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Histoire d'O revisitée

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Après l’apéritif et le dîner, la soirée devient très libertine, les smokings et robes du soir ont été abandonnés, l’élégance des beaux salons a fait place à la luxure bon chic, bon genre.Le salon est à présent plongé dans une semi-obscurité, seuls deux rayons de lumière illuminent "O" attaché au centre de la pièce et moi-même de côté maintenue sur une table de soumission. Après la volée de coups de cravache reçue de Lise, la Maîtresse de "O", les invités ont profité de ma position et de mon abandon.Maintenant un calme relatif règne. En sourdine on entend "Les quatre saisons’’ de Vivaldi. Je reprends mes esprits, ma respiration se calme. De temps en temps on entend aussi quelques murmures, des rires, une, deux claques, probablement une fessée, des gémissements. Le regard fixé au sol, je vois des jambes habillées de bas noirs. La personne s’accroupit, se met à mon niveau, me relève la tête, m’embrasse sur les lèvres, c’est Lise !
— Comment vas-tu Jane ?— …— Tu t’es faite sacrément démonter... Tu as été magnifique, je vais te détacher.
Les quatre bracelets retirés, elle m’aide à me relever, je m’appuie à la table pour me mettre debout, et elle tout en riant...
— Je vais t’attacher à la place d’Olivier et te fouetter !
Ma réaction est vive et le réveil brutal
— NOOOOOOON.— Alors viens !— Tu m’as fait mal !— On ne t’avait jamais cravachée ?— On m’a fessée mais ce n’était pas pareil.— Tu n’as pas aimé ?— C’était douloureux ! — Tout le temps ?... Même à la fin quand je t’ai frappé l’entrejambe ?— Non je crois que j’ai même joui à ce moment !— Tu as touché du doigt le point de jonction douleur-jouissance, reviens me voir je te ferai jouir par le fouet, comme Olivier. Le problème avec lui ce sont les marques vis à vis de sa femme mais il sait les cacher. Allez, viens je vais te déshabiller !

Elle m’amène au centre de la pièce près d’Olivier assis sur ses talons et attaché les bras au dessus de la tête. Le bas de son visage, son torse et ses genoux sont couverts de traces humides, de gouttes, de coulures, il doit y avoir de tout, de la salive, du sperme, de la sueur. Certaines plumes de son masque de hibou sont souillées, il semble épuisé, visiblement il s’en est pris autant que moi.Sur les canapés qui nous entourent, Dany chevauche les cuisses du black alors que Gigi, la maîtresse de maison est prise en double par Eric et Bernard.Lise, debout dans mon dos, me défait les lacets, le bustier tombe et entraîne mes bas. Je suis nu, je redeviens John. Enfin elle détache la ceinture et le lacet qui maintenaient mes attributs sur le ventre. Je me sens beaucoup plus à l’aise tout le matériel en place. Dany s’exclame :
— JOHN !, ta capote est pleine et tu bandes encore comme un cerf.
Effectivement je bande. Alors que je jette mon préservatif, Lise intervient
— Attends, mon hibou va te nettoyer... Tu as entendu, toi ?— Oui Maîtresse.
Privé de ses mains attachées, je lui facilite la tâche en me plantant dans sa bouche. Il commence à me sucer mollement. Lise tire violemment sur la chaînette attachée aux tétons. Alors qu’il gémit de douleur, elle crie
— DIS DONC, MIEUX QUE CA !
Effectivement il sait faire beaucoup mieux, il pompe même très bien et termine par de longs coups de langue sur le tronc. Je comprends le commentaire quand j’étais sur la table de "machine à laver".Une fois propre, Lise m’amène vers un canapé libre, me fait asseoir et se place face à moi, ses genoux m’enserrent le bassin. C’est la première fois que je l’ai nue dans mes bras. Elle est mince avec deux petits seins haut placés, aux aréoles et tétons maquillés de rouge. Elle s’emmanche sur mon tuteur, ses mains sur mes épaules et légèrement en arrière, je la tiens sur les côtés, admirant sa plastique. Penchée légèrement en arrière, les yeux baissés elle regarde notre coït. La base de mon sexe se couvre d’une mousse blanchâtre. Notre accouplement est intense presque violent. Elle me prend par le cou, se colle à ma poitrine, les fesses en arrière, nos lèvres jointes elle me mord la lèvre. En réponse, je lui donne une claque sur les fesses.
