Je m’appelle John, je suis étudiant en seconde année de Sciences économiques et je vis librement avec Mélina une copine de fac. Nous avons tous les deux un goût prononcé pour le travestissement en inversant nos rôles, ma silhouette gracile favorise ce jeu et dans ce cas je suis Jane (Djène, à l’anglaise). Pour les lecteurs qui ne me connaissent pas, je leur recommande de lire mon histoire précédente "John étudiant libertin"
J’habite presque à l’ombre des tours de Notre Dame dans une chambre sous les toits au-dessus de l’appartement de ma propriétaire, madame Germaine qui est aussi une amie et collègue de travail de ma mère. Germaine est une charmante femme d’une cinquantaine d’années, moderne et libérée, qui au final m’offre le gîte en contre-partie de quelques privautés. C’est notre secret. Elle aime sortir en ma compagnie, entre filles comme elle dit et a l’habitude d’organiser des fêtes libertines en me demandant d’y participer pour assurer le service.
La fête de ce soir a pour thème "Histoire d’O". Contrairement aux soirées précédentes, je n’y vais pas comme soubrette mais en tant qu’invitée ! Invitée ??? J’imagine qu’il y aura une contrepartie d’autant plus que pour l’occasion elle m’a offert un splendide ensemble : bustier de velours gaufré grenat et jupe longue de taffetas noir.
A mon habitude en pareille occasion je passe la matinée à me préparer, ainsi j’ai pris une série de rendez-vous. Tout d’abord, chez le coiffeur à qui je demande une coiffure toute nouvelle avec une teinture noire sur mes cheveux châtain-clair et une coupe style Barbara, puis chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale, une manucure et un maquillage très soutenu, une bouche rouge cerise et des paupières ombrées charbonneux. J’en sors métamorphosée et très contente du résultat. Ce soir je serai méconnaissable.
Depuis quelques temps, comme vous le savez, je partage beaucoup avec Mélina "ma copine de fac", elle connaît tout de mes soirées avec Germaine. Cette après-midi je lui ai demandé de venir m’aider à m’habiller. Quelle ne fût pas sa surprise en me découvrant et le premier regret passé quant à mes cheveux coupés, elle a trouvé le résultat original.
Nous sommes depuis un petit moment sur mon lit à nous reposer et nous câliner quand elle me rappelle à la raison :
— John, il est déjà 19 heures, Germaine t’attend dans une heure, habille-toi !
Effectivement elle a raison, il est temps de me préparer. Pour devenir femme, je commence par une vaporisation de parfum et par cacher mes attributs masculins. Comme me l’a appris Élisabeth la créatrice du corset, j’encercle la base de mon sexe (d’une taille tout à fait normale) d’un cordon, serré comme pour le séparer du pubis. Je tire le tout vers le haut, le paquet remonte sur le ventre et j’attache le cordon à un petit serre-taille, enfin je mets un préservatif pour jouir librement sans rien tâcher. Méli est toute surprise de cette préparation :
— Ben dis donc quelle installation ! Incroyable comme tes couilles ainsi tirées forment une fente jusqu’au périnée. — Toute l’illusion d’un sexe de fille quand Popol disparaît !... Tu m’aides s’il te plait pour le bustier.
C’est un corset à lacet sur mesure et très particulier. (voir John étudiant libertin chapitre 7) Il a deux caractéristiques : une pointe arrondie comme en escrime et un sein-nu avec push-up.
— Waouh, il est magnifique en velours.
La pointe ventrale se plaque sur mon pubis et fait disparaître mon sexe, le sein-nu relève et rapproche mes pectoraux qui se posent sur les coussinets. En étirant le tout, l’illusion de seins de fillette est parfaite.
— Serre plus que ça ! … Encore , s’il te plait. — Mais tu vas étouffer ! — Non, non, t’inquiète, ça m’impose une respiration courte et rapide, j’en ai l’habitude... Regarde les seins que j’ai à présent... — OK, ce n’est pas un bonnet A mais tout de même c’est mignon... Tes tétons sont incroyablement gros. — Oui résultat d’une maltraitance journalière, entre les pompages et les pinces ils sont devenus tout gros et presque insensibles. — Insensibles mais érectiles, de jolis seins de p’tite fille. — Vite, passe-moi les bas et la jupe.
...Une fois habillée
— Très classe ! J’aime beaucoup le soyeux de la jupe. — Et regarde le lever de rideau.
Je relève sur les côtés les deux pans indépendants de la jupe et les attache à la taille en dénudant mon ventre.
