de moi depuis le début.
— J’ai compris, tu me fais une blague.— Je ne comprends rien. Depuis ce matin, tu es très bizarre.
Je me suis dit que cela ne pouvait être qu’une plaisanterie. Alors, je lui ai demandé franchement.
— C’est toi qui es bizarre ! Pourquoi tu te promènes toute nue ? Tu fais ça pour te moquer de moi ?
Nina commença à se fâcher.
— Arrête, je ne comprends rien à tes histoires !
Je n’en pouvais plus. Que cela soit une plaisanterie ou non. Dans ce cas, je lui ai sauté dessus. J’ai plaqué Nina sur le lit. J’agrippai ses seins à pleine main. Je me suis mis à tripoter ces seins.
— Qu’est-ce que tu fais. Arrête !
J’ai voulu lécher ses seins, mais je sentais son t-shirt sur sa peau. En fait, je ne le voyais pas. Mais elle portait bel et bien un t-shirt. Seulement, il était invisible à mes yeux. Je me suis arrêté de tripoter sa poitrine. Je me relevai d’un seul coup. J’ai commencé à pleurer. Je lui expliquai ce qui m’arrivait avec les larmes aux yeux.
— Depuis ce matin, je te vois toute nue. Je ne vois pas tes vêtements. Tu vas dire que j’ai perdu la tête.
Nina restait quelques minutes sans rien dire. Je pensai qu’elle allait se fâcher contre moi. Qu’elle allait me prendre pour une folle. Elle avait sans doute raison. Je perdais la raison. Cet instant de silence me faisait peur. Puis elle me regarda et me dit.
— Le vœu ! Tu te souviens du vœu que l’on a fait hier ?
J’essuyai mes larmes pour tenter de comprendre.
— Tu penses que c’est à cause du vœu ?— Mes parents ont agi bizarrement eux aussi. Peut-être à cause du vœu ?— C’est affreux ! Est-ce que cela va rester tout le temps ? Te voir te balader toute nue est très déconcertant.— Arrête ! C’est trop la honte !— Cela peut expliquer le comportement que nous avons eu hier soir. Je n’étais pas moi-même.— Ce n’était pas désagréable.
Nous avons commencé à établir toutes sortes de théorie. J’étais contente de ne pas avoir perdu la tête. Puis, au bout de plusieurs heures, John nous appelait pour aller dîner. Nous nous sommes tous installés autour de la table. C’était très déstabilisant de voir Nina assise toute nue. J’avais beaucoup de mal à m’y faire. Je fixai Nina plusieurs fois au cours du dîner. Elle commença à se sentir mal à l’aise. Puis, elle cachait ses seins avec une main. Car elle sentait que je n’arrêtai pas de regarder sa poitrine. L’après-midi, nous sommes restées dans la chambre à tenter des expériences. Nina se cachait sous une couverture. Je pouvais voir au travers de la couverture. Peu importe la façon dont elle se cachait, je pouvais toujours voir chaque partie de son corps. Au bout de plusieurs heures, à force de voir Nina toute nue, j’avais envie d’elle. Je me suis collée à elle et j’ai commencé à la caresser.
— Non ! Arrête !— J’ai envie de toi. S’il te plaît.
Nina savait qu’il était inutile de me résister. Mon attirance pour elle était trop grande. Elle recula jusqu’à se retrouver bloquée contre le mur. Je lui caressai la chatte et les seins en même temps. Nina me répétait.
— Arrête ! Je t’en prie.
Je continuai mes caresses un long moment. Je sentais qu’elle était excitée par chacun de mes gestes. Au bout d’un moment, je vis le pantalon et la petite culotte de Nina tomber sur le sol. Elle avait retiré ses vêtements, mais cela ne changeait rien pour moi. Sa respiration augmenta, elle poussa des gémissements sans parvenir à se retenir. Les gémissements se changèrent en cris.Je lui chuchotai.
— Chut ! Ils vont t’entendre !
Cela n’était pas une bonne idée de faire ça avec la famille dans la maison qui risquait de tout entendre. Puis, nous entendions frapper à la porte. Marianne demanda.
— Tout va bien ?
Nina reprit ses esprits pour répondre.
— Oui, maman ! Tout va bien !
Elle remit ses vêtements. Sauf, que je ne les voyais pas lorsqu’ils étaient sur sa peau. Elle me proposa.
— Viens, allons ailleurs.
Je suivais Nina qui se dirigeait vers la sortie.
— Maman, nous allons nous promener près du lac.— D’accord, ne rentre pas tard.

