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L'Histoire mène à tout...

Chapitre 5

Mise en place

Voyeur / Exhibition
Comme l’avait souligné ma mère lors de notre soirée des révélations, puisque c’est ainsi que j’appelais à présent ce jour où ma mère et ma sœur m’avaient avoué sans la moindre hésitation ou la moindre pudeur, s’adonner aux différents plaisirs que le corps nous permet d’atteindre, en solo ou en duo.
Depuis cette soirée mémorable durant laquelle ma mère s’était masturbée devant moi en s’occupant de sa chatte et de ses seins ainsi que ceux de ma sœur alors que cette dernière s’enfonçait allègrement plusieurs doigts au fond de son vagin luisant de sa cyprine, plus aucun tabou ne semblait exister, du moins pour mes deux femmes, comme j’aimais les appeler.
Pour moi, la situation était tout de même un peu plus compliquée.
Certes, j’avais également profité de la situation pour apprécier le spectacle en voyeur consentant, ma mère et ma sœur redoublant d’efforts pour me faire bander et m’amener à me branler face à elles pour, au final, éjaculer sur une poitrine et un dos.
Mais alors que je regagnais ma chambre, le poids de la culpabilité se fit sentir sur mes épaules. En m’asseyant sur mon lit, je repensais à ce double moment de plaisir si intense que je venais de vivre et à cette soirée hors du temps, durant laquelle tous les interdits semblaient s’être volatilisés.
Comment avais-je pu faire une chose pareille ? Comment avais-je pu me masturber et prendre du plaisir avec les deux seules femmes au monde qui m’étaient totalement interdites par la morale et notre société ?
Je fis alors un effort surhumain pour me lever, me déshabiller et me rendre dans ma douche. J’avais besoin d’eau froide pour redescendre sur terre. Le philosophe sait que plus on monte haut, plus la chute est douloureuse. J’aurais probablement dû me souvenir de cette maxime avant de me branler dans ces circonstances.
Je venais de monter au paradis du plaisir et de l’orgasme, mais la chute allait probablement être terrible. Après tout, nous venions de boire pas mal. Entre les apéros, le vin à table durant le repas et le dernier verre sur la terrasse, nous étions tous les trois passablement alcoolisés.
Comment ma mère et ma sœur allaient-elles réagir demain, une fois dégrisées ?
Alors que ces pensées tournaient en boucles dans ma tête, l’eau me ramenant à un semblant de calme et de réflexion mentale, je me rends compte qu’un fait majeur auquel je n’ai pas encore fait attention.
Je bande toujours ! Bordel. Je bande.
Ma queue semble énorme tant elle est gorgée de sang. L’excitation que je ressens n’a rien de comparable avec les pensées qui m’habitent. J’en veux encore. Les seins de ma mère, ceux de ma sœur encore plus gros, leurs mains sur leurs tétons les étirant, leurs chattes luisantes, le bruit de leur masturbation, leurs soupirs et leurs cris de jouissances et, cerise sur le gâteau, le fait avoué qu’elles jouent ensemble.
Cette dernière pensée ainsi que les différents scénarii qui inondent mon cerveau à ce moment, les possibilités de positions sexuelles entre elles, leurs langues sur le corps de l’autre et bien, j’éjacule de nouveau dans ma douche. Je n’ai même pas touché mon sexe.
Putain, mais que m’ont-elles fait ? En une soirée, je viens de jeter aux orties tous mes principes et mes envies. Mes fantasmes les plus fous me semblent totalement fades à présent tant ces deux femmes exceptionnellement intelligentes et incroyablement belles se sont emparées de mon esprit.
Le poète a raison de dire que les hommes ne sont que des pantins dans les mains des femmes. Une fois accroché, un mec ne pense plus qu’avec sa queue et plus avec son intelligence.
Cette partie de mon anatomie semble avoir également pris le dessus sur mon cerveau.
Je dois finalement me résoudre à admettre l’horrible vérité. Je désire recommencer. Je veux les voir se toucher, se sucer, se lécher, se caresser et en profiter pour me masturber devant elles, en leur offrant le fruit de ma jouissance en guise de remerciement et de preuve de leurs incroyables pouvoirs sur ma pauvre personne.
C’est avec cette pensée réconfortante – mais l’est-elle vraiment ? - que je me couche et m’endors comme une souche, vaincu par tant de plaisir, de désirs et de fatigue.
Mon réveil est matinal. Je me sens en pleine forme alors que je remarque que je n’ai, au final, dormi que quelques heures.
En entrant dans la cuisine, il n’y a encore aucun bruit. Je prépare le café et sors pour prendre la température. Le soleil se lève à peine, mais il fait déjà bon. La journée va de nouveau être torride. Et je l’espère, pas uniquement à cause du climat.
Je lis le journal sur mon smartphone et j’en suis à mon troisième café lorsque ma mère passe la tête par la porte vitrée de la cuisine
— Bonjour mon chéri ! Tu es matinal, dis donc. — Bonjour maman ! Oui, je me suis réveillé tôt. Va savoir pourquoi ? dis-je un brin moqueur. — Quelle drôle d’idée alors que tu es en vacances ? Attends, je viens te tenir compagnie dans deux minutes.

