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Histoire de jumeaux

Chapitre 1

Le site clandestin

Inceste
Simon se réveille à l’appel de sa sœur jumelle, Océane, pour se préparer à la rentrée en Faculté. Espiègle, elle lui jette un t-shirt sale avant qu’il voie sa crinière blonde fuir dans l’antichambre de leur pièce où se situe leur penderie.
Rêveur, il l’aperçoit dans l’entrebâillement de la porte en sous-vêtement devant ses robes d’été. Finalement, il passe devant son armoire pour prendre des sous-vêtements avant de se diriger aussi vers la penderie. Il choisit parmi un ensemble uniforme de chemises laquelle est la plus banale. Arrivant dans la cuisine, ils voient leurs mères déjà au fourneau comme la femme au foyer qu’elle était depuis son mariage et leur naissance.
Leur père était lui absent de longues périodes, occupé aux quatre coins du monde à prodiguer des conseils en marketing ou gestion d’entreprise. Si l’argent n’est pas un problème, il n’achète pas pour autant le temps d’absence de leur père qui est d’autant plus rigide et éducateur quand il est présent.

Après plusieurs minutes de marche pour accéder au TER puis au métro, ils sont arrivés comme des centaines d’autres jeunes devant l’Université. Simon reste avec Océane qui cherche sa main pour ne pas se perdre dans ce raz-de-marée d’étudiants. Ils cherchent alors comme tant d’autres débutants en étude supérieure la salle de présentation où ils doivent se rendre. Malheureusement, même s’ils avaient choisi des études similaires, ils ne sont pas dans le même amphithéâtre. Il la quitte, légèrement attristé, ils ne s’étaient jamais quittés depuis la maternelle, mais il relativise, ce n’est l’histoire que de quelques heures.
Il prend la direction comme une centaine d’autres vers l’amphithéâtre. Il s’assoit au centre, attendant que l’agitation ambiante retombe et que le vieux professeur prenne la parole. Son laïus rodé depuis des années insiste sur l’effort et l’endurance nécessaire pour finir des études, mais là, si majorité est attentive, un petit groupe s’agite silencieusement autour de leur téléphone.
— ... quand vous aurez vos cartes étudiantes ... vous inscrire ... évitez les fuites ... ...”

Simon suit d’une oreille cette discussion clandestine, avant de voir un pli transiter entre les différentes parties et atterrir dans la poubelle. La curiosité est le pire défaut de l’étudiant en herbe. Il reprend des notes avant la fin de la présentation.

Midi, le professeur relâche les étudiants agités, Simon ne se presse pas pour partir. Cherchant un mouchoir, il sort de la file pour plonger sa main entre les papiers gras et les emballages pour échanger son mouchoir contre un papier froissé entre les déchets. Il n’a pas le temps de revenir dans le flot qu’il est déjà harponné par un groupe de joyeux lurons. Ils partagent le repas, l’ambiance est si légère qu’il ne voit pas le temps passer et oublier l’espace d’un repas sa sœur jumelle.

Avant de recevoir son emploi du temps et ses certificats de scolarité, il décide de passer aux sanitaires pour voir cette mystérieuse missive.

Griffonnée sur une marge, une adresse IP se trouve là sans explication. Il se rend sur son téléphone pour l’enregistrer et la copier dans un moteur de recherche. Il tombe sur un site internet austère. Avant même d’être dessus, on demande un nom et un numéro d’inscription à dix chiffres.Après une minute pour se rappeler de ce que le redoublant leur avait demandé, il conclut qu’il faut un numéro de carte étudiante, ce serait cohérent pour un site qu’il aurait trouvé à l’entrée de l’Université. Il jette le papier au fond des toilettes avant de sortir pour rejoindre son amphithéâtre.

Il avait un nouvel objectif : récupérer des numéros d’identités étudiantes.

Il rentre dans l’amphithéâtre pour trouver un groupe d’étudiants joviaux, dans un bruit de fond des professeurs font l’appel pour remettre les documents de présence et les certificats de scolarité. Dans l’attente, beaucoup sont sur leurs téléphones et personne ne soupçonne un comportement pareil. Patiemment, il attend que celui devant lui obtienne ses fameux papiers. Lui aussi sur son téléphone, il traque avec l’appareil photo au-dessus de son épaule pour lui voler ces précieuses informations.
Le reste de la journée, des professeurs vont et viennent avant que l’administration ne les relâche. Simon quitte la faculté, à la recherche de sa sœur qui doit finir d’un instant à l’autre. Il trouve noyée dans la masse, cette robe bleue qu’il avait repérée ce matin. Elle le retrouve, le visage rayonnant, le trajet du retour est l’occasion d’échanger sur cette première journée. Elle a trouvé des copines qui partagent les mêmes intérêts pour les études et la gymnastique.

