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Histoire de sexe

Chapitre 3

Secret de famille: Partie II

Inceste
Je venais de rejoindre ma chambre en vitesse, je m’assis sur mon lit, les jambes repliées sur ma poitrine comme pour me protéger et mes bras autour de mes genoux. J’étais à la fois écœurée et terriblement excitée par la scène qui venait de se dérouler devant moi. C’était un mélange de honte, de trouble, de dégoût. Honte que mon corps ait réagi physiologiquement, honte de m’être abandonnée à des attouchements. Terriblement excitée face à ses deux amants faisant l’amour, par leurs actes passionnés et déchaînés. Le dégoût d’une pratique entre ma propre mère et mon frère.A ce moment précis, tout était confus dans mon esprit, l’excitation, la frustration, la honte, l’envie, le désir tout se mélange, j’étais perdue. Ma première pensée se dirigea vers mon père. Cet homme trompé, bafoué par sa propre épouse et qui plus est avec son fils, sous le toit familial, dans sa chambre, dans son propre lit. Comment réagira-t-il ? Sous cette pensée, je fondis en larme, j’éclatai en sanglots, je pleurais tout ce qui étais en moi, j’avais l’impression que mon monde s’effondrait. C’est à ce moment que l’on frappa à ma porte.
— Ma puce, c’est maman je peux entrer ?
Sans réponse de ma part, maman ouvrit la porte et entra dans ma chambre, en prenant soin de bien la refermer derrière elle.Les yeux rougis et remplis de larmes, je relevai la tête et fixai le regard de ma mère. Cette rouquine flamboyante, juste couverte de son déshabillé passé à la hâte, sa superbe poitrine dont les tétons sont encore durcis par le récent plaisir tendent l’étoffe de soie n’est autre que ma maman.Elle vient s’asseoir près de moi tout en me prenant dans ses bras.
— Ma puce....... Tu n’aurais jamais dû découvrir notre secret de cette façon.
Sa voix est tendre, douce et apaisante comme à chaque fois que maman me cajole suite à une blessure ou une déception.
— Maman, tu te rends compte de ce que tu as fait ? Tu trompes papa lui dis-je en pleurnichant.— Non ma puce, je ne trompe pas ton père. C’est plus compliqué que cela.— Bien, alors explique-moi. Je serais curieuse d’entendre ta version, car pour moi le doute n’est pas permis avec ce que j’ai vu. Lui dis-je sur un ton arrogant.— D’accord ma puce, je te dois bien quelques explications, chose que nous aurions dû faire bien avant. — Attends, tu as bien dit nous ?! Répondis-je.— Oui j’ai bien dit nous.
A cette déclaration stupéfiante, je me redressai légèrement ayant pour effet de faire remonter le tissu de ma nuisette un peu plus haut sur mes cuisses et de dévoiler une partie de mon intimité.
Maman s’étant aperçue de cela, elle faisait courir son regard entre mon visage et mon intimité qui devait encore se trouver dans un piteux état suite à mon excitation et mes récents attouchements. De plus, certaines traces de mon précieux liquide visibles sur la soie de ma nuisette prouvaient également qu’un plaisir certain m’avait envahie.
Visiblement troublée par l’émoi que j’avais ressenti, maman prit une grande inspiration et se lança dans ses explications.
