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L'Histoire mène à tout...

Chapitre 11

Le choix !

Erotique
Ma nuit fut, à ma grande surprise, absolument calme et reposante.
Alors que je m’attendais à passer un moment agité et angoissant, il n’en fut absolument rien. À croire que les derniers rebondissements de mon petit stratagème ont eu le don de calmer définitivement toutes les craintes qui peuvent m’assaillir alors que je viens de terminer la mise en place de ma vengeance vis-à-vis des femmes de ma famille.
Qu’il me soit permis, à ce moment de mon récit, de faire une petite parenthèse. Je remarque avec effroi avoir plusieurs fois employé le mot « vengeance » à propos de ma mère, Sabine et de ma sœur, Caroline. Croyez bien, chers lecteurs et chères lectrices, qu’il ne s’agit pas d’une vengeance au cours de laquelle je leur souhaite douleur, peine et souffrance. Nullement.
Il n’a jamais été question de rien moins que de tout cela. En fait, il s’agit plutôt d’un jeu. Un jeu parfois aux limites du bon goût, je vous l’accorde, mais un jeu auquel les membres de ma famille sont habitués. Mon père a toujours, avec l’accord et l’aide de ma mère, entrepris de nous octroyer, à ma sœur adorée et moi-même, votre serviteur, une éducation basée sur la révolte et l’esprit guerrier lorsque se présente à nous une difficulté ou un obstacle. Mais aussi à ne jamais se laisser marcher sur les pieds, par qui que ce soit.
Ainsi, les petits coups en douce ont toujours été légion entre nous, et cela afin d’aiguiser notre sens des responsabilités, mais aussi notre sens du double jeu. Mon père et ma mère ayant dû, très tôt faire face, dans leurs carrières professionnelles, à ce genre de comportement. Ils se sont alors juré que jamais leurs enfants, perles de leur vie, n’auraient à subir ces affronts. Ils nous ont ainsi inculqué la rébellion face à l’injustice, la combativité face aux actions iniques et enfin, l’esprit d’analyse indispensable pour défaire n’importe qui souhaitant se jouer de nous.
Cette parenthèse, qui me semblait indispensable pour la bonne compréhension de mon récit, vous explique ainsi le pourquoi de mes dernières actions et de mes dernières cogitations.
La pauvre Vanessa va, ainsi en faire les frais, à mon grand regret. Si je lui ai promis une vie commune à laquelle elle semble aspirer plus que tout, je n’ai, pour le moment, absolument pas l’intention de lui pardonner ses nombreuses incartades, ni lui rendre la tâche facile. Ainsi, à l’heure où je vous parle, lorsqu’elle aura rempli le contrat que nous allons passer, du moins je l’espère, dans quelques instants, elle sera priée, avec force et vigueur, de rentrer chez elle et d’attendre un éventuel appel de ma part. Appel qui, bien sûr, ne devrait jamais venir.
Après tout, si elle a joué avec mes sentiments, rien ne m’interdit de jouer avec les siens. Je remarque également que mon comportement a changé radicalement depuis la découverte des habitudes de ma sœur et de ma mère. Je dois bien admettre que cela m’excite. Et à un point que vous pouvez, je le pense du moins, imaginer. Si ces tabous sont difficilement acceptables pour le vulgum pecus que constitue l’ensemble de la population, il n’en reste pas moins que briser ce qui est interdit par la morale n’en est que proportionnellement satisfaisant en termes de libido.
Il va m’être compliqué de revenir à une sexualité plus traditionnelle, si j’ose m’exprimer ainsi. Mon côté dominateur et autoritaire est visiblement en train de prendre le pas sur le sage et gentil garçon que je suis en temps normal. Et je dois avouer que ce n’est pas pour me déplaire. Adieu donc le petit Alexis bien cadré dans le moule de la société et bienvenue au mâle alpha. Du moins, si je peux atteindre un tel niveau d’autorité. L’avenir nous le dira.
Bien.