Une fois dehors, nous avons traversé la rue. Cela me faisait une impression étrange de me balader avec mon amie toute nue dans la rue. Les gens passaient à côté d’elle sans se retourner. Cela était tellement étrange. Je demandai.
— Tu m’emmènes où ?— Tu verras !
Nous sommes entrées dans une forêt. Mais en voyant Joy se promener nue, je me sentais de nouveau excitée. Nina tournait la tête vers moi et se sentait gênée.
— Arrête de me regarder, enfin !— Excuse-moi. Mais je n’arrive pas à m’habituer.
Nous avons continué de marcher jusqu’à voir, derrière quelques arbres, un lac. C’était un endroit beau et tranquille.
— Je voulais te faire voir mon endroit secret.
Il n’y avait personne pour nous déranger. Loin de tout regard. C’était l’endroit idéal, pour caresser Nina sans risquer de se faire déranger. Étant incapable de me retenir davantage. Je me jetai de nouveau sur elle.
— Non ! Arrête ! Qu’est-ce que tu fais ?
Je lui expliquai que je ne pouvais pas attendre plus longtemps.
— Tu m’excites trop ! Je n’en peux plus !
Je recommençais à lui caresser la chatte. Je tentai également de lui voler un baiser. Nina recula de quelques pas.
— Non, pas ici ! On va nous voir !— Il n’y a personne. S’il te plaît, j’ai envie de toi !
Sa résistance était de plus en plus faible. Je retirai habilement mes habits, tout en continuant de caresser Nina. En peu de temps, nous étions allongées dans l’herbe. Elle répéta de plus en plus faiblement.
— Non... Non...
Nina ne mit pas longtemps à me résister. Je vis tous ses habits apparaître sur le sol. Bientôt, elle écarta ses cuisses et me laissa faire. À l’aide de mes doigts, je la caressai très habilement. En lui rentrant un doigt ou deux à l’intérieur. Nina se laissait aller. Elle gémissait sans se retenir. Puis, je m’occupai de ses seins, en les suçant et en jouant avec eux. Elle se courba et poussa des râlements de plaisir.
— Han... Oui...
Elle glissa sa main dans ma petite culotte pour me caresser en même temps. D’un geste, je réussis à faire sauter mon soutien-gorge. Je le retirai rapidement et le jetai un peu plus loin. Puis, je plaçai ma poitrine contre la sienne. Je me frottai tout contre elle et je la caressai dans le même temps. Je sentais ses tétons durcir. Mes seins enveloppaient les siens. La douceur de sa peau contre la mienne exaltait mes sens. Je sentais son souffle fort mélanger au mien. Sa respiration irrégulière calée sur la mienne. Nous ne faisions plus du tout attention à ce qui nous entourait. La seule chose qui comptait, c’était elle et moi. Puis, j’ai eu envie de changer de position. Je voulais encore plus de plaisir. Je m’assis et en une fraction de seconde, je me débarrassai de ma petite culotte qui était tout humide. Je la jetai un peu plus loin. Je me plaçais entre les cuisses de Nina. Mes cuisses autour d’elle. Ma chatte collée à la sienne. Comme deux paires de ciseaux emmêlées.
J’ai commencé à frotter mon sexe contre le sien. Pris d’une furieuse excitation, nous remuons nos bassins l’un contre l’autre. Je sentais sa chatte dégouliner sur la mienne. Le frottement de nos chattes, l’une contre l’autre. Nous ne pouvions plus retenir nos gémissements.
— Han... Han... Oh...
Nos fluides corporels se mélangèrent. Nos mouvements étaient en parfaite harmonie. En sentant l’extase arriver, nous avons fini par jouir ensemble. Puis, nous nous sommes écroulées dans l’herbe, d’épuisement. Nous sommes restées dans cette position. Je n’ai pas bougé.
Après un moment, il s’est passé quelque chose d’étrange. J’ai ressenti une sensation curieuse. C’était comme si mon esprit se déplaçait. J’avais l’impression de rêver. Tom, le frère de Nina, se trouvait dans sa chambre. Je pouvais le voir. C’était très déstabilisant. Je voyais parfaitement la scène, chaque détail, comme si je me trouvai juste à côté. Il se trouvait sur son lit. Il baissa son pantalon et son slip et sortait son sexe. C’était la première fois que j’apercevais le sexe d’un homme. Il me semblait de grande taille. Enfin, j’imagine, car c’était la première fois que j’en voyais un. Donc je n’avais aucun moyen pour comparer. Il commença à le tripoter avec sa main droite. Avec ses doigts, il tripota ses testicules. Puis, il passa ses doigts autour de sa bite et commença des mouvements en montant et descendant. Elle se mit à gonfler peu à peu, jusqu’à doubler de volume. Elle avait atteint une très grande taille. J’étais ensorcelée et fascinée.
