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L'Histoire mène à tout...

Chapitre 13

Quand une femme se lâche...alors trois.

Inceste
Je me lance rapidement et silencieusement vers le bas de l’escalier lorsque des voix que je connais m’atteignent dans un chuchotement par le corridor, faiblement éclairé par le reflet de la lampe de la chambre de Vanessa
— Regarde, Caroline ! On dirait que notre invitée attend quelqu’un. — Oui, maman. Tu as raison. On ne s’endort pas dans cette tenue sans un motif valable. — Tu attends Alexis, peut-être ? Ou tu l’espères ? Demande ma mère. — Pas du tout. C’est vous que j’attendais. — Nous ? Répondit ma sœur, étonnée. — Bien sûr. Après réflexion, tu as bien dû comprendre mon allusion à peine feinte de tout à l’heure, Sabine ? Comment me faire taire si ce n’est en me faisant partager votre couche ? Et comme je suis très ouverte d’esprit, vous pensez faire d’une pierre, deux coups. — Lesquels, si je ne suis pas indiscrète ? Demande alors ma sœur. — Eh bien, acheter mon silence. Probablement en te servant du portable que tu tiens en main, Caroline, et ensuite m’obliger à quitter cette demeure et Alexis définitivement. Probablement dès demain matin au petit réveil. Je me trompe ? — Tu es très perspicace, Vanessa ! Dit alors maman. Tu as bien deviné. Tu as perdu. — À condition que je joue le jeu, bien évidemment. Si je refuse vos avances, le statu quo va perdurer et je pourrai m’incruster un peu plus longtemps entre vous. — Effectivement, dis alors ma sœur. Tu n’avais pas pensé à cela, maman. Nous avons l’air un peu stupides, là. — Ne panique pas, Caroline. Je n’ai pas l’intention de ruiner ni vos projets ni votre entente familiale. Alors, profitons ensemble de ce dernier moment. Vous savez pertinemment, toutes les deux, que j’ai envie de vous baiser depuis longtemps. Venez ! Venez faire ce pour quoi vous êtes venues. Je me soumets à vous pour notre plaisir. Vous me tiendrez après cette nuit et je ne pourrai plus agir contre vous.

En disant cela, je remarque par le miroir placé juste en face de la porte restée ouverte que Vanessa a ouvert le compas de ses jambes et qu’elle caresse sa chatte sous sa lingerie. Je peux voir ses doigts s’agiter lentement et entamer le geste d’une masturbation. Son autre main presse ses seins l’un contre l’autre et sa langue est sortie de la bouche pour lécher sa lèvre supérieure. Elle est prête.
— Maman, regarde cette salope. Elle en veut. — Tu as raison, Caroline. Alors, comme elle vient de le dire, profitons-en. Tu m’aides à m’occuper d’elle ? — Volontiers. Elle m’excite quand même avec ses gros seins.

Comme j’ai pris soin de lancer l’enregistrement vidéo sur mon téléphone, je n’ai rien raté de leur échange. Je filme à présent ma mère qui retire ses derniers remparts et ma sœur, portant toujours son string et son soutien-gorge, qui s’est déjà installée entre les jambes de Vanessa.

Je bande comme un cerf.
Ce que je vais voir est, incontestablement l’acné de ma vie sexuelle. Trois femmes qui vont, sans conteste, baiser uniquement pour le plaisir et l’extase des sens. C’est du sexe pur auquel je vais assister. Sans compromis et sans hésitation. Elles vont littéralement se lâcher dans le but unique d’obtenir une jouissance extrême.
J’installe discrètement mon téléphone en mode grand-angle sur le petit meuble, à l’entrée de la chambre alors qu’elles me tournent toujours le dos tout en subtilisant celui que ma sœur avait pris grand soin d’installer en lançant un enregistrement de la pièce. Je ne veux rien manquer de ce moment. Je recule dans le noir du couloir d’où j’admire, grâce au reflet du miroir, l’action qui débute sous mes yeux.
Vanessa a les jambes écartées alors que ma sœur lui retire son dernier rempart tout en se caressant voluptueusement les seins en regardant ma mère droit dans les yeux et lui demandant.
— Viens me m’embrasser et me sucer les seins. Je meurs d’excitation. — J’arrive ! lui répond-elle.

