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histoire intemporelle

Chapitre 2

2ème partie. nous.

Gay
L’homme retire lentement son vit toujours raide du séant du garçon. Une masse gluante s’en écoule dès que le sexe est à nouveau à l’air libre, luisant majestueusement.Le garçon sourit vers moi. La semence de l’homme coule hors de ses fesses. Son petit trou est devenu béant. Sa largeur me fait frémir peureusement. Et pourtant. Une longue coulure séminale sort de mon gland, que je ne peux éviter. La peur le dispute à l’envie…Le garçon fait un pas dans ma direction. Il s’arrête, se campe solidement sur ses pieds, jambes écartées, bras croisés, sexe dressé vers le mien. Je suis tétanisé de l’entendre dire :– Le spectacle t’a plu ? C’était à ton goût ? Viens ! C’est à ton tour maintenant. Je vais m’occuper de toi.Je reste figé.– Allons. Je sais que tu es là. Depuis le début. Tu n’es pas discret, tu sais ? Tes frères nous ont bien dit que n’aimes pas trop les filles, que c’est pour cela que tu restes à la ferme quand nous avons vu tant de jolis jouvenceaux au village. Si tu n’aimes pas les filles, c’est donc… Tu aimes les garçons, n’est-ce pas ? Ton phallus m’a l’air tout ce qu’il y a de plus appétissant. Mon maître le veut en lui. J’en ai très envie aussi. Mais on a toute la nuit pour cela. D’abord, tu vas prendre le mien en toi. Vu la taille de la tache au sol, tu le désires ardemment !Découvert ! Ils m’ont découvert. Depuis le début. Ils ont forniqué devant moi, exprès. Ils ont forniqué… Pour moi peut-être…Ils ont vu mon sexe. J’ai été fol de penser qu’il serait invisible entre les lattes. Ils l’ont vu couler. Ils ont vu la tache au sol. Je suis pris. La main dans le sac. Pourquoi résister ? Lentement je me redresse. Les deux hommes me regardent, sexe tendu, bras croisés, sourire aux lèvres. Si la verge du garçon est toujours raide, celle de l’homme, bien que gonflée, s’est ramollie. Elle n’en est que plus jolie.– Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi ! Je ne dirais rien !– Regarde ton sexe ! dit l’homme.– Quoi ? fais-je en le regardant.– Il dit tout ! ajoute le garçon.Comment le nier ?– Allez, rejoins-nous. Je ne te ferai pas de mal. Je vais même te faire beaucoup de bien. Tu as vu comme c’est bon ! Et laisse ta chemise en haut. C’est nu qu’on doit s’aimer !J’abdique. Toute velléité de résistance me quitte. Je regarde le garçon. Une brusque tension dans mon sexe. Il sourit. Il sait que je le désire de ton mon corps.Je retire lentement ma chemise, la jette sur le tas de mes vêtements. Nous sommes trois hommes nus. Trois hommes excités. Trois hommes prêts à tout donner au plaisir.Je les laisse me contempler. Les yeux du garçon brillent de désir. L’homme passe sa langue sur ses lèvres. Exactement le même geste de désir qu’il a eu pour celui qu’il vient d’aimer. Si cela pouvait être pareil pour moi !Lentement j’approche de l’échelle, je saisis le montant, je pivote en posant le pied sur la marche la plus haute. Et je leur présente mon postérieur. La partie de mon corps qui désire férocement leur sexe…Je bascule le bassin en arrière tout en attrapant le second montant de l’échelle. Je suspends mon geste. J’entends de légers grognements de satisfaction en-dessous de moi. Je n’ai plus peur. Je veux leur vit, leur chair, leur caresse.Je prends mon temps pour, cul cambré vers eux, descendre les marches une à une. Je sens leur regard sur mes fesses. Peut-être aussi regardent-ils mes bourses par l’arrière. Je sais que, moi, j’aime beaucoup cette vision-là, fesses, cuisses et couilles au milieu.Alors qu’il ne reste que trois marches à descendre, le garçon m’arrête, fait un pas vers moi, pose une main chaude sur une fesse.– Délicieux… Tout ce que j’aime… murmure-t-il.– Un peu famélique ! réplique l’homme qui ne bouge pas.– Non… Elles sont splendides ! Deux beaux galbes tout doux… Et qui n’ont jamais été pris, me trompe-je ? Tu es puceau ?