Je n’arrivai pas à croire ce que je voyais. Cela était tellement surréaliste. Je pouvais voir toute la scène très distinctement. J’avais l’impression que je pouvais presque toucher cette grosse chose. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Est-ce que je rêvai ? C’était beaucoup trop réel pour un rêve. Tom serra sa bite dans la main droite et exécutait des mouvements rapides de haut en bas. Son souffle saccadé s’accéléra. Il accéléra le mouvement avec sa main. Je restai totalement subjuguée en le regardant. Je ne pouvais pas détacher les yeux de son engin monstrueux. La scène qui se déroulait devant moi m’intrigua. J’étais captivé. Il augmenta le mouvement de plus en plus. Soudainement, il ralentit. Un liquide blanc en sortit. Il gicla sur son ventre.
Une voix me transperça.
— Joy... Joy... Hé, ho !
Lorsque je retrouvai mes esprits. La vision trouble, je voyais Nina au-dessus de moi.
— Que se passe-t-il ?— Habille-toi ! Il faut rentrer.
Ma vue redevenait normale. Nina cherchait mes vêtements. Je m’habillai et nous avons pris le chemin de retour. Je restai confuse après ce qui m’était arrivé. Qu’était donc cette vision que j’avais eue ? C’était tellement réel. En marchant dans la rue, Nina toute nue à mes côtés. Je lui demandai.
— Tu es habillé là ?— Oui, bien sûr ! Qu’est-ce que tu crois ?— Excuse-moi, cela fait tellement bizarre. Je te vois te promener toute nue dans ta rue.
Intimidée, elle essaya de se cacher.
— Arrête ! C’est super gênant.
Nous sommes rentrées chez Nina. Tom était assis dans le salon, il jouait à un jeu vidéo. Je restai à côté, toute gênée. Nina était partie chercher un verre et elle vient rejoindre son frère. Elle proposa.
— On joue ensemble ?— Si vous voulez !
Je répondais.
— Je ne connais pas !
Nina proposa.
— Tu vas nous regarder. C’est très facile !
Nina prit une manette de jeu et s’installa juste à côté de Tom. Ils ont commencé à jouer à leur jeu. Il s’agissait d’un jeu de combat. La scène me mit dans un embarras. Je voyais Nina toute nue assise à côté de son frère. De plus, je ne pouvais pas m’arrêter de penser à la bite de son frère. La vision que j’avais eue m’avait beaucoup perturbée. J’étais incapable de penser à autre chose. Je fixai son entrejambe. Je me rappelai encore la dimension de son sexe, ainsi que la forme exacte. Après un moment, Nina me tendit sa manette de jeu.
— Allez, à ton tour !
J’ai commencé à jouer, mais j’étais incapable de me concentrer. J’ai perdu rapidement. Nina accusa Tom.
— Tu n’es pas gentil. Tu ne lui as laissé aucune chance !
Tom et Nina se chamaillaient. Ils semblaient avoir une grande complicité. J’observai le moindre de leurs gestes. Comme le moment où Tom toucha le ventre de Nina et le moment où les seins de Nina touchèrent son épaule. C’est un puissant sentiment qui m’envahit. Je me sentais comme agacé. Après avoir ri un moment, ils s’arrêtèrent. Nina me tendit la manette de jeu.
— Tiens ! À ton tour !
Je me levai, irritée par leur comportement.
— Non ! Je n’ai pas envie !
Je suis alors partie, dans la chambre de Nina. J’entendais Tom dire :
— Qu’est-ce qu’elle a ta copine ?
-Je ne sais pas. On fait une dernière partie ?
Je me suis allongée sur le lit. Aussitôt, j’ai eu une autre vision. Mon esprit est parti jusqu’à la chambre des parents de Nina. J’y voyais Marianne et John, dans la chambre. Le père de Nina tripotait les seins de sa femme. Marianne semblait réticente.
— Non ! On va nous entendre !— Mais non, ils sont à l’étage en dessous ! Ça ne craint rien !
Il glissa sa main sous la chemise et manipulait la poitrine de sa femme énergiquement. Peu de temps après, elle se laissa faire et elle se mit à gémir.
— Hum... Ha... Oui...