Je regarde l’admirable fessier maternel alors qu’elle penche son buste vers Vanessa et lui prend les lèvres à pleine bouche. De ma position, je constate que leurs langues sont sorties et entament un ballet parfaitement synchronisé entre elles. Leurs langues, sorties de leur bouche, se touchent, virevoltent et s’enroulent l’une contre l’autre. Les pointes se touchent en bougeant lentement. C’est très excitant à contempler. Les mains de ma mère se posent sur les seins de Vanessa, qui continuent de jouer avec sa propre poitrine, alors que Caroline a entamé un cunni de folie sur la chatte de ma copine. Elle fait déjà entrer deux doigts au fond de son vagin, lubrifié à foison par l’excitation que lui procure la situation.
Je ne peux résister à l’envie de toucher mon sexe. Mais je n’entame pas de mouvement, car le risque de me voir éjaculer comme un puceau est bien réel. C’est un moment d’une perversité intense. Mon cerveau est en ébullition. Je tiens donc ma queue entre mes doigts, mais rien de plus. Je serre le prépuce pour le faire encore gonfler et je la sens palpiter contre ma paume, réclamant à son tour sa part de plaisir et de jouissance. Mais je résiste à cette envie. Pas question de jouir déjà.
Je lâche mon sexe et me concentre à nouveau sur la scène qui m’est offerte.
Ma mère joue toujours avec la langue de Vanessa qui de son côté caresse maintenant son clitoris d’une main tout en jouant avec la chatte de ma mère. Cette dernière est à genoux à côté d’elle, jambes écartées afin de laisser un passage net et clair pour la main de Vanessa. Je remarque qu’elle fait coulisser deux doigts dans ma matrice maternelle. Visiblement, ma mère reçoit sa part d’excitation à son tour. Le clapotis des doigts se fait entendre au-dessus des gémissements de plaisir de Vanessa et de maman. Caroline, de son côté, passe une main sur sa chatte baveuse qui réclame, à grands flots de cyprine, son dû.
N’y tenant plus, Vanessa se relève et tire vers elle ma sœur pour l’embrasser à son tour. Leurs langues entament le même balai que tout à l’heure, avec maman. C’est cette dernière qui prend la place de Caroline entre les jambes de Vanessa. Je l’entends dire.
— Laisse-moi goûter ta chatte, Vanessa. Depuis le temps que j’en ai envie. — Mmmmmhhhh... je pensais que vous me détestiez, Sabine ? Vous avez refusé toutes mes avances. — Tu étais avec mon fils. Mais à présent, rien ne m’empêche de lécher ton jus et de te faire jouir en réalisant mon envie. Écarte bien les jambes, petite salope, je vais te bouffer la chatte. — Vas-y, Sabine ! Dit Vanessa en passant au tutoiement, suce-moi fort et entre bien ta langue pour récolter mon jus. Tu vas voir, si tu t’y prends bien, tu auras une surprise.

Il n’en faut pas plus pour que ma mère plonge sur la chatte offerte et entame une dégustation en règle. Sa langue monte et descend à grand rythme pour y récolter l’abondante production de Vanessa.
Ma sœur, durant cet échange, en a profité pour se séparer des dernières barrières retenant ses trésors. Vanessa lui dit.
— Tu as une paire de seins de dingue. Je suis jalouse. Viens plus près que je les suce. J’en meurs d’envie depuis longtemps. — Alors, ne te prive pas ! Dit ma sœur en se penchant vers Vanessa, couchée à nouveau sur le lit, lui offrant sa poitrine, tombant sous elle par la force de l’attraction.

