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Histoire de Paulo

Chapitre 3

Trash
Catherine
Après ce que m’a dit Catherine, j’ai très envie de récupérer notre couple mais comment faire ?
Je rentre dans la salle de bain, elle est nue, trempée. Je la regarde, elle a les yeux tout rouge. Elle est belle finalement. Je la choppe par le bras, la tourne, sors mon sexe et la pénètre sans ménagement.
— ‘Cath, je t’es trompé hier mais ça fait tellement longtemps que je n’ai pas joui dans toi. Elle se cambre, éclate en sanglot puis gémie : ’prends ton plaisir, je suis désolée de t’avoir fait subir tout ça !‘. Je sors de son sexe et appui à l’entrée de son anus en étant sur qu’elle va dire non. ‘Paul, fait doucement, je veux te faire plaisir comme jamais mais je n’ai jamais eu un homme dans mes fesses.‘. Je force doucement, me retire, mouille de salive son anus et tente de la pénétrer à nouveau. Rien à faire.
— ‘Sur le lit, suggère-t-elle.‘
Nous allons dans la chambre, elle se met à quatre pattes et je recommence. Le gland est rentré, dans la glace de l’armoire je la vois grimacer. J’interrompt la pénétration, je lui dis que je ne veux pas qu’elle ait mal. Elle me dit qu’elle veut bien cette douleur juste pour moi.
Je m’y suis repris à quatre fois pour limiter sa souffrance et me voilà planté dans son cul. Pour la première fois je découvre qu’elle est un peu velue de la raie. J’aime, je le lui dit.
— ‘Paul je veux que tu prennes du plaisir, s’il te plait, je me sens tellement coupable. Aie, t’inquiète, continu …‘.
Je t’encule ma femme, je sens une envie de te défoncer. Je sors, re-rentre, une fois, deux, trois, elle expulse un peu de matières fécales, ça sent fort, ça me dope total. Je la pistonne une demi heure, faut dire que j’ai donné cette nuit. Et puis d’un coup elle se met à beugler : ‘traite moi de pute, dis moi que je suis ta salope !‘. Je m’exécute et une déferlante m’envahie, je lui rempli le cul et me vautre sur elle. Dans un soupir je lui glisse : ‘Comme c’est bon de jouir dans toi !‘.
Le lit est ravagé, une large tache brune montre qu’elle s’est lâchée sur les draps. Elle est nue et splendide. Son sexe est velu et ses jambes largement écartées. Je glisse pour la lécher, elle se laisse faire puis ses mains me caressent les cheveux et je l’entend : ‘Pourquoi je t’ai refusé tout ça ? Continu, je suis bien, tu m’apprendras à prendre du plaisir ? Tu me feras jouir un jour ?‘.
Je suis au taquet d’autant que sa respiration s’accélère, je glisse un doigt dans son sexe et m’active. L’incroyable se produit, elle se cambre et expulse un jet de jouissance sur mon visage en couinant …

Je viens de faire jouir ma femme après vingt ans de mariage. Elle est en vrac, la chambre sent le cul.
— ‘Je suis ménopausée mon Amour mais s’il te plait, fais comme si tu voulais me faire un autre bébé‘. Murmure Cath.
Je monte sur son ventre et la pénètre. Pour la première fois je sens que c’est mon épouse. C’est un délire.
Je n’ai jamais déployé tant d’attentions, tant de tendresse, nous buvons nos lèvres, je me laisse aller, j’explose en elle.
Il est onze heures du mat, son bureau appelle et elle explique qu’elle est malade à crever.
Nous déjeunons ensemble, je lui touche la main, elle est tout sourire.
Les vieux non-dits déferlent, je lui explique comment je me sentais malheureux pour découvrir qu’elle aussi était très malheureuse.
Lorsque Thierry rentre il est abasourdi, son univers n’est plus le même, la tendresse transpire de partout. Les attentions sont multipliées. Le gamin ne comprend pas bien. Cath a toujours été un mère, elle prend notre gosse dans la cuisine tandis que je répare la chasse d’eau qui fuyait depuis trop longtemps.
Lorsqu’ils sortent de la cuisine Catherine est souriante et mon Titi vient me taper sur l’épaule. Il a l’air ravi.
Je saurai, cette nuit qu’elle lui a expliqué le fiasco de ces dernières années et nos retrouvailles.
Mon gamin est tellement détendu qu’il me parle de sa copine Vanessa et de ses potes de classe.
Le dîner est une splendeur, Cath est sortie faire des courses et sur la table il y a une débauche de trucs sympas … Nous prenons l’apéro sans que la télé soit en route et mon épouse se love contre moi à tous bouts de champs en me glissant des baiser dans le cou.
Le dîner est émaillé de rires, de douceur … Putain, j’ai attendu ça vingt ans.
Après le dîner Catherine annonce qu’elle va lire, Thierry va se brancher dans sa chambre sur internet.
Je vais dans la chambre. Catherine est entièrement nue, ouverte, elle n’a pas ouvert le livre et me regarde dans les yeux l’air très coquin.
— ‘On reprend le boulot demain mon Paul, je veux toi, encore !‘.

