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L'histoire de Muriel

Chapitre 46

Lesbienne
J’approche un doigt pour toucher la partie violacée. Le membre fait un petit sursaut au moment où je le touche. Cette partie du membre a l’air particulièrement sensible. Le méat, initialement noir, semble briller maintenant d’une goutte de liquide. Je me tourne vers ma tante.
— Cette goutte, c’est bien du sperme ?
Ma tante éclate de rire. Le serveur reste quant à lui de marbre.
— Non, non, ce n’est pas du sperme. C’est une sécrétion lubrifiante, un peu équivalente à la cyprine qui inonde ta vulve actuellement. Si tu veux voir le sperme de Monsieur, il va falloir que tu fasses quelques efforts.
Je ne suis pas sûre de vouloir vraiment voir le sperme, mais je réponds, presque malgré moi.
— Que dois-je faire ?— Tu as plusieurs instruments à ta disposition pour obtenir la semence de Monsieur. La plus naturelle est ton vagin, mais nous ne le ferons pas aujourd’hui, car je tiens à ce que ce soit une fête et pas quelque chose de fait à la va-vite.— Quand cela interviendra-t-il ?— Dans quelques jours. Ce sera de toutes façon après les obsèques de ta mère. Le deuxième instrument est ton cul, ce que l’on appelle la sodomie. Si tu souhaites essayer cette pratique, ce sera également pour plus tard. Ta bouche est le troisième orifice capable de recevoir la semence. Tes mains peuvent mimer un vagin autour du sexe masculin et permettre l’obtention du sperme. Les femmes possédant une forte poitrine aiment utiliser leurs deux seins pour entourer le sexe masculin. Enfin, d’autres utilisent leurs pieds, mais c’est un peu moins fréquent. Aujourd’hui, je te propose d’utiliser tes mains car c’est le plus facile.
Je regarde le sexe qui bat doucement devant moi, de haut en bas. J’imagine que la pulsion sanguine est à l’origine de ce battement. Ce rouleau de chair m’hypnotise plus que je ne voudrais me l’avouer
— Comment dois-je faire ?— La partie la plus sensible est le gland que tu as devant tes yeux. La muqueuse est très sensible aux frottements et aux glissements et c’est la principale clé du plaisir masculin. La tige est moins sensible mais des mouvements de va-et vient de la peau sur cette tige permet d’arriver également au but. Comme Monsieur ne possède pas de prépuce, tu vas te concentrer sur le gland, mais auparavant, tu vas mettre un peu de lubrifiant sur tes mains.— Pourquoi donc ?— Même si tes mains sont douces, tu risquerais d’irriter la muqueuse si tu frottais sans précaution. Ce n’est pas le but du jeu !
Ma Tante se penche pour prendre une petite bouteille placée sur un plateau en dessous de la table. Elle la débouche en me disant.
— Présente tes mains de façon à ce que je te verse un peu de cette huile parfumée, elle rendra tes caresses très douces autour du gland.

Je reçois quelques gouttes d’huile sur mes mains placées en coupe et je me frotte les mains pour répartir le liquide.
— Et maintenant ?— Enserre le gland de Monsieur avec ta main droite. Non, pas comme cela, retourne ta main. Voilà !— C’est chaud et doux.— Maintenant, tu vas parcourir le gland d’avant en arrière, en effectuant une petite rotation de ton poignet.— Comme cela !— Oui, oui ! Tu prends assez vite le coup de main.— Et ma main gauche ?— Elle prendra le relais lorsque ta main droite sera fatiguée. En attendant utilise la pour caresser et soupeser les bourses de monsieur. Doucement toutefois, ne lui fait pas de mal !— C’est si sensible ?— Oui, un coup mal placé ici est particulièrement douloureux.
Je continue mes caresses et je trouve cela amusant. Cela n’a rien à voir avec les caresses que l’on peut faire sur un sexe féminin. C’est également beaucoup moins varié. Je lève les yeux pour regarder le visage du serveur. Il continue à me sourire doucement, cependant, je vois que ses yeux se ferment peu à peu.
Après trois minutes, je change de main. Je regarde le méat qui reste sec de toute semence et commence à me désespérer.
— Je ne suis pas sûr de faire cela très bien, dis-je à ma Tante.— Non, tu te débrouille bien ! Ne t’impatiente pas ! N’accélère pas, cela ne sert à rien. Essaye en revanche d’exercer régulièrement des pressions douces en serrant de temps en temps ta main autour du gland.— Comme cela ?
Soudain, un jet vient me frapper au dessus du sein droit. Surprise, je me recule et reçois un nouveau jet sur la bouche. Je pousse finalement un cri lorsqu’un troisième jet atteint mon front à la lisière de mes cheveux. Le membre jette encore quelques jets moins puissants qui finissent sur ma cuisse et sur le sol.
— Pouvez-vous nous apporter de quoi essuyer, demande ma Tante au serveur.— Tout de suite, Madame.
Je me sens penaude ainsi maculée de sperme.
— Ne fais pas cette tête, Muriel, tu t’en es très bien débrouillée. Je te félicite.— Je ne sais pas si cela vaut la peine.— Cela ne t’a pas amusée ?— Un peu au début, mais recevoir ce sperme sur mon corps n’était pas agréable. Surtout sur le visage !— Tu as goûté ?— Bien obligée avec ce que j’ai reçu sur la bouche. C’est âcre, je trouve !— Oui c’est vrai !
Le serveur revient avec des lingettes humides.
— Vous permettez, Mademoiselle ?
Sans attendre ma réponse, il passe délicatement une lingette sur ma bouche, puis une deuxième sur mon front avant de s’occuper de ma poitrine et de ma cuisse. Puis il s’occupe de nettoyer son propre sexe avant de ramasser la semence tombée au sol.
— Puis je vous proposer de vous laver et de vous masser, en remerciement du plaisir que vous m’avez procuré ?
Je regarde ma Tante, interrogative.
— Accepte, ma chérie, c’est très agréable. Je ferais d’ailleurs bien de même si vous pouviez appeler un de vos collègues.— Tout de suite Madame.
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