Putain, dans cette position, les seins de ma sœur sont monstrueusement énormes. Je vois Vanessa les agripper et les mener l’un après l’autre à sa bouche gourmande. Ma mère a entamé un va-et-vient rapide avec trois doigts dans la chatte ouverte de Vanessa tout en lui léchant le clitoris du bout de la langue. Vanessa se cambre de plus en plus, la jouissance montant inexorablement en elle. Sa respiration devient haletante et plus profonde, saccadée jusqu’au moment d’un orgasme dont elle ne peut retenir le cri. Elle anone comme une bête blessée, laissant s’échapper un flot de mouille plus abondant sur la langue de maman, ravie de cette surprise inattendue, avant de s’écrouler sur son lit, piégée entre les bras de Caroline et de Sabine.
Il lui faut quelques minutes pour émerger de la décharge de plaisir qui vient de la terrasser.
Durant ce temps, Caroline et notre mère ont entamé, à côté d’elle un 69 endiablé à coups de langue et de doigts dans la chatte. Leurs soupirs se font de plus en plus rapprochés alors que Vanessa émerge et passe ses mains sur les seins de chacune des participantes. Elle étire les tétons de maman ainsi que ceux de Caroline puis frotte la poitrine de maman contre celle de Caroline. Leurs tétons entrent ainsi en contact pour leur plus grand plaisir. Les deux femmes, sous cette dernière simulation, dégorgent un râle de plaisir non feint. Elles jouissent de concert à leur tour.
Le calme revenu après cette tempête de plaisir est de courte durée. Vanessa se place entre les jambes de Caroline et entame à son tour de lui lécher la chatte. Ma sœur, sous la langue experte de Vanessa, écarte rapidement ses jambes et demande alors.
— Vanessa ! Occupe-toi aussi de mon cul. J’adore sentir un doigt inquisiteur me préparer. — Mmmmhhh... si tu veux.

Obéissante, Vanessa s’exécute en titillant la rosette fripée de ma sœur après avoir humidifié son index à la source du plaisir de Caroline. Sa langue parcourt, quant à elle, la chatte trempée de haut en bas.
Maman s’est installée, assise sur le lit, jambes écartées, pour se masturber en admirant sa fille se faire préparer le cul par Vanessa. Ses doigts passent lentement sur son clitoris et ses grandes lèvres alors qu’elle caresse machinalement ses seins de sa main libre.
De mon côté, je n’en mène pas large. Ma queue n’a jamais été aussi dure. J’ai peur de bander durant toute la nuit. Seules plusieurs jouissances successives me permettront de revenir un état plus normal. Mais pas encore.
Je suis certain que ce n’est que le commencement des festivités nocturnes. La suite me donne rapidement raison lorsque Caroline jouit sous les assauts de Vanessa. Ses cris entraînent ceux de maman, qui astique sa chatte avec plus de vigueur et fait pénétrer trois doigts au fond d’elle en haletant, la bouche grande ouverte.
Vanessa se relève, heureuse d’avoir fait jouir Caroline et lui demande.
— Tu veux que je te prenne le cul, Caroline ? — Si tu savais comme j’ai envie d’une bite entre mes fesses ! Mais le seul qui puisse me satisfaire est Alexis, qui ne m’a jamais encore touché. Et il dort, en plus, comme une bienheureuse.

Ma pauvre sœur. Si elle savait.
— Ne t’inquiète pas, j’ai ce qu’il te faut. Si tu en as envie, je peux te montrer mes jouets et les utiliser sur toi. — De quoi parles-tu ? demande ma mère un peu inquiète. — Regarde, Sabine. Et toi aussi, Caroline.

