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L'Histoire mène à tout...

Chapitre 4

Révélations

Voyeur / Exhibition
Si ma mère m’avait balancé une gifle en pleine figure, l’effet aurait été exactement le même, la douleur en plus !
Il me faut quelques secondes avant de reprendre une contenance à peu près normale.
Mais c’est le rire de ma sœur qui me tire de ma torpeur. Elle sourit en me regardant et déclarant à ma mère
— C’est fou comme il peut être naïf alors que c’est l’aîné.
Naïf ? Moi ?
— Sois indulgente, Caroline. Comment veux-tu qu’il pense à cela de lui-même ? — Mon chéri, reprend ma mère, tu dois quand même bien te douter que ton père est au courant de nos... arrangements avec ta sœur. — Au risque de paraître naïf, comme le souligne Caroline, dis-je en la fusillant du regard, non ! Non, je ne me doute absolument pas. Mais je pense que tu vas te faire un plaisir d’éclairer ma lanterne. — Bien sûr, mon amour. Tu ne penses tout de même pas que quoiqu’il se passe dans sa famille est étranger à ton père. Tu sais à quel point il nous aime et à quel point la situation l’embête. Mais, comme il me l’a rappelé récemment, nous mettre à l’abri du besoin et nous permettre de vivre une vie calme et éloignée des soucis matériels est le premier but de sa vie. Il veut notre bonheur et celui-ci passe, pour lui, avant le sien. Il m’a également encouragée à prendre un amant afin de combler mes... désirs inassouvis. — Quoi ? Il t’a explicitement proposé de... — Exactement. C’est un homme merveilleux, Alexis. Il en serait chagriné, mais il le comprendrait. J’ai bien sûr refusé. Comme je te l’ai déjà expliqué, je ne veux pas tromper ton père, que j’aime énormément. Et ce n’est pas à cause du confort matériel qu’il me procure. Ma situation professionnelle me permettrait de vivre également assez aisément. J’aime ton père. Il est hors de question de prendre un amant. Lorsque je lui ai parlé de la proposition de Caroline, il en a été étonné, mais en ayant la délicatesse de ne pas faire de sous-entendus graveleux. Il m’a dit de faire ce que je voulais tant que j’en retirais satisfaction et plaisir. — Alors, il est vraiment au courant et l’accepte sans la moindre hésitation ? demandais-je encore, comme pour m’en assurer. — Je viens de t’expliquer qu’il me donne là, la plus grande preuve d’amour et de confiance qu’un homme puisse donner à son épouse. Il sait que j’ai des désirs, des fantasmes, des envies et des pulsions, mais qu’il n’est pas assez souvent présent pour les combler, alors qu’il le fait très bien. Crois-moi sur parole. Il me laisse quartier libre, si je puis m’exprimer ainsi, pour me permettre de trouver ces petites choses qui me manquent cruellement par son absence. — Je n’en reviens pas. Et il estime également que Caroline peut... — Laisse-moi en dehors de la conversation, Alexis. Je fais ce que je veux de mon corps, que je sache. Et ce que j’en fais ne te regarde pas. — Excuse-moi, sœurette, je ne voulais pas te vexer. — Ce n’est rien, me dit-elle en me souriant.
Un moment de silence s’installe entre nous. Je ne sais dire qui va oser reprendre la parole le premier.
Finalement, ma mère me demande.
— Cela t’ennuie-t-il alors si tu me surprends ou surprends ta sœur dans une situation de plaisir ? — Tu veux dire, si je vous surprends en train de vous masturber ? Eh bien... en fait, non. Vous faites ce que vous voulez. Je n’ai rien à vous dire ni à vous interdire. Vous savez que je suis pour la liberté individuelle. Et si elle doit passer par là et bien, qu’elle y passe.
Je perçois le soupir de soulagement des deux femmes, juste à côté de moi. Car malgré ses airs de femme totalement indépendante, ma sœur reste ma sœur. Et je la connais par cœur. Cet air qu’elle se donne n’est qu’une façade. C’est une vraie guimauve.
