Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 80 J'aime
  • 1 Commentaire

L'histoire de Muriel

Chapitre 5

Lesbienne
— Souvent ?— Je ne sais pas...— Toutes les nuits ?— Non, pas toutes quand même
Mes protestations ne semblent pas vraiment convaincre ma tante, qui sourit doucement.
— T’arrive-t-il de te caresser plusieurs fois à la suite ?— Écoutez, ma Tante, pourrait-on parler d’autre chose ?
Conakry entre et apporte le dessert, deux coupes de fraises à la chantilly.
Je vois ma tante tremper un doigt dans la crème chantilly de sa coupe et le porter à sa bouche pour le lécher avec gourmandise. Elle prend ensuite une fraise entre ses doigts et la présente devant la bouche de Conakry. Les lèvres charnues prennent délicatement le fruit qui disparaît dans la bouche de la jeune femme.
— Vois-tu, Muriel, je suis peut-être ce que ton père appelle une dépravée. Mon opinion est toutefois que si la Nature nous offre, au travers des sensations de notre corps, des sources de plaisir , il serait malheureux de ne pas y goûter.
Son doigt replonge dans la chantilly puis s’approche de la bouche de Conakry qui s’entrouvre alors pour goûter le présent.
— Conakry, s’il te plaît, dis ma tante, veux tu faire goûter le dessert à ma nièce ?— Volontiers, Madame.
Un peu nerveuse, je vois Conakry s’approcher de moi. Elle trempe un doigt dans ma coupe et me le présente à la bouche.
— Hé bien, qu’attends-tu ? As-tu peur qu’elle ne t’empoisonne ?
Ma langue touche délicatement le doigt couvert de Chantilly. Je le nettoie puis remercie Conakry.
— C’est un plaisir, Mademoiselle, vous en voulez encore ?
Je n’ose refuser. Conakry replonge sa main dans ma coupe puis me tendre une fraise que je prends délicatement.
— Alors, Muriel, sont-elles bonnes ?— Oui, ma Tante, très bonnes !
Conakry plonge alors son doigt dans la crème Chantilly et je m’apprête à continuer ce petit jeu lorsqu’elle arrête le mouvement de sa main vers moi pour se porter vers son nombril qui disparaît sous une tâche blanche. Conakry approche son ventre de mon visage et je reste interloquée et me tourne vers ma tante.
— Vas-y, Muriel ! Lèche-là donc
Je me décide à sortir timidement ma langue pour nettoyer le nombril de Conakry. Un coup d’œil vers ma tante pour capter son doux sourire. A ses côtés se trouve une jeune femme que je n’avais pas encore vue. Je déduis qu’il s’agit de Tahiti. Son pagne est de couleur verte. Est-ce la couleur de l’Océanie sur le drapeau Olympique ? Tahiti offre également son nombril couvert de chantilly à la langue de ma tante.
Conakry reprend de la Chantilly pour cette fois la poser sur la pointe de son sternum. Ma langue vient y lécher l’offrande qui m’est faite et je commence à apprécier l’excitation qui me gagne.
Comme je le pressentais, deux tâches de chantilly viennent maintenant décorer les deux mamelons de Conakry. Quelques secondes d’hésitation puis je me lève de ma chaise. Ma langue vient parcourir le téton droit que je sens durcir sous la caresse. Mes lèvres viennent alors s’aboucher sur le mamelon pour émettre une légère succion. Conakry laisse échapper un petit soupir.
Inconsciemment, ma main droite s’est portée sur l’autre sein et commence à le soupeser, à le caresser, à pincer le téton. Qu’est-ce que je suis en train de faire, mon dieu ? La chantilly a disparu depuis belle lurette, mais je m’acharne sur les fermes mamelles de Conakry. Je relève la tête pour regarder son visage, ses yeux sont mi-clos et sa bouche entrouverte.
Elle prend une fraise qu’elle place entre ses dents. J’approche ma bouche pour mordre également le fruit qui se brise en deux. Nos lèvres se touchaient à peine, elles sont désormais collées. Nos mâchoires ouvertes laissent libre place à nos langues qui se rencontrent, s’enlacent et la fraise en morceaux circulent d’une bouche à l’autre.
Lorsque nous nous séparons, la tête me tourne légèrement. Je me rassieds alors. Je ne vois plus ma tante. Je vois juste Tahiti debout derrière la table, le corps tendu et cambré.
— Tante Christine ?
Tahiti pousse un bref cri et tressaute pendant quelques secondes tandis que la tête de ma tante réapparaît, un peu décoiffée.
— Excuses-moi, Muriel. Tahiti est allé se tartiner de Chantilly à un endroit pas possible. Tu as donc fait plus ample connaissance avec Conakry,, me semble-t-il.
Je rougis, un peu honteuse de ma conduite. Aussi j’essaye de détourner la conversation.
— Je suis désolée ma Tante, mais je pense que je vais devoir bientôt rentrer à Paris.— Il n’est que trois heures, mais je ne veux pas te retenir. J’espère que le repas t’a plu.— Oui, beaucoup.— Je suis désolée de t’avoir ennuyée avec mes questions. Tu reviendras ?— Sans doute.— Dimanche prochain ?— Non, il me faut travailler un peu avant le Bac.
Diffuse en direct !
Regarder son live