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L'Histoire mène à tout...

Chapitre 10

Le choix !

Voyeur / Exhibition
C’est peu dire que ma requête fut accueillie avec stupéfaction.
Vanessa resta interdite durant de longues secondes. Sa bouche ouverte montrant non seulement son incrédulité, mais aussi une part de scepticisme.
Son regard se perdit dans le mien pour y chercher une trace de sarcasme ou de moquerie.
Je la laissais encore quelques instants à ses réflexions, mais pas assez longtemps pour lui permettre de mettre au point une quelconque stratégie de défense. Je doute de toute façon qu’elle en cherche une ; car, si elle est bel et bien ce qu’elle vient de me décrire en confirmant les confidences de ma mère, elle ne devrait pas hésiter longtemps.
Baiser le fils, la mère et la sœur, ce n’est plus un fantasme, c’est carrément le paradis.
Mais ne voulant pas risquer une volte-face, je reprends avec, cette fois, toute l’honnêteté dont je suis capable
— J’accepte de retenter une relation avec toi, Vanessa. Mais cela ne pourra se faire qu’avec une totale confiance dans tes actes. Les miens te sont acquis depuis nos fiançailles. Je n’envisageais jamais de te mentir ou de te tromper. Mais je ne suis plus certain de toi. Tes actes passés m’ont convaincu d’être beaucoup plus ferme avec toi. Tu devras donc te soumettre ou disparaître de ma vie. Le choix te revient. Pèse bien les termes de ta réponse, car je ne te laisserai pas d’autre chance. — Qu’attends-tu exactement de moi ?
Je ne peux que jubiler en entendant cette réponse. Elle confirme, au minimum sa curiosité et probablement son intérêt.
— J’exige ta soumission ! Ni plus, ni moins ! Une soumission totale. Morale et sexuelle. Tu exécuteras mes désirs qu’ils soient vestimentaires ou alimentaires. Tu ne t’appartiendras plus. Je serai ton « maître », même si je n’aime pas trop la connotation absolue de ce mot et tu seras docile, soumise et obéissante à toute requête de ma part, dans les délais que je t’indiquerai. Tu ne pourras jouir qu’avec mon consentement. Sache que je tiendrai compte de tes besoins dans ce domaine. Tu auras la liberté d’agir à ta guise afin de soulager tes envies sexuelles, mais uniquement après mon consentement.
Elle a un hoquet de stupeur en entendant la litanie de mes demandes. Cela va totalement à l’encontre de ses valeurs. Elle se considère comme une femme libre, elle ne voulait d’ailleurs pas me jurer obéissance devant l’autel de notre mariage. Elle a une dernière chance de refuser. Après, ce sera trop tard.
— Je conçois que je te choque par ces demandes. Elles heurtent probablement ta sensibilité féminine ainsi que tes choix de vie. Réfléchis simplement aux conséquences. C’est à prendre ou à laisser. Mais je te le répète, ce sera ton unique chance. Si tu refuses, tu quitteras demain cette maison et cette famille pour ne plus jamais y revenir ou avoir de contact avec moi. Sache enfin, pour compléter ce que je te demande, que jamais je ne te traiterai mal. Tu auras mon amour éternel, mon respect de ton corps et de ta personne et que jamais tu ne souffriras par ma faute. Je m’y engage comme on s’engage pour la vie. Je te laisse la nuit pour y réfléchir. Demain, au réveil, tu me donneras ta réponse. J’ajoute ainsi une dernière requête. Fais-moi comprendre ton accord ou ton refus. Comme tu l’entends. Je ne veux pas de paroles. Gestes, regards, ce que tu veux. Mais n’en parle pas devant ma famille. Je veux les faire languir. Je veux que ma mère et ma sœur s’interrogent encore sur ta présence à nos côtés et sur ton éventuel séjour. Pas question de leur mettre la puce à l’oreille. As-tu compris l’entièreté de mes demandes ? — J’ai parfaitement compris, Alexis. Soumission totale et obéissance absolue en échange de mon bonheur que tu t’engages à me fournir, y compris mon bonheur sexuel. Du plaisir à la carte et du sexe selon ton bon vouloir. Mais en respectant mes besoins et mes propres envies. Enfin, aucune discussion actuellement sur le sujet devant ta famille. Ma décision, quelle qu’elle soit, doit te parvenir demain matin durant le réveil ou le petit-déjeuner. Ai-je bien tout noté professeur Alexis ?