— C’est Satan qui a imaginé cette tenue, c’est démoniaque comme l’élégance devient érotisme !
En même temps elle s’amuse à dégager mes mamelons et me caresser le bas du ventre :
— Hyper excitant tes seins et ta fente. Tu vas avoir tous les hommes à tes pieds. — Et les femmes j’espère.
— Allez, assez rigolé, mets tes chaussures et on descend, Germaine va t’attendre.Un peu plus tard :
— Viens je vais te la présenter. — Non, non, on va la déranger ! — Allez, viens !
Nous descendons et arrivées à l’appartement, Ding-dong
— Oui, oui... Jane c’est toi ? — Oui Gigi !
Elle ouvre, elle est n’a que ses bas retenus par un porte jarretelle, et un très joli collier en or qui se prolonge par de fines chainettes attachées aux tétons.
— NON, mais ça va pas !... Tu aurais dû prévenir. — Mais non Gigi, t’inquiète pas ! — Mais t’es malade !... Bon entrez, entrez MES-DEMOISELLES ! — Non madame je m’en vais. — Tsst, Mélina tu restes. Gigi je te présente Méli, une TRÈS chère amie. — Amie, avec un vrai E ? — Oui madame je suis une fille (la coquine sans se démonter, relève sa jupe sur son ventre nu) mais j’aime jouer aussi au garçon ! N’est-ce pas Jane que je sais être ton homme ?!!! — ... — Mélina je suis ravie de te connaître, je te prie de m’excuser de te recevoir ainsi habillée, il faudra qu’on se fasse une soirée ensemble avec Bernard mon mari. — Avec plaisir Germaine mais maintenant je vous laisse, vous devez encore vous préparer. — Oui c’est gentil, à bientôt (elle la tire à elle et l’embrasse sur la bouche, la glace est déjà rompue) — A TRÈS bientôt, j’espère Germaine, (puis vers moi) A plus tard ma chérie, passe une bonne soirée !
La porte refermée :
— Elle très gentille ton amie, très libérée. Allez, viens dans la chambre et aide-moi à m’habiller !
Arrivées dans la chambre une robe longue noire et des bas sont sur le lit. Contrairement aux autres soirées Germaine ne porte qu’un vêtement fluide. Sa robe de soie est très habillée, le très joli froncé du décolleté rejoint à la taille celui de la jupe qui s’ouvre sur le devant. Ma surprise est encore plus grande quand je vois Bernard, son mari, sortir de la salle de bain en smoking et nœud papillon... La soiré O, serait-elle une soirée "Opéra" ?
Nous allons dans le salon où je note quelques modifications d’aménagement. Une table est le long d’un mur, probablement prévue pour le buffet. Les trois canapés de cuir noir et des petites tables pour le service ont été poussés sur les côtés, pour former un grand U au centre duquel pend une double corde, je n’avais jamais remarqué l’anneau de fixation au plafond. Exit les tapis d’orient, par contre des tapis de laine épaisse sont placés devant chaque canapé . Et comme pour fermer le quadrilatère formé par les canapés il y a une table très particulière. Elle est tout en cuir rouge écarlate décoré de clous dorés, les bords sont arrondis, elle est haute comme une desserte, étroite et pas très longue avec à l’un des bouts une encoche arrondie de 20 centimètres et un anneau d’acier fixé à chaque pied.
Les surprises s’accumulent quand je vois dans un coin de la pièce un grand homme noir, il semble nu, en fait son seul vêtement, un boxer, se confond avec sa peau, ses bras croisés sur sa poitrine font saillir sa musculature. Germaine l’interpelle :
— Aziz ! Il va être 21 heures, nos invités vont arriver. Tout est prêt ? — Ui m’dam ! le champ’ et les ’tits fours sont prrrêts. Le trraiteur a tout aporrrté pou’ le reeepas! — Bien, tu installeras le buffet pendant l’apéritif et durant le repas tu veilleras à retirer les assiettes et servir les vins. — Ui m’dam !
Ding-Dong, je mets mon loup de velours noir pour rester incognito.
— Allez, va Aziz, bon courage ! on saura te récompenser !
Le premier couple à arriver est Eric et Dany. Eric est en smoking et nœud papillon , Dany porte une magnifique robe bleu-ciel en dentelle pour le haut et en voile pour la jupe, le tout laissant voir ou imaginer des sous-vêtements bleu-nuit. Ils ne me reconnaissent pas immédiatement, puis se doutant elle vient m’embrasser du bout des lèvres.
