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L'Histoire mène à tout...

Chapitre 19

Le piège s'installe

Inceste
En m’éveillant, ce matin, je suis surpris par mon tonus et mon bien-être.
J’ai l’impression de revivre grâce à ces vacances bien méritées. Mais je sais que c’est autre chose qui me permet de ressentir ces sensations grisantes.
Depuis plusieurs jours, à présent, je baise littéralement ma copine, ma sœur et ma mère. Ces deux dernières ont brisé toutes leurs barrières morales afin de me rendre le sourire et la joie de vivre. On peut dire que le pari est réussi.
Comme tous les matins, je suis le premier debout. Les habitudes ont la vie dure, même en vacances. En buvant mon premier café à ma place habituelle, c’est-à-dire au bord de la piscine, en regardant le soleil faire son apparition derrière les collines de la Narbonnaise, je réfléchis au message que je viens de lire sur le téléphone de Vanessa.
— C’est sympa de ta part, mais j’avais prévu un week-end avec ma copine. Peut-on se voir après ?
Pas question pour moi de laisser s’échapper une aussi belle occasion de vengeance contre ce mec.
Je ne réfléchis pas plus longtemps et je réponds
— Viens avec elle ! Ce sera l’occasion de me la présenter et, qui sait, nous serons peut-être amies. Ce qui facilitera notre réconciliation ? Je ne te laisse pas le choix. Tu viens avec elle et nous ferons la fête pendant trois jours.
Le piège est tendu !
J’ai bien l’intention de l’humilier, si possible face à sa copine, car elle ne se doute visiblement pas que son mec lui fait des cornes aussi grandes que les miennes. Et si j’ai pu m’en défaire en soumettant Vanessa, il n’en reste pas moins que mon orgueil en a pris un sacré coup. Je ne voudrais pas qu’il fasse subir cela à d’autres hommes ou femmes. C’est donc mon devoir de gentleman de lui éviter de vivre avec un homme pareil. C’est à cause de mecs comme lui que les hommes ont si mauvaise réputation auprès de la gent féminine et que nous ne sommes considérés, la plupart du temps par les femmes, que comme des bites sur pattes. Je vais donc lui ouvrir les yeux.
Je ris en terminant mon café.
J’en serai presque convaincu moi-même.
C’est à mon troisième breuvage amer que Vanessa fait son apparition sur la terrasse. Elle porte une nuisette noire brodée de dentelles blanches du plus bel effet. Elle est magnifique au lever du lit, décoiffée et les yeux encore gonflés par sa nuit.

— Bonjour Alexis. Tu as bien dormi ?— Bonjour ma chérie. Très bien, je te remercie. Veux-tu un café ?— Un thermos serait plus adéquat. J’ai la tête en vrac et j’ai mal dans tout le corps. Il faut dire qu’avec ce que vous m’avez fait subir, hier soir, c’est plutôt normal.— Je te l’accorde ! dis-je en souriant. Mais il ne me semble pas que tu te sois plainte une seule fois ?— C’était divin !
En lui apportant son café, elle me jette un regard interrogatif en me montrant son portable.
— Alexis ? Tu as utilisé mon téléphone ?— Oui !— Je veux bien que notre relation ait pris une nouvelle tournure, mais je pense tout de même avoir droit à un minimum de...— Un minimum de quoi, Vanessa ? Tu n’as plus droit à rien. Dois-je te rappeler ce que tu m’as fait ? — Et dois-je te rappeler que tu m’as promis qu’après hier soir tout serait oublié ?— J’adore quand tu es en colère ! Laisse-moi alors t’expliquer.— Je t’écoute ! dit-elle en commençant son café.— Hier soir, lorsque je t’ai couchée, je suis revenu dans la cuisine pour boire un verre d’eau. Je suis tombé sur ton téléphone et j’ai, machinalement, regardé l’écran. J’ai découvert le message de ce Nathan. Mon sang n’a fait qu’un tour et j’ai décidé de continuer à jouer un peu.— Tu as lu un message qui m’était destiné sur mon téléphone ?— Oui ! Je ne vois pas où est le problème puisque ce n’était pas prémédité. — Mais c’est privé !— C’est vrai. Je te prie donc de m’en excuser. Je répète que ce n’était pas prémédité. Mais m’en aurais-tu parlé sans cela ?
Elle me fixe un instant, comme pour réfléchir à sa réponse.
Puis elle me dit nette et franche :
— Non, probablement pas !— Alors j’ai bien agi ! Car il s’agit de ce mec avec lequel tu as baisé et dont j’ai eu la preuve.— Mais comment sais-tu que c’est lui ? Je ne t’ai jamais donné son nom ? Me demande-t-elle, surprise.— Je le sais, c’est tout ! — Alexis, tu ne...— Cela suffit, Vanessa ! Je ne t’en veux plus. Ou presque plus. Mais j’ai un compte à régler avec lui aussi. Et j’honore toujours mes dettes.— En le faisant venir ici ?— Justement en le faisant venir ici !— Je ne comprends pas ?— Je t’expliquerai lorsque maman et Caroline seront réveillées. J’aurai besoin de votre aide. Fais-moi confiance, nous allons nous amuser comme des petits fous.— Oh, pour cela, je te fais confiance. Tu es devenu Docteur Jeckyl et Mister Hyde ! Si j’avais su cela, je t’aurai trompé plus tôt pour bénéficier plus rapidement de cette perversité qui est en toi.— Tu es décidément insatiable.— Avec toi ? Toujours mon amour !