Pourquoi ? Pourquoi n’ai-je aucune honte à lui répondre franchement ?– Oui.Mon « oui » est clair, franc, net. Sans aucune ambiguïté. C’est maintenant que je vais perdre mon pucelage. Maintenant et avec ce garçon. J’en bouillonne d’envie.La main me masse le fessier doucement. La deuxième la rejoint et bientôt écarte mes fesses pour révéler mon petit trou.– Tout mignon… susurre le garçon. Un joli petit trou !Un doigt entre en contact, me faisant frémir de pied en cap. Un doigt qui fait pression, qui joue avec ma corolle.– Curieux… Il m’a l’air très souple ce petit anus… Dis-moi, tu ne te caresses pas avec un doigt enfoncé là-dedans, des fois ?– Humm…– Ah oui ? Un sacré petit cochon ! C’est un sacré cochon que voilà ! Tu te caresses combien ? Deux fois, trois fois par jour ? Avec un doigt enfoncé dans ton petit cul ? Avoue !– Cela m’arrive…– Souvent ?– Parfois. C’est selon.– Ce n’est pas une réponse, ça ! dit-il d’une voix plus forte, plus agressive.– Laisse-le ! Dis l’homme. Il est comme toi ! Il est comme moi. Cela ne nous regarde pas…– Si cela me regarde… Car je vais le pénétrer, ce petit trou…Je ne réponds rien. Comment lui dire que, oui, il m’arrive de m’astiquer plusieurs fois par jour quand la passion est trop forte ? Que parfois, pas très souvent, mon doigt me donne du plaisir complémentaire ? Je ne peux pas avouer cela !Même si le « comme toi » et le « comme moi » me rassure. Ne serais-je donc pas le seul à m’offrir ces petits plaisirs indignes ?– Peu importe. Ajoute le garçon. Tu as envie de mon sexe entre tes fesses, non ?– …– Réponds !– Oui ! Oui, j’en ai envie. J’en ai très envie !– Eh bien voilà ! Nous sommes d’accord ! J’ai très envie de tes petites fesses, et tu as très envie de mon brave phallus… Il y a juste un problème…– ???– Mon maître en a envie aussi. Lequel de vous deux vais-je satisfaire ?Je regarde l’homme. Il sourit. Il sourit comme quelqu’un qui sait que les propos échangés ne sont que badinerie sans importance, sans conséquence.Je ne sais pas quoi répondre. Je crève d’envie de le supplier de me prendre, moi. Mais je ne sais pas faire cela. Et puis, sentir ses mains pétrir mes fesses est trop délicieux. Je ne peux pas arrêter ce charme.Alors qu’une main continue à me caresser les fesses, l’autre vient soupeser mes bourses. Le garçon grogne doucement.– Bien pleines… Elles sont bien lourdes, emplies de bonne semence bien fraiche… Remarque, vu tout ce que tu as fait couler depuis le plancher, je le savais…La main passe entre mes cuisses qui s’écartent automatiquement et se saisit de la naissance de mon vit.Nouveau grognement.– Une belle tige comme je les aime… Tu as la peau douce mon beau ! Tu as de très belles petites fesses ! De belles couilles bien rondes, une belle tige… Humm, tu es vraiment à mon goût ! Descends donc que je te regarde de plus près !Je franchis en un rien de temps les dernières marches pour me retourner face aux deux invertis. Je remarque immédiatement que la verge de l’homme s’est redressée. Elle n’est pas encore droite, mais bien tendue vers l’avant quand même. Je suis fier de moi. Je l’excite !Le visage du garçon plonge sur mon bas-ventre. Aussitôt un magnifique sourire illumine son visage. Sa main s’avance ; sous mon sexe ; puis il la remonte devant lui. Je vois à mon tour un filet séminal qui s’en échappe. Un filet qu’il porte à ses lèvres, avant de se mettre à lécher ses doigts sans quitter mes yeux du regard.Je lis un profond contentement, un véritable plaisir. Qu’il exprime en grognant discrètement. Avant de l’énoncer clairement :– Un régal ! Ta sève est un régal ! J’adore ! J’adore les garçons comme toi qui mouillent comme des filles. Tu mouilles, garçon ! Tu mouilles comme un fou ! Cela n’a pas arrêté de couler pendant tout le temps que nous avons copulé ensemble. Et tu mouilles encore ! Que c’est mignon !Je souris timidement en prenant un petit air contrit. Il dit alors tout haut ce que j’étais en train de penser :– C’est pour cela que tu te branles tout le temps ! Tu as de merveilleuses couilles qui produisent en permanence de la bonne sève d’homme ! Soit tu l’éjectes, soit ça coule et tâche ton caleçon ! Tu n’as pas le choix ! Tu dois te branler !– Tu sais de quoi tu parles, jeune branleur, tu es pareil ! lui répond l’homme.