En se tournant vers la porte d’entrée, Vanessa se dirige vers le meuble sur lequel mon téléphone est installé à la place de celui de ma sœur. M’apercevant dans le miroir, elle me fait un clin d’œil complice et continue sa besogne en prenant, dans le tiroir supérieur, un harnachement que je ne reconnais pas du premier coup. Ce n’est que lorsqu’elle le présente à ma sœur que je constate qu’il s’agit de son gode-ceinture avec lequel elle avait parfois l’envie de me sodomiser. Elle m’a initié à cette pratique que je ne refuse plus de temps en temps. La stimulation prostatique possède un effet dévastateur pour un homme lorsqu’elle est bien réalisée. Et croyez-moi sur parole, Vanessa est une experte en la matière. Sa technique est telle que je décharge une quantité de foutre impressionnante lorsqu’elle m’enculait. J’en ai encore des frissons rien que de l’évoquer avec vous.
Ma mère porte la main à sa bouche, avec un léger mouvement de recul, en constatant l’appareillage que présente Vanessa. Ma sœur par contre est plus enthousiaste.
— Un gode-ceinture ? Tu avais tout prévu, dis donc. Pourquoi as-tu cela avec toi ? — Parce que j’espérais qu’Alexis et moi... enfin. Vous voyez ?

Pourquoi révèle-t-elle cela ? Elle est dingue ou quoi ? Ma mère a alors la réaction à laquelle je m’attendais.
— Tu veux dire qu’Alexis reçoit... cet engin dans son fondement ? — Oh oui ! Il adore ! Déclare Vanessa, un sourire illuminant son visage à cette révélation. Il jouit comme jamais.

Je me sens devenir plus rouge. Le faire est une chose. Mais que ma sœur et ma propre mère sachent que me faire enculer n’est pas un problème est une tout autre histoire.
— Le petit cachottier ! S’exclame ma sœur, joueuse. Il va sérieusement me falloir réviser mes a priori le concernant. Vas-y, Vanessa. Encule-moi aussi. J’en meurs d’envie. Maman, prépare-moi encore s’il te plaît.

Après avoir passé l’engin de perforation aux dimensions plus qu’honorables, Vanessa s’approche de ma sœur déjà placée à quatre pattes et dont ma mère est en train de lécher le cul en lui écartant les chairs avec deux doigts plantés dans son fondement.
— Vas-y, Vanessa. Encule-la. Je veux voir ça. — Regarde, Sabine. Ouverte comme elle l’est, cela va rentrer tout seul. Je pense que ta fille a déjà dû recevoir de plus gros calibres que celui-ci.

L’intromission du sexe en plastique dans son cul tire à ma sœur un soupir de satisfaction doublé d’un grognement de plaisir. Elle encourage Vanessa qui la tient à présent par les hanches.
— Tu es très douce dans tes gestes, Vanessa. Merci. Mais maintenant, c’est assez. Vas-y fort, défonce-moi le cul. J’adore quand c’est brutal. Fais-moi hurler de plaisir. — Tes désirs sont des ordres, Caroline ! Répond Vanessa qui accentue la pression et le rythme en même temps.

Ma mère regarde fascinée le pal pénétrer les chairs de sa fille. Elle passe à nouveau une main sur sa chatte qui mouille doucement et elle caresse ses seins un instant avant de se déplacer et de se coucher tête-bêche sous sa fille en lui disant.
— Je veux te sucer en même temps. Prends ma chatte dans ta bouche et suce-moi aussi.

Ma mère fait alors, je le suppose, car elle m’est en partie cachée, ressortir sa langue pour lécher le clitoris de ma sœur. Je remarque que ses mains écartent les fesses de Caroline afin de permettre une pénétration plus aisée du sexe factice animé par Vanessa avec force et détermination. Les soupirs et les petits cris de ma sœur attestent de l’efficacité du traitement qui lui est infligé. Elle en redemande d’ailleurs.
— Plus fort, défonce-moi ! Maman, suce-moi fort. Bouffe-moi la chatte ! Aaaaahhh... salopes, je vais jouir. Plus fort, plus fort... aaaaarrgghhhhh.....

Son orgasme est ravageur. Elle s’arc-boute sur ma mère avant de s’écrouler, comme sans vie, sur elle. Il faut quelques secondes à Sabine pour écarter ce corps sans réaction. J’ai un instant de frayeur en voyant ma sœur, les yeux révulsés, mais elle reprend rapidement ses esprits en disant.
— Putain ! Quel pied ! C’est trop bon.

Maman s’est levée durant cet intermède et embrasse Vanessa à pleine bouche. Vanessa lui ordonne alors d’une voix sans équivoque.
— À genoux, Sabine. Suce !