Nous parlons de cochonneries que nous pourrions faire. Je lui avoue que j’aimerai qu’elle me suce. Elle voudrait voir un film de cul.
Je vais chercher mon ordi portable et je me branche sur l’un des sites ou je me faisais plaisir. Les vidéos font quelques minutes chacune et on enchaîne les unes derrière les autres, je la caresse et elle mouille comme pas possible. A un moment une grosse bouffe la queue d’un énorme black. Catherine glisse jusqu’à mon sexe et entreprend une fellation. Elle met un peu les dents, je la sermonne et c’est tout de suite mieux.
On est en 69, je la bouffe tandis qu’elle m’aspire et je prend sa main pour appuyer un doigt sur mon anus. Elle a retiré sa tête et me traite de petit cochon puis reprend sa fellation et glisse son index dans mon trou du cul, je fais la même chose avec le sien.
J’arrive au point de non retour, je le lui dit, elle continue a me pomper et je crache la totale dans sa bouche, elle hoquette, est prise de haut le cœur mais fini par tout avaler.
— ‘Tu as fait tous ces trucs avec la fille hier soir ?‘ Demande ma douce épouse.
Je lui explique ce que nous avons fait. Elle est scotchée.
Comme nous en sommes aux confidences elle m’explique son amant d’une fois, un type du bureau qui l’a baisé sur le lit d’une chambre d’hôtel, à la vas vite, avec une capote puis s’est vidé sur son ventre en la traitant de coincée du cul.
Nous échangeons encore des caresses puis je sombre totalement. Épuisé repus, heureux.
Au petit matin me voici debout, la douche, mes fringues, je petit déjeune lorsque Catherine arrive dans la cuisine, belle, drapée dans un peignoir qu’elle n’avait jamais mis, un truc chinois, blanc avec une broderie or et rouge. Elle entrouvre le peignoir pour me montrer sa nudité et m’embrasse à pleine bouche.
Il va falloir que j’y ailles.
Catherine est accoudée sur le plan de travail et me tourne le dos, elle attend que la bouilloire ait fini de faire son office.
Je trousse le peignoir, lui accroche les hanches et me plante en elle, elle geins un peu et je la bourre comme un malade quand notre fils entre. Il est rouge comme un coquelicot et ressort prestement. Ma femme se tortille sur ma bite et comme si notre gamin n’était pas là, elle beugle : ‘défonce moi mon Amour, éclate moi, s’il te plait, je veux que tu m’explose !‘. Je sors de son sexe et l’encule sans préambule … La voilà qui râle : ‘oui, dans mon cul, casse moi le trou, joui mon Chéri !‘. Je me laisse aller.
Nous restons un moment comme ça puis je me rajuste. Elle a l’intérieur des cuisses trempé.
Je lui glisse à l’oreille : ‘Putain, tu sais que je t’aime toi !‘.
Elle se rajuste aussi et appelle Thierry. Celui-ci entre dans la cuisine lentement et nous regarde.
Sa mère lui lâche : ‘Bhen c’est normal que je fasse l’Amour avec ton père !‘. Il bredouille que oui et regarde sa mère incrédule. Son caleçon est tendu à exploser. Sa mère lui dit qu’il est bon pour une branlette sous la douche. Il rigole mais se précipite dans la salle de bain.
Lorsqu’il revient je suis sur le pas de la porte, la bosse de son caleçon a disparue.
Il vient me faire un bisou puis se prépare son déjeuner.
Je vais à l’usine sans traîner et commence ma journée. Vers onze heures Cath me téléphone sur mon portable.
‘Tu sais mon chéri, j’ai vraiment été trop conne … Je t’aime.‘
La journée se passe sans encombre et j’ai bien bossé ce qui me vaut un grand sourire de l’ingénieur responsable de l’usine.
Sitôt rentré je me douche et fais un brin de ménage. Thierry a laissé un mot, il ne dînera pas avec nous, m’est avis qu’il va sauter sa copine ce soir.
Catherine rentre tout sourire, elle m’embrasse et me dit qu’elle pue, qu’il faut qu’elle se lave. Je la suis à la trace, elle se déshabille, je me colle contre elle. Je la sens, dans le cou, sous les aisselles aux poils follets puis affirme : ‘j’aime ton odeur, reste comme ça, ça me donne la trique !‘.
On dîne tous les deux à poil et après le dessert je l’aide a débarrasser, j’ai la bite tendue.
— ‘Bha dis donc tu te rattrape toi !‘.
Je la porte jusqu’au lit et nous faisons l’amour. L’odeur de transpiration de la journée me galvanise, je lui suce les orteils un par un en sentant ses pieds.
— ‘Tu pue mais j’aime ça, tu vas prendre cher ma chère.‘.
Marc 0. Paulo
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