Reprenons alors la suite du récit...
Me levant tôt, ma douche prise en quelques minutes, je sors alors sur la terrasse après avoir lancé la confection d’un café. Le soleil, en train de se lever sur les collines avoisinantes, laisse apparaître, par la magie de Dame Nature, des couleurs merveilleuses, colorant la terrasse et la piscine mieux que le plus doué des peintres.
Après ma troisième tasse de café, et après avoir vérifié l’état de la piscine, formalité nécessaire sous ces chaleurs lorsqu’elle accueille un bon nombre de baigneurs, et ce plusieurs fois par jour, un bruit attire mon attention dans la cuisine. Par la porte-fenêtre de la véranda, j’aperçois Caroline.
Ses cheveux en bataille mangeant une partie de son visage et son pas traînant m’indique qu’elle a passé une nuit agitée et que son opération réveil de bon matin ne s’est pas passée selon ses prédictions.
Une tasse de café à la main, elle se dirige vers moi sans un sourire, ce qui confirme parfaitement ma première impression.
—’lut, Alex ! bien dormi ?
Alex ! Lorsqu’elle m’appelle ainsi, elle est soit bourrée, soit crevée. Il m’est simple d’identifier la cause de ces borborygmes ignobles qui sortent de sa parfaite bouche.
— ’ jour Caro ! Je lui réponds sur le même ton, signifiant ainsi mon désaccord sur ce diminutif.
Elle déteste également être appelée ainsi. Notre mère nous ayant éduqués dans le respect des prénoms. Je continue alors sur un ton adouci.
— Très bien, je te remercie. Et toi ? — Ca va ! On t’a attendu, hier soir, avec maman. — Désolé de vous avoir manqué. Cela devait être un très beau programme, surtout vu l’état avancé de maman. — Ouais. Tu as raté un truc sympa. Et l’autre ? On en fait quoi aujourd’hui ?
Je souris à cette évocation. « L’autre ». La pauvre Vanessa n’est pas au bout de ses surprises et de ses difficultés, dirait-on !
— L’autre, comme tu l’appelles, est mon invitée et mon ex-fiancée, Caroline. Je te demanderai, à l’avenir, de ne pas lui manquer de respect. Car si elle s’est comportée comme la dernière des traînées avec moi, c’est aussi une femme qui a compté dans ma vie. Et vu que je ne suis pas un homme dénué d’une bonne éducation et d’un minimum de respect vis-à-vis des autres, je n’ai pas l’intention de m’abaisser à son niveau. Papa et Maman ne nous ont pas éduqués ainsi. Alors, ne t’abaisse pas aux insultes. Je te remercie par avance. — Dis donc ! Je rêve ou tu viens de prendre sa défense ? S’il me fallait un moyen de me réveiller, tu viens de me le donner. Tu rigoles, là ? Alexis, ce n’est pas vrai ? — Je ne prends pas sa défense, je te demande de ne pas t’abaisser au niveau du caniveau dans lequel elle s’est vautrée. — Mwouai ! Tu n’es pas très convaincant. Mais j’accède à ta demande. Je te promets de ne plus lui faire de remarques désobligeantes... du moins tant qu’elle sera parmi nous. Ce que j’espère être le plus court moment possible. — Merci beaucoup.— Alors ? Pourquoi ne nous as-tu pas rejoints hier soir, après avoir envoyé cette chère Vanessa dans son lit pour faire un gros dodo ? — Parce que nous avons discuté jusqu’à plus d’heure. Tout simplement. Et qu’à l’heure où je suis allé me coucher, vous deviez ronfler du sommeil du juste et de l’orgasme, dis-je en riant. — Tu as discuté avec elle ? Mais... de quoi ? Qu’as-tu encore à lui dire si longtemps ?
Face à cette demande, je reste muet. Je regarde Caroline droit dans les yeux en levant ma tasse de café à mes lèvres. J’adore la faire languir et je vois les mille questions qui assaillent son cerveau sont fertiles. J’adore ces moments où je joue avec elle. Soudain, elle éclate
— NOOOON !
Puis se radoucissant, ne voulant pas éveiller quiconque.
— Ne me dis pas que toi et elle... ? Non, ce n’est pas possible, pas après ce qu’elle t’a fait ? — De quoi parles-tu ? Dit avec l’innocence d’un nouveau-né. — Tu vas te remettre avec elle ? — Nous n’en sommes pas là. — Ouf ! — Mais c’est une possibilité. — Merde, Alexis. Réveille-toi. Elle va recommencer dès que tu auras le dos tourné. — Tu me prends donc vraiment pour un naïf ! dis-je, faisant ainsi référence à l’une de nos précédentes discussions. — Tu n’es pas naïf, Alexis. Juste... rhoooo, Alexis, il n’est pas difficile de te surprendre. C’est tout ce que je voulais dire. — Merci. Sache que je sais parfaitement ce que je fais. Maman te l’a dit, hier soir, en te faisant signe de te taire. Elle me fait confiance. Fais donc de même. — D’accord. Je vais te faire confiance, comme maman. — Merci. Tu es magnifique dans cette nuisette rose.