Je me demandai si la scène se passait en ce moment, réellement ou si je rêvai. Nina m’avait dit que ses parents se disputaient et risquaient de divorcer. Pourtant, ils n’avaient pas du tout l’air de se détester. C’était plutôt le contraire. John ouvrit la chemise de Marianne. Il baissa son soutien-gorge et il se mit à lui lécher le sein gauche. Je pus admirer son incroyable poitrine. Elle était si énorme que les mains de John semblaient toutes petites à côté. Il était difficile de savoir si ses seins étaient plus gros que les miens. Marianne glissa sa main dans le pantalon de John pour attraper son sexe. Je pouvais voir sa main s’activer sur la bite très habilement. John était satisfait.
— Oh oui, ma chérie. C’est bon !
Tandis que j’observai la scène. Je pouvais me déplacer dans la pièce et regarder sous tous les angles. Comme si j’étais juste à côté d’eux. J’avais l’impression de jouer la voyeuse. Est-ce que tout était vrai ? Est-ce que cela se passe réellement ? Je ne savais pas. Mais je profitai du spectacle que l’on m’offrait. Pendant que Marianne faisait « du bien » à John. Il souleva la jupe et glissa sa main dans la petite culotte de sa femme. Ils se tripotaient le sexe mutuellement. Bien que je ne puisse pas voir leur sexe. La scène était suffisamment excitante pour me chauffer.
Soudain, mon esprit revient brutalement. La vision avait disparu. C’était le chat qui venait de sauter sur le lit qui a interrompu la vision. Je le regardai surprise.
— Miaou !— Tu m’as fait peur, petit chenapan !
Je sortis de la chambre et m’approchai de l’escalier. Si la vision se produisait en ce moment même, ils devaient être encore dans la chambre. Je montai l’escalier et avançai dans le couloir. Il y avait quatre portes. Je tentai d’écouter aux portes. J’essayai de percevoir un bruit. J’espérai entendre les gémissements pour confirmer ma théorie. Lorsque soudain, je vis Victor sortir. Il était surpris de me voir.
— Qu’est-ce que tu fais ici ?
Je me mis à bredouiller quelques mots.
— Euh... Non... Je...
Il devenait entreprenant. Il posa sa main sur ma taille.
— Tu es venue chercher du réconfort ?
Je pris peur et pris la fuite.
— Non ! Désolée !
Je descendais les escaliers rapidement. Je croisai Nina.
— Ah ! Tu es là ! Je me demandais où tu étais.
Je me sentais perturbée par mes visions et aussi le fait de voir constamment Nina toute nue.
— Désolée pour tout à l’heure.— Je pensais que tu aimais les jeux vidéo ?— Si, j’aime bien. Mais je ne suis pas trop d’humeur, là !
Nous sommes retournées dans la chambre. Nina me racontait que les membres de sa famille avaient un comportement différent depuis que nous avions fait ce vœu. Elle réfléchissait aux conséquences. Ce vœu, était-il une bonne ou une mauvaise chose ?
Ensuite, nous avons diné en famille. John et Marianne étaient d’excellente humeur. Ils se tenaient la main comme un couple heureux. Tom n’arrêtait pas de regarder sa sœur. Je repensai à ce moment aux paroles de Nina. Pendant que nous mangions, le chat tournait autour d’elle.
— Cherry est très gourmand ! Tu vas voir !
Nina lui donna de la crème dans une cuillère. Le chat lécha la crème goulûment. Il semblait beaucoup apprécier. Sa mère désapprouva.
— Ne fais pas ça. Il va tomber malade !
Nina rit. Pendant ce temps, sous la table, je sentis quelque chose qui me chatouilla la jambe. Je jetai un coup d’œil, sous la nappe de table. Le pied de Victor m’effleura la jambe. Il me fit un clin d’œil. Puis, il monta son pied un peu plus et me caressa la jambe avec son pied. Je n’ai pas voulu faire de scandale. J’ai essayé de l’ignorer. Pendant que les autres débarrassaient la table, Victor s’est installé devant la télévision. Lorsque j’ai voulu m’installer pour regarder aussi. Il est venu s’approcher et a commencé à me caresser la cuisse doucement. Sa façon de m’aborder m’effrayait. Avant que cela n’aille plus loin, je me suis levé et j’ai annoncé.
— Je vais me coucher.
Je retournai dans la chambre et je me mis en sous-vêtement pour aller dormir. Je réfléchis à ma journée. C’était une journée de fou. Il s’est passé tellement de choses. J’ai vu les parents de Nina faire des cochonneries dans leur chambre. J’ai vu Tom se masturber dans sa chambre. Victor a essayé de me séduire. Pour finir, Nina qui me rend complètement folle. Elle arriva justement et m’aperçut allongée sur le matelas.
— Tu vas dormir ?
J’étais tournée dos à elle.
— Oui, je suis épuisée.
Elle n’a pas contesté. Elle s’est couchée dans son lit sans rien dire.
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