– Et c’est pour cela que tu me baises ! réplique-t-il, provocateur.Je regarde l’homme, puis le garçon. Je commence à comprendre leur relation. Quand moi je me pignole, eux se sucent et s’enculent. Ils n’y peuvent rien. Il faut que ça sorte. Autant le faire à deux. C’est incommensurablement meilleur !Brusquement le garçon s’agenouille devant moi, attrape mes fesses, rapproche mon corps du sien, ouvre la bouche et avale mon sexe.Je crie. De surprise. Puis de bonheur. Sa langue qui parcourt mon sexe est un délice. Ses doigts qui s’enfoncent dans ma chair tendre sont une merveille. Je gémis. Il grogne. Il nettoie mon vit. Il l’assaille de toutes ses douceurs. Je crois défaillir…Heureusement l’homme passe dans mon dos et me retiens. Je sens son membre chaud effleurer ma peau. Et bientôt se caler entre mes fesses. Je veux hurler de bonheur !Il me susurre à l’oreille :– C’est bon, hein ! Il est très doué pour cela… Tous les hommes aiment se faire sucer le sexe, se le faire lécher… Et nous, nous aimons le faire à un bel homme… Il va t’apprendre. Tu vas le faire. Tu vas le lui faire. Tu vas adorer… Tu veux ?– Oh oui !C’est un cri du cœur, plutôt du corps, qui s’échappe de ma gorge. Le garçon ne cesse de grogner en pompant mon dard que je vois entrer et sortir d’entre ses lèvres.Par moments il est entièrement enfoncé dans sa bouche. Son nez appuie sur ma pilosité intime. Je ne vois même plus la racine de mon membre. Je veux m’abandonner…Et le garçon se recule d’un seul coup en éclatant de rire.– Ah quelle est bonne ! J’adore ces bites gluantes de désir ! J’adore ces garçons qui mouillent comme des filles ! Je t’adore, toi, mon beau puceau ! Allez danse ! Danse pour moi ! Montre-moi ton corps, ton petit cul, ta peau, toute ta peau !Hagard, je le regarde sans comprendre. L’homme s’écarte de mon dos. Je me sens brusquement seul, nu, sans défense. Et peu à peu je prends conscience : je suis nu, sans défense, excité comme jamais, face à deux hommes nus, plus puissants que moi, excités eux aussi. Excités par le désir qu’ils ont de moi. Car le phallus de l’homme a retrouvé toute sa vitalité, pointant comme les nôtres vers le ciel.Nu au milieu d’hommes nus. Excité au milieu d’hommes excités. J’ai envie de leur sexe. J’en ai envie en moi, entre mes fesses ; dans ma bouche aussi. Ce que le garçon vient de me faire a l’air aussi délicieux à faire qu’à recevoir. Il a si joliment grogné de bonheur !Alors mon sourire se met à rejoindre le leur. Un faible sourire d’abord. Qui ne cesse de s’élargir au fur et à mesure que le leur m’incite à me libérer pour être ce que je suis vraiment.Je lève les bras. Je tourne sur moi. J’imite le garçon.Ils applaudissent. Ils m’encouragent. Alors je me lâche. Complètement. Je me mets à danser devant eux comme jamais je n’ai dansé. Et eux en font autant. Et eux me montrent les mouvements. Et eux chaloupent du bassin. Et je remue le mien, encore plus exagérément, expressément.Nous sommes trois à nous tourner autour, bras au-dessus de la tête, quand une main ne vient pas toucher ma fesse ou mon vit. Des vits qui se heurtent. Accidentellement d’abord. Puis volontairement. Au point de faire à trois un combat d’épée qui nous fait rire à gorge déployée.L’homme est une immense surprise pour moi. Il s’amuse tout comme nous, aussi enfantin que nous. Qu’à notre âge l’on joue est normal. Au sien cela l’est moins. Mais il n’est pas le moins ludique des trois. C’est lui qui rit le plus fort. Même si c’est le contact avec le corps du garçon que je préfère. La grosseur du sexe de l’homme m’inquiète. Autant qu’elle m’attire.Leurs mains ont dû parcourir dix fois chaque parcelle de ma peau. Cent fois celle des fesses. Le souffle vient à nous manquer. Excès de rire. Excès de mouvements. Le garçon finit par me prendre dans ses bras, à m’enlacer, à s’emparer de mes petites fesses qui l’excitent tant.Nos deux membres écrasés contre nos ventres m’électrisent. Nous nous regardons. Il penche légèrement la tête, approche ses lèvres des miennes, les touche.Sans doute s’imagine-t-il que je suis puceau des lèvres aussi. Mais il ignore que j’ai plusieurs fois embrassé des filles. Et rarement chastement. Parce que j’en avais envie. Parce que je savais que c’était le seul moyen de ne pas être complètement au ban de la jeunesse du village. Pas de petite amie, certes. Mais un garçon qui embrasse les