Elles ont l’air ravies de ma décision. Après tout, tant mieux. Si elles sont heureuses ainsi, qui suis-je pour briser ce bonheur ?
— Tu sais, mon chéri, nous ne sommes tout de même pas des nymphomanes qui nous tripotons le bouton toutes les deux minutes. Mais tu dois également connaître toute la vérité. — Parce que ce n’est pas tout ? déclaré-je estomaqué.
Je surprends à ce moment un regard de connivence entre ma mère et ma sœur. Ce qui n’est pas fait pour me rassurer, mais qui, au contraire, commence à faire réagir mon sexe dans mon short. Si elle prend de telles précautions oratoires, je sens que je vais avoir du mal à ne pas bander à nouveau.
Ma sœur lui répond.
— Vas-y, maman. Au point où nous en sommes. Après tout, il risque de le découvrir tout seul. — Tu as raison. Allons-y. Alexis, il peut également arriver que tu nous trouves, ta sœur et moi, dans une position, disons, inhabituelle pour une mère et sa fille. — C’est-à-dire ? dis-je.— T’es teubé ou quoi, me demande ma sœur ? On parle de sexe depuis une heure et toi, tu ne piges pas ? — Calme-toi, Caroline. Tu le devinerais toute seule toi ? — Tu as raison maman, excuse-moi Alexis. Continue, maman. — Merci. Je veux dire par là, mon amour, que tu pourrais surprendre ta sœur avec sa bouche sur mes seins ou ma chatte. Et inversement, si tu vois ce que je veux dire cette fois.
Je bande.
D’un coup.
Mon sexe fait un bon dans mon short.
Imaginer ma mère et ma sœur en train de baiser, c’est un fantasme d’adolescent qui se réalise. Des images et des scènes plus pornographiques les unes que les autres explosent dans mon crâne.
Tentant de reprendre contenance, je dis le plus calmement possible
— Je vois très bien de quoi tu parles, maman ! Et, cela vous arrive souvent ? — Cela dépend. Parfois nous jouons plusieurs fois par semaine et parfois, pas du tout. Cela dépend de nos envies. Pourquoi demandes-tu cela ?
Ca y est, je suis cramé.
— Maman, dis ma sœur, à ton avis ? Parce que comme tous les mecs, deux femmes qui baisent ensemble, cela l’excite. — C’est vrai mon chéri ? Cela t’excite deux femmes entre elles ?
Le moment de vérité. Oh, et puis zut
— Comme vient de la dire Caroline, je suis un mec. Bien sûr que cela m’excite. — Mmmmmhhh... fait ma mère. Très intéressant. Tu auras peut-être l’occasion de jouer encore les voyeurs alors. Qu’en dis-tu Caroline ? — Pourquoi pas. Après tout, il vient de nous voir à poil en train de nous masturber. Tant qu’il ne nous empêche pas de jouir, je m’en fous. — Je ne sais pas vous, mais moi, cette discussion m’a de nouveau échauffée, nous déclare notre mère alors qu’elle retire sa robe une nouvelle fois en se dirigeant vers son transat. Je vais me faire un petit plaisir. Si le cœur vous en dit. Alexis, ne te gêne pas pour nous. Tu es aussi en droit d’utiliser cette permission familiale. — Je t’accompagne, dit Caroline. J’ai aussi encore envie. Il m’a excité ce grand dadais avec ses allusions et son côté voyeur.
Je regarde ma sœur approcher son transat de celui de ma mère. Elles sont maintenant nues, côte à côte, jambes écartées. Un doigt se promenant sur leur fente humide et une main sur le sein.
Elles sont magnifiques. Baignées de la lumière diaphane de la piscine et de l’éclairage d’ambiance de la terrasse.
Ma mère prend ses gros seins dans chaque main et les porte à sa bouche. Sa langue suce ses tétons érigés par l’excitation. C’est d’un érotisme ravageur. Ma queue me fait mal. Ma sœur, de son côté, s’est entrée trois doigts dans la chatte et le petit clapotis qu’elle fait par son mouvement, nous indique son état d’excitation avancé.
Je n’en reviens toujours pas.
