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Histoire de Marthe

Chapitre 1

Hétéro
La demie de dix heures venait de sonner à la pendulette lorsque Marthe frappa et entra dans la chambre d’Alexandre des Moulards. Comme tous les soirs, elle lui apportait sa camomille ce qui lui facilitait la digestion, disait-il.
Il allait sur ses soixante-quinze ans et régnait toujours en maître sur son immense domaine avec la même autorité. Entrée à son service trente-trois ans auparavant, elle avait alors tout juste dix-huit ans, Marthe était passée du stade de servante, à ses débuts, à celui de gouvernante. Fille d’un des fermiers qui travaillaient sur la propriété, placée au château, comme on disait pour désigner dans le village la grande bâtisse, elle était devenue très vite sa maîtresse. A l’époque, la vie était plutôt rude et entrer au service du maître était une forme de promotion sociale. Ce qui lui avait permis d’échapper aux travaux des champs !Malgré son âge avancé, Alexandre des Moulards, toujours bel homme était encore vigoureux et ne crachait pas sur la gaudriole ! Et puis à quarante-neuf ans, elle était une « jeunesse » pour lui ! De quoi entretenir la forme ! .

Il est vrai qu’en arrivant au château, elle avait découvert un univers nouveau, un tout autre mode de vie que chez elle.
Monsieur et Madame faisaient chambre à part ce qui l’avait surprise mais ils formaient un couple comme il en existait encore beaucoup à l’époque. De leur union qui avait été un mariage de raison - la dot avait été la bienvenue - deux enfants étaient nés : Antoine, l’aîné, alors âgé de quinze ans et Albertine qui allait sur ses dix ans.
Pour Madame les relations intimes avec son époux devaient se cantonner à la procréation et elle considérait comme sale et dévoyée toute autre forme de rapport. Lorsqu’il insistait pour qu’elle remplisse son devoir d’épouse, elle subissait l’étreinte, soumise, consentant tout juste à ouvrir les jambes et ceci, dans l’obscurité la plus complète. Elle n’avait jamais osé regarder ou toucher cette tige de chair qui la pénétrait. La seule fois où il avait tenté de relever sa chemise de nuit plus haut que nécessaire et avait voulu lui caresser les seins, elle l’avait repoussé, offusquée. Elle ignorait tout du plaisir et endurait ses assauts en attendant de sentir sa matrice remplie de ce liquide chaud et gluant, répugnant mais qu’on lui avait dit devoir conserver en elle comme un don du ciel. Ce qui la torturait le plus était de devoir attendre la fin de la semaine pour aller à confesse.
Alors évidemment Monsieur avait dû chercher ailleurs ce qu’il n’avait pas trouvé dans le lit conjugal. Pour ce faire, il allait chaque fin de semaine à la ville partager quelques moments d’amour tarifés avec des professionnelles. Sans parler de son « droit de cuissage » qu’il exerçait à l’occasion sur toute la gent féminine vivant sur sa propriété. Bel homme, il mordait aux plaisirs de la vie à pleines dents et toutes ces femelles étaient flattées de se faire saillir par lui. Il se murmurait même à l’époque qu’il ne dédaignait pas, de temps à autre, une gâterie de la Jeanne, vieille toute rabougrie, édentée, à qui on ne donnait plus d’âge !
Aussi lorsque, elle, une gamine de dix-huit ans, avait été engagée comme bonne au château, il avait considéré cela comme une aubaine. Il avait enfin sous la main une jeune femelle, mignonne tout plein et obéissante par surcroît. Lorsqu’il l’avait déflorée, elle avait considéré cela comme naturel. C’était semble-t-il dans l’ordre des choses. Il avait bien sûr vingt-six ans de plus qu’elle mais ça ne comptait pas.
La première fois, c’était un après-midi. Elle faisait le ménage dans le bureau, perchée sur un escabeau, occupée à épousseter les livres sur les rayonnages de la bibliothèque, lorsqu’il était entré dans la pièce. Il l’avait saisi par les chevilles et lui avait passé la main sous la jupe, remontant le long de ses jambes. Elle avait poussé un petit cri quand elle avait senti sa main s’insinuer sous sa culotte. Il lui avait intimé l’ordre de se taire si elle ne voulait pas être mise à la porte sur-le-champ.Tout s’était passé très vite, sans fioritures. Descendue de son perchoir, plaquée contre le meuble, il avait troussé sa jupe et baissé sa culotte. Puis il avait sorti sa queue et lui soulevant une jambe, il s’était enfoncé en elle sans ménagements. Tétanisée, elle avait subi ses coups de butoir. La bite labourait son ventre. Soudain le sperme avait jailli en elle. Il jouissait en ahanant, elle sentait son souffle court dans son cou. Puis il s’était dégagé, satisfait. « Rhabille-toi, tu ne vas pas rester plantée là » avait-il dit avant de rajouter « Pas un mot à Madame, sinon je te fiche à la porte, c’est bien compris »Elle s’était tant bien que mal rajustée et avait continué le ménage comme si rien ne s’était passé. Elle avait mal au ventre et ne savait comment essuyer le liquide qui s’échappait de son vagin et coulait le long de ses cuisses. Elle le regardait du coin de l’oil, assis à son bureau. Il ne lui avait plus adressé la parole, comme si elle n’existait pas. Elle n’avait pas ressenti grand-chose tant cela avait été rapide, mais pas désagréable non plus.
Dés lors, il avait usé et abusé d’elle suivant son humeur, quel que soit le lieu ou l’heure. Toujours des étreintes à la sauvette où seul son plaisir à lui importait.
Ce n’est que le soir où Madame était partie quelques jours chez sa mère malade, qu’il l’avait fait monter dans sa chambre. Il devait être onze heures du soir et il avait sonné à l’office pour réclamer une infusion.
