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L'histoire incroyable de Nina et Joy.

Chapitre 4

Mon chat m’a fait jouir !

Zoophilie
Journal de Nina, dimanche 18 mai 2042

Ce dimanche, en me réveillant, Joy n’était pas là. J’étais assez surprise qu’il ne se soit rien passé cette nuit. Ce n’est pas comme si j’espérais quelque chose. Mais je pensais qu’elle tenterait une nouvelle fois de me sauter dessus. Depuis combien de temps était-elle levée ? Cette histoire qui nous arrive est incroyable. Joy prétend me voir nue en permanence. J’avoue avoir eu du mal à la croire. Mais lorsque je l’ai vue pleurer et après avoir vu le comportement de tous les membres de ma famille, je sais que c’est vrai.
Je suis parti dans la salle de bain. J’ai retiré tous mes vêtements, les laissant sur le sol. Puis je suis entrée sous la douche. L’eau qui coulait sur ma peau était relaxante. Je repensais encore à toute cette histoire. Comment réagirais-je si j’étais à la place de Joy ? Si je pouvais voir son corps nu toute la journée. Ses magnifiques courbes, sa formidable poitrine volumineuse. Je crois que je deviendrais folle. Rien que de penser à son corps, j’éprouvais de l’excitation. Sous l’eau qui ruisselait sous ma peau, j’ai commencé à me caresser. Ma main passait sur mon ventre, puis sur ma chatte. Je passais les doigts sur ma fente et l’excitation est montée. Je repensais à toutes les choses que j’ai faites avec Joy. J’ai franchi des limites que je ne pensais pas être capable de franchir. Je me souviens encore de l’odeur de sa peau, le goût de sa chatte, la douceur de ses seins. Joy avait un puissant effet sur moi. J’avais honte de ce que j’avais fait avec elle.
Malgré tout, je la désirais très fort. Il me suffisait de penser à elle pour être dans un état d’excitation. J’effectuais des cercles sur ma chatte de plus en plus vite. Je ne sais pas si c’était le vœu que nous avions fait qui me mettait dans un état pareil. Je ne me reconnaissais plus. Je m’enflammais. Je décrochai la pomme de la douche pour la prendre dans mes mains. Je réglais le jet au maximum et collais la pomme de douche contre ma chatte. J’avais l’impression de planer. La sensation du jet sur ma chatte me procurait un plaisir intense. J’écartais mes cuisses et pliai mes jambes. Je sentis l’orgasme venir. Bientôt, mes jambes tremblaient. J’eus du mal à rester debout. Avant de parvenir jusqu’à l’extase, j’entendis un bruit juste à côté. Ce qui m’a fait brusquement arrêter. Y avait-il quelqu’un ?
Je demandai alors.
— C’est toi, Joy ?
Aucune réponse. Je reposais la pomme de douche et tendais l’oreille. Puisque je n’avais pas encore joui, je ressentis les effets me parcourir tout le corps. Quelle frustration d’avoir interrompu ma prestation ! Je sortis de la douche et tirai le rideau pour vérifier qu’il n’y avait personne d’autre dans la salle de bain. Je ne vis personne. C’était sans doute mon imagination. Je retournai dans la douche. Je ressentais des picotements dans ma chatte. J’ai donc dû me finir à la main, pour calmer mes ardeurs, sans parvenir à jouir correctement. Une fois la douche finie, je m’essuyai avec la serviette et ramassais les vêtements que j’avais mis sur le sol, pour les mettre dans le linge sale. Seulement, je ne retrouvais plus ma petite culotte. J’ai cherché partout. Impossible de remettre la main dessus. Je ne comprenais pas. Elle ne pouvait pas avoir disparu toute seule. Après avoir longtemps cherché, j’ai fini par abandonner. Parfois, on retrouve les choses sans chercher.
Je suis parti dans la cuisine. Joy n’était pas là. J’ai donné du lait au chat et je me suis servi un petit-déjeuner. Mes parents se comportaient de façon très étrange. Ils s’embrassaient et se caressaient. Alors qu’il y a tout juste deux jours, ils étaient prêts à s’entretuer. Autre chose, encore plus étrange. Mon oncle donna une claque sur les fesses de ma mère. Mes parents ont ri.
— Ah ! Ah ! Ah !
Puis ils sont partis en se tenant la main. Quelque chose ne tournait vraiment pas rond. En temps normal, mon père se serait mis très en colère. Mes parents ne se seraient jamais donnés en spectacle devant moi. Je commençais à m’inquiéter. Mes parents semblaient heureux comme je l’ai souhaité. Cependant, ils avaient un comportement inhabituel. Je ne les reconnaissais plus du tout. Je ne pensais pas que le vœu que j’avais fait bouleverserait ma vie à ce point. Je souhaitais en parler avec Joy. Je l’ai attendu dans la cuisine pendant une heure. Je pensais qu’elle viendrait pour prendre son déjeuner ou juste pour me dire bonjour. Elle n’est pas venue.