Une dernière pique avant un changement de vie, si elle l’accepte. Je ne peux que m’incliner en lui souriant et en répondant.

— Tu as parfaitement résumé le choix qui s’offre à toi. Dernière remarque, pas question de notions de « maître » et de « soumise » au sens BDSM. Jamais. Je viens de te dire que je te traiterai avec le plus grand respect et mon amour. Je m’accommode mal de ces termes dans ces conditions. Tu me donneras un surnom si cela t’amuse, mais cela viendra uniquement de toi. Jamais de moi. — Je te remercie pour cette précision. Elle est capitale pour moi. Et bien ! Si, en montant dans mon train ce matin, je m’étais imaginé la fin de journée, peut-être ne serais-je jamais venue.
Je souris.
— Tu aurais alors probablement raté la plus belle opportunité de ta vie.
Elle rit en reprenant.
— Ne t’emballe pas, joli cœur. Tu n’as pas encore mon accord et je ne suis pas certaine de te l’accorder. Tes conditions sont élevées. S’il est vrai que je t’aime toujours avec passion et que je t’ai promis de tout faire pour continuer à t’aimer, mais tu avoueras que tu m’en demandes beaucoup. — Tu as parfaitement raison, Vanessa. C’est beaucoup. Mais c’est à la hauteur de ta tromperie et de tes nombreux mensonges. C’est à prendre ou à laisser. Je n’accepterai qu’à toutes mes conditions sans négociations. — Pas moyen de négocier ? — Nullement. — Bien. Je vais y réfléchir jusqu’à demain. Je présume que tu souhaites me voir m’éclipser maintenant ? — Pas spécialement. Si tu veux encore profiter de la soirée, libre à toi. Tu es chez toi. — J’ai une dernière question. — Je t’écoute. — Tu veux que je baise avec ta sœur et ta mère. Très bien. Mais qu’est-ce qui te fait dire qu’elles vont accepter de coucher avec une femme ? Que je sache, elles sont hétéros ?
J’attendais cette question un peu plus tôt. Et je commençais vraiment à m’inquiéter. Soit elle en savait plus que ce qui m’avait été dévoilé et j’allais perdre mon pari, soit elle était certaine de son charme et d’arriver à séduire les femmes de ma famille. Je souris à l’idée qu’elle tente de me piéger à mon propre jeu. Elle pense, à cet instant, que cet obstacle à mes demandes les rendra impraticables. Mon sourire inquiète subitement Vanessa.
— Qu’est-ce que tu ne me dis pas ? — Tu veux encore essayer d’échapper à ton destin par un dernier tour de passe-passe. Tu penses que, ni ma mère, ni ma sœur, n’accepteront tes avances pour la simple et bonne raison qu’elles sont hétérosexuelles. Je remarque avec plaisir qu’il s’agit de la seule opposition que tu montres à mes projets. J’en suis heureux. Et si je te disais que chacune pourrait répondre à tes avances, qu’en dirais-tu ? — Que je demande à voir. Je n’y crois pas une seule seconde. — Viens !
En emmenant Vanessa par le bras, je rentre avec elle dans la maison.
— Enlève tes talons hauts, ils vont raisonner dans toute la maison. — Pourquoi ? — Fais-moi une dernière fois confiance. Tu ne le regretteras pas.
En montant les escaliers, je ne distingue aucun son provenant de la chambre maternelle. J’ai soudain peur d’arriver trop tard et que notre conversation ait été trop longue. Une raie de lumière me rassure un peu. Au moins, ma mère ne dort toujours pas. La porte entre-ouverte amène alors un soupir de plaisir à mes oreilles. C’est gagné. Elles sont toujours en train de baiser.
En plaçant mes lèvres contre l’oreille de Vanessa, je lui glisse en chuchotant.
— Regarde par l’ouverture. Tu auras ta réponse. Mais ne fais pas le moindre bruit !
Ne voulant visiblement pas comprendre les implications de ma demande, Vanessa s’approche sur la pointe des pieds devant la porte.
En observant à l’intérieur, ses mains se portent à sa bouche et elle retient un cri de surprise.
Elle reste immobile face à ce qu’elle regarde durant de longues secondes. Elle tourne la tête vers moi en tentant de nier ce qu’elle voit. Mais son regard retourne bien vite dans la chambre d’où des soupirs d’aise me parviennent à présent. Je reconnais ma mère qui râle sous les assauts de ma sœur.