filles est un mâle quand même…Alors je prends l’initiative. C’est moi qui enfonce ma langue entre ses lèvres, trouvant immédiatement la sienne. Je lis la surprise dans ses yeux. Et je l’embrasse, farouchement, prenant possession de sa bouche.Du moins jusqu’à ce qu’il se décide à répondre. Le combat lingual démarre, sauvage, sans concession. Chacun de nous deux veut posséder la bouche de l’autre. Nous nous y donnons pleinement.Nous sommes d’autant plus motivés que l’homme s’est placé sur le côté et nous regarde nous emboucher, une main sur chacun de nos fessiers, à nous peloter délicieusement.Mes mains à moi vont à la rencontre de ses fesses à lui, alors qu’il s’accroche à mon cou. Le combat est intense. Et se termine dans un grand éclat de rire, sans vainqueur ni vaincu.Le garçon me claque les fesses. Il me fait même me pencher légèrement pour me fesser, sans force, mais copieusement. Il peut tout me faire, là, je lui offre tout.Il ne s’arrête que pour reprendre mon vit en bouche afin de le nettoyer. Quand il se redresse et reste statique devant moi, je comprends que mon tour est venu. Je m’agenouille. Je regarde ce membre aussi gluant que le mien. Un dard majestueux ! Elégant, élancé, gracile. Une merveille de la nature.Alors que j’ouvre la bouche pour l’avaler d’un coup, la voix de l’homme tonne dans mon dos.– Non ! Lèche-le d’abord. Et d’abord les couilles !Je relève la tête vers l’homme. Son regard franc, intéressé, me dit que je dois obéir. C’est tout à mon avantage.Alors oui, je penche la tête et avance ma langue sous les superbes petites bourses bien rondes. Et je lèche. Timidement d’abord. Puis de plus en plus franchement. Je me sens animal, tout à ma pulsion. Mais j’écoute. J’écoute et je vois les réactions du corps du garçon. J’écoute les sages paroles de l’homme qui me guident.Longtemps je lèche les bourses, puis la racine de la fine hampe. J’embouche, j’embrasse la tige en remontant lentement. Je lèche, férocement. C’est merveilleusement bon. Et le garçon gémit de tout son être. Et l’homme exprime sa satisfaction à guider mon initiation.Enfin il m’autorise à poser mes lèvres sur le bonbon rose qui coule en continu. J’adore la saveur de sa sève, tellement plus fine que la mienne ! Je déguste tout, le gland, la hampe, le nectar qui coule dans ma gorge. Je me rengorge de ce délice.C’est un véritable déchirement quand l’homme me dit de stopper ma becquée. Il doit m’attraper par les épaules pour me forcer à reculer. Le garçon est hagard. Je suis incapable de m’arrêter, tétant dans le vide. Et l’homme rayonne de joie. Il me dit toute sa satisfaction à me voir aimer cela. Il me dit que je suis des leurs. Que je suis un homme, un vrai.Le garçon écarte l’homme pour se jeter sur ma bouche et m’embrasser sauvagement. Je fais un pas en arrière sous l’assaut, bascule presque mais me heurte au corps de l’homme venu fort à propos me servir de pilier dorsal. Avec son pilier toujours aussi droit qui retrouve sa place contre mes fesses.La sensation est incroyable : ma bouche assaillie par une langue dévastatrice, deux dards écrasés entre nos ventres et le manche qui coulisse contre ma raie. Car instantanément j’ai commencé à me frotter dessus. Doucement au départ puis de manière plus franche.Grâce aux mouvements de mon corps le garçon voit bien ce que je suis en train de faire. Il rit et m’encourage entre deux assauts buccaux. Il me dit que c’est bon, qu’il adore aussi sentir un membre contre ses fesses, que c’est un bon début avant de le sentir bien profond dans ses fesses.S’il met un terme à ce baiser farouche, c’est pour me conduire devant la cheminée, près des seaux. Quand il se saisit de l’éponge, je comprends que mon tour d’être lavé est venu. Je fais comme eux, je lève les bras, j’attends, je me soumets à son caprice.La vision de mon sexe toujours tendu vers le ciel me réjouit. Mon corps est à l’unisson de ce que je ressens. Nu, je me sens pleinement libre en train de bander devant deux hommes en rut.Il me lave tranquillement, méthodiquement. Il commence à humer mes aisselles, grogne sans que je sache si c’est de plaisir ou de dégoût car je sens moi-même l’odeur de labeur qui s’en dégage. A la réflexion, il y revient quatre ou cinq fois, s’emplissant les narines de mon odeur de sudation, preuve qu’il aime cela. Curieux, moi