Je suis allée rejoindre ma chambre. J’y ai vu Joy assis par terre. Elle était perdue dans ses pensées.
— Je me demandais où tu étais.
Joy n’osait même plus me regarder. Je pensais que la situation avait peut-être fini par la mettre mal à l’aise. Je m’approchais pour essayer de la regarder en face. Mais elle détourna la tête sans dire un mot.
— Je sais que cette situation doit être bizarre pour toi. Je ne peux pas me mettre à ta place.
Elle n’arrivait pas à décrocher un mot.
— Nina... Je...
J’ai essayé de la regarder dans les yeux. J’attrapais sa tête pour la tourner vers moi et la forcer à croiser mon regard. Elle avait le regard triste. Elle semblait complètement perdue.
— Tu n’as pas besoin de fuir. Vœu ou pas, on reste amis. Quoi qu’il arrive, je te soutiens.
Elle baissa les yeux pour regarder plus bas. J’avais décidé de ne plus me cacher. J’étais gêné chaque fois qu’elle me regardait. Elle regardait toujours mes seins ou mes cuisses. Peu importe les vêtements que je portais, car Joy me voyait toujours nue. Sa façon de me regarder me le rappelait chaque fois. Je ne pouvais rien lui cacher. Je sais qu’un jour, je finirais par m’y habituer. Cette timidité dont elle faisait preuve me faisait de l’effet. Je me sentais attiré par elle.
— Joy. Regarde-moi !
Elle leva les yeux. Des étoiles brillaient dans son regard. En la regardant, mon cœur était chamboulé. J’avais l’impression de tomber amoureuse. C’était la première fois que j’éprouvais ce genre de sentiment. Peut-être que c’était à cause du vœu que j’avais formulé. La seule chose dont j’étais sûre, c’était que j’avais envie d’elle, tout de suite. Jusqu’à présent, c’était toujours elle qui faisait le premier pas. J’avoue que j’étais répugné lors de notre première nuit. Quand j’ai léché ses seins pour la première fois, j’ai ressenti un sentiment de dégoût. Cependant, j’ai peu à peu changé d’opinion, lorsque j’ai découvert le plaisir. Quand nous avons joui, toutes les deux ensemble, ce moment de bonheur que nous avons partagé. Mon sentiment de dégoût fut remplacé par mon envie d’elle. Je regardais ses lèvres briller, qui m’attiraient comme un aimant. Je devais l’embrasser. J’ai donc approché mes lèvres des siennes. Mais Joy a détourné la tête.
Elle se releva pour mettre un mètre de distance entre nous. Elle se décida à me répondre.
— Merci pour tes mots. Cela me touche.
J’étais frustré qu’elle ne m’avait pas laissé faire. Elle semblait chercher à me fuir. Alors que j’avais fait l’effort d’aller vers elle. Elle était pourtant si entreprenante, ces deux derniers jours. J’essayais de comprendre ce qu’il pouvait la pousser à agir ainsi. Sans doute voulait-elle remettre de l’ordre dans ses idées. J’ai donc parlé d’autre chose.
— Tu ne t’en rends sans doute pas compte, ma famille se comporte très différemment. Je sais que c’est égoïste de ma part. Car c’est moi qui avais souhaité qu’ils soient heureux en amour. Malgré tout, c’est très perturbant.
Elle me regarda avec ses yeux tristes.
— Pardon ! Je suis désolé !
Je ne comprenais pas, de quoi elle était désolée. J’imagine qu’elle voulait se faire pardonner d’avoir refusé mon baiser. Elle me tourna le dos à nouveau. Il y eut un très long moment de silence. J’avais très envie de la prendre dans mes bras et de l’embrasser. Je me retenais, car je ne voulais pas la brusquer. Ensuite, elle se décida à partir.
— Je vais rentrer !
Je l’ai regardée ranger ses affaires pour se préparer à partir. J’avais envie de la retenir et de lui dire que les moments passés avec elle étaient merveilleux. J’aurais aimé qu’elle sache combien elle compte pour moi. Je n’ai pas su lui dire. Avant de sortir, elle me dit.
— Tu diras en revoir à tes parents.
J’aurais pu l’accompagner jusque chez elle. J’avais peur aussi de la mettre mal à l’aise. C’est une immense frustration qui m’envahit. Je ne voulais pas que l’on se quitte ainsi.