Nous terminons nos cafés sans avoir de nouvelles du reste de ma famille.
Je propose à Vanessa de profiter de la piscine durant la matinée en ma compagnie.
Ce ne sont que jeux d’eau et de mains baladeuses durant l’avant-midi. Je profite de ses formes voluptueuses sous son bikini symbolique et elle flatte mon organe masculin de ses doigts et de ses mains.
La laissant bronzer sur un bain-de-soleil, je me permets quelques longueurs afin de parfaire ma condition physique. Je constate une perte de poids bienvenue depuis quelques jours et j’ai bien l’intention de continuer dans cette voie afin d’être au top de ma forme pour honorer mes conquêtes.
Ma mère et ma sœur ne font leur apparition que vers la pause méridienne.
Elles sont toutes ébouriffées de leur longue nuit de sommeil.
Vanessa et moi rions en les voyant débouler sur la terrasse, ce qui déclenche aussi leurs rires.
Que c’est bon de s’amuser sans arrière-pensées !
En déjeunant, Vanessa et moi nous mettons au courant Sabine et Caroline des derniers événements alors qu’elles boivent leur premier café.
— Tu veux dire que nous allons avoir un couple en plus ici, ce week-end ? me dit ma mère.— C’est cela !— Mais enfin, Alexis ! Merde ! Ce sont mes vacances et ma maison. Tu ne peux pas en disposer ainsi selon ton bon vouloir.— Excuse-moi, maman. Mais si je reprends tes paroles, c’était à peu près quelque chose comme « Alexis, mon chéri ! Tu dois venir avec moi. Cela te détendra et cela te permettra de passer à autre chose. J’ai peur de tes réactions. Viens en vacances avec moi et Caroline. Nous te ferons oublier ces mauvais moments et ferons tout ce que tu veux pour reprendre goût à la vie » !— Tu triches, mauvais fils ! dit-elle en souriant.— Ne t’inquiète pas, maman. Cela fait partie de ma guérison. Je vais te le casser en mille morceaux ce Nathan.— Tu m’inquiètes, mon chéri ! dit alors Vanessa.— De quoi as-tu peur ? Que je lui casse la gueule à sa descente du train ? Ou de retomber dans ses filets si tu le croises, peut-être ?— Tu es injuste, Alexis ! Je suis tienne, désormais. Corps et âme. Il n’a été qu’un outil de mon plaisir, rien de plus. Je me suis servi de lui comme les mecs se servent des filles comme « vide-couilles ».
Cette dernière phrase jette un froid parmi nous. Caroline retient son geste alors qu’elle porte sa tasse de café à sa bouche. Maman porte les mains à ses joues. Et Vanessa semble regretter immédiatement ses paroles.
— Je n’ai jamais utilisé les femmes à cette fin, Vanessa. Je ne suis tout de même pas un salopard. J’ai du respect pour les femmes et je n’en ai jamais contraint une seule à faire l’amour avec moi. Quand une femme dit « non », c’est « non » ! Point final. — Excuse-moi, je sais que je suis allée trop loin. Mais comment peux-tu penser que Nathan pourrait me tourner la tête au point de te perdre définitivement ? Les choses entre nous sont maintenant établies et différentes, Alexis. Je suis folle de toi. Je t’aime. Et personne ne me fera renoncer à toi.— Je suis allé trop loin aussi. Probablement un résidu de jalousie. Excuse-moi, Vanessa. Bon ! Si je vous exposais mon plan de bataille lorsque ce bellâtre pose ses pieds dans la maison de maman ? dis-je en articulant parfaitement ces derniers mots.— Nous sommes toutes les trois impatientes, déclare Caroline.— Bien ! Alors, écoutez attentivement. Ce matin, nous avons reçu la confirmation que Nathan se présentera ce vendredi après-midi avec sa copine à la gare de Narbonne. Vanessa prendra ma voiture et se chargera d’aller les chercher. Ils devraient passer le week-end avec nous. C’est le temps dont nous disposerons pour ma vengeance. Je veux que nous lui fassions croire qu’il vient de débarquer sur l’île de la Tentation.— Parce que tu comptes nous inclure dans ce scénario ? demande ma mère.— Bien sûr ! dis-je comme une évidence. Je compte sur vous trois pour lui tourner la tête et le faire oublier qu’il est venu avec sa petite copine. — Pardon ? déclare Sabine. Tu veux que nous allumions cet homme ?— C’est tout à fait cela.— Alexis ! Si je comprends bien, tu souhaites qu’il se retrouve dans le manoir de Playboy, entouré de filles un peu dénudées et peu farouches ?— C’est cela.— Je te rappelle que, si Caroline et Vanessa font illusion, j’ai plus de quarante ans. Et je ne suis pas une pute, bon sang.— Merci pour nous, maman ! déclare Caroline en prenant la main de Vanessa.— Excuse-moi, ma chérie ! Tu sais que ce n’est pas ce que je voulais dire. Mais vous êtes jeunes et fraîches. Pas moi.— Maman, tu te dévalues en permanence. Tu es divine. Ton corps est splendide et tu ne fais absolument pas ton âge. On t’en donne quinze de moins.