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L'histoire de Manon.

Chapitre 1

La naissance d'une coquine.

Inceste
Je m’appelle Manon, j’ai 30 ans, je suis mariée depuis 5 ans avec Maria, mais nous sommes ensemble depuis que j’ai 15 ans. Nous ne voulons pas d’enfant, c’est un choix que nous avons fait et qui en accord avec nos envies de liberté et nos vies.
Je suis une petite femme, ronde ou grosse, selon comment vous voyez les choses, mais musclée et bien ferme. J’ai une belle et lourde poitrine qui n’en perd pas pour autant son maintien, un énorme derrière qui amortit les chocs, une taille fine et une chute de reins bien cambrée. Je suis blonde à la chevelure sauvage, des yeux bleus et un visage rond et rieur.
Je suis une grande gueule dure en apparence, mais très sensible envers les gens que j’aime, je suis une vraie bavarde volubile au rire fort. J’ai un sale caractère, je me braque facilement. Voilà qui je suis dans les grandes lignes.
Avec Maria, nous vivons une relation poly relationnelle, nous vivons chacune nos histoires ensemble ou séparément, mais c’est mon épouse et âme sœur. Nous aimons nos partenaires, mais ils sont éphémères quand nous serons ensemble pour la vie.
Maria est lesbienne même si parfois elle me partage avec un homme et si elle s’est déjà laissé allé avec quelques hommes et pour ma part, je suis une pansexuelle non binaire.
Nous sommes tombées amoureuses quand j’étais en seconde, elle avait 20 ans et était pionne dans mon internat, une nuit où elle faisait la veilleuse, j’ai fait une insomnie et elle a su m’aider à retrouver le sommeil ! C’était ma première fois.
Maintenant que tu me connais un peu plus dans les grandes lignes, je vais pouvoir me raconter. Je suis devenue une vraie coquine après une première histoire quand j’avais 18 ans, je passais des vacances chez ma tante et mon oncle sans Maria. Un soir, nous étions tous deux au téléphone, on se chauffait quand elle m’a mis au défi de baiser un mec pour la première fois dans les prochaines 24 h. Joueuse et chaude comme la braise, ma main collée dans ma culotte, j’ai accepté. Une fois toutes deux délestées de nos ardeurs, je lui ai dit mes derniers mots d’amour avant de raccrocher. Elle m’a rappelé mon défi, je me suis soudain intimidée, je doutais de ma victoire, mais elle avait l’air si excitée que j’ai gardé le silence. J’ai passé la nuit à réfléchir comme faire pour trouver un mec pas trop naze et pas dangereux pour me dépuceler. Le lendemain matin, j’ai eu du mal à me lever, épuisée par ma nuit sans sommeil. Quand je fus enfin debout, ma tante était partie bosser et seuls tonton Pascal et mon cousin, Quentin, étaient présents.
A ma plus grande surprise, j’ai décidé que ce serait un des deux.
J’avais clairement honte, mais je ne voulais pas décevoir Maria, l’idée me plaisait et c’était les deux seuls mecs accessibles dans ce mini-patelin et qui étaient, pour moi, dignes de confiance.Je me suis mise topless sur le bord de la piscine et je fus surprise que les deux aient mordu à l’hameçon, ils sont tous les deux sortis pour se poser près de moi. Ne voulant ne rater le coche avec aucun des deux, je me suis mise à les aguicher tout les deux en même temps, en leur faisant des courbettes et les yeux doux. À aucun moment, je n’ai vu dans quoi je me dirigeais... C’est seulement au bout de quelques heures que Quentin le provocateur a brisé la glace en nous sortant de but en blanc:
— Papa, ma lesbienne de cousine a envie de goûter aux hommes, elle nous a pris pour cible... Baisons-la, ensemble !
Quand il a dit ces paroles, je me suis mise à rougir comme une tomate trop mûre. En fait, ils avaient déjà baisé la même nana ensemble, un soir où ma tante était de garde à l’hôpital, avec une collègue à mon oncle.