je ne trouve pas cela agréable. Sauf que cela m’excite, parfois, au milieu d’une pignolade, quand je renifle dessous un bras.Il me lave devant, entièrement, soigneusement. Tous mes poils sont hérissés. Il faut dire que je me délecte de l’homme qui nous regarde silencieusement, avançant son bassin lascivement d’avant en arrière, mimant l’enculade qu’il a donnée au garçon.Le garçon qui s’abaisse pour me nettoyer le bout avec ses lèvres, avant de passer sa langue partout sur ma hampe et sur mes bourses. Je ne cherche plus à taire mes gémissements. Au contraire, ils sont pour lui un encouragement. Même pour l’homme, qui accentue ses balancements.Je suis au bord de l’explosion. Il le sait. Il le sent. Il le goûte. Alors il stoppe sa douceur, me ramenant à ma nudité soumise qui doit être entièrement lavée.L’éponge passe sur mon sexe, entre mes cuisses que j’écarte en grand. Je coule en continu. Peu lui importe maintenant. Il me lave sérieusement.C’est par une claque sonore sur une fesse qu’il me fait me retourner. L’eau coule de l’éponge sur mes épaules, dans mon dos. Je sens une coulée descendre directement vers mon sillon, s’engouffrer entre mes fesses, s’arrêter sur mon petit trou, comme s’il l’avait happé. Je me penche en avant. Je recule mon fessier. J’écarte grand les cuisses. Il peut tout me faire.« Pas encore… » susurre-t-il à mon oreille. « Dommage ! » réponds-je d’une voix trop forte, marquée par la formidable impatience qui est la mienne.Il lave mon dos, puis mes jambes, alors que je ne cesse de remuer mon fessier en tous sens. Un fessier que caresse l’homme entre deux passage d’éponge. J’aime cela, leur offrir mon corps nu.Enfin il ne reste plus que mes fesses à laver. A nouveau une claque sonore. Puis une seconde, plus forte. Une petite fessée. J’imagine mes fesses rougir. Peu m’importe, je ne cesse de les approcher de sa main, d’aller la chercher en reculant mon bassin, comme pour lui dire qu’il peut tout s’autoriser.L’éponge se décide à passer entre mes fesses, insistant sur mon petit trou. Je gémis de plus belle. Je suis complètement penché, cul en arrière, soumis, offert. Il me lave, très consciencieusement. De l’extérieur d’abord. Et puis, enfin, le doigt qui déclenche un petit cri aigu qui sort de ma gorge s’insinue en moi. C’est merveilleux. D’autant plus qu’il commente :– Humm, bien souple ! Tout ce qu’il faut !Ils rient. Ils savent ce que faisait mon doigt, mes doigts, tandis que je les observais. Ils rient mais ne se moquent pas. Ils rient et se félicitent de mon impudicité. Ils rient, et moi aussi.Pourquoi ? Pourquoi son doigt lance-t-il bien plus de flamme dans mon ventre que le mien, il y a peu ? Est-il plus gros ? Non, je vérifie. Est-il plus long, maintenant qu’il est entièrement enfoncé, à chercher à avancer encore plus loin ? Non, pas plus. Alors ?Je regarde l’homme, son visage étincelant. Et je comprends. Un doigt est un doigt. Mais en laisser un autre que le sien me faire ce que je me faisais est bien plus excitant. Me montrer tel que je suis, adepte de ce plaisir indigne, est un régal. Me laisser-faire sans plus aucune défense, prêt à tout recevoir de leur part, leur montrant fièrement combien j’aime cela ! Être à leur merci…Tandis que le garçon assouplit mon anus, je vois l’homme se laver consciencieusement le sexe tout en me regardant avec son petit air amusé. Son membre est raide comme au moment où il a pénétré mon garçon laveur. Je m’imagine que c’est ce phallus qui farfouille en moi, et non le doigt étroit ; quand bien même l’idée de recevoir un pareil morceau en moi me fait frémir d’inquiétude.L’ample mouvement circulaire du doigt dans mon conduit provoque des étincelles dans tout mon corps. Jamais je n’avais osé insister autant en moi. Je réalise la limite de mes plaisirs solitaires ; seule l’offrande de son corps à un ami permet de les dépasser. Et là, assurément, je veux dépasser, et de loin, tout ce que j’ai connu !Le second doigt s’introduit sans aucune difficulté. J’ai vu la largeur de l’anus du garçon après la sodomie, sa béance. J’en ai ressenti une once de peur ; vite laminée par l’envie qu’il me fasse la même chose.J’imagine que mon conduit intérieur est bien large mais que l’entrée reste étroite. C’est donc fantastique qu’il tente de l’élargir pareillement. Je suis prêt. Je le