Les soupirs de plaisirs commencent à monter chez ma sœur, qui, n’y tenant visiblement plus, empoigne délicatement le sein de ma mère qui se trouve à sa portée. Elle joue avec le téton, le faisant rouler entre ses doigts.
— Maman, tes seins sont fabuleux. Je ne m’en lasse pas. — Merci ma chérie. Mais les tiens sont plus gros. — Touche-les aussi maman, caresse-les s’il te plaît. J’ai envie de voir la réaction d’Alexis alors que tu me touches les seins.
C’en est trop pour moi. Je n’y tiens plus. Je fais voler aux orties mes dernières résolutions et mes derniers scrupules. Elles sont trop bandantes.
Je descends mon short et le retire.
Je me lève en empoignant ma queue tendue et me dirige vers mes deux femelles en chaleur.
— Mmmmhhh... regarde maman, le beau morceau qui approche. — Ouiiiiii..... Alexis. Tu es magnifique mon chéri. Tu as une très belle bite. — Merci maman, dis-je dans un souffle. Je trouve mon sexe parfaitement honorable. Je n’ai pas les dimensions monstrueuses des acteurs pornos, mais je sais que ma bite est belle. Mes doigts sont doux sur mon sexe, car j’ai peur d’éjaculer trop vite si je le sers trop fort.
Je me permets alors une petite fantaisie pour voir la réaction de ma mère
— Mais tu as déjà eu un aperçu de ma queue, me semble-t-il ? dis-je en faisant allusion à sa séance de voyeurisme lors de ma douche. — Mmmhh... tu m’as vue, petit pervers. Et tu n’as rien dit ? Tu aimes que maman te regarde ? — Maintenant, oui. Regarde ma queue, maman, si elle t’excite. Et toi aussi Caroline, si tu en as envie. — Je ne m’en privais déjà pas, grand frère. Et toi maman, tu joues les voyeuses ? Vicieuse, va ! dit-elle en soupirant plus fort, ce mot ayant visiblement déclenché son plaisir. — Mmhhh... oui, je suis vicieuse. Je l’admets. J’aime le sexe. Oooooh... Caroline, touche mes seins s’il te plaît. Je vais jouir. Encore, tire dessus... plus fort... aaaahhhhh... je jouiiiiiis.
J’ai à ce moment, lâché mon sexe. Si je le touche encore une seconde, j’éjacule.
La scène est surréaliste.
Ma mère jouit sous les doigts de sa fille tout en s’enfonçant plusieurs doigts au fond de sa chatte trempée. Au moment de sa jouissance, un petit flot de cyprine s’échappe de son sexe.
Maman est une femme fontaine. Bon sang, que ces femmes sont bandantes. Je tombe sur deux femmes incroyables et il faut que ce soit ma mère et ma sœur.
Ma mère s’écroule sur son transat, terrassée par son orgasme. Ma sœur continue ses mouvements dans sa chatte. Elle se cabre un peu plus, faisant de la sorte ressortir encore plus sa poitrine merveilleuse. Ses seins sont un délice pour le regard. Qu’est-ce que cela doit être de les sucer ? Me demandais-je durant une seconde.
Mais ma sœur me sort de mes pensées en jouissant à son tour.
Ma mère, qui s’est réveillée, lui triture doucement les tétons et les étire un peu. Elle semble aimer, car elle crie.
— Aaaaah... maman, tu me fais jouiiiiiiir... Plus fort, plus fort... je jouiiiiiiiis.
Cette fois, le point de non-retour est atteint. Je touche mon sexe, dur comme il ne l’a jamais été, je fais deux mouvements et j’éjacule mon foutre chaud. Trois grosses giclées qui atterrissent d’abord sur les seins de ma sœur, puis sur le dos de ma mère penchée sur elle et enfin entre mes jambes.
Mes jambes qui ne me portent plus à ce moment et je dois faire un effort surhumain pour me rattraper au transat le plus proche.
Après quelques minutes de récupération, ma mère éclate de rire en nous regardant et déclare — Eh bien, mes amours, nos vacances s’annoncent merveilleuses.
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