Il était déjà couché. Elle venait de poser la tasse sur la table de chevet et alors qu’elle allait se retirer, il l’avait saisi par le bras et lui avait demandé de se déshabiller. Intimidée, elle s’était exécutée. En petite culotte et soutien-gorge, elle attendait.
— Enlève tout, je veux te voir nue !
C’était un ordre. Elle dégrafa son soutien-gorge et lorsqu’elle se pencha pour faire glisser sa culotte, il put contempler à loisir sa poitrine. Deux jolis petits seins, impertinents, bien ronds avec les petits bouts roses qui pointaient fièrement au centre des aréoles plus claires. Le reste était tout aussi charmant. Le bassin large, des cuisses pleines, des mollets bien formés, bref une fille solide et en bonne santé.
— Tourne-toi et penche-toi que je voie ton cul !
Elle pivota et il put contempler à loisir la chute de reins. Des fesses amples comme il les aimait !
— Approche ! Viens près de moi dans le lit ! Mon Dieu que tout ça est beau !
Elle ne savait que dire, monta sur le lit, se glissa sous le drap et s’allongea à son côté, figée.
— Détends-toi ! N’aie pas peur ! Je veux juste te faire du bien ! Tu vas voir comme c’est bon !
Joignant le geste à la parole, il commença à la caresser tendrement. Il se pencha sur elle et l’embrassa. Sa langue mouillait ses lèvres qu’il força lentement à s’entrouvrir à la recherche de la sienne tandis que sa main glissait le long de son échine descendant sur ses fesses. Elle frissonna. Rassurée, elle s’abandonnait. Elle vint se blottir contre lui et sentit contre son ventre battre la verge tendue de son maître. Instinctivement elle souleva sa jambe pour accentuer le contact sur sa motte. Il avait rejeté le drap et elle le vit pour la première fois entièrement nu, en érection.C’était réellement un bel homme. Il souriait et semblait moins sévère que d’habitude.Elle était fascinée par sa queue, noueuse qu’une grosse veine parcourait sur toute la longueur. Le gland entièrement décalotté était énorme, rouge violacé. Enhardie, elle saisit la bite dans sa main. Elle était chaude, dure et souple à la fois.
— Oui caresse-moi ! Regarde, tu me fais bander, petite cochonne !
Elle la sentait vibrer sous ses doigts.
— Oui, branle-moi, plus vite ! Tire bien sur la peau ! Tu aimes ?— Oui Monsieur ! Ce qu"elle est dure !— Tu peux m’appeler Alex et me tutoyer, mais pas devant les autres !— Non, je ne pourrai jamais, Monsieur !
Il la fit s’étendre sur le dos et lui écarta les jambes. Elle sentit d’abord son souffle chaud sur le bas de son ventre puis le contact de sa langue sur sa fente qu’il ouvrait délicatement avec ses doigts. Au fur et à mesure que la langue la léchait, elle sentait monter en elle de nouvelles sensations. Une chaleur insoupçonnée envahissait son ventre qu’elle tendait sous la caresse. Elle souleva sans résistance son cul quand il glissa une main sous ses fesses qu’il malaxait. Un doigt dans sa chatte il la branlait tandis que sa langue suçait son petit bouton. Un vrai délice. Elle n’avait jamais ressenti quelque chose d’aussi agréable. Elle crut quelle allait défaillir.Il se redressa et vint s’accroupir sur elle, la tête toujours enfouie entre ses cuisses. Elle avait maintenant la verge et les couilles énormes qui pendaient au-dessus de son visage. C’est tout naturellement qu’elle ouvrit la bouche pour l’accueillir. Elle ignorait que cela fut possible mais Il usait de sa bouche comme de son sexe, entrait et sortait de plus en plus profondément. Quand il s’enfonça au fond de sa gorge, elle faillit étouffer.
— Oui, suce, serre la fort entre tes lèvres ! Tu sens comme elle vibre ? Tu aimes ?
Elle émit un grognement qu’il prit pour un acquiescement à la façon dont elle resserra ses cuisses.
— Mais tu vas m’étouffer, diablesse ! Attends, tu vas voir comme je vais te branler ! Tu sens mon doigt dans ta foufoune ?— Oui Monsieur, c’est trop bon, n’arrêtez pas !
Elle s’ouvrait pour lui faciliter l’accès. Ce n’était plus un mais deux doigts qui s’enfonçaient dans sa chatte, qui la fouillaient. La langue avait délaissé le bouton pour descendre plus bas dans la raie toute mouillée pour s’attarder sur son petit trou. Jamais elle n’avait imaginé une chose pareille et pourtant si douce : se faire lécher le cul. La salive dégoulinait mélangée à ses propres secrétions. Elle fondait ! Elle gémit quand elle sentit un doigt forcer sa rondelle pour la dilater. Ça brûlait un peu ! Mais les coups de la langue pointée qui forçaient son anus apaisèrent très vite la douleur. Elle savait qu’il l’entraînait sur un bien doux chemin et se laissait faire, docile et attentive.
— Dis-moi, c’est bon ça ? Tu sens ma langue qui entre dans ton petit cul ?— Oui, encore ! Encore !— Tu vas voir quand je vais y mettre ma queue !— Mais elle est trop grosse ! Ça va me faire mal ! Et puis c’est sale !— Ne dis pas de bêtises, c’est encore meilleur que par-devant, crois-en mon expérience ! On est là pour se faire du bien, non ! Laisse-moi faire !
Il lui bouffait le cul depuis un moment quand soudain elle sentit monter du fond de son ventre et de ses reins un plaisir nouveau, violent qui l’envahissait partout. Elle ne se contrôlait plus et se sentait partir. L’orgasme la submergea, elle jouissait ! Elle serrait convulsivement ses cuisses puis se relâcha, étourdie. Elle aurait voulu que cela ne finisse jamais !
— Alors, petite, on a joui à ce que je vois ! Putain ce que tu mouilles, tu es trempée !
Il l’avait prise dans ses bras et la serrait contre lui, fier de l’avoir menée au plaisir. Reconnaissante elle se pelotonnait contre sa poitrine, ronronnait comme une chatte.Puis la folle nuit avait continué.
— A ton tour de me faire jouir ! Regarde dans quel état tu m’as mis ! Ma bite va éclater !

