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Histoire de tétons

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
Comme vous l’avez lu dans mes précédentes histoires, je suis une femme mure, libertine, bisexuelle et mariée avec un pervers que j’adore. Je suis d’un naturel exhibitionniste et rien ne m’excite plus que d’être vue par des hommes, des femmes, dans des situations que certain(e) peuvent trouver humiliantes mais qui me donnent tant de plaisir.
Ainsi, être déculottée et fessée en public me procure des orgasmes fabuleux. J’ai une petite poitrine (90B) mais avec de gros tétons ultra sensibles. Si on me les maltraite un peu, je commence à jouir. Je porte souvent des soutiens gorges ouverts qui les laissent pointer sous des hauts très fins. Parfois je me les titille sans m’en rendre compte, ce qui attire les regards. La seule caresse du tissu me procure des sensations fortes.Parfois pendant les tâches ménagères, je porte des pinces à linge sur mes bouts et il m’arrive ainsi de jouir en faisant les dites tâches. Mon mari m’a offert des petits bijoux de seins, des toutes petites pinces que je peux porter sans qu’elles ne soient trop visibles mais qui font paraitre mes tétons encore plus gros. Mais çà c’est pour sortir.
Quand un homme ou une femme me prend par les tétons et les fait rouler entre ses doigts, il ou elle peut faire ce qu’il veut de moi. Je mouille instantanément ma culotte et s’il tire dessus un peu fort ou qu’il me les tord, je commence à jouir.Nous fréquentons un petit bois qui est un lieu de rencontre et d’exhibition. J’y suis souvent fessée cul nu devant des voyeurs. S’il y en a un ou deux qui sont « potables », mon mari m’offre à la palpation. Comme j’ai les fesses bien chaudes et les tétons bien gros, dès qu’ils y touchent, j’en veux plus. J’ouvre le devant de ma robe complètement et je tâte les braguettes qui s’ouvrent  comme par magie. Je me retrouve presque nue avec un sexe bandé dans chaque main.
J’aime quand ils me tirent en avant par les tétons pour que ma bouche arrive devant leurs sexes. Alors je fais ce qu’une bonne salope sait faire, je suce. Il y a toujours d’autres voyeurs qui nous entourent, çà m’excite encore plus de faire la catin en public. Mon orgasme est en continu, je n’arrête pas de jouir. Plus ils maltraitent mes bouts de seins, plus je les suce fort. Mon jus coule sur mes cuisses. Mon mari passe derrière moi et d’un seul coup, me baise en levrette.Je sens mon mari se vider en moi. Puis je reçois des jets de foutre en pleine figure. J’en ai plein le visage et les cheveux. Je me retourne pour bien montrer aux voyeurs comme je suis salope. Certain se branlent, alors je le fait aussi sous leurs yeux pour un dernier orgasme. Puis je remonte ma culotte et nous rentrons.
Cet été, alors que mon mari travaille encore, je dois aller chez ma sœur pour arroser ses fleurs pendant qu’elle est déjà en vacances. Je suis venue en bus et mon mari viendra me récupérer en rentrant du boulot. Il est à peine midi quand je finis l’arrosage. Je vais donc profiter du soleil tout l’après-midi. Je m’installe donc sur un transat devant la terrasse, je garde juste ma petite culotte en dentelle blanche.Ma sœur, qui est un peu coincée, s’était plainte de ne pas pouvoir profiter librement de sa terrasse à cause d’un voisin qui la reluquait régulièrement. Moi, j’espère bien me faire mater et, derrière mes lunettes noires, je surveille en me caressant les seins.
Bingo ! Je vois les branchages de la haie qui bougent et qui s’écartent un peu. Alors je pince mes tétons et les tire fort pour qu’il voit bien. J’ouvre mes jambes et commence à caresser ma culotte. Je ne vois pas mais j’imagine qu’il se branle en regardant. Je glisse ma main dans ma culotte et j’accentue mes gémissements pour qu’il entende bien. Mais j’ai envie de plus. Je prends mon téléphone et simule une conversation. 
·        Je suis sur la terrasse presque nue et j’aimerai qu’un homme me regarde, çà m’excite et je voudrais qu’il vienne me caresser les seins.
Re-bingo ! Cà sonne à la porte. J’enfile un tee-shirt  qui m’arrive juste sous les fesses et je vais ouvrir. Hypocrite, il me demande si je n’aurai quelques morceaux de sucre en dépannage, je le fais entrer et il me suit dans la cuisine. Je lui explique que je ne suis pas chez moi et je vais chercher où se trouve le sucre. Pour ouvrir le placard du haut, il me faut lever les bras, ce qui tend le tee-shirt et découvre largement ma culotte. C’est dans cette position qu’il se décide, il vient se coller à moi et attrape mes seins par derrière. Je pousse un petit cri, il me lâche.
·        Non, encore, continuez ! plus fort ! vous allez me faire jouir.