— C’est plutôt vrai, Sabine ! Déclare Vanessa. Vous êtes merveilleusement belle.— Ils ont raison, maman. Tu restes avec nous, car c’est ta place. Point final. — Cela dit, pas question de lui faire part de notre lien de parenté, je suppose.— Tout à fait. Vous êtes des amies de Vanessa qui sont en vacances dans la maison familiale de son ami. Moi. Pas question qu’il sache que je baise ma sœur et ma mère. Ni même Vanessa.— Alexis ? demande maman. Il ne connaît pas ton prénom ? Parce que je présume que Vanessa lui a parlé d’Alexis, qui était son petit copain à l’époque.— Non ! Il ne connaît pas son prénom. Ce n’est pas un bon copain. Je ne le croisais que rarement et il ne connaît rien de ma vie privée, si ce n’est qu’effectivement, j’étais en couple.— Bien. Vous êtes donc chez moi avec votre copine, Vanessa.— Et nous sommes ton harem ? demande Caroline en souriant.— Oui. Nous passons des vacances ensemble, chez moi. Et je vous baise chacune quand l’envie nous en prend. Nous sommes jeunes et nous profitons de la vie. Sans prise de tête.— Même à plusieurs ? demande Caroline.— Si vous le souhaitez. Mais ce n’est pas le but recherché. Non, je voudrais surtout que vous me l’allumiez contre le feu d’artifice du 14 juillet, quelle que soit la manière, pendant que je m’occuperai de mettre sa copine au parfum. — Au parfum de quoi ?— De ce qu’il est. Et, si elle est jolie, d’en faire mon plat de résistance.— Tu veux baiser sa copine ?— Je vais me gêner. Si elle est jolie, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ?— Tu vas trop loin, Alexis ! dit Vanessa. Je suis ta copine, je te suis soumise, mais je ne t’autorise pas à baiser dans mon dos.— D’abord, je te préviens à l’avance ensuite, c’est le final de ta punition. Je vais me faire la copine de ton copain. Point. Et tu vas y assister.— Vu ainsi ! Rigole ma sœur.— Tu as un côté plutôt odieux ! dit ma mère.— C’est mon problème. Vous êtes avec moi ?— Oui ! Déclare Vanessa. Cela pourra être amusant. Mais promets-moi qu’elle n’en souffrira pas.— Ce seront ses décisions et ses choix. Si nous baisons, cela viendra d’elle. Pas de moi. Je t’ai dit que je n’ai jamais forcé une femme et je ne vais pas commencer avec l’une qui est, à mes yeux, en plus victime de ce mec.— Alors je te confirme que je t’aiderai.— Moi aussi ! dit Caroline en venant se lover contre moi.— Maman ?— D’accord ! On va le rendre idiot ce mec. D’accord les filles ?— Ouiiiiii... répondent-elles ensemble, ce qui déclenche mon hilarité.— Vous n’êtes que trois perverses ! Et dire que c’est moi que vous traitez de tous les noms. Ahahahahahaha...— Comment s’y prendre ? demande ma mère, redevenue sérieuse. J’ai un peu perdu la main, je dois vous avouer les filles. — Ce n’est qu’un mec, maman. Un décolleté, une minijupe, des talons, un soutien-gorge pigeonnant, des yeux maquillés, et le tour est joué. — En effet ! Cela paraît trop simple.— Ce n’est qu’un mec, te dis-je. Et Vanessa le connaît assez bien, visiblement. Elle pourra confirmer.— Je confirme. Une paire de seins le rend dingue. Alors trois paires comme les nôtres, il va être à la fête. Si en plus, tu l’aguiches en te penchant « comme par hasard » pour le faire plonger entre eux, il ne se tient plus. Si tu tortilles du cul et lui fais croire qu’il te plaît, il mangera dans ta main. C’est ainsi que je m’y suis prise et cela n’a pas duré trois minutes.
En disant cette dernière phrase, Vanessa se rend compte qu’elle vient de m’avouer son crime encore une fois. Je lui souris pour la rassurer, mais ce sourire sonne faux. Chacune des femmes présentes s’en rend compte. Je n’ai pas encore avalé la pilule. Malgré mes affirmations, c’est plus fort que moi. Je dois être honnête avec moi-même, cette trahison a laissé plus de traces que prévu.
— Alexis ? Ca va ? me demanda Sabine, visiblement touchée par ma réaction.— Oui, maman ! Mais ce n’est pas aussi évident que je le pensais.— Pardonne-moi, mon amour ! me déclare Vanessa en se jetant à mes pieds. Je suis désolée. J’étais la plus grande des connes en faisant cela. Je t’aime.— Relève-toi, Vanessa. Je me doute de ce qu’il s’est passé. Tu es irrésistible quand tu le décides. Mais ce n’est pas si simple de te l’entendre dire.— Punis-moi encore ! — C’est ce que je vais faire, ma chérie. Avec ton aide et sous tes yeux. Cela me permettra probablement de te pardonner définitivement et de passer à autre chose.— Je serai tienne et elle sera tienne également.— Si elle me plaît uniquement, rappelle-toi !— Oh, elle te plaira, crois-moi !— Tu la connais ?— Bien sûr.
Cette révélation nous laisse pantois.