veux. D’autant plus qu’il ne cesse de l’humecter avec de la salive. Je sens que je coule. Mais ce n’est pas sa salive que je veux sentir couler, c’est sa semence ! Et ce n’est pas son doigt que je veux, mais son bel éperon tout fin !Quand le garçon me fait pivoter d’un quart de tour, j’ignore ce qu’il me prépare. L’homme se met face à moi. Il pose ses deux mains sur ma nuque. Là, je saisis. Et c’est instinctivement que je me penche pour avaler son gros gland tout lisse.Je le suce avec une joie extrême, comme si j’avais fait cela de toute éternité. Je grogne de bonheur à déguster ce membre si doux et savoureux qui empli ma bouche.Et tout à coup je pousse un cri suraigu. Une incroyable sensation. Un plaisir comme je n’en ai jamais ressenti. Je veux tourner la tête pour voir ce que me fait le garçon mais l’homme a saisi mon visage et m’en empêche.Est-ce cela la sodomie ? Cette sensation époustouflante ? Le gros sexe en bouche, je gémis tant que je peux pour signifier qu’il peut continuer, qu’il peut me faire tout ce qui lui passe par la tête tant la sensation est exquise. Par la tête, et surtout par la queue.Enfin ! Enfin, je…Je ne comprends plus bien. Je sens un nez se caler entre mes fesses, au-dessus de mon trou que je devine être grand ouvert. Un nez… Ce n’est donc pas un sexe qui est entré en moi ! Je ne cache rien de ma surprise à l’homme qui scrute mon regard. Et qui éclate de rire. Je réalise alors que c’est une langue qui s’est enfoncée en moi. Une langue dure, ferme… Une langue enroulée. Une langue tendue. Tendue vers le tréfonds de mon fessier.Comme pour me donner confirmation, le garçon retire sa langue et se met à me lécher sauvagement la raie de haut en bas, de bas en haut, tournant autour de ma corolle béante. Mes gémissements s’accroissent. C’est encore meilleur autour de mon anus que dedans ! Je me fais lécher le trou du cul ! Comment est-ce possible ? Comment peut-on faire une telle chose ? Une chose si… divine ! Jamais je n’aurais imaginé que ce puisse être aussi bon ! Ce n’est plus ma volonté, c’est tout mon être qui ouvre encore plus le compas de mes cuisses pour favoriser la pénétration. Et qui enfonce davantage encore le membre dans ma bouche. L’avaler tout entier ! Comment le garçon a-t-il fait ? Je n’y arrive pas !Il est aux trois-quarts dans ma bouche. J’ai un haut le cœur quand le gland touche mon gosier. L’homme se recule légèrement, faisant ressortir le membre tandis que le visage du garçon, incrusté dans mes fesses, déchaine bestialement sa langue en moi.– Pas tout, tout de suite, mon garçon ! dit l’homme. Nous allons t’apprendre. Petit à petit. Tu te montres déjà très doué ! Tu aimes cela ! Tu es fait pour cela ! Pour ces plaisirs-là ! Les yeux rivés dans les siens je grogne sourdement comme pour confirmer.– Nous en avons connu des plus timorés que toi ! Des garçons qui veulent, et qui ne veulent pas. Il faut choisir dans la vie ! Il faut décider ! Tu as choisi… Tu es un bon garçon… un bel inverti… joli comme tout… bien fait… Très bien fait ! Et chaud… Très chaud… Il va te pénétrer, tu sais ?Je grogne pour lui signifier que j’ai parfaitement compris ce que le garçon va me faire.– Te pénétrer, tu le veux ? Tu le veux vraiment ?Je grogne plus fort encore pour marquer ma totale acceptation à ce que le garçon s’apprête à me faire. J’ai envie de hurler « mais pourquoi n’est-il pas encore en moi ? » mais ma bouche est bien trop occupée avec cette virilité si douce et si ferme à la fois.Et le garçon qui continue de déchainer sa langue dans et sur mon anus !– Oui tu le veux… Je vois que tu le veux… Tout ton corps le veut… Tu es fait pour cela ! Être pénétré ! Tu vas adorer ! Tu ne va plus pouvoir t’en passer ! Tu vas tellement adorer que ce soir nous allons remettre cela… Il va te pénétrer une seconde fois… te préparer… jouer avec ton joli petit cul… avant de me le laisser… Car le jour ne se lèvera pas avant que mon bon garçon qui te fait tant de bien, et moi, nous écartions tes fesses avec notre sexe, nous butinions ton petit cul, nous déchainions mille feux dans ton joli corps de sodomite…A nouveau je grogne de joie et de reconnaissance à l’idée de ce programme qui m’enthousiasme totalement. Ils peuvent venir une fois, deux fois, dix fois, je suis prêt !