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Histoire de la photo 003

Chapitre 2

La Fête

Erotique
Cette photo est assez récente. A cette époque, on était encore à Lyon. Elle a été prise lors des 25 ans de ma copine Cathy, et c’était déjà assez tard dans la nuit. Quand je suis arrivée à cette soirée, je n’avais pas ce décolleté, j’avais encore un soutien-gorge et un bustier bleu marine.

Dans les jours qui ont suivi, j’ai raconté à Cathy ce qui s’était passé. On est parti d’un fou rire qu’on a eu du mal à arrêter. Cathy essayait d’imaginer la scène improbable de sa mère découvrant son fils en train de se faire déniaiser par la meilleure copine de sa fille... et elle repartait dans son fou rire ...Bon, on a décidé de faire comme si on n’était au courant de rien, et j’ai évité de croiser la route de Kevin qui, de son côté, n’a parlé à personne, encore moins à sa sœur qu’à quiconque ! Jusqu’au jour de l’anniversaire et de la fête...
Le rendez-vous était vers 19heures dans une villa que les parents de Cathy avaient louée, une très grande maison avec rez-de-chaussée pouvant accueillir une cinquantaine de personnes, quatre chambres, également quatre chambres à l’étage et quatre chambres dans les combles avec des toilettes et salles de bains un peu partout.Un truc de ouf, mais les parents pensaient que beaucoup resteraient dormir quand l’ambiance se calmerait !
Moi, j’étais venue avec une tenue très correcte, une robe bleue à peine décolletée, je portais un soutien-gorge que mon 90D exigeait et un string. Cathy avait une tenue un peu plus sexy, mais c’était la vedette de la soirée, et puis elle peut se pavaner sans soutif et avec un grand décolleté ! Il y avait une bonne vingtaine de garçons, j’en connaissais au moins la moitié et j’en connaissais très très bien la moitié de la moitié ! Il y avait Jean-Jacques, Pierrot le fou, Matthieu, Yvan, Jérôme, Nicolas et même Théo avec sa dernière copine, très sympa. Et puis, il ne faut pas que j’oublie Kevin, le «’petit’ frère de Cathy !
Les amies de Cathy, dont moi, on avait organisé ce qui venait d’un traiteur et ce que chacun devait apporter, salé ou sucré. La mise en place du buffet avec le début de l’apéritif a été l’occasion de faire connaissance avec les gens qu’on rencontrait pour la première fois. C’était très sympa ! Au bout de deux whiskys ou de trois mojitos, les langues se déliaient et l’ambiance commençait à chauffer. La moitié de l’assistance était en couple et l’autre moitié étudiait les opportunités.
Et des opportunités, il y en avait, mais pas d’urgence, en tout cas, pas pour moi, j’avais toujours au moins deux garçons pour discuter, mais aussi des filles que j’aurais bien aimé avoir comme amies. Et puis, on profite des débuts de soirée aussi pour visiter la maison, jeter son dévolu éventuellement sur une chambre en posant son sac sur un pieu. On repère les toilettes et les salles d’eau, on repère s’il n’y a pas un couple en train de disparaître dans une chambre ou autre... mais c’est un peu tôt.
Même si Kevin m’a déjà glissé dans le creux de l’oreille qu’il fallait qu’on finisse ce qu’on avait commencé l’autre jour. J’ai souri et je ne sais pas ce qu’il a compris, si c’était un encouragement ou le contraire...
Et puis, j’ai longtemps discuté avec Théo et Stéphanie, et puis après, c’est Pierre qui est venu me parler. Pierre, je le surnommais quand on était étudiant et qu’on baisait ensemble, je le surnommais Pierrot le fou. Il adorait ce film et il était toujours en train de se marrer et de voir la vie du bon côté. Ca avait l’air d’être toujours le cas, et il ne semblait pas avoir de copine ici, ce soir. Et puis j’allais de petit groupe en petit groupe, un peu comme tout le monde, un peu plus alcoolisée à chaque changement de groupe. Et puis la musique a démarré, et puis les lumières ont été baissées, tamisées. Il était 22h30.