Durant un bon moment, Vanessa observe les deux femmes se donner du plaisir. Il me semble que je n’existe plus pour elle. Elle est prise par le spectacle qui s’offre devant elle. Je m’approche lentement et me plaçant derrière elle, je chuchote en plaçant mes mains sur ses hanches.
— Es-tu encore certaine de tes convictions ?
Sa tête se balançant de droite à gauche, elle me répond en silence.
Je remarque que ses mains caressent à présent le tissu de sa robe et qu’elle la remonte au-dessus de sa lingerie. En me reculant, j’observe qu’il s’agit d’un string en dentelles blanches.
Je reste à ma place et je décide de profiter du triple spectacle un instant.
Je vois à présent ma sœur, couchée entre les jambes maternelles, qui lèche et suce avec avidité la chatte offerte de ma mère. Cette dernière caresse sa poitrine en malaxant ses seins et en étirant ses tétons. Ses soupirs sont retenus afin de ne pas éveiller notre attention. La main gauche de Caroline s’infiltrant entre ses propres cuisses, qu’elle caresse lentement, les effleurant du bout de ses ongles rouges avant de passer son majeur entre les lèvres luisantes de son sexe. Elle se caresse en suçant notre mère. Ce spectacle à lui seul me donne une érection incroyable. D’autant plus que la situation est critique pour moi.
Cela passe ou cela casse.
Mais je compte sur la libido exacerbée de Vanessa pour refermer définitivement mon emprise sur ses sens et sur sa volonté. En observant cette dernière, je constate que sa main a disparu à l’intérieur de son sous-vêtement. Elle se touche à son tour la chatte.
J’ai envie de hurler de joie. J’y suis arrivé. Elle est en mon pouvoir.
Je ne me savais capable d’une telle chose. La manipulation n’est pas vraiment ma spécialité. J’ai toujours plutôt été floué que l’inverse. Il faut croire que les derniers jours m’ont ouvert les yeux et on laissé s’échapper mon côté dominateur. Tout romantisme m’a, dans les circonstances actuelles, quitté. Je ne suis plus qu’une machine obnubilée par le but qu’il s’est fixé. Cette dernière constatation m’inflige, le temps d’un battement de cil, un petit mouvement de recul, un reste de conscience me disant que mes actions ne sont pas morales et qu’elles ne me correspondant absolument pas.
Mais la seconde suivante, toutes les duplicités auxquelles j’ai été confronté me reviennent en mémoire. C’est à mon tour de jouer.
Vanessa a, à présent, deux doigts au fond de la chatte et elle caresse ses seins par l’ouverture de son décolleté. Pas question de la laisser jouir. Cela ruinerait ma stratégie. Elle doit être sentir le désir monter en elle sans avoir le temps de le satisfaire.
Je la tire doucement par le bras en plaçant mon index sur ses lèvres, lui intimant ainsi l’ordre de ne pas faire de bruit et nous redescendons silencieusement sur la terrasse.
En lui resservant un verre de vin, je lui demande.
— Alors ? Convaincue à présent de la double possibilité qui s’offre à toi ? — Je n’en reviens pas. Ta mère et ta sœur baisent ensemble ! Elles ont bien caché leur jeu, ces deux-là. Elles sont vraiment chaudes. C’est dingue. Quand je pense qu’elles m’ont...
S’arrêtant dans sa remarque, elle me regarde les yeux un peu inquiets de ce qu’elle n’a pas dit. Se demandant jusqu’à quel point furent précises les explications maternelles concernant son comportement vis-à-vis des membres de ma famille.
Je la rassure alors sur ma parfaite connaissance des faits en terminant sa phrase.
— Qu’elles t’ont éconduite alors que tu leur as fait des avances sexuelles, leur demandant sans détour de coucher avec elles. Je suis au courant, Vanessa. Je t’ai déjà expliqué que ma connaissance de toutes tes frasques m’est à présent connue.
Je mens un peu en lançant cette affirmation. Je suis bien certain de ne pas tout connaître. Mais si elle tombe dans mes filets, elle sera obligée de tout m’avouer. Donc, ce n’est qu’un mensonge temporaire.