— Tu connais sa copine, mais tu as baisé avec lui tout de même ? demande ma sœur.— J’avais besoin de baiser et il était le seul plus ou moins consommable immédiatement dans l’assistance. Alors, oui ! J’ai baisé avec lui alors que sa copine était en train de prendre un verre.— Cette fille est encore plus garce et perverse que je ne le pensais ! dit ma mère avec tout de même une petite moue de dégoût. Que tu assumes tes vices et tes désirs est tout à fait honorable, Vanessa. Mais de là à baiser le mec d’une copine presque sous ses yeux, il y a une marge.— Je n’en suis pas fier, avec le recul. Mais je suppose que nous ne sommes pas là pour parler de cela.— Bien ! dis-je comme pour clore une réunion. Nous aviserons concernant cette demoiselle en temps et en heure. Et si, comme l’affirme Vanessa, elle est jolie et ouverte d’esprit, elle finira dans mon lit. Du moins, je l’espère.— Cela ne m’explique toujours pas ce que tu attends exactement de nous trois ? dit maman. Jouer les bimbos, d’accord. Mais ensuite ?— Ensuite ? Vous allez vous relayer pour le rendre dingo. Je veux qu’il pense pouvoir se taper trois nanas différentes en un week-end. Et même qu’il pense pouvoir vous avoir toutes les trois ensemble, pourquoi pas ? Faites ce que vous voulez pour l’exciter, mais éloignez-le de sa copine. Je veux qu’il oublie son existence durant le temps qu’ils seront avec nous. — Quand arrivent-ils ?— Demain après-midi, à la gare TGV de Narbonne. Ils arrivent avec le train de 15h02. Cela nous laisse le temps de faire quelques achats de dernières minutes. Ensuite, Vanessa intègre ta chambre, Caroline. Nous ne sommes pas un couple, Vanessa et moi. Et il nous faut une chambre libre. — Tu as pensé à tout, dis-moi ! s’exclame ma sœur.— Je ne pense pas. Il va y avoir une grande part d’improvisation. Mais gardez toujours à l’esprit qu’il ne s’agit que d’un jeu. Si cela ne fonctionne pas, au moins n’ayez pas de regrets. Amusez-vous et profitez de la vie.
Le lendemain, à 13h00, Vanessa nous quitta au volant de ma voiture pour réaliser quelques achats à Narbonne dont je lui avais fourni liste et adresse ainsi que pour nous ramener notre couple de victimes.
Quelques heures plus tard, j’entendis le bruit de mon véhicule se garer dans l’allée de la maison.
Caroline était prête, mais j’avais dû calmer un peu maman qui ne se voyait que peu dans le rôle qui serait le sien. Mais au final, elle s’y était résolue lorsque je lui avais parlé de plaisir, de sexe, et qu’elle allait avoir enfin la preuve que nous ne lui avions pas menti sur son apparence.
— Tu verras ! Je suis certain que c’est toi qui vas le rendre complètement dingue. Ni Caroline ni Vanessa. Toi.— Tu en es sûr ?— Aussi sûr que deux et deux font quatre. Tu es un fantasme ambulant, maman. Tu verras. Allez, va te faire encore plus belle.— D’accord ! Il va être soufflé.— Et moi ?— Toi ? Mais toi aussi, mon chéri. C’est avant tout, toi que j’espère faire bander.
Je l’avais quittée sur cette réplique qui me promettait beaucoup de plaisir visuel. Sabine commençant à parfaitement connaître mon côté voyeur, elle en jouait à présent à la perfection.
Vanessa apparut la première sur la terrasse, suivie de près par le fameux Nathan.
Je le détaillais du coin de l’œil, comme si son arrivée me laissait aussi impressionné que par celle d’un animal domestique.
Il était plus grand que moi. Environ un mètre nonante. Assez musclé de prime abord, mais on se rendait vite compte que ce n’était pas du muscle dur. Ses cheveux noirs comme le charbon tranchaient avec ses yeux bleu azur. Par contre, son visage était assez banal. Ce n’était pas une gravure de mode. Mais son entrée, plutôt tonitruante voulant montrer son pouvoir sur Vanessa ne passa pas inaperçue.
— Bonjour. Je m’appelle Nathan. Merci pour l’invitation. C’est très gentil à vous ! dit-il en se dirigeant d’un pas convaincu vers moi.
Je me levais en m’étirant, comme si je sortais d’une longue sieste et qu’il venait de me réveiller en parlant.
— Salut ! Je m’appelle Alexis. Pas de problème, c’est Vanessa qui vous invite. Comme il y a de la place, c’est avec plaisir que je lui rends ce service.— C’est sympa, en tout cas. Vous êtes ensemble depuis longtemps avec Vanessa ?
Tiens, tiens. Notre oiseau se méfie. Il va falloir la jouer serré. J’adore !
— Oh, on se connaît depuis quelques années. Nous avons été assez proches pour nous perdre de vue. Mais quand elle a quitté son dernier copain, elle s’est tournée vers moi. C’est ainsi que je l’ai invitée avec ses copines. Elle avait besoin de se changer les idées.— C’est très sympa, en tout cas.— Nathan ?
Une voix douce vient d’appeler notre bellâtre.
En regardant derrière lui et en baissant mes lunettes de soleil, j’aperçois alors sa copine.
Elle est superbe.
Je reste ahuri durant quelques secondes. Comment cet abruti peut-il, ne fut-ce que penser, à rendre cette fille malheureuse ?
Dépassant Nathan, je me dirige vers elle et, en parfait gentleman, je lui dis de ma voix la plus aimable :
— Bonjour, Mademoiselle. Je m’appelle Alexis. Vous êtes la bienvenue chez moi. Puis-je vous aider ? dis-je en montrant son petit sac de voyage.— Bonjour ! Je m’appelle Gloria. Je vous remercie pour votre invitation. C’est très gentil de votre part.— Tout le plaisir est pour moi. J’ai une grande maison et si je peux en faire profiter des gens de la capitale, c’est avec joie que je vous en ouvre les portes.— Vous êtes très aimable, merci encore ! me dit-elle timidement.