— Oui, tape-moi!... J’aime autant donner que recevoir.
Une deuxième puis une troisième résonnent. Mais elle attend autre chose de ma part. Je me dégage et me relève. Elle reste à genoux sur le canapé. Debout à son côté, je l’encercle fermement à la taille et commence à la fesser de trois, quatre tapes à plat suivies de trois, quatre autres de bas en haut. La peau blanche rougit rapidement. Elle creuse les reins, me tends les fesses... encore plus !Sans préparation je lui plante deux doigts dans l’anus. Elle est bien ouverte de ce côté et vient à moi pour que je la doigte plus profondément... Je ne m’attarde pas, me positionne, la tire à moi et d’un coup puissant la pénètre. Son ronronnement devient un « AAHH ! » suivi d’un râle de plaisir.Bien planté en elle, je frappe en rythme du plat de mes mains les côtés de ses fesses. Le son de la fessée attire l’attention de Germaine qui vient se coller à mon dos en m’embrassant dans le cou. Elle m’immobilise contre les fesses de son amie. :
— John tu prends ta revanche, mais ne m’oublie pas !
Elle me tire alors brutalement en arrière et me détache de Lise. Son baiser se transforme en morsure, ses ongles se plantent dans mes hanches, me font mal. Lise quitte le canapé pour à genoux s’emparer de mon sexe. Elle me broie les couilles, s’en prend au tronc, tire violemment le prépuce comme pour déchirer le frein et me mord le gland comme pour le couper. Je suis pris entre deux furies. La douleur m’envahit de partout, au cou, à la poitrine, par derrière, par devant. Elle est vive, intense, continue, elle se transforme en excitation et devient jouissance. D’un coup tout s’arrête, elles cessent de mordre, de sucer, de branler, de pincer, elles s’amusent de moi et s’embrassent...
— Gigi, ta soubrette est superbe, tant femme qu’homme, tant amant que soumise.— Je te la laisserai encore.
Je rêve, "je te la laisserai"… je ne suis pour elles qu’un objet qu’on se passe entre copines.Gigi s’assied au bord du canapé, la tête appuyée au dossier, les jambes relevées, passées sous les aisselles, elle me sourit, son gazon est plein de foutre. Sa posture est d’une indécence incroyable... dans ce salon bourgeois.Attiré comme un insecte par une plante carnivore, je fonds sur ce sexe rouge aux larges lèvres chiffonnées, je le nettoie de toutes les souillures de la nuit. Une fois propre je la tire à moi, sa tête tombe au fond du canapé, ses fesses sont en dehors de l’assise. A moitié accroupi je la pénètre d’un coup en la maintenant par les fesses.
— Oh John, avec toi c’est tellement différent !— Même en comparaison de Aziz ?— T’es bête… tu y as goûté aussi mon coquin ! Il t’a démonté tout comme moi, mais j’étais incapable de le recevoir comme toi maintenant.
Maintenue en équilibre, je m’amuse à voir ses seins se balloter. Je la pistonne un bon moment, elle s’accroche à mon cou, nos lèvres se rapprochent, notre baiser s’éternise, étouffe ses gémissements. Enfin je me lâche, mon éjaculation est énorme. J’ai besoin de passer à la salle de bain pour me rafraîchir. Gigi m’y accompagne, elle a également une folle envie de se soulager et sans aucune gêne elle s’assoit sur la toilette et commence à pisser cuisses ouvertes. Je quitte mon masque, la fixe, elle me sourit. Son urine s’arrête d’un coup, d’un doigt elle me fait signe d’approcher de l’autre elle relève son clito et dégage son méat. Arrivé à sa portée elle me prend la main et la place sous son jet. Il est dru, c’est chaud... elle m’embrasse du bout des lèvres, puis se relève :
— Suce-moi !