Effectivement, deux minutes plus tard, ma mère passe enfin sur la terrasse en tenant une tasse fumante dans sa main. Elle se penche sur moi et me fait un petit bisou sur la joue.
— Bonjour, mon grand.

C’est à ce moment que je lève les yeux vers elle en sortant de mon article sur les transferts de joueurs de football et que je regarde ma mère dans les yeux pour la première fois depuis..., depuis hier soir.
Ses yeux sont pétillants d’une joie contenue. Elle est sublime. Elle rayonne. Je la vois si heureuse que je n’ose rien lui dire. Je la détaille encore une fois. Elle porte toujours sa nuisette Marjolaine en soie et en dentelles.
Elle est vraiment magnifique. J’ai beaucoup de chance d’avoir une mère aussi belle.
— Bonjour maman. As-tu bien dormi ? — Parfaitement. J’ai dormi comme une souche. Je suis en pleine forme, parfaitement reposée. — Tu m’en vois ravi. — Merci. Et toi ? Bien dormi ? — Au risque de t’étonner, parfaitement. — Pourquoi au risque de m’étonner, me demande-t-elle, surprise ?

Incroyable, pas moyen que je la ferme deux secondes. C’est de nouveau ma queue qui a pris le commandement.
— Non, ce n’est rien. Ce sont des paroles comme ça. — Alors tu me parles « comme ça », juste pour dire un truc ?

Et allez, je m’enfonce encore plus.
— Non, maman. Excuse-moi. Je ne voulais pas dire que... — Mais tu l’as dit. Alors pourquoi devrais-je être étonnée ?

Et là, je comprends d’un coup par son petit rictus, au coin de ses lèvres, qu’elle se moque de moi.
— Tu es impossible, maman. Tu te moques encore de moi. — On ne peut rien te cacher, mon grand. Je suis heureuse de constater que je peux encore être plus maligne que toi. — Alors ? Heureuse de son petit tour ? — Je dois avouer que... oui ! me dit-elle en me souriant, derrière sa tasse de café. J’espère bien que tu as parfaitement dormi, mon chéri, reprend-elle, cette fois sérieuse. Je ne voudrais pas que tes ... découvertes nocturnes t’empêchent de faire ce pour quoi tu es venu. Te changer les idées et te reposer. — Je ne risque pas de l’oublier, dis-je en pensant à mon ex, la rage revenant plus vite que je ne le pensais ! Cette salope ne risque pas de me voir revenir très vite, dis-je peut-être un peu trop rapidement. — Pourquoi ? me demande-t-elle, contrariée en une seconde par ma révélation ? — Elle m’a déjà appelé plusieurs fois depuis mon arrivée, dis-je dans un long soupir de mécontentement.

J’aurai jeté une bombe, l’effet n’aurait pas été plus foudroyant.
Ma mère pose bruyamment sa tasse sur la table de la terrasse en se levant d’un coup et hurlant un :
— NON ! PAS QUESTION !

