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Histoire de tromperies

Chapitre 1

Hétéro
Ce matin-là, je n’avais vraiment pas envie de me lever. Un dimanche matin à huit heures, j’ai évidemment mieux à faire que d’aller bosser pour une association qui organise des courses de roller.
Oui, des courses de roller, ça existe. Le principe est simple : un parcours de deux kilomètres, à chaque tour, le dernier est éliminé et ainsi de suite. Le tout sur des rollers super-équipés, 150 euros c’était souvent le prix d’une seule roue.
En arrivant, je ne savais absolument rien de tout ça. Moi j’étais juste là à cause de mon stage de fin d’études, je devais participer à l’organisation d’un événement sportif et c’était tombé sur ça...
C’est Christelle qui m’a tout appris à ce sujet. J’avoue que je m’en moquais un peu, mais je faisais semblant de m’y intéresser pour ne pas la vexer. Christelle était pratiquante de ce sport, enfin ex-pratiquante, de haut niveau même ! Elle avait remporté les championnats de France dans sa jeunesse. Ce jour-là, elle entraîne simplement et donne un coup de main pour l’organisation.
La fille de Christelle participe à la course. On est allé la voir juste avant que la compétition ne démarre, Christelle voulait lui donner quelques derniers conseils et encouragements avant le départ. En discutant, on s’est rendu compte que sa fille est sans doute dans la même promotion que moi. Son visage ne me dit pourtant rien. Elle non plus ne m’a jamais croisé a priori. Ce n’est pas étonnant, on doit être plusieurs centaines d’étudiants dans ce cursus.
J’ai ainsi passé toute la journée avec Christelle. Plusieurs fois, elle m’a proposé de venir à son club de roller, pour essayer. J’ai répondu que peut-être je m’y rendrais un soir, mais c’était une façon de refuser poliment. On avait tout de même échangé nos numéros de téléphone.
Durant les jours qui ont suivi, elle m’a contacté, mais j’avais toujours mieux à faire que du roller.
Un soir, elle me renvoie un message :
— Puisque tu ne sembles pas vouloir faire du roller... Un verre demain ça te dirait ?
C’était direct comme changement de registre. J’avoue avoir pris le temps de réfléchir à la proposition, mais finalement, je déclinais.
— Je ne pense pas que ma copine apprécierait...— Oui... Mon mari non plus... répond-elle.
Cette réponse c’était clairement de la provocation. En tout cas, je l’ai pris comme tel.
— Demain 19h ?
Elle a mis trois minutes à répondre à ce dernier message. C’est largement assez pour avoir le temps de regretter dix fois.
Puis le lendemain, nous nous sommes vus. On est allé boire un verre que l’on a expédié ; Christelle avait peur d’être surprise en terrasse avec un jeune homme. Vers huit heures, nous étions déjà chez moi, elle n’avait pas de temps à perdre.
Sa tenue était adaptée à l’exercice : la robe estivale se retrouva rapidement à hauteur du nombril une fois le dos cambré. Je l’ai prise comme ça, en levrette, debout au milieu des tasses de café sales et de mes feuilles de cours qui jonchent le petit bureau de ma chambre étudiante.
Une fois fini, elle s’est recoiffée rapidement. Son string s’était coincé dans ses talons à lacets bien trop classe pour ces lieux. Pressée, elle avait fini par le couper aux ciseaux pour enfin me le donner. « Ça te fera un souvenir », avait-elle dit.