Je ne voyais pas Cathy depuis un moment. J’avais également envie d’aller aux toilettes, je suis montée à l’étage pour la chercher et lui parler de son frère. En arrivant à l’étage, je la vois sortir d’une chambre avec Yvan. Je me suis dit qu’elle commençait de bonne heure à s’envoyer en l’air et quand elle est passée à côté de moi, je lui ai glissé dans le creux de l’oreille :
— T’as une tache de foutre sur ta robe ! — C’est pas vrai ! Où ça ? — Je déconne !
Je lui ai fait un clin d’œil qui l’a détendue et elle me l’a rendu accompagné d’un « Salope ! » discret.
Du coup, je ne lui ai pas parlé de Kevin et je suis allée aux toilettes. En en sortant, j’ai poussé plusieurs portes pour trouver une salle d’eau et me laver les mains. J’étais tranquillement en train de faire ce que j’avais à faire quand la porte s’est ouverte brutalement, laissant entrer Kevin qui, lui, pousse le verrou.
— Mais,... Kevin !
J’ai les mains encore mouillées que, venant derrière moi, il me prend les seins dans ses grandes mains...
— Kevin, je vais... — Tu vas hurler au viol ? — Ta gueule !
Mais c’est vrai que je n’ai pas vraiment envie de hurler, je n’ai pas non plus vraiment envie de baiser maintenant... plus tard sûrement !
— C’est un peu tôt, Kevin.— Oui, mais après, tu n’auras plus de temps pour moi ! Tu as vu tous ces mâles disponibles, comment ils te regardent ! — Ta gueule ! — Ta gueule, c’est tout ce que tu sais me dire ! — Bon, tu veux quoi ? — On reprend où on en était resté ? — On en était resté où ? — Je ne sais plus !
Mais il sait faire sauter les boutons de ma robe qui se retrouve par terre et il continue à me pétrir les seins. Il décroche mon soutif et le balance je ne sais où dans la salle d’eau. Il me lèche le bout des seins, les caresse, les tord, les suce, les lèche pendant que je défais la ceinture de son pantalon et commence à branler son outil en le félicitant de l’outil dont il dispose. Il faut toujours féliciter les garçons de l’outil dont il dispose, ça les rassure, mais là, il bande de toute façon comme un âne.
Je baisse mon string, et en me hissant sur la pointe des pieds, je m’assois sur le bord du lavabo – pourvu qu’il tienne ! - et tenant Kevin par son sexe, je l’attire à moi quand on frappe soudain à la porte. Je lui fais signe de se taire tout en continuant à le caresser ...
— Une minute, j’ai bientôt fini ! Il y a d’autres toilettes à l’étage ! — OK ! OK !
L’importun se barre et maintenant, je n’ai plus qu’une envie, me faire prendre, me faire baiser et c’est ce que je lui dis à Kevin ! Il me pénètre en douceur, à fond, et quand je le sens bien au fond, je lui dis d’aller doucement. Le jeune fou a une énergie débordante, mais un peu plaisamment désordonnée, mais plaisamment est ce qui ressort le mieux. J’ai mal aux fesses sur le rebord de ce foutu lavabo, mais Kevin se débrouille bien, mais rapidement ! Je m’accroche à son cou et lui demande de passer ses bras sous mes genoux. Je suis bien comme ça, je la sens bien là, bien profond ! Il me baise comme si ça devait être la dernière fois et il finit par jouir... Je l’encourage en lui demandant de me baiser encore, de tout me donner, de se détendre, que c’était bien..... Il jouit un peu vite, mais c’est normal. C’est ce que je lui dis en même temps que je lui dis que la prochaine fois, on prendra notre temps !
Je m’essuie, je l’essuie, je remets mon string, ma robe et on se barre vite avant que quelqu’un d’autre revienne frapper à la porte !
Je redescends les escaliers en courant et là, catastrophe, je m’aperçois que j’ai laissé mon soutif dans la salle d’eau. Je remonte en courant, je frappe à la porte. Fermée. Zut ! Je me planque pour voir qui va sortir, si je le connais... Le type qui sort, je le connais, c’est Matthieu ! On a baisé ensemble il y a... je ne sais plus, 2 ans peut-être, mais je le laisse filer. Je ne vais pas aller le trouver en lui demandant innocemment s’il n’a pas vu mon soutien-gorge traîner quelque part par là !! Je rentre dans la salle d’eau et cherche mon soutif, où a-t-il bien pu aller tomber quand Kevin l’a balancé !? Je le cherche, je le cherche, mais je ne le trouve pas ! Je me regarde dans la glace, je balance mes seins de droite à gauche... Putain, ça se voit comme si j’étais à poil ! S’il n’est pas là, qui l’a récupéré ?