Il me retourne face à lui, retire mon haut et me pince les tétons. Et il me les suce et soudain il me mord et tire avec ses dents. Je hurle tant de douleur que de plaisir. J’ai un orgasme instantanément et j’inonde ma culotte. Il m’assoit sur le bord de la table et écarte le fond de ma culotte et me baise brutalement comme un sauvage. Il continue à me torturer les tétines avec ses dents, je n’arrête plus de jouir. Quand il arrête de me mordre, c’est pour me gifler les seins. Puis il me re-mord et me re-gifle. Je m’entends crier :
·        Encore ! plus fort ! baisez-moi comme une salope, çà me fait jouir.

Je ne l’ai pas vu mais il doit être bien pourvu car je me sens bien remplie. C’est un déferlement de plaisir. Puis il me gifle plusieurs fois au visage comme une moins que rien.
·        Maintenant, à genoux, cochonne, tu vas me boire.
Et il se branle devant ma bouche que je garde bien ouverte, comme dans les films pornos, je tire la langue. Je pince encore mes tétons et je jouis encore quand son foutre me souille le visage. Je suis repue, satisfaite, heureuse. Je raconte tout à mon mari quand il arrive. 
·        Alors comme çà dès que j’ai le dos tourné tu te comporte comme une catin. Tu mérite une bonne correction.·        Oh oui corrige moi, je mérite une grosse fessée, aussi fort que je t’aime.·        Pire que çà, demain je reste avec toi et tu seras fessée devant le voisin et je te promets que tu auras du mal à t’assoir pendant longtemps.
Le lendemain, d’abord j’ai du arroser le jardin toute nue. Puis mon mari  a marqué « salope » sur mon front avec un gros feutre noir et a exigé que j’aille frapper chez le voisin avec juste un tee-shirt pour lui indiquer que j’allais être fessée pour les événements d’hier et l’inviter à venir assister à ma punition. Grosse surprise quand la porte s’est ouverte, il y a eu un blanc, ce n’était pas le voisin mais un inconnu. Je sens le rouge monter sur mes joues.
·        Patrick, viens voir, il y a une visite pour toi.·        C’est qui ?·        J’sais pas mais y a marqué « salope » dessus.
Je force le passage pour rentrer car des gens passent dans la rue. Je me trouve dans l’entrée serrée entre deux hommes. Patrick me pince les bouts à travers le tee-shirt et explique à son copain :
·        Tu vois, c’est la fille d’à coté dont je te parlais tout à l’heure, tu n’avais pas l’air de me croire. Tu lui pinces les seins et tu peux en faire ce que tu veux. Si tu veux on la baise tous les deux.·        Impossible, mon mari m’attend pour me punir de ma conduite d’hier et je suis venue vous chercher pour assister à ma punition.·        D’accord mais avant tu montre à mon ami ce dont tu es capable.
Et il me tort violemment les tétons. Il demande à l’ami de regarder comme je mouille. Mon tee-shirt est remonté au dessus de ma poitrine et l’ami passe sa main entre mes cuisses. Etre exhibée comme çà et les seins travaillés font que je coule déjà.
·        Oh, putain elle ne mouille pas, c’est une fontaine. Quelle salope !
Et il m’enfile deux doigts dans la minette. Le bruit de clapotis ne laisse aucun doute sur mon état. A peine deux ou trois allers-retours et j’ai mon premier orgasme de la journée.En arrivant sur la terrasse, mon mari semble surpris que je revienne avec non pas un homme mais deux. Mon mari exige des explications. Il me fait mettre nue, à genoux et je dois raconter tout haut ce qui vient de se passer dans l’entrée du voisin. Je suis toute rouge, j’ai honte et je recommence à couler. Je dois ensuite dire que je mérite une sévère fessée pour me conduire comme une catin.
Je suis ensuite basculée sur le dossier d’un fauteuil, les chevilles attachée aux pieds du siège, ce qui fait que j’ai les cuisses écartée et que toute mon intimité est offerte. Mes poignets sont attachés aux pieds avant. Je suis totalement immobilisée. La correction commence, d’abord supportable, elle devient rapidement cuisante. J’ai le cul en feu. Quand la fessée s’arrête, je dois avoir les fesses écarlates et la chaleur se diffuse sournoisement jusqu’à mon sexe. On me détache et on me place cette fois-ci à genoux sur l’assise du fauteuil. Mes seins sont au dessus du dossier, à disposition. Ils sont nus tous les trois. Mon mari me prend les tétons entre ses doigts en commence à me triturer. Bien sur l’envie est immédiate, il me connait bien.
·        Dis-nous bien fort ce que tu as envie !·        Je veux me faire baiser comme une salope·        Et … ?·        Je veux vous sucer tous les trois.·        Et … ?·        Je veux être souillée de foutre comme une catin.
J’ai à peine fini ma phrase que je suis prise en levrette par Patrick. Mon mari laisse la place à l’ami qui me baise la bouche. Puis les rôles s’inversent et ils me baisent tour à tour la chatte et la bouche. Je n’arrête plus de jouir. Quand la farandole prend fin, je m’assois dans le fauteuil avec une grimace de douleur et je me branle l’abricot en me pinçant les bouts de seins. Cà m’excite de faire çà devant eux. Ils viennent se placer devant moi et se branlent aussi. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les trois canons tirent des giclées de sperme et j’en ai partout. Je gicle à mon tour sur le fauteuil dans un dernier orgasme. Que du bonheur.
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