Au retour à leur appartement familial. Océane propose alors une dernière sortie à la piscine qu’il ne refuse pas tant qu’il fait beau temps. C’est toujours un plaisir de voir son corps de gymnaste dans son maillot de bain et personne n’a jamais dit le contraire.
Alors qu’ils préparent leurs sacs, quelqu’un sonne. Simon part ouvrir. C’est leur tante qui passait voir la famille. Anémone est leur tante paternelle, originaire de Bretagne, elle n’avait personne dans sa vie et restait ainsi, beaucoup de temps avec eux et leur mère. Assistante dans une clinique de banlieue, elle n’a jamais eu beaucoup de temps pour elle-même ni pour les autres, elle était trop timide pour s’engager dans une relation. Et même si physiquement, si elle avait quelques kilos à perdre, son visage ovale et ses atouts cachaient parfaitement cette petite imperfection. En l’absence temporaire de leurs parents, ils ne voulaient pas la laisser seule. Océane est la première à lui proposer de venir, elle avait le nécessaire pour elle, et maintenant qu’elle est là, le plus gros du trajet était fait. Anémone n’était pas à l’aise, Simon insiste un peu, toutes les occasions sont bonnes pour la faire sortir de sa routine : métro, boulot, dodo.
Il voit sa sœur la guider pour choisir un ensemble de maillots dans la penderie alors qu’il attend dans le hall.

La piscine municipale n’accueille que des habitués, les installations sont vieillissantes et le quartier n’est pas le plus tranquille. Mais personne ne vient perturber la tranquillité des lieux. Heureux propriétaire de leur carte étudiante, l’accès au bassin est gratuit pour eux, même l’intérimaire à l’accueil demande si c’est leurs sœurs, tellement la différence d’âge n’est pas marquée, une dizaine d’années tout au plus en apparence.
Les vestiaires sont assez vétustes, quelques cabines sont cassées et les sanitaires ferment mal. Mais personne ne s’en plaint tellement le prix du ticket est dérisoire. Ils s’enferment dans leurs cabines, Simon voit l’ombre de la robe glissée par terre et sa petite culotte la suivre. Il a toujours apprécié la lingerie et sa diversité, c’est la première fois qu’il est dans cette situation, il évacue cette pensée qui n’a rien à faire dans une piscine municipale. Il retira son pantalon pour se trouver en maillot de bain avant de retirer son polo. Sa sœur attend dans le couloir des douches dans un ensemble blanc. Il l’avait déjà vue dans ce deux-pièces. À l’époque, il couvrait bien sa poitrine et épousait son fessier. Aujourd’hui, ses seins étouffent dans un soutien-gorge distendu et sa culotte n’arrive plus à contenir ses fesses et moule ses formes à outrance.
— Il est pas mal ton maillot de bain, mais tu n’avais pas plus petit ?”.
Simon fait remarquer dans un petit pic les problèmes de pudeurs de sa sœur. Elle l’accueille d’un petit sourire espiègle, qu’elle prend comme un compliment. Elle toque à la porte de leur tante. Timidement, elle sort dans un maillot deux pièces noir et or qui ne cache pas grand-chose de sa féminité. Les jumeaux l’accueillent avec moult compliments pour cacher un certain malaise. Les deux-pièces de tissus ne cachent rien de ses larges seins tombants, et sa culotte ne cachait pas beaucoup son postérieur. Mais surtout, ils voient discrètement entre ses cuisses une petite fourrure châtain clair naître autour de son maillot. Océane s’attendait à ça, mais pas à ce point. Simon s’avance dans le bassin principal qui n’accueille même pas cinq personnes, c’est surtout des jeunes mères et leurs enfants qui jouent autour du bassin.
Sur leur passage, les quelques yeux qui ne sont pas sous l’eau se tournent sur les deux sirènes. Océane sourit, elle avait l’habitude. Mais c’est surtout Anémone qui concentre les regards avec sa poitrine qui absorbe chacun de ses pas. Simon est un spectateur, ce défilé avant de plonger dans le bassin pour faire des longueurs. Océane accompagne sa tante au bord du bassin, craignant qu’elle ne fasse défection.
Après plusieurs centaines de mètres, il retourne auprès de ses compagnes de baignade. Océane discute de travail au pied de leur tante. Au détour d’une poursuite, un enfant pousse Anémone du rebord des plongeoirs. Elle se réceptionne dans le bassin avant de se hisser trempée pour reprendre ses esprits. Océane essaie de la retenir de sortir de l’eau. Anémone ne s’aperçoit pas que son soutien-gorge plonge au fond du bassin, laissant sa poitrine respirer aux yeux des nageurs, enfants et maître-nageur. Simon accompagne la descente de sa tante alors que sa sœur coule pour récupérer son précieux cache-tétons. Sous sa main glisse une peau laiteuse qui ne voit jamais le soleil. Elle se retourne pour comprimer sa poitrine face au plongeoir, morte de honte. Simon lui aussi se trouve honteux de voir son maillot gonfler après cette interaction. Océane remonte enfin avec le sous-vêtement tant désiré. Anémone l’enfile rapidement avant de sortir, sifflant la fin de la baignade et de son humiliation.
Elle se presse vers les douches en rajustant sa culotte qui avait subi la chute de sa propriétaire. Les jumeaux la suivent. Chaque pas pressé se ressent dans l’agitation frénétique de sa poitrine. Sous la douche, Simon se sépare des femmes pour masquer son érection naissante. Il avait déjà vu des femmes rues, alors pourquoi sa tarte lui fait autant d’effets ? Il est le premier à rentrer dans les vestiaires. Il récupère les deux sacs pour chercher une serviette et ses affaires propres. Sans curiosité, il tombe sur les culottes de sa tante et sa jumelle qui réveille encore des idées malsaines. Il les range pour récupérer une serviette dans leur sac, pourquoi est-il aussi excité aujourd’hui ? Sa tante précède l’arrivée de sa sœur qui récupère aussi une serviette et ses affaires. À son regard, Simon comprend qu’elle ne leur en veut pas.
Après s’être changé, Simon les attend à l’entrée avec ses chaussures. Il finit par voir arriver cette fameuse robe bleue et un pantalon brun. Quelle n’est pas l’expression de Simon qui remarque un oubli de sa sœur : sa poitrine est libre sous sa robe et s’agite à chaque mouvement de sa robe. Elle rougit au croisement de son regard. Exprime-t-elle la honte de se présenter ainsi ? Ils rentrent à l’appartement, promettant de passer sous silence les détails indésirables à leur mère. Ils relatent leur soirée à la piscine, omettant les détails embarrassants. Leur mère l’invite pour le repas qui est toujours l’occasion de changer sur les histoires de famille. Ils remercient leur tante de son passage qui finit la soirée devant la télévision avec leur mère. Les jumeaux se retrouvent pour faire la lessive des affaires de piscine. C’est l’occasion pour eux de revenir sur les événements inattendus de la journée.
— Quand je suis descendu, tu aurais dû voir, son maillot ne cachait rien ! Elle a écarté les jambes en tombant et tout est apparu !"