Elle est, visiblement, renfermée comme fille. Secrète et sa carapace va être difficile à percer. Mais le jeu n’en sera que meilleur.
— Suivez-moi, Gloria. Je vais vous montrer votre chambre. Vous pourrez vous rafraîchir après ce long voyage en train avec des chaleurs pareilles. Puis nous prendrons un verre pour faire plus amples connaissances. J’ai hâte de vous découvrir.
Je sors cette tirade en ignorant superbement Nathan et en prenant Gloria par le bras avec toute la délicatesse dont je peux faire preuve. Je me retourne alors vers Nathan et en l’appelant, j’aperçois derrière lui Vanessa qui est déjà morte de rire.
— Vous venez, Nathan ? Je vous montre la voie.
Une demi-heure plus tard, j’ai pris une douche et je suis sur la terrasse, attendant mes victimes et mes appâts. Je me délecte de ces moments de calme avant la bataille.
Nathan est le premier à faire son apparition.
Il porte un short blanc et un tee-shirt marron sur lequel est écrit en blanc « No Future ». La classe. Je hais les péquenots.
— Nathan ! Je vois que vous avez repris figure humaine. Un verre ?— Volontiers ! Mais nous pouvons nous tutoyer, car je pense que nous sommes de la même génération.— Pastis ?— Cela me parait une excellente idée.— S’il te plaît. Alors, parle-moi un peu de toi. Que fais-tu ?— Je travaille pour une grosse boîte d’informatique. Je suis codeur système. — Tu me parles de trucs que j’ignore superbement. — Ce n’est pourtant pas bien sorcier, rétorque-t-il comme un professeur enseignant une matière élémentaire à des élèves qui n’y comprennent rien.— Je te crois sur parole, rétorqué-je d’un air idiot, mimant à merveille l’abruti de service.
Nous sommes interrompus par l’arrivée de Vanessa.
J’ai beau avoir l’habitude de leurs apparitions de début de soirée, je n’en reste pas moins surpris à chaque fois. Elle porte une longue robe rose pâle lui laissant les épaules nues sur lesquelles ses cheveux sont libres. Elle a un fin collier d’or autour du cou et ses pieds sont chaussés de ses escarpins. Par contre, son décolleté est plus que suggestif. On peut deviner l’absence totale de lingerie et le léger vent du soir nous permet de distinguer ses tétons qui semblent vouloir s’échapper de son corsage.
Elle est à tomber raide mort.
Je jette un coup d’œil à mon voisin dont le menton semble tomber sur le carrelage de la terrasse.
Je me reprends comme si ce type d’apparition était des plus normaux chez moi.
— Ah ! Vanessa, ma chérie. Un verre de rosé bien frais ?— Tu sais toujours ce qui me fait plaisir, Alexis ! Tu es décidément l’homme idéal.
Et prends ça dans les dents, Nathan !
— Vous satisfaire est notre priorité ! dis-je en récitant la maxime célèbre depuis le raz-de-marée Fifty Shades, ce qui fait sourire Vanessa qui a visiblement lu ces romans. Nathan, lui, ne comprenant visiblement pas la double allusion.
Tout en discutant ensemble, j’entends des pas feutrés sur le carrelage.
Nous retournant ensemble, j’avise Gloria, qui, avec confusion, sort de la cuisine. Sa retenue, sa pudeur et sa timidité me font sourire. Je me lève précipitamment pour devancer Nathan, mais je constate que ce balourd n’a même pas sourcillé en voyant sa copine arriver, trop obnubilé par Vanessa et ses seins tendus. Si Caroline et Sabine tiennent parole concernant leur tenue, il va devenir idiot dès ce soir.
— Gloria, ma chère ! Vous êtes ravissante.
En effet, elle l’est. Ce n’est pas un effet de manche. Elle porte une robe à fleurs de couleur blanche, laissant apparaître avec discrétion, mais un raffinement certain la naissance de ses seins qui sont, ma foi, appétissant. Ses seins sont tout à fait remarquables et se tiennent parfaitement grâce à une lingerie discrète. Ses jambes sont fines et sont terminées par une paire de sandales ouvertes. Elle est tout simplement craquante de candeur et de simplicité.
— Merci, Alexis ! C’est gentil.— Mais c’est tout à fait sincère, très chère. Désirez-vous boire un verre ? Je peux vous proposer un rosé bien frais, par exemple. Mais si vous désirez autre chose, n’hésitez pas. Vous êtes mon invitée personnelle.— Un rosé, ce sera parfait.— Je vous sers de suite. Venez ! Asseyez-vous près de moi.— Nathan m’avait parlé de quatre personnes avec nous ?— Oui, Sabine et Caroline ne vont plus tarder maintenant. Elles étaient remontées dans leur chambre peu avant votre arrivée.
La discussion reprend alors entre nous. Nathan ne regarde absolument pas sa copine, et Vanessa ne l’y aide absolument pas, parfaite dans le rôle que je lui ai confié. Cela me permet de discuter librement avec Gloria.