Je redescends me fondre dans les groupes et j’évite d’aller danser ! Boire ou danser, je bois. Je ne suis pas la seule, Cathy a l’air bien partie, Stéphanie a l’air plutôt hagard, assise sur un canapé avec Théo qui commence à la peloter ! J’ai l’impression qu’il y a moins de monde... Cathy me dit que certains sont partis... Oui, partis baiser dans les chambres ! Elle me fait un clin d’œil. Elle me dit qu’Etienne, Philippe, Matthieu et je ne sais qui encore lui ont demandé si j’étais seule. Elle leur a évidemment dit que oui, et que j’étais prête à m’envoyer en l’air avec le premier venu !
— Cathy, t’es bourrée ou quoi ? — Oui, il m’a bien bourrée, 25 coups ! Sérieux, promis !
Il devait être minuit et demi. Kevin était au pupitre et s’occupait de la musique... Je suis allée le voir, et il m’a expliqué plein de trucs que j’ai déjà oubliés sur les musiques et les musiciens qu’il nous faisait écouter...
Et puis tout d’un coup, une rumeur grandissante, quelqu’un a commencé à faire tourner les mouchoirs, et là, j’ai vu Matthieu qui, en descendant les escaliers, faisait tourner, non pas un mouchoir, mais mon soutien-gorge en le montrant à tout le monde ! Putain, c’est lui qui l’avait récupéré discrètement ! Et tout le monde rigolait !
— Je tiens à la disposition de celle qui a perdu ça, ce bel objet... d’une belle taille ! Que j’ai trouvé dans un endroit où, c’est vrai, elle n’en a pas eu besoin !
Evidemment, je ne savais pas comment dissimuler le fait que je n’avais plus de soutif, tout le monde se marrait et j’essayais de me mêler au choeur des gens qui riaient pour cacher ma gêne ! Matthieu riait et demandait à la personne à qui appartenait ce trophée de se dénoncer. Mais je suis sûre qu’il savait que c’était moi et ça l’amusait, mais il a eu le bon goût de ne pas me dénoncer !
Ca s’est néanmoins calmé assez vite parce que le gâteau d’anniversaire a été annoncé !
Vingt-cinq bougies pour Cathy qui commençait à être un peu pétée et qui, soutenue par Maxime, s’y est reprise à trois fois avant de réussir à éteindre les 7 bougies plantées sur le gâteau. Heureusement que ce n’était pas à elle de découper et que Christian et Pétronille s’y sont collés pendant que quelqu’un d’autre ouvrait du champagne et que la musique me semblait de plus en plus forte.
En croisant Matthieu, je lui ai glissé gentiment dans le creux de l’oreille :
— Rends-moi vite ce qui m’appartient ! Ou je te tue ! — Je vais le poser sur le gâteau... — Déconne pas ! — Je ne suis pas aussi mauvais que tu te plais à le raconter à tes copines ! — Je t’aime, connard !
Avec Matthieu, ça avait toujours été ’Je t’aime, moi non plus’, mais j’avais toujours été un peu amoureuse de lui ...
Gâteau... Champagne... L’heure avançait, la musique se faisait plus douce, moins anglo-saxonne, plus latine... et les lumières plus tamisées encore... Dans les coins, des couples s’embrassaient, voire même un peu plus, se demandant sûrement où ils pourraient bien aller conclure...
Et puis j’ai vu Matthieu qui prenait l’escalier pour monter à l’étage, il regardait dans ma direction, je me suis avancée pour le suivre... Quand je faisais un pas vers lui, il montait deux marches en continuant à me regarder... Arrivé en haut de l’escalier, il a disparu, je me suis précipitée dans l’escalier... Arrivée à l’étage, je l’ai vu disparaître dans une chambre, je me suis approchée de la porte..... Il l’avait laissée entre-baillée sans avoir allumé la lumière... J’ posé la main sur la poignée de la porte qui s’est ouverte brusquement ! Je me suis retrouvée comme aspirée à l’intérieur de la chambre et prisonnière des bras de Matthieu qui s’adossait à la porte pour la fermer, tout en tournant la clé dans la serrure !