J’hallucine encore une fois lorsque je constate que ma mère s’exécute, le sourire aux lèvres avant d’engloutir d’une seule gorgée le sexe encore humide des sécrétions de ma sœur. Et elle semble y prendre un sacré plaisir. Vanessa caresse ses cheveux alors que ma mère s’empale la bouche sur le morceau de plastique souillé tout en se massant les seins et en tirant brutalement sur ses tétons dardés par l’excitation.
Ma sœur, remise de ses émotions, se caresse doucement la chatte, comme pour calmer le feu que la chevauchée précédente a déclenché.
— À ton tour, Sabine ! Veux-tu aussi te faire enculer par mon jouet favori ? Demande Vanessa. — Oui ! Répond ma mère dans un souffle. — D’accord. Caroline, tu t’en charges ? J’ai envie de regarder une mère enculée par sa fille. Après tout, ce n’est pas banal comme situation. — Avec plaisir, annonce ma sœur. Viens-là, maman !

Equipée et ceinturée avec le gode, ma sœur s’approche des fesses parfaites de ma mère que Vanessa a au préalable préparées à recevoir le chibre infatigable. Sa langue a humidifié son cul et elle l’a ouvert en s’aidant de ses doigts.
Ma sœur enfourne alors directement et d’un seul coup, la bite factice dans le cul maternel. Sabine émet un cri de douleur alors que Vanessa lui caresse le clitoris pour atténuer les effets de la pénétration.
— Aargh... Caroline ! Tu me déchires le cul ! Salope. Doucement, ça fait mal ! — Pardon, maman ! Mais tu m’as tellement excitée que je n’ai pas pu me retenir. Tu veux que j’arrête ? — Pas question ! Laisse-moi deux secondes pour m’y habituer. Vas-y, bouge doucement si tu veux bien. — Non, maman ! Je vais rester en place et c’est toi qui vas bouger pour commencer. Ainsi, tu pourras t’habituer et laisser monter le plaisir. — D’accord ! Dit ma mère en débutant un lent mouvement d’avant en arrière de quelques millimètres avant de se lancer dans des mouvements plus longs, son cul ouvert et prêt à recevoir sa dose de plaisir.

Vanessa se recule alors et prend place sur le fauteuil qui fait face au lit. De sa position, elle me voit directement dans le miroir du couloir. Elle ne peut ignorer l’état dans lequel elles me mettent. Je suis au supplice depuis plusieurs minutes à présent. Mais que c’est excitant. Je montre ma bite tendue à ma complice. Vanessa écarte ses jambes et en me fixant, entame une lente masturbation de sa chatte. Elle insère deux doigts et titille son clitoris avec son pouce. De son autre main, elle caresse ses tétons turgescents en invectivant les deux femmes sur lesquelles elle vient de reposer son regard libidineux.
— Vous êtes vraiment deux belles salopes. La fille qui encule la mère. Je me demande ce qu’en penserait Alexis ! Mmmmmhhh... je mouille comme une fontaine tellement vous m’excitez. Vas-y Caroline, défonce-lui le cul. Et toi, Sabine, prends-la bien au fond. Tu vas adorer ma queue toujours prête. — Aaaahhh... soupire ma mère ! Caroline, c’est trop bon. Plus fort, vas-y ! Encule-moi. Dit-elle dans un souffle en plaçant ses doigts sur son clitoris. — Tu aimes alors, maman ? Demande Caroline. Je vais te défoncer le cul, puisque tu me le demandes avec tant de fougue. — J’adore ! Ton père est très doué pour cette pratique. Vas-y à fond maintenant ! Baise-moi comme une salope que je suis.