Nous sommes entrés dans la maison et Quentin m’a demandé de me dandiner devant eux, de danser pour eux pendant qu’ils attrapaient leurs sexes pour se branler chacun sur leurs fauteuils. Dans une poussée sauvage, je suis tombée sur mes genoux et j’ai ouvert ma bouche pour les faire venir à moi. Les deux hommes se sont levés d’un même bond et je me suis retrouvée avec leurs deux bites qui rebondissent sous mon nez. Je n’ai pas cherché à comprendre et j’ai pris celui de tonton de ma pleine main pour le secouer doucement de haut en bas et j’ai attrapé les boules de Quentin pour gober sa pine d’acier et la nicher au fond de mon gosier. Tonton s’est dégagé de ma main pour aller face à mes fentes pour me doigter, j’étais déjà bien trempée. Il me l’a d’ailleurs bien fait remarquer et m’a annoncé que j’étais bi. Il m’a ensuite léché les fentes pendant un long moment pendant que je suçais lentement le sexe de son fils. Lentement, mais profond.
Je sentais le gland de Quentin tapé au fond de ma gorge et la langue de tonton dans ma minette, il appuyait le long de chacune de mes parois pour les pétrir et les assouplir. Une fois que tonton a trouvé mon minou apte au chibre, il a cédé sa place à son fils. Pendant ce temps, il a commencé à coller son pouce sur ma rustine, en exerçant de légères pressions. Il m’a expliqué en même temps qu’il me sodomiserait une fois que mon cousin aurait rempli ma minette. Quentin me prenait le minou de la même manière que ma bouche, il avait plaqué ses mains sur mes hanches et les guidait d’un mouvement rude et ferme. Il était endurant et assez fortiche pour laisser son père préparer mon cul assez longuement tout en me baisant longtemps sans que je m’emmerde. Ils avaient tous deux des bites de tailles moyennes (15-18 centimètres environ, mais bien épais, c’est d’ailleurs ainsi que j’aimais les godes et les plugs), tonton tenait d’une main un tube de lubrifiant qu’il n’hésitait pas à vider en moi, à chaque fois qu’il le jugeait nécessaire, je sentais un, deux trois, puis quatre doigts de velours se faufiler dans mon colon.
Tonton me doigtait de ses 4 doigts mon anus quand j’ai senti le corps de mon cousin se raidir puis j’ai senti ses spasmes et entendu ses râles graves et profonds.
J’étais si excité que mon minou explosa lui aussi de bonheur et je me suis mise à chanter à tue-tête, ma minette convulser autour de son sexe et je sentais un flot de liquide se frayer un chemin dans les interstices entre sa queue et ma chatte. Il s’est retiré pour l’enfourner toute mollasse dans ma bouche afin que je goûte le mélange de nos jus. C’était gluant, âpre et salé. Pendant que je nettoyais le chibre, tonton s’était placé derrière moi, le gland posé sur mon bouton de rose assoupli, mais encore tendu. Il poussa légèrement d’un coup de bassin pour commencer à ouvrir la porte, je sentais mon muscle s’étirer, brûler et picoter. Il poussait très lentement, mais d’une pression continue, je sentais ma rustine s’écarter en prenant la forme de son gros gland. Une fois la tête du missile enfoncée, il me mit un grand coup de fesse pour glisser jusqu’à la garde. C’était si douloureusement bon, une fois niché, il a fait une pause pour que j’apprivoise la forme de son sexe.
Son fils s’est retiré, s’est assis près de moi et a glissé ses mains sous moi pour attraper mes tétines et les tirer.
Tonton m’a fait violemment jouir deux fois avant de me remplir à son tour, les trous dégoulinants, je me suis rhabillée et j’ai attendu l’appel de ma chérie ainsi.
Quand je suis rentré de vacances, Maria m’a proposé de venir vivre avec elle, ce que j’ai de suite accepté, et nous avons établi notre arrangement.
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