Elle ne pisse plus, sans réfléchir je pose mes lèvres sur son sexe alors qu’elle tripote encore son clito. Je la lèche, elle se libère d’un petit jet d’urine que je reçois et avale. Elle m’aide à me relever, m’embrasse tendrement en retrouvant dans ma bouche le goût de sa miction.
— Faisons un brin de toilettes... Je vais te démaquiller avant que tu ne remettes ton masque.
Ainsi fait nous regagnons le salon où les convives se sont installés sur les canapés. Lise et Bernard bavardent, Dany a l’oiseau à ses pieds et me fait signe de les rejoindre alors que Eric appelle Gigi. Les habits sont abandonnés, les masques sont tombés. Avec l’oiseau masqué, nous restons les deux personnages énigmatiques de la soirée.
Au milieu de la nuit, il est bon de faire une petite pause, les lumières s’allument, on entend une musique symphonique. Aziz reprend son service et nous présente des plateaux de sandwichs, de salade de fruits et de mignardises puis nous sert des boissons et du café
On parle beaucoup, on félicite Gigi et Bernard pour l’organisation de la soirée, on félicite également Lise pour sa maîtrise du fouet et de la cravache et sa créativité quant à mon bustier et au masque de hibou, on remercie Aziz pour son service...
Peu à peu les bavardages, les rigolades se font murmures et gémissements, la lumière baisse à nouveau d’intensité, la musique passe en sourdine, Les couples s’embrassent, se câlinent une certaine intimité s’installe autour de chaque canapé.
On danse un peu, on passe de partenaire en partenaire, les couples se reforment.Bernard entraîne Lise sur l’un des tapis au pied des canapés. Gigi a fait son choix et se trouve comblée entre la fine lame d’Eric et la matraque d’Aziz, comme en début de soirée, ils dansent tous les trois mais cette fois-ci à l’horizontal.
Je suis avec Dany qui semble charmée par le ramage de l’oiseau. Comme Roméo et Juliette, lui à genoux au sol, elle assise sur le canapé, ils se conte fleurette. A l’exemple des autres convives, je descends sur le tapis, la laine épaisse est moelleuse et confortable. J’attire la femme, tous trois sommes au sol. Je suis seul à savoir que je vais baiser cette femme avec mon père, c’est aussi immoral qu’excitant.
Dany allongée se partage entre nous deux, je m’attache à ses jambes, lui à ses lèvres. J’embrasse et m’attarde à ses pieds manucurés puis remonte à ses mollets et me trouve déjà à la fourche de ses jambes. Son duvet blond embaume la sueur et la jouissance, son sexe porte encore les traces de son accouplement avec Aziz. Je la revois avec lui, cette image, la fragrance sauvage, le goût m’excitent
Je la veux maintenant. Je m’allonge, je la bouscule avec mon père, la prends par la main et l’attire sur moi. Elle ne se fait pas prier, elle m’emjambe et s’emmanche sur mon pieu :
— Déjà ! Hum...
Son gémissement s’éteint sur mes lèvres. Après quelques va-et-vient en corps à corps, elle se met en levrette en me laissant la peloter. Je la fornique par sauts de carpe du bassin. J’avais oublié l’oiseau, il me masse les couilles et caresse l’urètre à la sortie de la vulve. Probablement qu’il s’occupe en même temps de la femme, elle s’immobilise en l’invitant à venir.
Bien sûr la salope, accro des doubles, lui tend les fesses. Et ça ne tarde pas, je vois au dessus d’elle la coiffe de hibou, je sens contre ma queue, son engin. Elle attend comme une chienne la saillie. Ça y est il la pénètre, je le sens, putain il est gros, il s’enfonce. Elle l’accompagne, son ventre se colle au mien. Le sandwich est formé.
