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Histoire de sexe

Chapitre 1

Mon envie

Erotique
Ah le printemps qui pointe le bout de son nez, les arbres bourgeonnent, les fleurs s’ouvrent, les premiers rayons de soleil, une belle saison qui s’annonce.J’ai la chance d’habiter dans une grande maison ou chacun d’entre nous possède son espace vital. Notre maison (ou villa pour les puristes) est composée d’un sous-sol comprenant 1 garage double attenant à une pièce dans laquelle je ne suis jamais entrée apparemment c’est l’antre de mes parents, même à travers les soupiraux externes on ne voit absolument rien à l’intérieur. Ensuite le rez-de-chaussée où il y a une grande pièce à vivre ouverte sur une cuisine avec un îlot central. A l’étage se trouvent nos chambres où chaque personne possède son espace avec douche à l’italienne, WC et dressing. Seule la suite parentale comprend en plus une baignoire d’angle avec fonction bain à remous. L’extérieur est composé d’un jardin avec cuisine d’été, une piscine avec espace bronzette, un barbecue en pierre, et un abri de jardin le tout implanté sur un terrain clos et arboré. Papa ayant réalisé lui-même les travaux (hormis le gros œuvre). Actuellement, je suis dans une phase de transition, le palier du passage de jeune fille à jeune femme avec tout ce que cela comporte. En ce samedi matin, je suis dans ma chambre assise à mon bureau afin de peaufiner la rédaction mes fiches en vue des prochaines révisions pour l’obtention de mon baccalauréat série L pour m’octroyer le choix le plus large dans mes études supérieures. Avec un fond sonore de musique style Bon Jovi. (J’avoue avoir un style de musique bien défini comme bien sûr Bon Jovi, Midnight Oil – Metallica – Gun’s and roses – et Nirvana)Mon père Ludo est déjà dans le jardin avec ses outils pour redorer l’extérieur de notre maison, ma mère Edwige est quant à elle occupée et s’avère sur des taches moins agréables à mon goût mais qui malheureusement ne se font pas seules.
Quant à mon frère Erwan il doit être encore dans les bras de Morphée, tandis que mon autre frère Stéphane est certainement sur un terrain de sport. L’atmosphère faisant, je me laisse surprendre à partir dans mes rêves quant au jour viendra où j’offrirai mon intimité à un homme. Eh oui je suis toujours vierge, mais depuis quelque temps cette envie est omniprésente dans mon esprit, un divin mélange d’envie et de crainte. Certainement provoqué par la peur de l’inconnue, de la douleur, du passage à l’acte. J’ai bien eu des petits flirts, mais dès que le garçon devenait trop entreprenant et laissait balader ses mains pour s’assurer de la consistance du contenu de mon soutien-gorge ou bien d’entreprendre une tentative d’exploration sous ma jupe ou dans l’intérieur de mon jean’s était vite remis en place, ce pourquoi je devais passer pour une fille nunuche et coincée, surtout quand j’écoute les récits de mes copines qui sont bien plus délurées et actives que moi.Comme toute, j’aimerais que cette première fois soit un souvenir impérissable, un moment de tendresse, de sensualité, de partage, de plaisir, érotique au possible, le tout accompagné de sentiments extrêmement fort entre deux personnes. Mon côté fleur bleue me laisse à penser que cela sera un moment intense chargé en émotion. Bref je suis dans ma torpeur au point de ressentir un picotement dans mon ventre, comme la présence de papillons qui s’envolent.Je fus sortie brutalement de mes pensées troublantes quand on frappa à la porte de ma chambre.
— Oui entre. Coucou mamoune.— Coucou ma chérie, tout va bien ? Tu as l’air toute bizarre.
Aie, ma mère se serait-elle aperçue de mon trouble qui m’envahit à ce point ?
— Oui je vais bien maman, juste perdue dans mes pensées.— Peut-être un petit copain là-dessous ? me demanda-t-elle.— Maman arrête, tu sais bien que non, juste pensive.— OK ma chérie, je te taquinais juste. Je voulais savoir si tu voudrais bien me donner un coup de pouce pour la préparation du repas.— Oui avec plaisir maman je descends.