— Avant toute chose ma puce, sache que je t’aime d’un amour inconditionnel. Que je donnerais ma vie pour toi et tes frères, vous êtes ce que j’ai de plus précieux au monde. Que j’aime également ton père comme une folle, il est l’homme de ma vie et ça rien ne pourra le changer.— Si tu me le permets, je vais tout te raconter depuis ma rencontre avec ton père jusqu’à maintenant y compris notre pratique hors moralité et surtout pourquoi nous en sommes là aujourd’hui.— Oui maman — Tu sais ma puce, j’ai rencontré ton père, je ne devais pas être plus âgée que toi, nous nous sommes connus sur les bancs du lycée. Me dit-elle.— Ah bon je ne savais pas. Lui dis-je.— Nous avons découvert le plaisir ensemble, notre première expérience à tous les deux. A l’époque, parler de sexualité était tabou, les mœurs, l’éducation des parents était bien différente de maintenant. Personne pour nous éduquer sur le sexe et ses pratiques. Confia-t-elle— C’était si strict que cela maman.— Oui, ma puce très. C’est pourquoi avec papa, nous avons décidé de vous offrir une éducation différente plus ouverte d’esprit. Nous avons toujours veillé à vous expliquer les choses le plus naturellement possible y compris la sexualité.— C’est pour cela que tu disais nous. Demandais-je à maman.— Oui ma puce, car papa est au courant de tout, il sait pour tes frères et moi. — Quoi !! Mes frères. Tu veux dire que.......— Oui, pour ton père et moi, la sexualité fait partie intégrante de l’éducation c’est à nous de vous mettre en garde sur les bons et mauvais côtés du sujet. Après d’âpres discussions nous sommes tombés d’accord lui et moi que nous éduquerions nos enfants sur la découverte du sexe.
Je ne sus quoi répondre devant cette confession, je n’en croyais pas mes oreilles, ma mère, mon père, mes frères.
Devant mon désarroi, maman mit un terme à notre discussion avec la promesse d’y revenir demain lors de notre journée en ville.
Maman me serra fort dans ses bras, je sentis sa poitrine contre la mienne, nos seins étaient en contact malgré la barrière de nos tenues respectives, la chaleur de ce corps qui me bouleverse, la douceur de ses mains sur la peau nue de mes épaules. Son odeur qui enivre mes sens. Bien malgré moi, je me sens terriblement attirée par ma mère.
— Bonne nuit ma chérie, je t’aime. — Bonne nuit maman.
Après son départ, je me dirigeais vers ma salle d’eau pour me rafraîchir le visage et me changer. Je me mis au lit dans l’espoir de m’endormir rapidement.
Cette nuit-là fut agitée, je revoyais par flash la scène à laquelle j’avais assisté, le sexe turgescent de mon frère, la délicate succion de maman sur celui-ci, les gémissements de l’un et l’autre, la poitrine de maman, ses tétons durcis, les fesses galbées de ma mère malaxées par les mains d’Erwan, la bouche de maman se referme sur le vît de mon frère, sa langue jouant avec cette tige bien dure, le sexe d’Erwan prenant possession du vagin de notre mère, les coups de reins de mon frère, les seins de maman qui ballottaient au rythme des va-et-vient de ce dernier, le souffle saccadé des deux amants, les cris de plaisir, la semence de mon frère refluant du vagin maternel. Toutes ces images furent mes compagnons de cette nuit-là, elles me troublaient plus que je n’osais me l’avouer, mon sommeil fut coupé à plusieurs reprises par des picotements dans mon bas-ventre, mes seins eux aussi n’étaient pas en reste, je fus surprise de les voir pointer, se dresser fièrement en attente d’une longue et passionnante étreinte.
Le lendemain, je pris une douche, m’habillant de façon classique et descendis rejoindre maman en bas.
— Coucou ma puce. Ça va ? Me dit-elle en m’embrassant.— Coucou maman, ça peut aller. Lui dis-je en l’embrassant également.— Si tu es prête on peut partir maintenant.
Une fois que nous étions installées dans la voiture, maman reprit la discussion de la veille. Elle m’expliqua la différence entre le sexe et le fait de faire l’amour.
— Tu vois ma puce, avec ton père, nous faisons l’amour, c’est l’amour d’une femme pour son mari, avec la présence de sentiments bien particuliers qui sont intenses, profonds. Avec papa c’est le fruit de notre passion, de notre ardeur, du désir, de notre amour réciproque qui fait que sexuellement parlant nous sommes unis, complices, complémentaires. Avec tes frères c’est totalement différent, je les aime mais autrement c’est l’amour d’une mère pour ses enfants, c’est pourquoi avec eux ce n’est que du sexe, juste pour assouvir une envie sans aucun sentiment amoureux.
J’écoutais maman se confier, elle me parla avec son cœur sans tabou et en toute franchise. Je comprenais petit à petit, que la vision que j’avais du sexe et de la sexualité était trop romancée et idéalisée. Cette discussion à cœur ouvert me fit un grand bien et me permit d’ouvrir les yeux.