— Jane ?... Tu es méconnaissable, tes cheveux noirs tout courts ! Ravissante.
Puis arrivent Élisabeth, ma corsetière, accompagnée d’une personne étrange à tête de hibou. Lise est, à son habitude, en robe longue, cintrée et boutonnée jusqu’au cou. Aujourd’hui elle est rouge vermillon et d’un tissus léger qui ne cache rien de ses formes de la pointe des seins au ventre rebondi. La personne qui l’accompagne est tenue par une chaîne, elle est coiffée de plumes noires et blanches qui descendent jusqu’aux épaules et porte un masque de plumes particulièrement soigné autour des yeux, un bec s’ajuste au nez, la bouche et le menton sont dégagés. Elle est habillée d’une cape noire doublée rouge sans manche et d’un collier de cuir noir clouté d’acier au cou. En marchant la cape s’ouvre. C’est un homme nu avec une chaînette en acier fixée par des pinces aux tétons et à la base du sexe par un gros anneau d’acier chromé. Lise vient vers moi et m’embrasse. Avec beaucoup de discrétion elle passe la main entre les pans de ma jupe et trouve mon entrejambe asexué :
— Tu es ravissante Jane, j’aime ta nouvelle coupe de cheveux et ton maquillage. — Merci... C’est Olivier qui t’accompagne ? — Chutt ! Bien sûr... Qui veux-tu d’autre ?. — …
Je blêmis, c’est l’homme que j’ai déjà rencontré incognito chez elle, c’est mon père ! Lui et moi présents à cette soirée, lui et moi méconnaissables, lui ne sachant pas qui je suis. Germaine interrompt notre aparté :
— Chers amis, je vous présente nos hôtes de marque, Lise et son oiseau de nuit. Ma chérie veux-tu nous le présenter ?
La femme enlève la cape et nous découvre l’animal, les mains attachées dans le dos.
— Bonsoir ! Voici "O", il est là ce soir pour vous servir et votre plaisir. Je vous le laisse : touchez, caressez, pincez, demandez-lui ce que vous voulez, il aime tout !
Et là, Lise réalise l’impensable. "O" tel un condamné, est attaché au centre de la pièce, les poignets pris dans des bracelets, les bras au-dessus de la tête . Avec le bout de la corde fixé au sol, elle étire son compagnon jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds. Il est nu, coiffé de son masque, offert à ces libertins. Il est suspendu, tourne sur lui-même, au centre de ses fesses se trouve un énorme cristal rouge, un rose-bud en acier, probablement le double de celui que Dany m’a offert (voir Jane... ou John ? Chapitre 1). Je reste bouche-bée devant le spectacle, déjà trois invités s’occupent de lui. Germaine vient vers moi :
— Ma chérie, tu es magnifique dans ta robe... Le bel oiseau ne t’intéresse pas ? — Gigi, je sais tout ! — … T’inquiète pas ma chérie, personne en dehors de toi et moi ne sait et ne saura... Crois-moi, c’est un sacré fêtard et le sortir du bénitier de ta mère est une bonne action. Elle-même m’a en quelque sorte remerciée me disant que depuis quelques temps son mari revivait... Alors ? Dépasse les règles du soit-disant correct, ton cousin t’a dépucelée, tu as baisé avec ta tante, Lise m’a dit que vous avez baisé ensemble… — Oui ! Mais sans le savoir... au début. — Oui, et alors ?... Jane nous sommes que deux à savoir, crois-moi tu es la digne fille ou le digne fils de ton père. Profite de la vie avec tous et toutes.
Les gémissements de l’oiseau au milieu du salon et la venue de Lise mettent un terme à notre conversation :
— Jane, viens ! — O, est toujours attaché, les pieds au sol à présent, penché vers l’avant il tend ses fesses à Eric qui joue avec le bijou qui y est planté, Dany l’embrasse à pleine bouche en tripotant les pinces fixées aux tétons alors que Bernard pelote les couilles. C’est lui qui m’invite : — Tiens Jane, viens le sucer, c’est un bon coup !
L’excitation se mêle à la colère, je ne peux me refuser, l’oiseau dodeline de la tête. Je prends la bite qui m’a engendrée d’une main et une fesse de l’autre. Avec force je le bouffe entièrement. Je pense à ma mère qui probablement ne l’a jamais sucé comme ça. Mais, à nouveau Gigi nous interrompt : — Les amis ! Je vous présente Aziz qui nous a préparé l’apéritif et restera avec nous toute la soirée.
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