Sa réaction fut si soudaine et si inattendue que je faillis renverser mon café que je portais machinalement à ma bouche. Je sautais en l’air sur ma chaise alors qu’elle reprit.
— RÉPÈTE-MOI CELA ! — Maman, tu veux bien te calmer s’il te plaît ? Tu vas réveiller Caroline. — MAIS JE M’EN FOUS DE CAROLINE. COMMENT OSE-T-ELLE T’APPELER CETTE... SALOPE ?
Je regarde ma mère deux secondes, un peu sonné par le vocabulaire qu’elle vient d’employer et qui lui est normalement totalement étranger, puis je reprends
— Maman, tu veux bien te calmer ? Je ne vois pas en quoi le fait qu’elle m’appelle soit un si gros problème. Nous sommes restés ensemble plusieurs années et nous étions même fiancés, je te rappelle. Alors elle peut tenter de me joindre si elle le désire. Alors, fais-moi, s’il te plaît, le plaisir de te calmer. — Excuse-moi, mon chéri. Mais rien que d’imaginer que cette fille cherche à te reconquérir après ce qu’elle t’a fait, et bien, cela me met hors de moi. — Peut-on savoir ce qu’il se passe dans cette baraque de si bon matin ? nous demande une voix encore ensommeillée.

Ma sœur fait à son tour son apparition sur notre terrasse. Elle a encore les yeux perturbés par la lumière du matin. Ses cheveux en bataille et sans le moindre maquillage, elle est renversante. Ses seins arrogants pointent dans ma direction sous sa courte nuisette, laissant admirer le galbe parfait de ses mollets et de ses cuisses. Elle est de nouveau tout aussi sublime que sa mère.
En les regardant à cet instant, au saut du lit, personne ne peut douter de leur lien. Elles se ressemblent terriblement. Elles sont juste parfaites.
— L’ex de ton frère veut se remettre avec lui, voilà ce qu’il y a, déclare ma mère en rage.

Je comprends à ce moment qu’elle ne la laissera jamais remettre les pieds dans ma vie. Selon elle, m’avoir trompé est le pire des crimes. Elle ne le lui pardonnera jamais. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que, en y réfléchissant, j’ai très envie de lui laisser une seconde chance. Après tout, j’étais très épris d’elle. Mais je ne pense pas que cela soit le moment de faire cette déclaration. Mais je me promets aussi de ne laisser personne, fût-ce ma mère adorée, me dicter ma conduite sur ce point de ma vie. Le problème, c’est qu’une autre personne fait partie de cette équation. Et que je ne peux absolument pas la tromper, comme je le fais en cet instant avec ma mère.
— Maman, déclare Caroline, tu veux bien arrêter ? C’est évident qu’il va se remettre avec elle. Il suffit de le regarder à cet instant. Rien que d’en parler, il a les yeux dans le vague. C’est à elle qu’il pense en ce moment. — Tu veux bien arrêter, Caroline ? Tu viens de te lever, tu as encore la tête sur ton oreiller et tu penses pouvoir, avec un demi-cerveau allumé, décrypter mon langage corporel sur simple base de ce que tu vois à travers la brume de tes songes ? Tu dérailles, ma pauvre ! dis-je d’une seule tirade. — C’est ça, pauvre pomme. Prends-moi pour une de tes copines. Sache que je te connais comme mon frère. Merde, tu es mon frère ! Pas de bol. Alors arrête de jouer les machos sur le retour, et assume de t’être fait griller par ta petite sœur chérie et adorée, me déclare-t-elle alors en clignotant des paupières et jouant de son air de petite fille.

Comment voulez-vous rester sérieux face à ce spectacle ? J’éclate de rire et ma sœur m’imite immédiatement. Nous partons dans un fou rire, je me lève et la prends dans mes bras en lui disant.
— Tu es vraiment une chipie, mais qu’est-ce que je t’aime, toi ! Et je lui fais un gros baiser sur la joue. — Tu ne peux rien me cacher, mon chéri. Et moi aussi je t’aime, idiot. — Quand vous aurez terminé de vous foutre de moi, tous les deux, on pourra peut-être en rediscuter sérieusement, dit ma mère en tournant les talons et en rentrant dans la maison, d’un pas martial et un rien furieuse. — On peut savoir ce qu’il lui prend ? demandé-je à ma sœur. — Tu ne comprends pas ? Elle t’aime, idiot. Et elle refuse de te voir souffrir à cause de cette pouffiasse. — C’est mon problème, je pense. — C’est ce que tu crois mon grand. Elle va tout faire pour que tu ne la revois jamais. Si tu avais vu comment elle a réagi lorsqu’elle a appris ce qu’il t’arrivait. Je n’aimerais pas être dans les parages si ton ex se représente devant maman. — À ce point ? J’en reste ébahi. Je savais ma mère protectrice. Mais pas à ce point. — Oui, à ce point. Elle va te mener la vie dure, je te préviens. Bon. Je vais prendre une douche puis un bon café. Tu m’attends ? — Si tu veux. Fais vite. Je refais du café.