Ma sœur entame alors un va-et-vient continu entre les fesses de Sabine. De temps en temps, elle claque sa main sur un globe et puis l’autre. Ce qui a pour effet de donner à ma mère encore plus de plaisir.
De son côté, Vanessa s’est levée et se dirige lentement et avec discrétion vers moi. Elle m’interroge du regard. Je lui fais un signe discret de ce que j’attends d’elle. Elle le comprend par mon geste des mains et se dirige de nouveau vers le lit. Ma mère jouit à ce moment dans un flot ininterrompu de cyprine s’écoulant de sa chatte et inondant le lit. Cette jouissance est impressionnante. Même Vanessa en reste étonnée.
— Eh bien, Sabine ! Quelle jouissance ! Je ne te savais pas fontaine. Tu mouilles encore plus que moi.

Mais ma mère est prise de spasmes incontrôlables et ne peut plus répondre alors qu’elle s’écroule sur le lit en se déboîtant de sa fille.
En enlevant la ceinture de ma sœur, Vanessa l’embrasse à pleine bouche puis lui demande.
— J’ai encore envie de jouir. Tu es partante pour un dernier round ? — Toujours, répond Caroline ! — Alors, couche-toi sur le lit, j’ai une dernière requête pour toi. — Que veux-tu ? Demande ma sœur toujours excitée par une nouvelle expérience.

Vanessa s’approche de ma sœur, assise sur le lit. Elle passe ses jambes entre celles de ma sœur. Elle se positionne afin que leurs chattes respectives entrent en contact. Vanessa agrippe alors les seins de ma sœur qui fait de même avec elle. Vanessa entame un mouvement de bassin qui permet à sa chatte et son clitoris de se frotter à ceux de ma sœur. Elles se masturbent chatte contre chatte. C’est d’un érotisme torride. Un fantasme pour de nombreux hommes que d’assister à ce spectacle. Vanessa a parfaitement compris ma requête et elle m’a obéi dans la seconde. Elle est vraiment totalement soumise à ma volonté et mes désirs.
Je ne peux plus retenir ma main qui masturbe à présent ma queue au rythme employé par les deux femmes. Ma sœur semble apprécier ce traitement, car elle répond également aux mouvements coordonnés de Vanessa. J’entends qu’elles mouillent terriblement toutes les deux. Leurs soupirs se font plus rapprochés. Vanessa tire un peu sur les tétons de ma sœur, ce qui déclenche son orgasme. Cette dernière lance sa tête en arrière en lâchant un cri d’extase, mais en continuant son mouvement de bassin afin de permettre à Vanessa de jouir également une dernière fois. Au bout de quelques secondes, elle atteint un orgasme tout aussi démonstratif se terminant par un cri qui tire ma mère des limbes au fond desquelles elle s’était abandonnée.
— Eh bien, mes chéries ! Quelle baise ! C’était incroyable ! Je ne pense pas avoir souvent joui de cette façon et à ce point. — Moi non plus, maman. C’était terriblement excitant et incroyablement bon. Mais je n’en peux plus à présent. Et toi, Vanessa ? — Moi ? Eh bien, pour être honnête, c’était très bien. Mais je n’ai pas l’intention de m’arrêter là. Je ne suis pas encore rassasiée. — Ah bon ? Dit ma mère. Mais tu as joui aussi souvent que nous, pourtant. — C’est vrai, répond-elle. Mais ce n’est pas suffisant pour moi. J’ai encore besoin de sexe ce soir. — Ce ne pourra être avec moi, dit ma sœur. Je n’en peux plus. — Moi non plus, dit ma mère. Ce dernier orgasme m’a anéantie. — Très bien. Je comprends. Je m’en accommoderai. Allez vous coucher. Je vois à vos visages que vous êtes éreintées. Merci pour ce moment. J’en conserverai un souvenir agréable.