Ce changement de sujet lui indique clairement que je ne veux plus discuter de Vanessa. Elle rosit en m’entendant.
— Merci. Je suis ravie qu’elle te plaise. Mon dernier coup la trouvait vulgaire. — Quel con ! Tu es superbe.

Il faut admettre que c’est un con. Sa nuisette rose est ajourée par de la dentelle sur sa poitrine, permettant de détailler par transparence une partie de son opulente poitrine, gonflant le tissu et laissant deviner ainsi les trésors que ce vêtement tout symbolique recèle.
C’est le moment que choisit ma mère pour faire son apparition sur la terrasse. Elle aussi ne semble pas parfaitement éveillée. Ses cheveux sont dans le même état que ceux de ma sœur et son pas un peu lent. À son approche, je constate que je viens de faire fausse route. Ses yeux sont parfaitement en alerte et elle dispose déjà de toutes ses facultés.
S’asseyant à nos côtés en déposant sa tasse de café fumante, elle nous salue en disant.
— Bonjour mes amours ! Quelle nuit ! Je n’ai pas dormi avec toute la quiétude nécessaire. — Je pensais que c’était à cause de Caroline, dis-je.

En riant, ma mère me rétorque.
— Nous nous sommes bien amusées... si je me souviens bien. J’étais bien bourrée. Les enfants, vous m’avez fait boire plus que de raison. — NOUS ? Répondons-nous en cœur. — Maman, dit Caroline, tu as fait ça toute seule. — Je confirme. Je n’y suis pour rien. — Vos têtes... ahahaha... Si vous vous voyiez. Je sais, mes amours. Tout vient de moi, j’ai un peu abusé de la bouteille. — Pourquoi ? Tu avais envie de te prendre une cuite, maman ? Dis-je alors que je connais que la raison de cette attitude dort encore dans la chambre du bas. — Parce que Vanessa est dans ma maison, Alexis. Uniquement parce que cette... femme a dormi à dix mètres de moi. Voilà pourquoi. — Je viens de lui faire la leçon, maman. Tu arrives trop tard. — Je sais. Je me doute que cette présence n’est pas à ton goût non plus, ma chérie. — Quand vous aurez terminé, toutes les deux, je vous signale que je suis là. Comme je te l’ai demandé hier soir, maman, et comme je viens de le demander à Caroline, faites-moi confiance, s’il vous plaît. Cela ne devrait pas durer. — C’est toi qui le dis, énonce ma sœur. Maman, il vient de me dire qu’il envisage de se remettre avec Vanessa. — Ce n’est pas ce que j’ai dit. — Qu’as-tu dit, alors ? Demande ma mère. — Rien de particulier, maman. Si ce n’est que nous avons discuté une bonne partie de la nuit avant de nous souhaiter une bonne nuit sans effusion. N’y voyiez rien de précis, ni rien de particulier. Il était juste temps pour nous de discuter de notre situation et mettre les points sur les i. Une bonne fois pour toutes. Comprenez bien que j’ai également envie de comprendre pourquoi elle m’a fait un coup pareil. Je ne désire pas revivre une telle expérience dans le futur. Je veux simplement lui faire avouer le pourquoi. Est-ce trop demander ?— Très bien. Bon, je vais prendre une douche et me donner un visage humain avant le lever de la Belle au Bois dormant. Tu comptes la garder longtemps ? Demande alors ma mère.

