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L'histoire de Muriel

Chapitre 13

Lesbienne
— Non, s’il te plaît ! Je ne me sens pas encore prête.
La main de Saïgon caresse ma jambe mais, respectant mon souhait, ne s’aventure pas au dessus de mon genou. Je me tourne vers ses seins fermes qui attirent à nouveau ma bouche. Je mordille légèrement les tétons, ce qui arrache quelques soupirs de plaisir à ma partenaire.
— Dites, les filles, n’avez vous donc pas faim ?
Ma tante vient de se lever de son fauteuil et regarde les trois couples enlacés à ses pieds.
— Que diriez-vous d’un petit pique-nique ? Il fait si bon aujourd’hui !
Aussitôt toutes les filles se lèvent et se précipitent vers la maison. Je reste seule avec ma tante.
— Où vont-elles ? Elles ne veulent pas pique-niquer ? Je demande.— Bien sûr que si ! Elles sont simplement aller chercher le nécessaire à la cuisine.
Le regard de ma tante s’attarde sur ma poitrine nue. Instinctivement je lève un bras devant mes seins. Ma tante souris et me prends par l’épaule.
— N’aie pas honte de ton corps, Muriel. Tu es vraiment très belle. Et de toute façon, je ne te toucherai jamais, pour ma part, enfin jamais de façon sexuelle. Tu restes ma nièce avant tout. As-tu remarqué que tu es la seule à avoir des cheveux blonds ?— Non, je ne m’en rends compte qu’à l’instant. Vous...— Oui, qu’y-a-t-il?— Non rien !— Si va au bout de ta pensée, je t’en prie.— Vous êtes restée dans votre fauteuil tout à l’heure. Vous ne vous mêlez pas à leurs jeux ?— Au contraire, mais tu es là aujourd’hui et les filles meurent de vouloir te connaître. Je me mets donc un peu en retrait.
Les cinq jeunes femmes reviennent avec des paniers et commencent à installer le pique-nique.
— Je repensais à la façon dont nous allions nous organiser. Ce serait bien que l’une d’entre elle te raccompagne ce soir et passe la semaine avec toi à Paris. Tu ne seras pas seule au moins.
Je réfléchis quelques instants puis finis par acquiescer.
— Les filles, écoutez-moi, s’il vous plaît ! Muriel retourne chez elle ce soir pour la semaine, car elle a encore des cours avant ses examens. Je pense que ce serait bien que l’une d’entre vous lui tienne compagnie. L’une d’entre vous est-elle intéressée ?
Cinq mains se lèvent. Je ne sais si c’est l’idée de m’accompagner ou celle de venir à Paris qui motive autant de vocations.
— Muriel, tu vas devoir faire un choix !— Je ne veux vexer personne.— On pourrait peut-être y aller à tour de rôle ? Suggère Lima.— Bonne idée, renchérit Tahiti. Tirons donc à la courte paille !— Comme d’habitude ? Interroge ma tante.— Oh oui !, s’exclament en cœur les jeunes femmes.— D’accord alors. Attendez quelques minutes, je vais aller me préparer.
Sur ces mots, ma Tante nous quitte pour se rendre dans le bâtiment. En l’attendant, les jeunes filles continuent les préparatifs du pique-nique. Florence ouvre une bouteille de vin rosé et commence à remplir des verres. Elle m’en présente un.
— À ta santé Muriel ! — Merci, mais je ne bois pas d’alcool, tu sais— Allons, le vin rosé se boit comme du petit lait. Si tu n’en abuses pas, il n’y a rien à craindre.
Ma tante revient lentement vers nous. Elle s’arrête, jambes écartées et commence à rappeler les règles du jeu.
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