Visiblement pour papa ce n’est pas une première, il est patient, il attend que les chairs se modèlent et c’est Dany qui d’un « Oh ouiiiiii » nous demande de la prendre. Tel que je suis, elle pesant de tout son poids, je laisse faire et je sens l’autre se mettre à la manœuvre et là encore je sens un expérimenté et elle aime, elle ronronne au rythme des coups et j’aime sentir cette verge.
Sa tête plongée dans mon cou, elle ne cesse de susurrer des insanités jusqu’à :
— Jane, viens dans mon cul !
Elle sait que je connais ses goûts, je les ai partagés avec son mari et elle sait faire. C’est elle qui se dégage, qui me prend le pieu, qui bascule son bassin pour bien me positionner. Lui aussi sait faire, il se retire en laissant planté son bourgeon, sa main regroupe nos deux verges. Je suis sur l’anus, Dany écarte ses fesses, je pousse, l’anneau se dilate et les deux glands sont ensemble, les deux troncs comme soudés élargissent le sphincter. Elle abaisse son bassin pour que je la pénètre plus profondément. Olivier se met à la manœuvre, j’oublie tout, ne pense qu’au moment présent, sa verge coulisse contre la mienne et il laboure. Comme Dany, je ressens ses spasmes... Elle retarde l’orgasme, veut autre chose :
— Doucement, pas tout de suite... Venez dans ma chatte !
Là encore je connais ses aptitudes. C’est elle même qui se déboîte, qui d’une main prend nos deux queues, les positionne. Ensemble, mon père et moi la pénétrons. L’espace est plus vaste mais surtout inondé. Dany me laisse un peu de liberté. Mes pieds passent par dessus les deux paires de jambes et je commence à la limer en harmonie ou en décalé avec l’autre.La tension monte des trois côtés, mes cuisses se couvrent de sécrétions. Dany m’embrasse en continu, ses mains courent dans mes cheveux, se plaquent sur mes oreilles. Elle a orgasme sur orgasme, un coup de rein violent de Olivier, il jouit et entraîne une réaction accidentelle de Dany, d’un coup ses mains m’arrachent le loup, mon visage se découvre… Le hibou nous domine, me voit, me reconnaît. Son cri se perd dans un souffle:
— JO...ane... Toaaaaaaaaaaa !
Sa verge continue d’éjaculer...Il sait qui je suis !!! Horreur !!!... En fin de compte qu’y a-t-il de mal à découvrir son fils de 20 ans dans une soirée libertine ?Mais il ne sait pas que je sais depuis le début qui il est ! Et là, découvrir son père de 50 ans dans une soirée libertine, sans sa femme !!!Dany n’existe plus entre nous deux. Il me fixe, les yeux exorbités, son corps se crispe, sa surprise est énorme. Dans mon élan je donne encore trois, quatre coups de rein, je le sens encore dur dans le vagin avant de jouir longuement contre lui. Il me sens vibrer dans le ventre de cette femme, j’ai honte, je veux fuir mais ne peux rien faire. Sa verge est secouée par un spasme et répond à ma contraction.
Je vois mon père me sourire diaboliquement, il écarte Dany sur le côté, vient sur moi en 69, et me suce suce. Sa verge tombe au dessus de mon visage, elle a gardé un peu de fermeté et c’est lui qui me plante son gland en bouche. A deux mains je m’occupe de lui, je le suce, lui fais une gorge profonde. Il va et vient dans ma bouche comme pour me baiser.
Horreur ???... En fin de compte qu’y a-t-il de mal entre adultes consentants ?Nos fellations se poursuivent sous les yeux admiratifs de tous. Je reprends un peu de vigueur et lui abandonne quelques gouttes de sperme tirées du fond de mon ventre. Lui ne me donne rien, fatigué il perd toute virilité et se retourne.
Il se lève, je vois son dos marqué des 8 coups de fouet, sans me regarder il va vers Lise qu’il embrasse, elle lui met sa cape, le jour se lève le hibou quitte le salon.
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