C’est la question à laquelle je voudrais déjà avoir la réponse. Mais je réponds.
— Honnêtement, je ne sais pas encore. Nous devons encore un peu discuter. Je n’ai pas encore eu de réponse satisfaisante pour mon ego. Puis, nous verrons. — D’accord mon chéri. Si tu en éprouves le besoin, je te soutiens et j’ai confiance en ton jugement, me dit-elle en embrassant mon front avant de tourner les talons et de se diriger vers sa chambre. Ma sœur l’imitant au même moment.

Resté seul sur la terrasse, je décide alors de m’activer. Je monte me changer, je prends les clés de ma voiture et je quitte la maison après avoir prévenu ma mère que je vais au marché chercher de quoi nous sustenter aujourd’hui.
De retour, une grosse heure plus tard, je constate avec ravissement que Vanessa est levée et pimpante dans sa robe légère. Elle porte des ballerines aux pieds. M’apercevant, elle vient à ma rencontre pour me dire
— Bonjour, Alexis ! Tu aurais dû me réveiller. Je serais venue avec toi. — Bonjour, Vanessa ! Tu dormais trop bien. Tu devais en avoir besoin. — C’est vrai ! Me dit-elle en remontant mes courses avec moi dans la cuisine. — Tu as vu ma mère et ma sœur ? — Non, pas encore. Je ne pense pas qu’elles désirent vraiment ma présence ici. Alors, elles restent en haut visiblement. — Non, ce n’est pas cela. Elles étaient debout ce matin. Mais ne t’inquiète pas. Elles ne te feront aucune remarque désobligeante. Je t’accorde que le timing prévu pour me donner ta réponse était mal choisi. Tu devras me la donner avant la fin du déjeuner. As-tu bien compris ? Bon, salade pour midi et barbecue pour ce soir. Cela te convient ? — Parfait pour moi. Et ta famille ? — Parce que tu penses qu’elles vont discuter ? Je propose de tout faire et de les laisser lézarder devant la piscine et toi, tu penses qu’elles vont râler. - Vue de cette façon, évidemment, pouffe-t-elle en me répondant. — D’ailleurs, tu devrais aussi en profiter. La piscine ne mord pas et les fauteuils non plus. — OK, je reviens.

Quelques minutes plus tard, après être allé chercher ma sœur et ma mère dans leurs chambres et leur signaler que Vanessa était au bord de la piscine, je m’attelle à la préparation du repas.
En lorgnant par la fenêtre, je constate que nous avons affaire à un combat, non pas de coq, mais d’autruche. Chacune de ces dames faisant ressortir son plus beau plumage pour ne pas se démarquer des autres.
Ma sœur bronze, couchée sur son transat, les seins nus. Son string minimaliste ne cachant pas grand-chose de son sexe. La mince ficelle se cachant en partie entre les lèvres de sa chatte, qu’elle a épilée de frais. Vision torride s’il en est. Ma mère porte toujours l’entièreté de son bikini. Mais elle a resserré le tissu couvrant le contour de ses seins en une mince ficelle ne cachant plus que ses tétons, que l’on devine excités par le frottement du tissu devenu, par la force des choses, plus épais. Vanessa, quant à elle, porte un maillot blanc du plus bel effet. Et sa sortie de l’eau azur n’est passée inaperçue pour personne autour de la piscine. Quelle provocatrice ! Son haut est devenu transparent, permettant ainsi de distinguer l’ensemble de ses seins. Son bas, quant à lui, composé d’un string également plutôt minimaliste, ne cachant pas grand-chose de sa chatte et des quelques poils qui restent accrochés à son pubis.
Je bande comme un malade en lavant la salade dans l’évier. Je n’ose imaginer ce que donnerait un trio entre ces femmes fatales. Mais c’est le but de la manœuvre, avec votre serviteur en maître de cérémonie. Après tout, on se veut alpha ou pas.
Tout va dépendre des prochaines minutes. Vanessa va devoir bientôt me donner sa réponse. Quoique son petit manège semble indiquer qu’elle est tentée de relever mon défi et d’accéder ainsi à mes demandes.
Nous allons voir.
— Mesdames, que diriez-vous d’un petit apéritif léger avant de passer à table ? — Que proposes-tu ? Me demande ma mère. — Un rosé du pays que je viens d’acheter au marché. Il est fruité et léger. — OK pour moi, dit ma mère. — Moi aussi, répond ma sœur. — Avec plaisir, termine Vanessa. — D’accord, j’arrive.