— Vois-tu ma chérie, l’univers de la sexualité est vaste au travers de ces nombreuses pratiques. Chacun régit sa sexualité comme il l’entend.
Tout en continuant ses explications sur les différentes pratiques en matière de sexe, maman posa sa main sur ma cuisse, malgré le fait d’être en pantalon je sentais la chaleur de sa délicate main sur ma peau. Je fermai mes yeux afin de savourer ce moment, une onde de chaleur me transperça. Sans vraiment m’en rendre compte, je venais également de poser ma main sur la cuisse de maman, je pouvais ainsi toucher, caresser cette peau juste couverte par son bas.
— Ma puce, nous sommes arrivées. Tout va bien ? dit-elle.— Euh... Oui..... Pardon. Oui oui maman tout va bien.
Nous partîmes toutes les deux à l’assaut des boutiques du centre-ville, la journée se déroula parfaitement entre regard croisé et sourire complice, maman était rayonnante de beauté dans sa jupe grise fendue, son chemisier blanc légèrement décolleté mettait sa généreuse poitrine en avant.
Nous nous sommes accordées, une belle pause repas dans un restaurant, ce moment de partage et de complicité fut mis à profit pour approfondir plus encore notre discussion.
— Tu sais ma chérie, tu es sur le point d’offrir la plus belle chose qu’une femme puisse donner, alors choisis bien celui qui aura le privilège de ce cadeau. Sache aussi que je suis et serais toujours là pour toi afin de répondre à toutes tes questions sur le sujet, n’hésite surtout pas à venir m’en parler. Et pour finir ma puce plus aucun secret entre nous, je te propose de tout se dire sans fioriture. — Oui maman je te promets de faire attention, sache que je suis d’accord avec toi sur tout et promis je viendrais te voir pour te demander conseil et avis.
Le reste de la journée fut consacré à notre bien-être à toutes les deux, entre le coiffeur, l’esthéticienne et notre séance de massage, nous en étions toutes les deux fortement détendues, nous étions bien loin de toute cette tension qui nous avait envahies.
J’avais eu l’occasion à maintes reprises de pouvoir admirer les courbes de ma mère, Je devais bien me l’avouer, maman est terriblement belle. A mes yeux, elle incarne la perfection, ses courbes, sa douceur, sa tendresse, son amour, sa gentillesse fait de ma mère une femme d’exception.Tout un tas de questions me traversa l’esprit.
Est-ce normal d’être attiré par sa propre mère ? Suis-je normale ?........
La route du retour fut agréable entre regards croisés et complicité entre une mère et sa fille.
— Ma puce, je te propose de venir me voir tout à l’heure dans ma chambre, j’ai quelque chose à te montrer.— D’accord maman.
De retour à la maison, nous avons pris le temps de contempler nos emplettes avant de tout ranger soigneusement et de préparer notre soirée mère-fille.
Nous avions décidé du repas et opter pour un chinois que nous ferions livrer à domicile, la commande étant faite, nous avions un bon trois-quarts d’heures devant nous. Nous avons mis à profit ce laps de temps pour préparer et dresser la table basse du salon car nous avions décidé de nous faire une soirée série TV.
Maman profita du temps restant pour aller se doucher, et m’appela pour que je la rejoigne dans sa chambre.
— Ma puce, tu peux monter ? — Oui maman j’arrive.
Je grimpai les escaliers, et entrai dans la chambre de mes parents. Maman était splendide, ses cheveux mouillés, son top jaune pâle à fine bretelle qui lui dévoilait en partie sa poitrine, son minishort qui lui mettait ses fesses en valeur faisait de maman une reine de beauté et de sensualité.
Maman tenait sur ses genoux boîte de rangement en bois. Tout en m’asseyant sur son lit maman me fit cette confidence.
— Vois-tu ma puce, il m’arrive de m’abandonner au plaisir solitaire, j’aime me donner du plaisir. Me masturber.
Tout en me disant cela, maman ouvrit la boîte de pandore. Et je fus surprise d’y découvrir plusieurs sex-toys.