— Alors, ma chère ! Que faites-vous dans la vie ?— Je débute dans la carrière. Je me destine à l’enseignement.— Dans quelle matière ?— L’Histoire. Je suis agrégée depuis peu.— Quel beau métier, dis-je en m’étranglant dans mon verre. Merde ! Une agrégée en Histoire. Comme moi. Comment une fille pareille est-elle tombée sur l’autre idiot ?— Vous trouvez ? Ce n’est pourtant pas ce que pensent la majorité des gens. Salaire élevé pour quelques heures de travail par semaine, congés rémunérés et trop nombreux, ainsi que...— Ce ne sont que l’avis de personnes qui ne connaissent pas la réalité de ce métier essentiel.— Vous m’étonnez.— Gloria. Et si nous passions au tutoiement. Comme Nathan et moi l’avons fait ? — Si tu veux.— Merci.
Alors que la conversation reprend, Caroline et Sabine font une apparition simultanée sur la terrasse.
Il était temps.
Un simple coup d’œil à Nathan me confirme que la partie est déjà gagnée. Il est complètement sous le choc. Mes deux créatures de rêve viennent de lui asséner le coup de grâce sans même avoir eu besoin d’ouvrir la bouche. Alors connaissant leurs facultés intellectuelles ainsi que leur répartie, Nathan est bon pour se palucher toute la nuit dans les toilettes s’il ne veut pas que sa copine lui coupe la queue.
Par contre, Gloria ne semble pas du même avis. Son regard, posé sur Vanessa avait déjà été un indice de sa réprobation vis-à-vis de sa tenue. Trop décolletée, trop osée, trop tout.
Alors que dire lorsque Caroline et Sabine apparaissent ?
Caroline porte un ensemble shorty et chemisier rouge dont elle a attaché les pans par un nœud au-dessus du nombril, faisant ainsi ressortir sa lourde poitrine rehaussée pour l’occasion par une lingerie étudiée à cet effet. Ses talons sont vertigineux et elle dodeline de la croupe en s’avançant vers nous. Sabine est, à son tour, renversante. Elle est vêtue avec simplicité. Une longue robe blanche dont les pans s’ouvraient sur ses longues jambes bronzées. Son décolleté est simple, mais son soutien-gorge est visiblement plus que renforcé pour faire se relever ses seins à ce point. Ses cheveux sont libres et se promènent sur ses épaules dénudées. Ses talons hauts claquent au rythme de ceux de Caroline.
En les regardant arriver, je bande comme un âne.
Et visiblement, je ne suis pas le seul. Nathan se tortillant sur son siège, ne sachant pas comment se placer pour ne pas faire souffrir sa queue qui doit être au supplice.
— Sabine ? Caroline ? Enfin, vous voilà mes chéries. Votre verre vous attend.
Venant directement s’asseoir à mes côtés, leur sourire désarma Nathan et Gloria dans un même temps.
Durant l’apéritif, qui se prolongea quelque peu, le vin coulant à flots pour Nathan, mais raisonnablement pour les autres convives, mes trois femmes se démenèrent pour monter, qui un bout-de-sein, qui un haut de cuisse à notre invité qui ne savait plus où donner des yeux.
Elles le rendirent, cette soirée-là, complètement débile.
Gloria remarqua les yeux de son compagnon rivés sur les attributs de mes compagnes de jeu, mais bien éduquée, ne lui en fit pas la remarque devant nous. L’orage gronderait ce soir, à l’abri de leur porte de chambrée.
Personnellement, je passais une soirée merveilleuse.
Voir ma victime s’empêtrer dans les méandres de l’érotisme dégagé par ces trois créatures démoniaques tout en profitant de la conversation de Gloria était un paradis. Ce n’est qu’au bout du troisième verre de rosé que celle-ci osa la question fatidique, probablement un peu dégrisée par l’alcool. Comme notre conversation était feutrée en plus d’être couverte par celle de Nathan, je lui répondis comme si je partageais un lourd secret.
— Alexis, pardonne ma question, mais, laquelle est ta copine ?— Ta question est légitime, Gloria. Tu ne devines pas ?— Non, puisque je te le demande.— C’est amusant ! Alors devine. — Si tu veux. Voyons. Vanessa avait un copain, selon Nathan, mais elle l’a largué. Tu es un de ses amis chez qui elle passe du temps. Donc, ce n’est pas elle.— Continue.— Sabine me paraît un peu âgée pour être en couple avec toi qui paraît jeune. — Ah bon ? Quel âge lui donnes-tu ?— Je dirais environ trente ans.
Ah maman, si tu l’entendais ? me dis-je en aparté.
— Si tu le dis !— Ce n’est pas correct ?— Je n’ai pas dit cela. Mais continue ton raisonnement. Il me passionne.— Arrête de te moquer de moi. Donc, il ne reste que Caroline. C’est donc elle ta copine ?— J’aime beaucoup ta façon de raisonner. Elle est, somme toute, logique. Comme l’agrégée en Histoire que tu es. Mais tu fais erreur.— Ah bon ? — Eh oui.— Alors, si tu me disais ?— Mais c’est évident. Aucune n’est ma copine. Vanessa est une amie de longue date. Elle est venue chez moi avec deux copines pour passer d’agréables moments en profitant de la maison.— Oh ! Tu es célibataire alors ?— Hélas ! dis-je en la fixant dans les yeux. Aucune jeune fille ne veut de moi. Je dois les faire fuir parce que mon apparence les repousse. Alors je reste cloitré dans ces murs, espérant la visite d’amies prêtes à me consoler de ma solitude.
Éclatant de rire, elle répond :
— Tu es loin d’être repoussant, Alexis. Tu n’as pas besoin d’être consolé.