Le reste de la matinée et de l’après-midi se passa sans nouvelle effusion de cris ou de colères. Mais je voyais bien que cela cogitait dans la tête de ma génitrice. Je ne sais quelle stratégie elle allait mettre en place et cela m’inquiétait un peu. Je n’eus pas longtemps à attendre. Si la journée se passa autour de la piscine, entre siestes et brasses, ma mère déclara qu’elle désirait un barbecue ce soir. Á moi de m’en occuper en tant qu’homme de la maison.
Le soir venu, j’avais préparé une salade, quelques légumes à cuire sur le feu ainsi que quelques beaux morceaux de viande. J’étais en short et tee-shirt, en train de préparer des mojitos bien frais, lorsque ma mère apparut sur la terrasse.
J’en eus un hoquet de surprise.
Elle s’était douchée, coiffée en donnant du volume à ses cheveux longs, maquillée très discrètement, mais avec un soin particulier, et arborait une petite robe d’un rouge vif que je ne lui connaissais pas, mais qui mettait parfaitement en valeur sa généreuse poitrine dont on devinait le galbe parfait, tentant de s’échapper du tissu. Elle portait un soutien-gorge qui, visiblement, rehaussait encore plus ses seins. Elle était juchée sur des talons hauts vertigineux de couleur blanche.
Je bandais d’un coup en la voyant apparaître. Dieu qu’elle était belle. Mon père ratait quelque chose.
— Wouah, dit ma sœur. Maman, tu es sexy, torride, magnifique. — Merci ma puce. Mais et vous ? Personne ne se fait beau pour moi ? — Comment ? Tu veux que nous ... demandé-je. — Bien sûr. C’est une belle soirée. Profitons-en. Alors, on se fait beau et on passe une excellente soirée tous les trois. D’accord ? — OK, dit Caroline en se levant d’un coup de son transat et se dirigeant d’un pas décidé vers sa chambre. Tu vas voir ce que tu vas voir, maman. — J’en frissonne déjà ma chérie, dit-elle en lui déposant un baiser sur la joue et en lui tapant la fesse lorsqu’elle la dépassa. — Je pense que je n’ai pas le choix non plus, dis-je. — Non. Et rase-toi, s’il te plaît. Les hommes des cavernes, ce n’est pas mon truc. Rends-toi présentable pour tes deux femmes, s’il te plaît.

Comment voulez-vous résister ? Quelques minutes plus tard, après une douche et m’être rasé de frais, je réapparus vêtu d’un pantalon bleu ciel en toile et d’une chemise blanche en lin. Les manches remontées sur mes avant-bras et laissant trois boutons ouverts sur ma poitrine. Je portais des chaussures en toiles de couleurs blanches également.
Ma mère approuva ma tenue d’un signe de tête tout en sirotant un verre de vin blanc frais.
Elle me servit un verre en attendant mes mojitos. Nous discutâmes quelques minutes de ma situation avec mon ex et elle me fit avouer que j’avais peut-être l’intention de la revoir. Je pus lire dans ses yeux une fureur contenue. Elle n’allait plus exploser comme ce matin. Mais je sentais que cela cachait quelque chose de plus profond. Je n’eus pas le temps de creuser la question, que ma sœur apparut sur le seuil de la cuisine.
Ma mère et moi en eûmes le souffle coupé.
Si ma mère est torride, ma sœur était un volcan en éruption.
Elle nous fixa dans les yeux en demandant
— Alors, maman. Cela te convient-il ?