– Et tous les deux vous viendrez jouer avec mes fesses à moi, en bons garçons que vous êtes ! Tu crois que tu es le seul au monde à désirer te faire besogner le fessier ? Que nenni mon beau ! Nous en avons autant envie que toi ! Tu vas venir en moi ! Tu vas venir en lui ! Je serai derrière toi, peut-être en toi… Je te guiderai… Je te montrerai… comment lui donner tout ce plaisir que tu vas maintenant recevoir !Je lâche enfin son sexe pour lui hurler au visage :– Oui ! Oui ! Tout ce que vous voulez ! Il rit. A gorge déployée. Il s’abaisse vers moi, saisit mon visage, m’embrasse sauvagement.Je comprends tout à coup pourquoi… Pourquoi ces deux-là ne se sont pas moqués de moi, pourquoi ils ne m’ont pas ridiculisé quand j’étais à moitié nu en train de me pignoler, pourquoi ils ont accepté mon impudicité intime : nous sommes pareils ! Nous sommes pareils eux et moi ! Nous ressentons la même chose ! Nous frémissons pareillement devant des fesses d’homme, un sexe d’homme, des bourses d’homme, qu’elles pendent ou qu’elles soient remontées, un torse d’homme, des muscles d’homme, des poils de mâles !Je suis un mâle qui aime les mâles ! Je suis, maintenant, enfin nu, entre deux mâles ! Des mâles en rut ! Tous les trois en rut ! Sexe tendu vers des fesses musclées ! Fesses ouvertes qui dansent et s’agitent devant des sexes bandés ! Prêts ! Toujours prêts à se faire pénétrer !Je suis moi aussi fin prêt pour me faire pénétrer !L’homme rit contre mes lèvres. Ses bras tendus derrière moi tentent de faire reculer le garçon qui continue bestialement à me lécher le fessier. Je ressens tout ce qu’il ressent. Je sais qu’il n’a pas la force de cesser sa dégustation anale. Comme je n’avais pas la force de cesser ma dégustation phallique ! Je lui ferai cela aussi. Je lui lécherai les fesses. Je lui lècherai l’anus. Je ferai pénétrer ma langue en lui. Je serai moi aussi fou de plaisir ! Nous monterons ensemble au sommet de l’Olympe quand je sucerai son sexe, quand je lècherai ses fesses, quand je le pénétrerai, quand j’agiterai mon sexe en lui ! Promis ! Ce que tu m’as fait de si divin, je te le rendrai !L’homme doit finalement saisir le garçon par les hanches pour l’éloigner de mon fessier. Mes yeux étincellent en voyant sa langue qui continue à entrer et sortir frénétiquement de sa bouche, incapable de s’arrêter.Il faut que l’homme l’embouche dans un puissant baiser pour qu’il réalise à nouveau où il est.Et brusquement il repousse l’homme et se jette sur moi, m’embrassant tout en me faisant reculer contre la table. Il attrape mes fesses à deux mains pour les écarter, puis pour les claquer alors que nos deux sexes dégoulinant de désir sont à nouveau enfermés entre nos ventres.– Je vais entrer en toi ! me dit-il dans un souffle.– Oui ! Viens ! Fais-moi ce que tu veux !– Tout ce que je veux ?Je ne réponds pas. Je le repousse. Je lui tourne le dos. Je pose mes mains contre la table. Je m’abaisse. Je recule mon bassin. J’écarte grand les cuisses, trouve une position stable.Ils ont gagné. C’est moi qui maintenant les supplie de me prendre, de me posséder, de pénétrer mon cul. Ils ont gagné. Et moi aussi. Enfin.L’homme vient se placer sur ma droite, le regard rayonnant, le sexe moite et vibrant.Le garçon se place derrière moi. Sa main vient caresser ma joue, descend sur mon épaule, passe sur une omoplate, suit la ligne de ma colonne vertébrale pour se diriger lentement vers mon petit trou en feu.Instinctivement j’écarte encore les fesses et remue du bassin.Le doigt s’enfonce dans mon sillon fessier, se pose sur ma corolle en déclenchant un gémissement sourd dans ma gorge, s’enfonce dedans en tirant sur les chairs intérieures.Je m’affale davantage sur la table en reculant encore mon fessier.Ma souplesse doit le satisfaire car il retire vite son doigt. Et déclenche une fessée sévère qui, pour la première fois, me fait crier « oui ! Encore ! », alors qu’enfant je suppliais toujours un « non ! Arrête ! ».L’homme s’agenouille devant le garçon qui aussitôt enfonce son sexe dans sa bouche. Je le vois sucer, mais pas comme avant. Pas pour donner du plaisir. Non. Pour recouvrir le membre d’une grande quantité de salive. Lubrifier le sexe. Alors que le garçon, lui, crache sur ses doigts pour aussitôt aller enduire mon anus.L’homme se relève. Ça y est. Mon heure est venue. Je le sais. Je le veux.Il se remet sur ma