Riant à mon tour, je rétorque en souriant.
— Alors je ne fais qu’abuser des amies qui viennent profiter des lieux.
Je me lève à cet instant en déclarant que je vais aller préparer le repas du soir. Invitant Gloria à me suivre « pour lui montrer les lieux », Nathan ne relève à nouveau pas que je kidnappe sa propre copine qui est restée pensive sur ma dernière phrase.
Je peux deviner sa cogitation interne lorsque je me dirige avec elle vers la piscine.
Ai-je dit vrai ? Ai-je vraiment suggéré que je profitais de ces trois filles qui sont chez moi ?
Je m’amuse terriblement. Je prends la main de Gloria dans la mienne et je la tourne vers le soleil couchant, derrière les collines rougeoyantes.
— Je suis content de te connaître, Gloria. Tu es ravissante et pleine d’esprit.— Pas aussi ravissantes que les trois autres filles ! lâche-t-elle un peu par mégarde.
Entrant dans son jeu, je rétorque :
— Pourquoi dis-tu cela ?— Parce que je ne suis pas aussi belle qu’elles, que je ne possède pas leur corps, que...— Chuuut ! dis-je en prenant son menton dans ma main et en la fixant dans les yeux. L’apparence n’est que l’apparence. Tu pourrais, si tu le désirais, rivaliser avec elles. Tu n’as, simplement, pas le même type de garde-robe, c’est tout. Ton style n’est pas le leur.— Tu penses que c’est tout ?— Bien sûr ! Regarde-toi. Tu es très belle.
Puis laissant un blanc théâtral, je la lâche et me recule en tournant la tête tout en disant :
— Nathan a beaucoup de chance d’avoir une petite amie aussi jolie que toi. Il doit être très heureux.— Il ne me regarde même plus depuis que nous sommes arrivés. Ces trois femmes l’ont rendu aveugle. Il n’a plus d’yeux que pour elles ! me dit-elle avec jalousie.— On ne peut pas le blâmer de regarder ce qui est beau. Mais je t’accorde qu’il se comporte en goujat. Que puis-je te dire d’autre ?— Je voudrais le rendre aussi gaga ! soupire-t-elle.
C’est décidément trop facile.
— Eh bien, fais-le !
Elle me regarde allumer le barbecue en me dévisageant.
— Que veux-tu dire, Alexis ?— Rends-le accro à toi, si c’est ce que tu désires. Ce serait simple.— Comment ?— Choisis des vêtements plus sexy, porte des talons hauts, deviens inaccessible pour lui. Un mec désire toujours ce qu’il ne peut pas obtenir. Tu es sa petite amie. C’est du tout cuit. Mais si tu deviens une femme fatale, il va galérer pour te conserver, je te le dis.— Merci pour le compliment.— Pardonne-moi si je t’ai vexée. Ce n’est pas mon intention. Si j’avais une petite amie comme toi, personne ne me ferait tourner le regard ailleurs que sur toi.
Rougissant à cette phrase, elle me dit :
— Merci ! C’est très gentil.— Mais de rien. Je te l’ai dit. Tu es très jolie. Tu devrais retourner marquer ton territoire, conclus-je en me reculant et en jetant un regard vers Nathan.
Puis, me retournant, je me concentre sur la cuisson des viandes pour ce soir en rompant net la conversation. Du moins en apparence, car je n’en mène pas large. Je joue avec le feu.
Je sens dans mon dos que Gloria veut continuer à discuter. Mais se ravisant, elle retourne s’asseoir près de son copain, mais je constate de loin que sa posture n’est toujours pas celle d’une conquérante, mais d’une victime.
Le repas se passe très bien. La conversation de mes appâts tourne sur la réforme du Droit pénal en France et Nathan semble totalement largué. Ce qui n’est pas le cas de Gloria qui tient tête aux femmes de loi présentes sur place. Elle remarque aussi que je ne fais plus attention à elle et que je me concentre sur les autres femmes de la soirée. Elle ne s’en offusque pas, mais je constate qu’elle se tortille sur sa chaise. Je prends l’avantage.
Ce n’est qu’en nous quittant pour aller se coucher, que je remarque la moue franchement boudeuse cette fois de Gloria. M’approchant d’elle, je lui murmure à l’oreille.
— Un tracas ?— Non ! — Un problème alors ?— Non !— Je t’ennuie, peut-être ? Je te laisse alors.— Noooon... ! murmure-t-elle uniquement pour moi. Je n’ai pas spécialement envie d’aller me coucher. Mais Nathan insiste.— Tu sais, avec ce qu’il a bu, il ne devrait pas tarder à s’endormir, ou plutôt à s’écrouler. Si tu veux revenir sur la terrasse, je serai toujours là.
Une lueur de plaisir s’allume dans ses yeux et son sourire est franc.
— Peut-être ! risque-t-elle timidement.— Bonne nuit les amoureux ! dis-je alors plus fort pour être entendu.
Nathan me répond avec un clin d’œil manifestant ainsi son empressement à satisfaire physiquement le plaisir visuel qu’il a reçu ce soir. Mais j’ai l’impression qu’il en sera pour ses frais.
Restés tous les quatre, nous nous sourions lorsqu’ils disparaissent dans leur chambre. C’est Sabine qui parle la première.