Il avait d’abord voulu jouir dans sa bouche. Il était tellement excité que cela avait été très rapide. Elle avait cru suffoquer lorsqu’il avait déchargé. Le sperme lui avait soudain rempli la bouche et il lui avait maintenu la tête jusqu’à ce quelle avalât. Elle avait eu un moment de dégoût très vite passé lorsqu’il avait fourré sa langue dans sa bouche pour jouer avec la sienne.Momentanément apaisés, ils étaient restés dans les bras l’un de l’autre. Il lui avait murmuré des mots tendres au creux de l’oreille, disant qu’elle était belle et que son corps le rendait fou. Puis ils s’étaient assoupis, repus.
Plus tard dans la nuit, alors qu’il reprenait vigueur, il l’avait réveillée et ils avaient fait l’amour. Elle sur lui d’abord. Empalée sur sa bite, c’est elle qui imposait la cadence tandis qu’il lui pétrissait les seins et les fesses. Ils voyaient monter le plaisir de l’autre dans leurs regards qui se croisaient. Quand il sentit qu’il allait exploser, il la serra très fort contre lui, écrasant ses seins contre sa poitrine et lui enfonça un doigt au fond du cul comme s’il avait craint qu’elle ne s’échappât. L’orgasme avait été intense. Ils avaient joui simultanément. Pleine du jus de ses couilles, chaud et onctueux, qui lui tapissait le vagin, elle avait gardé au fond de son ventre la bite encore dure de son amant. Elle était sur un nuage ! .
Elle n’avait jamais pu oublier cette première nuit d’amour. Lui non plus car depuis ce jour là, leur relation avait changé, s’était approfondie. Sa façon à lui de l’aimer. Elle lui était devenue très vite indispensable et cela faisait trente-trois déjà que ça durait  !

Et ce soir, elle avait envie, comme au début  ! La chaleur au creux de son ventre trahissait son impatience ! « Je suis vraiment sa chienne » pensa-t-elle, un sourire gourmand au coin des lèvres. Aussi ne se fit-elle pas prier lorsque, d’un geste de la main, il lui demanda de le rejoindre dans le lit !
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