droite, pose une main sous mon ventre, le caresse, évite mon sexe raide, masse mes bourses.Et d’un coup mes fesses se déchirent. Je crie. La douleur est intense. Un élancement atroce. Le sexe du garçon est en moi. Je cherche de l’air. Je vais mourir asphyxié, pénétré.Je tourne la tête vers l’homme, comme pour chercher du secours. Son calme est impressionnant. Sa main qui caresse mon ventre est délicieuse. Il cligne des yeux, lentement, comme pour approuver. Il dit :– Ça va aller. Il n’y a que le gland qui est entré. Il a forcé ton joli petit cul. Tu es un joli garçon bien serré. Le plus dur est fait. Il est passé. Le passage est forcé. Tu vas voir. Ton cul va s’habituer. Le reste n’est que plaisir…Et effectivement, peu à peu, la douleur s’estompe. La chaleur du membre en moi m’irradie de délicieuses sensations qui chassent le mal. Pour attirer en moi le mâle.Empalé par le fin membre du garçon, inquiet à l’idée que je pourrais recevoir celui de l’homme, je commence à remuer du cul. Au tout début pour chasser la douleur, cherchant désespérément un angle impossible. Puis, progressivement, parce que je le veux plus profondément en moi…Le garçon me caresse tendrement les flancs. Douleur et douceur me font gémir. Puis il se penche sur mon dos. Il embrasse mon cou. Il mordille le lobe d’une oreille. Je grogne. Uniquement de plaisir.Mon sexe qui s’était légèrement amolli sous le joug douloureux reprend toute sa vigueur. J’écarte et referme mes cuisses. J’avance et recule mon fondement. Je ne retiens que la caresse de l’homme sous moi, celle du garçon sur moi qui me lèche le cou tout en pinçant mes tétons. Cette torture sur mes tétons est merveilleuse !Jusqu’à ce que je tourne le visage vers lui. Nous nous embrassons. Tendrement, puissamment. Mon corps est à nouveau en feu. De mon sexe s’écoule à nouveau un filet séminal que l’homme rattrape du bout des doigts pour le porter à nos lèvres.Le garçon et moi le partageons avidement. Celui-là et le suivant. Et encore. Je mouille à nouveau comme une fille…Nous nous en réjouissons tous les trois, différemment, mais dans une même félicité.Et au moment où je pense que je suis une fille qui mouille, le garçon me dit, le visage réjoui :– Tu es un homme maintenant. Un vrai !Je ne comprends pas ce qu’il me dit. Je l’interroge du regard. Qu’est-ce que cela signifie ?Et brusquement je réalise que ce sont ses poils pubiens que je sens contre mes fesses.– Tu… Tu es…– Entièrement en toi ! Toute ma queue est en toi, dans ton joli petit cul… Tu n’es plus puceau ! Tu es un homme ! Un vrai !Jamais au cours de ma vie une information ne m’avait autant fait plaisir. Ça y est, j’ai accueilli un sexe d’homme entre mes fesses ! Enfin ! Ce dont je rêvais secrètement sans oser me le dire s’est réalisé ! Ce ne sont plus mes doigts qui me donnent du plaisir anal, c’est le sexe de ce beau garçon ! Un sexe que j’ai caressé, que j’ai mis dans ma bouche et qui est maintenant bien planté dans mon cul ! Un sexe qui se recule légèrement avant de revenir tout au fond de moi. Je ne ressens plus de douleur, je ne ressens qu’une vague de chaleur.Je regarde l’homme. Il est tout ému. Il penche ses lèvres vers les nôtres. Il lèche nos lèvres. Nous répondons. Nous tentons un triple baiser. C’est délicieux. D’autant que les allers et retours du sexe en moi s’allongent et s’accélèrent.Et l’homme me dit, d’une voix rauque :– Oui, tu es vraiment un inverti, toi ! Un vrai, un absolu ! Ce n’est pas mon garçon qui s’est enfoncé en toi, ce sont tes fesses qui ont attiré son sexe entre elles ! Je n’ai jamais vu cela lors d’une première fois ! Et pourtant j’en ai vu des premières fois ! Oh tu en avais vraiment besoin ! Tu es fait pour cela ! Tu es fait pour le plaisir sodomite ! Et alors que le sexe du garçon va et vient jouissivement en moi, alors que l’homme me présente ses fesses à lécher puis son sexe à sucer, alors qu’un filet continu de semence s’écoule sous moi, je me dis que ça y est, je suis un sodomite ! Je suis né pour cela. Je suis né comme cela. Je suis un sodomite, un homme qui n’aime que les hommes ! Un sodomite qui n’aura de cesse maintenant que de trouver d’autres sodomites. Pour donner et recevoir. Pour partager des plaisirs sodomites. Entre sodomites.Mon Dieu que c’est bon !
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