Je me suis enfermé dans ma chambre et je me suis mise à pleurer sur mon lit. Je me noyais dans mes larmes. J’avais peur qu’elle soit fâchée et qu’elle ne veuille plus jamais me voir. J’ai passé une bonne partie de la journée à pleurer. Joy me manquait déjà. J’avais envie d’elle et de sa merveilleuse poitrine. Je voulais encore la caresser, respirer sa peau et son odeur. Je voulais encore goûter à sa chatte. Je voulais l’embrasser partout. C’était la première fois que je ressentais un tel manque. Pour pallier ce manque, j’ai glissé ma main dans ma petite culotte. Je me suis mise à me caresser. En pensant à elle, j’étais excité. Je suis caressé un long moment. Jamais, je n’étais excité à ce point. Ma main n’était pas suffisante pour me satisfaire. Soudainement, la porte de ma chambre s’est ouverte. J’ai retiré la main de ma petite culotte très rapidement. C’était Tom qui venait d’entrer sans se gêner. Je lui répondis en colère.
— Tu aurais pu frapper avant d’entrer !— Excuse-moi ! Est-ce que tu veux jouer avec moi ?
Je lui ai répondu, en colère.
— Non ! Sors et ferme la porte !
Il sortit de ma chambre, vexé. Je n’ai pas eu le courage de me caresser à nouveau. De peur d’être encore dérangé. Je me suis senti très frustré le reste de la journée. Car je ressentais un grand manque.
Le soir, je me trouvais dans le salon à caresser Patapouf. Il était sur mes cuisses et ronronnait. Tout le monde était parti dans leur chambre. Il m’était impossible de fermer l’œil. Je pensais constamment à Joy et je ressentais un manque permanent. Je ressentais aussi de l’excitation qui augmenta de plus en plus. Le chat me léchait les cuisses. Je le laissais faire. Curieusement, cela eut un effet relaxant. Guidé par mon excitation, j’ai écarté un peu ma petite culotte. J’espérais que Patapouf dirige sa langue, un peu plus haut. Ma chatte était bien humide. L’odeur avait sans doute attiré Patapouf. Il monta sa langue un peu plus pour lécher la sueur qui coulait en haut de mes cuisses. Je tournais la tête, en espérant qu’aucun membre de ma famille n’entre dans le salon. Puis j’ai écarté ma petite culotte un peu plus, afin que ma chatte soit bien visible. Patapouf continuait de lécher et rapprochait sa langue de ma chatte. Mon excitation m’envahit. J’avais mauvaise conscience.
Je me disais : je suis complètement folle ! Je ne devrais pas faire ça ! Alors que la langue toute râpeuse me procurait des sensations. Je ne pouvais pas l’arrêter, c’était agréable. J’ai levé ma jambe gauche pour que Patapouf ait plus facilement accès à mon entrejambe. J’avais une petite voix qui semblait me répéter : on va finir par te surprendre ! Arrête, c’est dégoutant ! Je ne pouvais pas arrêter. Sa langue me faisait beaucoup de bien. Tout d’un coup, Patapouf s’est arrêté de me lécher. J’avais une grosse déception, car j’étais bien excité à présent.
— Continue, s’il te plaît, Patapouf.
Il ne voulait pas. C’était d’autant plus frustrant qu’il m’avait bien excité. Malgré le côté immoral, j’étais prêt à tout, pour que Patapouf continue. Alors j’ai eu une idée complètement saugrenue. Je suis allée dans la cuisine avec mon chat. J’ai refermé la porte afin de ne pas être dérangé. J’ai sorti de la crème, car je savais qu’il adorait ça. Il tournait déjà autour de moi, impatient d’en manger. J’ai retiré ma petite culotte et je m’assis par terre. Je relevais ma robe. J’ai renversé de la crème sur ma chatte. Patapouf s’est jeté sur moi pour lécher la crème que j’avais versée. Je l’ai laissé faire. J’avais tellement honte de ce que je faisais. Je savais que c’était mal. La petite voix dans ma tête qui me répétait : tu es totalement folle de faire ça ! C’est répugnant ! J’ai fait taire la petite voix et je me suis laissé aller au plaisir. Patapouf léchait chaque repli de l’objet du désir, car il ne voulait rien laisser.
J’avais les cuisses écartées et je retenais ma robe sur le ventre. Je sentais sa langue râpeuse parcourir le moindre recoin. Chaque coup de langue fit monter mon excitation. Les sensations étaient absolument incroyables. La crème rentra dedans et Patapouf réussit à rentrer sa langue à l’intérieur pour tenter de récupérer la crème. Je finis par m’allonger sur le sol en gardant les genoux pliés. Je commençais à atteindre l’orgasme. Sa langue farfouillait partout. Patapouf était déterminé à récupérer toute la crème sans rien laisser. Au moment de jouir, Patapouf est partie. Il était surpris. J’étais seule sur le sol, j’ai joui un grand coup. Tout mon jus dégoulinait partout, mélangé avec de la crème. J’ai dû tout nettoyer avant d’aller me coucher. Je restais animé par la honte d’avoir joui grâce à mon chat.
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