En descendant de l’escalier et en arrivant dans la pièce à vivre je vois ma mère de dos et je me suis mise à penser. Waouh quelle belle femme après trois grossesses afficher un corps comme celui-là, c’est tout bonnement stupéfiant. Il faut bien avouer que maman avec ses 45 ans et ayant eu trois enfants affiche un corps et une silhouette que beaucoup de mes copines peuvent envier. Maman est une superbe rousse grande (1.75 M) et mince (60 kilos) aux cheveux longs et frisées, avec une généreuse poitrine (95 B), un galbe fessier bien rebondi, le tout sur un ventre plat. Comment savoir tout cela, me direz-vous ?
Le plus simplement du monde vous répondrais-je : chez nous il n’y a aucun tabou avec le corps, il m’arrive pendant l’été de croiser ma mère en bikini au bord de notre piscine ou en nuisette le matin. Ma famille est ouverte d’esprit et chacun librement peut évoquer ses opinions, son savoir, ses expériences propres lors de nos nombreuses conversations partagées lors des repas. Voilà pour l’intermède.M’approchant de l’îlot central, je m’affaire avec maman à la préparation de notre déjeuner.
— Bonjour maman, salut sœurette nous dit Erwan (âgé de 20 ans, étudiant en D. A. O. cheveux châtains, yeux marron) en déposant à chacune une bise sur la joue. — Salut frérot.— Bonjour mon chéri, alors bien dormi et ta soirée avec tes copains ?— Une soirée qui fait mal à la tête.
Dans l’entre-temps, mon autre frère Stéphane (19 ans, étudiant en sport, blond aux yeux bleus) revient de son sport quotidien.
— Coucou les filles, je file vite sous la douche.— Effectivement je crois que c’est nécessaire vu ton état.— Je me dépêche.
Toute cette joyeuse tribu se retrouve autour du repas partagé dans la bonne humeur, évoquant la suite de nos études, bref un moment de partage en famille. Au cours du repas, papa nous annonce qu’il part demain après-midi pour Paris au siège de l’entreprise pour assister à la réunion lundi matin afin de finaliser la tournée des différents sites qu’il a sous sa responsabilité et que probablement il se rendra sur Lyon pour un souci sur site.(Mon père est consultant sécurité dans un grand groupe pétrolier. Il s’occupe de la réglementation en matière de sécurité sur les plates-formes de forage ainsi que sur les sites de stockage).
— Mon absence ne sera que d’une petite semaine. Ensuite je suis avec vous pour 15 jours avant mon départ pour ma tournée d’inspection.
Après le repas, tout le monde vaque à ses occupations, pour ma part je remonte dans ma chambre pour étudier mais, mes pensées de ce matin resurgissent me troublant profondément. C’est la première fois que mes pensées m’obsèdent si durablement, au point de dérouter toute concentration de ma part. Je décide de m’allonger sur mon lit afin de prohiber ces pensées de ma tête de me torturer, mais malgré moi je me replonge dans cette torpeur d’émotion.Inconsciemment ou pas, je me laisse surprendre à explorer mon corps, mes mains glissent sous mon pull à la recherche de ma poitrine, je me surprends à me caresser les seins, à titiller mes tétons qui réagissent en pointant fièrement, je me sens toute chose, troublée, émue par cette chaleur qui envahie mon bas-ventre.Je malaxe, pétris mes seins de plus en plus sensibles au traitement que j’inflige. Je pense à cette main d’homme me caressant, me titillant la poitrine. Je fais rouler mes pointes entre mes doigts, cette délicieuse fièvre qui me prend pousse inexorablement mon autre main vers mon sexe prenant soin au passage de me caresser le ventre. Je soupire, mes yeux sont clos, je me pince les lèvres.
Je me surprends à écarter mes cuisses pour jouer avec mon clitoris qui est gonflé et sensible, le simple contact me fait frémir et soupirer de bonheur, mes doigts effleurent mes lèvres vaginales je me sens humide, mon bassin ondule, mon ventre se creuse de plaisir, mon souffle est court. Je suis en extase.Je me masturbe frénétiquement en jouant avec mes seins, mon clitoris, mon sexe. L’irradiation qui me traverse est soudaine, je suis terrassée par un plaisir alors inconnu. Je suis si sensible que chaque caresse me fait geindre et gémir. Je prends du plaisir, mon plaisir, je n’arrive plus à me contrôler des petits cris s’échappent de ma bouche.Un spasme me transperce, mon corps est victime de mes attouchements, j’explose dans un râle étouffé je m’effondre ivre de plaisir, j’ai joui. J’étais heureuse enfin apaisée. Je me suis accordé un petit moment de répit pour redescendre de mon nuage et pour éliminer les traces de mon plaisir avant de rejoindre les miens.
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