— Déconne pas Matthieu, allez, rends-le-moi ! — Pourquoi tu m’as larguée il y a un an ! Hein ? — Arrête tes délires, c’est toi qu’est partie avec Virginie ! T’es gonflé ! — Je ne suis pas parti avec Virginie, vous me l’avez collée pour finaliser le mémoire de mastère ! — Tu parles, et Cathy qui vous a vus dans les toilettes ! Apparemment, ça ne laissait aucun doute sur ce que vous faisiez ! — Mais je n’aimais que toi ! — Tu n’aimais que moi et t’en baisais une autre alors que j’avais envie que tu me baises moi et...— Et c’est toujours toi que j’aime !
Alors il m’a embrassée comme la première fois, sans forcer, naturellement, attendant juste ce qu’il fallait que je lui rende son baiser, que je lui rendais avec plaisir ...
— Je t’aime...— Moi non plus ! — Tu te rappelles ? — Je me rappelle plein de trucs ! — Plein de trucs cochons ? — Oui, cochons ! — Cochons comme quoi ? — Comme quoi ? Comme ça !
Alors j’ai défait la ceinture de son pantalon en me disant que j’étais faible, mais que j’adorais être faible dans les bras de Matthieu... Et j’ai baissé son pantalon !
Ce que j’aimais bien lui faire, c’était prendre son sexe entre mes lèvres quand il était encore au repos ou presque et le sentir grossir dans ma bouche. Cette nuit, c’était trop tard, il bandait déjà comme un cheval, mais pour la suite, il était encore temps. Encore temps de m’enlever mon string, de faire tomber ma robe, de m’allonger sur le lit et toujours sa queue dans ma bouche, de démarrer un 69 !
Quand on faisait ça, et il le faisait tellement bien, je comptais... un... deux... trois... mais je comptais sans n’être jamais arrivée jusqu’à 30 ! J’explosais de plaisir avant, je ne savais plus où j’étais et il en profitait pour m’enfiler dans la foulée ! Matthieu était le roi du cunni. Enfin pour moi. Pour les autres, je ne savais pas.
— Enfile-moi dans la foulée !
C’est ce qu’il a fait. Il m’a enfilée dans la foulée. Putain, que c’était bon ! Ce que j’aimais avec Matthieu, c’est qu’il ne gâchait pas notre plaisir, il s’en occupait du sien comme du mien, et moi, je m’occupais du mien comme du sien. Il fonçait, il ralentissait, je ralentissais, je fonçais. Toujours à l’écoute de l’autre.
— Je t’ai toujours aimée, Nathalie !
Je ne lui ai pas demandé si c’était vrai quand il baisait Virginie, Priscilla ou Marie-Jo. Ca aurait gâché la fête !
— Moi aussi, Matthieu !
C’était vrai, même quand je baisais avec Thomas, Kevin, Charles ou Jacques !
— Pourquoi ne viens-tu pas bosser à Genève ! — Dis pas de bêtises ! Baise-moi !
Il reprenait son travail de sape, je savais que j’allais jouir, que ce n’était qu’une question de temps, que cette nuit, je le voulais, pour moi, pour lui et que je n’étais pas pressée et que... et que... et que... chaque fois qu’il s’enfonçait en moi, je grimpais d’un échelon sur l’échelle de mon plaisir et je le savais lui aussi près de...
Tellement près, lui ! Tellement près, moi ! Tellement près, nous ! Nous ! Nous ! Nous !...
Inénarrable !
Combien de temps est-il resté écroulé sur moi ? C’était si bon, ce corps chaud ...
— Nathalie, viens à Genève, avec moi ! Tu trouveras facilement du boulot ! On sera bien, ensemble !— Je vais y réfléchir !
Matthieu m’a rendu mon soutif et a récupéré mon string, il m’a aidée à me rhabiller, on était cool et détendu, les deux ! On est redescendu au rez-de-chaussée où régnait un calme relatif... Cathy dormait à moitié dans les bras d’un garçon que je voyais ce soir pour la première fois !
J’ai dit à Matthieu que j’étais crevée et que j’allais dormir. Il était pas loin de 3 heures du matin. A 7 heures du matin, je me suis réveillée dans les bras de Matthieu. Je l’ai regardé dormir. J’étais heureuse de le voir heureux !
Bon anniversaire, Cathy !
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