— Quel idiot, ce mec ! Il n’y en a que pour lui.— Tu l’as dit, maman ! En plus, il n’arrêtait pas de lorgner sur nos seins. Je me sens sale. Beurk !— Je vous avais prévenue, les filles ! dit Vanessa. Il n’est même pas discret.— Vous avez été épatantes, mesdames. Bravo ! conclus-je. Il est totalement dans vos filets. Il a bandé toute la soirée et je ne serai pas étonné qu’il désire ardemment se soulager avec Gloria. — Pauvre fille ! déclare maman, un peu triste pour elle. Elle est d’une simplicité désarmante et d’une gentillesse rare. J’ai des scrupules à lui faire du mal. En plus, Nathan n’a même pas eu la délicatesse de faire comme s’il n’allait pas lui sauter dessus dès la porte fermée.— Oh, ne te tracasse pas ! Je sens qu’il va très mal dormir, dis-je en riant de bon cœur. Gloria n’a pas du tout apprécié votre petit spectacle et encore moins la réaction de Nathan, qui l’a superbement ignorée durant la soirée. Je te parie qu’il en sera pour ses frais. Mais tu as raison, maman. Elle est adorable. Raison de plus pour lui montrer qui est vraiment ce mec. Elle semble l’aimer et l’amour rend aveugle. Ouvrons-lui les yeux.— Bonne idée ! conclus alors ma mère à ma grande surprise.— Je me sens sale ! Je vais prendre une douche, déclare ma sœur. — Moi aussi, dit maman. Caroline, nous la prenons ensemble ?— Volontiers ! Alexis, attends-nous. J’ai envie de ta queue ce soir. Tu veux bien ? — Comment refuser ? Je t’attends avec Vanessa.— Vanessa, si tu commençais avec lui ? Nous revenons vite.— Bien sûr. Si mon maître veut bien m’y autoriser ? me demande-t-elle en aparté.— Suce-moi !
Baissant son corsage, ses seins magnifiques m’apparaissent alors qu’elle se penche pour gober ma queue tendue d’un seul coup. Son nez touchant mon pubis, sa langue s’entortille autour de mon sexe tendu. Elle est vraiment devenue une experte dans l’art subtil de la fellation. Sa technique est imparable. Elle me masse les couilles en même temps, pour stimuler toutes les zones de mon plaisir. Puis, remontant enfin vers le gland, ses mains passent sur ses seins, qu’elle caresse en me fixant du regard.
— Tu aimes ce spectacle, généralement ! Alors, profites-en bien. J’aime te faire plaisir.— Continue alors, c’est parfait.
Reprenant ma queue en bouche, sa langue titille le frein alors que l’une de ses mains quitte ses seins pour venir chatouiller mon cul, prêt à recevoir ses caresses.
Ce petit jeu semble durer depuis un bon moment lorsque j’aperçois une ombre se faufiler derrière la fenêtre de la cuisine. Si j’ai bien vu, Gloria revient. Ne lui laissant pas le temps d’apparaître, je la préviens de ce qu’il se passe en émettant un son caractéristique avec un volume peu habituel.
— Aaarghhh... ! Tu suces comme une reine. Continue, Vanessa. Je vais jouir sur ta langue.
Vanessa, interloquée, me regarde en continuant son manège. D’un coup d’œil, je lui indique la présence d’une invitée. Comprenant immédiatement, elle replonge sur ma queue tendue.
Je l’aperçois alors dans l’encadrement de la porte, cachée dans la semi-ombre de la cuisine, elle se pense probablement invisible. Soudainement, elle se recule et se réfugie dans le salon. C’est alors que Caroline et Sabine réapparaissent en nuisette de soie, fraîches de leur douche.
— Sabine ? Caroline ? Cela va-t-il mieux ?— Oui, merci ! Nous en avions besoin par ces chaleurs.— Venez ! Prenez un verre de rosé dans le seau et joignez-vous à nous.— Vanessa ? Tu n’es qu’une goulue ! rit Caroline.— Pourquoi ? Tu en veux aussi ? demande-t-elle.— Oh oui ! La queue d’Alexis est délicieuse.
Et joignant le geste à la parole, Caroline s’agenouille aux côtés de Vanessa et elles entament un ballet à deux langues sur mon pieu érigé. Au passage, Vanessa la prévient de la présence de Gloria derrière les fenêtres. J’appelle Sabine près de moi et, simulant un baiser dans son cou, je l’informe à son tour de la situation.
Sabine se place alors aux côtés des deux autres femmes et caresse les croupes tendues vers le ciel étoilé. Tout en profitant du plaisir que ces femmes me procurent, je ne perds pas de vue un instant la silhouette derrière les portes vitrées du salon. Gloria semble à la fois éberluée et fascinée par ce qu’elle observe. Et, au mouvement lent de ses mains vers sa toison et ses seins, je devine que la fascination semble l’emporter.
Lorsque Caroline, assise sur moi entame un ballet ne laissant aucun doute sur le fait que ma queue ravage sa chatte trempée, je suis certain que Gloria se masturbe en nous observant. Et quand enfin je sors de ma sœur pour décharger dans la bouche de Vanessa afin qu’elle échange mon plaisir avec les autres femmes, Gloria se cabre sous l’effet du plaisir.
Cette petite voyeuse s’est caressé la chatte en matant ma jouissance et elle a atteint l’orgasme en regardant l’échange buccal. J’ai l’impression qu’elle n’est pas ce qu’elle veut prétendre. Ou que son imbécile de copain n’a pas remarqué la braise qui couve sous la cendre.
Le week-end va être exceptionnel.
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