Ma sœur était juchée sur des talons vert émeraude de douze centimètres. Ses jambes étaient libres de toute entrave puisqu’elle portait elle aussi une robe, mais de couleur blanche. Elle était ouverte sur sa poitrine, dévoilant ainsi le sillon de ses seins ainsi que leur galbe, mais surtout l’absence totale de lingerie. Elle avait relevé ses cheveux longs en un chignon assez lâche dévoilant ses épaules. Son maquillage était plus sophistiqué que d’habitude, soulignant ses yeux magnifiques et ses lèvres pulpeuses.
C’était une atteinte aux mœurs sur jambes. Et quelles jambes ! Je pense qu’à ce moment, mon cœur a manqué un battement. C’est ma sœur. Mais, bon sang, quelle bombe anatomique !
— Tu es époustouflante, ma chérie, répond alors ma mère. — Merci. Je savais que cela te plairait. Bon. On les boit ces mojitos ?

Ma sœur, assise dans son fauteuil, buvait son verre doucement, mais, assis en face d’elle, je pouvais voir que son absence de lingerie était totale. Elle écarta un rien les jambes et d’un clin d’œil me laissa regarder sa chatte parfaite. Je n’en revenais pas. Nous repartions dans une autre dimension.
Mais ma mère qui n’était pas dupe du jeu de séduction de ma sœur, ne voulait pas rester en reste.
— Alexis, ressers-moi un verre s’il te plaît, me demanda-t-elle.

En revenant vers elle, je constatais qu’elle avait descendu le bord de sa robe, ce qui me permettait de reluquer sa magnifique lingerie noire qui bombait sa poitrine. Ses seins en étaient arrogants et ne demandaient qu’à s’échapper de leur prison de dentelles.
— Merci mon chéri. Je me suis mise aussi à l’aise. Tu aimes ? — Maman, tu ne vas pas recommencer ? dis-je tout en espérant le contraire. — Mais bien sûr que si. N’est-ce pas Caroline ? — Bien sûr. Je ne me suis pas encore touchée aujourd’hui. Et je commence à en avoir envie. Tu as dû voir que je commence même à mouiller un peu, Alexis. — Oooh... ne va pas si vite, Caroline. Sinon, ton frère ne va pas suivre. — Mais si, maman. Au pire, il nous laisse toutes les deux et se rend dans sa chambre pour penser à son ex.

Le coup porta. Ma mère réagit immédiatement. Elle s’assit plus confortablement sur son siège et déclara.
— Pas question qu’il nous laisse. J’ai trop aimé hier soir. Et nous lui avons promis un petit quelque chose, me semble-t-il. Caroline, dit-elle en écartant les jambes, ce qui me permit de constater l’absence de sous vêtement, viens me lécher la chatte s’il te plaît. Je suis trempée tant vous m’excitez, bande de pervers. — D’accord, répondit-elle. Je te trouve irrésistible, maman.

Je regardais alors ma sœur se lever dans un geste d’une grâce absolue, se diriger vers sa mère dont les jambes s’écartaient lentement, ses mains s’emparant de chacun de ses seins et les sortant enfin de leur prison de tissus. Elle étirait doucement ses tétons déjà érigés lorsque ma sœur me présenta son fessier parfait en s’agenouillant entre les jambes maternelles puis, retournant la tête, me dit dans un souffle et d’une voix suave.
— Si tu approchais pour mieux voir ce que tu fantasmes depuis des années, Alexis ? Je vais passer ma langue sur la chatte de maman et je vais boire sa mouille. Tu vas voir qu’elle en a beaucoup. Alors, s’il te plaît, viens près de moi et joue les voyeurs. J’aime m’exhiber et je raffole de ton regard sur nos corps offerts. Profite maintenant. Regarde ma langue sur sa chatte et mes mains sur son corps. Tu devrais adorer ! Et cela va me faire mouiller aussi ma petite chatte qui n’attend que cela.

Ma queue me faisait mal tant je bandais dans mon pantalon. Les deux femmes eurent le même réflexe de regarder mon sexe emprisonné et satisfait, se souriant l’un l’autre, ma mère attrapa l’arrière de la tête de ma sœur pour la pousser sur sa chatte déjà trempée. Ma sœur, de son côté, tendit un bras pour agripper le sein maternel tout en sortant la langue et la dirigeant vers le clitoris érigé de notre mère.
J’allais vraiment, pour la première fois de ma vie, assister au spectacle magique de deux femmes qui se caressent et se lèchent.
Et il s’agissait de ma mère et de ma petite sœur.
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