— Maman !!! — Quoi ma puce, c’est mes jouets, je t’avais dit plus de cachotteries entre nous.
Maman sortit un à un ses jouets pour femme, mon attention fut attirée par deux en particulier, le premier était une espèce de chapelet avec des boules de diamètres différents avec un espace entre chacune, le tout monté sur une sorte de fil très solide avec une anse à son extrémité. Le deuxième était un long sexe masculin avec un gland à chaque extrémité. Je me suis même surprise à les prendre, les toucher, les observer.
— Maman, moi aussi faut que je fasse une confidence.— Je t’écoute ma puce.— Ben... Tu sais..... Moi aussi je me suis déjà fait du bien toute seule. Lui dis-je toute honteuse.— Je suis contente ma puce que tu aies réussi à me le dire, il ne faut pas te sentir honteuse, cela fait partie de la vie et de la découverte de tes envies.
Maman passa sa main dans mes cheveux, apparemment très émue par ma confidence intime. Je me sentais bien et heureuse de lui parler ouvertement. Je me sentais normale.
Nous fûmes vite sortis de notre torpeur quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je descendis quatre à quatre l’escalier attrapa mon sac à main, ouvrit la porte, paya le livreur, récupéra notre commande et lui claqua pratiquement la porte au nez.
Notre soirée fut agréable, entre le repas et le choix du programme, une réussite parfaite.
Après avoir fait un câlin et un gros bisou à maman, je fus la première à monter me coucher, après avoir pris ma douche et enfiler ma jolie nuisette, je me mis au lit et commençai à écrire enfin griffonner quelques lignes sur mon journal intime, relatant les faits de ces derniers jours.
Etant plongée dans mes écrits, je n’en fus sortie par la perception de petits bruits venant de la chambre de maman.
Sortant de ma chambre, je m’approchais lentement et dans l’entrebâillement de la porte j’observais ma mère qui s’abandonna au plaisir solitaire. Maman était entièrement nue, allongée sur le dos, se titillant le téton avec l’index de la main gauche pendant que sa main droite lui caressait le ventre et descendait lentement vers son pubis. Les pointes de ses seins dressaient déjà fièrement, les yeux mi-clos elle savourait cet attouchement. Des légers soupirs s’échappaient de sa bouche.
Le doigt sur son téton s’activait de plus en plus, ayant pour effet de le faire durcir très fort, maman s’activait à présent sur son clitoris et sur ses lèvres vaginales, son souffle devenait plus rapide, elle ondulait du bassin.
Elle s’enfonça un doigt puis deux dans son vagin, je les voyais entrer et sortir dans un lent et doux va-et-vient. Maman porta à sa bouche ses doigts fraîchement sortis de sa vulve, elle se délectait de sa propre liqueur.
Maman attrapa à ce moment le long gode avec les deux glands, elle le porta à sa bouche et lentement elle entreprit une fellation sur ce sexe en silicone, sa langue tournait, léchée, sucée ce sexe.
Elle le prit en bouche aussi loin que possible en le faisant aller et venir dans sa gorge. Sa salive ruisselait sur cette colonne de chair. Maman suçait goulûment cette turgescence phallique.
Maman se frotta le clitoris avec le sexe en plastique, son souffle devenait plus fort, plus bruyant, plus saccadé. Enfin elle le présenta à l’entrée de son vagin et l’enfonça d’une seule poussée aussi loin qu’elle le pouvait, tout ceci dans un grand râle de satisfaction et de plaisir. Maman gémissait à en perdre haleine, je voyais le sexe s’enfoncer puis ressortir pour disparaître à nouveau.
Maman changea de position pour se retrouver en levrette, la tête à plat sur son oreiller, le sex-toy toujours dans son vagin, maman s’attaqua à son anus, lentement, elle se caressa la rosette, la massant avec délicatesse et précaution.
Mon excitation devenait grandissante, j’avais mal aux seins, mes pointes étaient dures et sensibles, mon sexe réclamait ses caresses, mon ventre voulait que je lui donne du plaisir, je me suis mise à mon tour à me toucher, me caresser les seins, les fesses, le clitoris, je devenais folle j’avais envie de plus de sentir ce pieu me prendre. Mes doigts s’agitaient sur mon clitoris tendu à souhait, ma mouille inondée mes doigts, ma main.