— Je vois, répond-elle. — Voilà la situation dans son ensemble, Vanessa. Les cartes sont dans tes mains. Tu baises avec Caroline et Sabine, tu te soumets à ma volonté et nous vivrons ensemble, heureux et comblés pour un long moment. Comme je te l’ai expliqué, tu respectes nos engagements et tu me donnes le signal, positif ou négatif, demain matin. — Mais comment veux-tu que je baise ta sœur et ta mère, qui, je te le rappelle tout de même, m’ont envoyé sur les roses la dernière fois que j’ai proposé cette... rencontre ? — Il me semble que je viens de te donner un magnifique moyen de pression ? Non ?
Je laisse cette idée faire son chemin dans sa tête et, à sa figure, je constate qu’elle m’a parfaitement comprise.
— Tu veux dire... les faire chanter ? — Tu vois un autre moyen ? — Tu es capable d’aller jusque-là ? Jusqu’au chantage ? — Sans hésitation. Je déteste être pris pour un imbécile, Vanessa. Tu devras t’en souvenir à l’avenir. Quelle que soit ta décision. — Très bien. Je te laisse maintenant. J’ai à réfléchir. Bonne nuit, Alexis !
Un peu surpris par la rapidité qu’elle veut mettre à me quitter, je fronce un peu les sourcils, et puis, je comprends. Elle veut, soit remonter assister à la fin du spectacle, soit aller soulager rapidement le feu que j’ai allumé dans son ventre et plus particulièrement dans sa chatte. Je suis certain qu’elle mouille encore son string du spectacle offert à ses yeux ébahis, dans la chambre de ma mère.
— Bonne nuit, Vanessa ! Que tes rêves soient propices à ta décision.
Je la laisse s’éloigner en lui tournant le dos et en terminant mon verre de vin.
Puis, prenant les cadavres de notre soirée, je les dépose dans le lave-vaisselle, range la bouteille dans le frigo et termine le rangement en quelques minutes. Ce temps écoulé me permet de faire une ultime vérification de ma machination. Je me dirige, d’un pas léger, non pas vers ma chambre, mais vers celle allouée à mon invitée. Je veux en avoir le cœur net.
En collant mon oreille à la porte, je l’entends s’affairer dans sa salle de bain. J’en profite pour ouvrir tout doucement sa porte, ne laissant paraître qu’un minuscule filet de lumière dans le couloir. J’ai, par ce stratagème, une vue parfaite de son lit.
Je la vois, l’instant suivant, sortir de sa salle d’eau, en nuisette en soie. Elle est vraiment belle. Si elle accepte mon marché, je reprendrai un plaisir sans nom avec elle.
Je la regarde s’installer dans son lit, couper le plafonnier et ne laisser que sa lumière d’appoint allumée. J’entends presque son cerveau fonctionner. Elle doit cogiter à toute vitesse, pesant le pour et le contre de ma proposition. Le geste que j’attends ne tarde, cependant, pas. J’observe ses mains enrober ses seins, comprimés par le tissu de son vêtement. Elle passe ainsi le bout de ses doigts sur ses tétons, déjà érigés et semblant vouloir transpercer la soie. Elle est surexcitée. Sa main droite descend rapidement vers une autre source de son plaisir. Je remarque le mouvement significatif sous le fin drap dont elle s’est recouverte. Ses yeux se ferment, je sais qu’elle revoit la scène à laquelle elle a assisté malgré elle.
C’est dans la poche.
Si tout ce qu’on m’a dit sur elle est vrai et si ses confidences ont un semblant de vérité, elle ne résistera jamais au plaisir infini que je lui promets. Son orgasme est rapide. Elle a été chauffée à blanc par ma mère et ma sœur. Et probablement un peu par mes confidences et ma détermination. Je sais qu’elle aimait parfois, lors de nos jeux, être dominée. Elle en ressentait un plaisir plus important que d’habitude. C’est aussi ce qui m’a décidé à tenter le coup avec elle. Elle gémit fort en poussant sa main au fond de son vagin. Je remarque qu’elle s’est tendue comme un arc sous son drap et que ses seins semblent exploser de son plaisir, tentant de s’échapper de sa nuisette devenue trop serrante.
— Putain ! Que c’est bon ! Quelles salopes !
Je souris à cette phrase.
En reculant vers ma chambre, je sais que tout est parfaitement en place pour commencer à m’amuser avec ces trois femmes. Demain sera LE jour de vérité.
Mais je suis confiant. Je sais que Vanessa va se soumettre.
Ma sœur et ma mère se laisseront-elles manipuler par elle à leur tour ? Le chantage n’est pas particulièrement glorieux. Mais bon sang, quel pied cela va être !
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