Quelques instants plus tard, je dépose un ravier d’olives vertes sur la table ombragée avant de distribuer les commandes, en imitant un serveur d’un grand restaurant. Ce qui fait pouffer de rire ma petite sœur adorée.
De retour dans la cuisine, je ramène le reste du repas et m’assieds sur ma chaise, derrière la table.
— Vous pouvez venir manger quand vous le voulez. Le déjeuner est prêt.

À l’unisson, les trois femmes se lèvent et se dirigent vers moi.C’est alors que je reçois ma réponse.
Le string de Vanessa tombe au sol, comme si les ficelles le maintenant en place s’étaient détachées par inadvertance et je remarque aussi que ses seins sont sortis de leur cachette.
Elle est maintenant nue devant moi. Son bikini, du moins ce qu’il en reste, ne cachant plus rien.
Mes yeux sont grands ouverts face à ce spectacle. Car, croyez-moi sur parole, il en vaut la peine.
En me voyant dans cette posture, ma mère et ma sœur se retournent alors en un mouvement souple pour constater l’état de mon invitée. Celle-ci feint la surprise et l’étonnement avant d’éclater de rire, déclarant.
— Oups... que je suis gourde ! Mais bon, Alexis me connaît et nous sommes donc entre femmes. Ce n’est pas bien grave.

Puis, comme si elle réfléchissait dans l’instant, elle ajoute, dans une supplique digne d’un oscar à Hollywood.
Cela vous dérange si je mange en enlevant mon maillot ? Il est encore humide et je déteste le porter ainsi.
Ma sœur et ma mère restent médusées en entendant cette requête. Les devançant, je rétorque.
— Ne t’inquiète pas, Maman et Caroline ont l’habitude de prendre leur repas nues durant les vacances. Et comme tu viens de le dire, je te connais par cœur et il ne reste que des femmes. Je n’y vois, personnellement, aucun inconvénient. Et comme elles ont l’habitude de la nudité à table, cela ne doit donc poser aucun problème pour ces dames ?

Prises à leur propre piège, ma mère et ma sœur ne peuvent que répondre par l’affirmative. Après tout, elles ont eu exactement la même attitude encore la veille. Difficile de jouer les mijaurées ou les prudes dans ces conditions.
— Fais comme tu l’entends, Vanessa. Si tu es mieux ainsi, pas de problème pour moi ni pour Caroline. N’est-ce pas ma chérie ? — Non, non. Aucun, répond ma sœur, un peu de rouge apparaissant sur ses joues.
Soit ma sœur est choquée de ma réponse dévoilant qu’elles se sont foutues à poil devant moi, soit c’est la plastique de Vanessa qui la rend toute chose. Un point pour moi. Je fais coup double.
Mais c’est le regard que me lance Vanessa, tout en passant sa langue sur sa lèvre supérieure, qui est ma meilleure récompense de la journée. Elle vient d’accepter mon défi et sera alors définitivement à moi. Elle accepte, par ce geste, de se soumettre à ma volonté et mes ordres pour son plus grand plaisir et, elle le sait maintenant, le mien.
Je sens que je vais m’amuser... et bander comme je n’ai jamais osé l’imaginer, même dans mes fantasmes les plus fous. Trois femmes superbes, libérées et en compétition l’une avec l’autre. Finalement, ces vacances qui avaient si mal débuté vont probablement se révéler inoubliables.
Et je l’espère, pas que pour moi.
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