Tout en me masturbant frénétiquement, je voyais maman prendre un immense plaisir à se toucher l’anus, je vis un doigt disparaître dans ce fondement, elle se mordait la lèvre inférieure de plaisir, les gémissements se faisaient plus amples et audibles. Face à cette scène incroyablement érotique, mon bas-ventre et mon corps entier furent transpercés par une onde de plaisir, il était vraiment différent de ma première masturbation, plus fort, plus intense.
Maman attrapa l’autre extrémité de son jouet, et le présenta face à son œillet rose. Avec une extrême lenteur et douceur elle appuya, son anus s’ouvra et le gland fût absorbé petit à petit par son cul, elle guidait se sexe en elle, le plaisir d’être ainsi prise pouvait se lire sur son visage, les yeux maintenant clos et la bouche ouverte avec un léger soupir de satisfaction étaient le témoin de son plaisir.
Maman faisait coulisser se sexe dans son vagin et son anus en même temps, divine sensation que d’être ainsi comblée de ses deux orifices. Le corps de maman était secoué de spasme, elle tremblait de plaisir, sa cyprine lui coulait sur ses cuisses.
Maman retira de ses orifices son jouet à double gland et attrapa ses perles anales. Elle fit disparaître les deux premières boules dans son anus et en tirant délicatement sur la ficelle et en fit ressortir une seule.
Maman recommença son geste, mais cette fois-ci en insérant trois boules qui étaient de plus en plus grosses, pour en retirer une puis deux.De mon côté, j’étais en ébullition de voir cet objet disparaître puis réapparaître, je me rendais compte de l’élasticité de cet orifice dont je ne soupçonnais le plaisir qu’il pouvait apporter. Mes attouchements étaient plus profonds, plus appuyés, à cet instant je voulais rejoindre ma mère et me jeter sur elle et ses jouets. Mon souffle, ma respiration tout devenaient bruyants et jouissifs, au point d’en jouir rapidement et fortement. Mon sexe était en feu.
De son côté, maman avait fait disparaître la totalité de ses perles anales dans son fondement, n’était plus visible que la poignée à son extrémité, de sa main droite maman se doigtait profondément, je pouvais entendre le bruit de ses va-et-vient dans son sexe totalement détrempé, et de son autre main, maman se malaxait les seins de façon circulaire, tout en se titillant les pointes.
Maman se mit sur le dos avec toujours en elle son chapelet de perles, se saisissant de son gode et se l’inséra dans son sexe humide, ses mouvements devenaient de plus en plus frénétiques, amples et rapides.
Allongée sur le dos, en appui sur ses pieds et ses épaules, maman avait relevé son bassin, ses deux mains sur son gode, elle se ravageait le vagin à grands coups de butoir, elle faisait aller et venir en elle avec une ardente frénésie ce faux sexe qui lui arrachait des cris et d’intenses soupirs de plaisir, sa mouille coulait le long de cette verge en plastique, sa tête allait de droite à gauche, ses cheveux cachaient presque son visage.
Maman haletait bruyamment, son plaisir était imminent. Les yeux fermés, la bouche ouverte, un râle profond et intense sorti de sa gorge. Le sexe toujours plantait au fond de sa cavité, les deux mains agrippant et serrant les draps, son corps fut secoué par des spasmes violents et profonds. Au point que plusieurs jets de cyprine sortis de son intimité, inondant ses cuisses, les draps et expulsant le sexe plantait en elle.
La respiration courte et haletante, les tremblements de son bas-ventre, la présence de son abondante cyprine étaient les témoins de son orgasme fulgurant qui venait de la transpercer.
Maman mit un certain temps avant de reprendre ses esprits, voulant savourer l’extase et la jouissance intense qu’elle venait de s’infliger. Délicatement, elle retira de son anus, le long chapelet de boules.
En tournant sa tête, maman s’aperçut de ma présence dans l’encadrement de la porte.
A suivre......
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