En quittant la pièce, ma mère et ma sœur embrassent une dernière fois leur maîtresse de la soirée. Un baiser qui n’a rien de chaste. Les langues jouant une ultime fois ensemble et les lèvres se cherchant avec une fièvre nouvelle.
En regardant ces baisers avec attention, je constate avec amusement et satisfaction qu’ils n’ont plus rien des baisers agressifs du début de cette partie de baise à trois. Ils possèdent à présent une forme de douceur féminine et de désir contrôlé, voire de désirs comblés.
Je vais me cacher dans le salon, le temps que ma mère et ma sœur ne quittent le rez-de-chaussée. J’ai pris la peine de remettre le téléphone de ma sœur en place alors qu’elles s’embrassaient, dos à la porte. Ainsi, aucune trace de ma présence n’est encore détectable pour les deux femmes. Comme j’ai effacé le début de son enregistrement, Caroline pensera probablement qu’elle a fait une fausse manipulation avant de déclencher la vidéo. Maintenant, je suis le seul à en posséder la copie.
Je les entends passer et je surprends ma mère déclarant
— Quelle baiseuse ! Alexis n’a pas dû s’ennuyer avec une salope pareille. — Tu l’as dit, maman. Elle m’a vidée. Je vais m’écrouler sur mon lit et dormir. Je prendrai une douche demain matin. — Moi aussi, ma chérie. Bonne nuit ! — Bonne nuit, maman !

En les écoutant remonter, je retourne vers la chambre de Vanessa. Celle-ci m’attend, assise sur son lit. Elle a remis sa nuisette transparente, mais pas ses sous-vêtements. Pourquoi faire, après tout !
— Es-tu satisfait, Alexis ? Ai-je bien rempli le rôle que tu attendais de moi ? — Tu as été parfaite, Vanessa. Tu as même dépassé mes désirs les plus fous ! Dis-je en prenant son menton dans ma main et lui remontant la tête pour la forcer à me regarder. Tu es maintenant mienne. Je n’ai plus de griefs à ton encontre. Tu feras à présent ce que j’attends de toi, pour ton plus grand plaisir et le mien. — Je suis à toi ! Tu feras de moi ce que tu souhaites et je t’obéirai en tout. Tu es mon maître et j’adore cela. — Ton maître ? — Oui ! Je veux te donner ce rôle, même si je sais que tu n’aimes pas ce mot. Je serai fidèle et obéissante. Ordonne et je suivrai ! Mais ne me chasse pas. Je t’aime, Alexis. — Très bien ! Dans ce cas, suce-moi. Laisse-moi éjaculer sur ta langue et avale ma semence. — Mmmmhhh... comment résister à une telle proposition ?

Quelques secondes plus tard, je jouis dans la bouche de Vanessa à coup de jets puissants et nombreux. Il faut dire que je suis en état d’excitation permanent depuis un bon moment. Elle n’en perd rien et me permet ainsi de passer une bonne nuit, mais pas sans l’avoir baisée une dernière fois et lui octroyer ce dernier orgasme qu’elle a demandé et que ni ma sœur ni ma mère n’ont été en état de lui offrir.
Je l’ai prise en levrette sur le lit encore couvert des sécrétions de ma mère et de ma sœur. L’odeur de femelles et de stupre est terrifiante. Elles ont joui comme des reines dans un harem. Il faudra aérer la pièce rapidement. Vanessa a joui une dernière fois lorsque j’ai introduit un doigt dans son cul tout en pistonnant violemment sa chatte dégoulinante de sa cyprine.
Elle s’est alors écroulée sur le lit, vidée de ses dernières réserves d’énergie pour commencer une nuit paisible et bien méritée. J’ai pris de nouveaux draps dans l’armoire et je l’ai recouverte amoureusement et délicatement avant d’éteindre les lumières et de remonter silencieusement dans ma chambre pour ma dernière nuit seul dans mon lit. L’absence du moindre bruit dans les deux autres chambres m’indiquant sans la moindre hésitation que Caroline et Sabine ont, elles aussi, succombé au marchand de sable.
Couché dans mon lit, je regarde la vidéo de cette soirée sur mon téléphone. Je lance une sauvegarde sur le cloud avant de fermer les yeux, la tête pleines des images de ce moment qui restera à jamais gravé dans la mémoire de l’homme si faible que je suis, promesses nombreuses d’autres parties similaires durant lesquelles les frontières et les tabous ne seront plus des obstacles à la jouissance la plus extrême pour les membres de cette famille.
Mais demain, c’est la tombée des masques. Dernière étape cruciale avant le grand final et, je l’espère, l’apothéose.
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