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Histoire de tromper l'ennui

Chapitre 1

Pignon sur rue

Voyeur / Exhibition
Je sors de la douche bouillante, après m’être caressée vigoureusement pendant de longues minutes sans être parvenue à atteindre l’orgasme. Je n’enfile pas de peignoir, j’aime la sensation de fraîcheur qui parcourt mon corps et fait durcir mes mamelons. Je les prends en main et les tords doucement.
J’entends des voix dans la rue, je m’approche discrètement de la fenêtre, tout en continuant de triturer mes tétons, ce qui m’arrache maintenant de petits gémissement. J’aperçois les auteurs de ces bruits, deux hommes, l’un vêtu d’un blouson noir et d’une casquette, l’autre d’un sweat-shirt bleu. Je n’arrive pas à situer leur âge, peut-être trente ou quarante ans ? Je ne les vois que du dessus, mais tout ce mystère m’excite de plus en plus. Je sens ma chatte s’humidifier, alors je sers les cuisses, et m’empêche d’y porter la main encore un peu, histoire de faire durer ce plaisir. Leur voix sont graves, mais je ne parviens pas à distinguer ce qu’ils disent, mais leur ton est joyeux, voire même joueur.
Je me prépare à faire ce que je n’ai jamais fait, mais cela fait longtemps que j’y pense. Mon ménage est heureux, mais mon mari est bien trop souvent en déplacement. Je ne pensais pas passer ma vingtaine seule à la maison, à me doigter toute la journée pour passer le temps. Je n’ai jamais pensé à avoir de rapport, même virtuel, avec quelqun d’autre. Mais j’ai peut-être trouvé une autre manière d’enfin combler ce manque d’attention.
J’oublie les hommes dans la rue, et vais chercher une boîte bien cachée dans le meuble sous l’évier. Je n’ai jamais eu le cran de l’ouvrir jusqu’à présent, mais l’idée que quelqu’un puisse m’entendre m’a enfin motivée. J’ouvre la boîte, et en sors le contenu : un foulard en soie, un casque audio accompagné de mon IPod et deux vibromasseurs de grande taille.Je me glisse sous la fenêtre et m’y assois en tailleur. J’entends encore des voix, sûrement ces deux hommes, mais ils ont l’air plus éloignés. Y aura-t-il des témoins de ma folie ? L’incertitude continue à me faire mouiller.
Je me mets le bandeau sur les yeux et enfile le casque. Ça y est, je n’entends plus rien, et ne vois plus rien. J’allume le vribromasseur et le pose doucement sur mon clitoris. Son contact m’electrise ! Je me retiens de me toucher seulement depuis une dizaine de minutes, mais j’ai l’impression que ça fait une éternité ! Cette sensation m’arrache un soupir, qui me fait sourire. Entre mes gémissements et le bruit que doit faire mon vibromasseur, s’il y a encore des hommes dans la rue, ils m’ont entendue ! J’attrape le second sextoys et l’enfonce d’un coup dans ma chatte trempée. J’aime la brutalité charnelle, mais bien plus lorsqu’elle m’est infligée par une autre personne.. La main droite tenant le vibro sur mon clitoris et la main gauche tenant celui enfoncé profondément dans ma chatte, il me semble que je cris désormais. Je n’entends pas même le son de ma propre voix, mais ma gorge me brûle. J’aimerais que mon mari arrive maintenant dans la pièce et m’enfonce bien profondément sa grosse bite au fond de ma gorge sans même me prévenir, pour ensuite m’innonder de sa semence. Mais il n’est pas là, et je vais devoir me satisfaire de cette pseudo exhibition.
Et si ma voisine sortait maintenant, et si son mari ouvrait la fenêtre de sa chambre et m’entendait jouir ? Cette pensée m’excite encore plus, j’ai envie d’aller plus loin,  de prendre des risques. J’abandonne mon clitoris pour agripper la fenêtre de ma main droite, et me relève. Je sens le souffle de l’automne sur mes tétons, je me penche en avant pour bien laisser pendre mes seins à la fenêtre. Est-ce que quelqun me voit en ce moment ? Est ce que je le saurais un jour ? Je sens ma cyprine couler me long de ma jambe, j’attrape mon téton droit de ma main libre pour tirer dessus violemment. Je sors le gode de ma chatte et le présente à l’entrée de mon anus. Le gode est tellement mouillé que je ne doute pas qu’il va rentrer aisément, mais j’aurais aimer qu’une langue vienne preparer son entrée.
Mon mari n’a jamais été très intéressée par mon petit trou, la dernière feuille de rose qui m’a été faite date au moins de l’époque où j’étais étudiante. J’enfonce doucement l’objet dans mon cul, mais sans l’enfoncer profondément. Je fais de petit va-et-vient, et j’accélère doucement la cadence. Je crie, je le sais et ça me fait sourire. La musique s’emballe, et ma main aussi, j’accélère encore, et d’un coup, enfonce mon jouet jusqu’à la garde. Le souffle me manque alors que mon vagin et mon anus se contractent violemment. Je m’enfonce trois doigts profondément dans la chatte, afin de ressentir plus pleinement ses soubresauts, témoins du plaisir que j’ai ressenti, avant de les glisser dans ma bouche et me goûter avidement.
Je termine ce nettoyage méticuleux de mes doigts, avant de m’allonger sur le sol et m’assoupir un instant, la musique dans les oreilles, la vue entravée et un sextoy profondément enfoncé dans mon trou, vibrant doucement.
Je songe à ce que je pourrais faire pour occuper le reste de ma journée... Pourquoi ne pas aller me promener en ville ? J’ai bien envie de continuer sur ma lancée, et pourquoi pas m’exhiber un peu plus loin de ma zone de confort...

Merci de m’avoir lu pour cette première histoire, n’hésitez pas à me faire part de vos remarques et de vos émotions à la lecture de mon récit.A bientôt peut-être,Bien à vous, Aibe.
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