Elle sourit en dévoilant ses petits secrets pervers. Ils partagent tous les deux une curiosité maladive.
— Et toi, pourquoi tu ne portais pas de soutien-gorge à la sortie de la piscine ?”
Lui aussi sourit en dévoilant ce secret. Son expression face à cette question mêle embarras, et amusement.Comment ose-t-il remarquer ce genre de chose ? Ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’il la voyait nue, mais c’était leur tendre enfance.Le visage empourpré, elle bredouille une réponse bidon pour avouer à demi-mot qu’elle n’avait pas d’explication valable. Dans un sourire sardonique, il aime bien ces instants de gêne qui la dévoilent, impuissante. Il finit de la taquiner en jetant les maillots de bain humide et les sous-vêtements dans la machine à laver.
Il se rend dans sa chambre pour reprendre son téléphone. En regardant sur Internet, il se souvient du site de la faculté. Sur son ordinateur portable, il se rend à l’adresse IP du site. Il rentre l’identifiant volé à l’amphithéâtre. Le site est très sommaire. Il trouve un tableau avec des compteurs de points et un forum qui regroupe différents fils de discussion et des images.
Simon ne s’attend pas à ces photos. Les utilisateurs mettent des photos volées des étudiantes dans les toilettes, les vestiaires, sous leurs robes en cours. Rien n’est flou. Chaque membre note en discussion la photo volée et le modèle innocent. Le forum présente le site clandestin qui n’a aucune modération et change périodiquement de serveur. Une attention particulière est mentionnée pour les félons et les délateurs. Leurs noms et leurs photos sont exposés en place publique qui mentionnent que beaucoup ont essayé, mais personne n’a réussi. Voulant explorer l’onglet des voyeurs, le site lui demande préalablement de se mouiller et de diffuser une photo avant de pouvoir commenter.
Offusqué, mais enjoué d’avoir secrètement réussi à entrer dans ce site. Il ne sait pas comment réagir. Il peut condamner le site, mais il rouvrira ou il peut participer. S’il a eu la sagesse de ne pas totalement s’identifier, il ne sait pas pour autant quoi faire.
Finalement il s’endort, laissant la nuit lui porter conseil pour son deuxième jour à l’Université.
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