***


Les jours passent.
Un soir, je reçois un message d’Aline, la fille de Christelle. C’est-à-dire que depuis que je l’ai rencontrée à la course de roller, il n’y a pas un jour qui se passe sans que je la croise sur le campus. Alors forcément, on a discuté et il se trouve qu’elle a pris de sa mère pour ce qui est de la capacité à se montrer entreprenante.
Je l’ai vue venir gros comme un camion. Ce n’est pas la première fois que je ruine mon couple à cause de mes envies sexuelles. Mais d’habitude, il ne s’agit que de moi et ma copine.
Excité par l’interdit, j’avais joué l’innocent et m’étais laissé entraîner de message en message jusqu’à la rejoindre dans un bar un soir, tard. Nous n’avions pas conclu au premier rendez-vous, mais c’était surtout pour des raisons logistiques.
Le week-end, elle me rappela pour me proposer de la rejoindre chez elle, ses parents étaient partis quelques jours. Mon excitation allait de pair avec le risque que j’encourais. J’ai foncé sans réfléchir.
On a passé la journée du samedi ensemble. Je faisais moins le malin que par messages, j’avoue... La dernière fois que nous nous étions vus, nous étions saouls.
En début de soirée, Aline reçut un coup de fil d’une amie, alors j’en profitai pour aller visiter la maison. Feintant d’aller aux toilettes, je faisais le tour de l’étage. C’est là que je découvris les décors des photos que Christelle m’envoyait.
Je n’avais pas eu l’occasion de la revoir, mais on avait gardé contact. Sûre d’elle et provocatrice, Christelle m’envoyait parfois des photos d’elle qu’elle me demandait de supprimer rapidement une fois l’excitation redescendue.
Me balader dans ces coulisses me grisait. Je reconnaissais le miroir et la serviette de bain bien trop petite pour cacher l’ensemble de son corps. Je fixais chaque objet que je reconnaissais, j’étais tellement dans mes pensées que je n’ai pas entendu Aline venir vers moi.
— Ça va, tu as trouvé ce que tu cherchais ?— Ah oui oui merci c’est bon ! Me précipité-je de répondre.
Sans rien relever, Aline reprit :
— Je commence à avoir un peu faim, ça te dit de commander des pizzas ?
J’acquiesçais, puis je laissai la salle de bain libre pour Aline qui avait manifesté l’envie de s’y changer.
Je me suis occupé de passer commande et de mettre la table.
Aline a fait vite, elle s’était simplement attaché les cheveux et maquillé les lèvres, ce qui suffisait à la rendre terriblement séduisante.
La tenue qu’elle portait m’était familière. Me voyant fixer le vêtement, elle me dit :
— C’est une robe de ma mère ! Elle en a plein, elle ne m’en voudra pas haha. Tu aimes ?
Ne sachant que répondre, j’ai simplement hoché la tête.
— Elle a plein de robes super jolies ! Il m’arrive souvent de lui en piquer une... celle-ci je la trouve particulièrement sexy !
J’essayais de chasser les images qui me revenaient en tête.
Habituellement, Aline est plutôt Stan Smith, jeans troués et sweat shirt. Ce soir, le style déshabillé qu’elle emprunte à sa mère lui va à ravir.
Pendant la soirée, je tente de deviner son corps sous le fin tissu, et c’est quand j’ai cru apercevoir un piercing au sein gauche que j’ai compris que mon voyeurisme était sans doute trop ostentatoire.
Intarissable, Aline me racontait sa vie. J’apprenais autant de choses sur elle que sur sa mère. Je restais plutôt silencieux à l’écouter.
Il faisait chaud pour un printemps ; nous avons décidé d’aller manger notre dessert, assis dans le coin d’herbe qu’offre leur maison de quartier pavillonnaire.
La glace était trop froide pour mes dents, alors je prenais mon temps. Affalée sur l’herbe, la posture nonchalante d’Aline me permettait d’entrevoir le haut de ses cuisses. Ses jambes étaient parsemées de grains de beauté, qui de loin pourraient être confondus avec des tatouages minimalistes.
Elle aussi me lançait des regards indiscrets. Je m’en voulais d’être venue en short et t-shirt. J’aurais pu faire un effort, mais d’un autre côté, il faisait chaud alors...
Une fois la glace finie, j’ai décidé d’enlever mon t-shirt et de m’en servir pour m’allonger dessus, sur le dos. Je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai fait ça. Je voulais sans doute tester un peu Aline. Je crois savoir qu’à ce jeu-là, je ne risque pas de la brusquer. Et puis je la voyais me regarder, il s’agissait de lui proposer quelque chose à se mettre sous la dent.
Ensuite, elle posa sa tête sur mon ventre, on ne disait plus rien.
J’avais peur de ressembler à un petit couple installé. Égoïste comme à mon habitude, j’étais venu ici simplement par goût du sexe et du risque. C’est sans doute cette raison qui m’a poussé à prendre plus d’initiative. D’ordinaire attentiste, ici j’entreprenais. J’en savais déjà beaucoup sur elle et sa mère.
J’ai posé mon bras autour de sa poitrine comme si de rien n’était. Je la caressais, son souffle se faisait bruyant.
Puis tout s’est accéléré. Sa robe a glissé sous ses hanches, mon short a rejoint mes chevilles, sa bouche a parcouru mon corps jusqu’à mon sexe et la mienne a fait de même avec le sien.
Ma barbe s’imbibait de cyprine et j’entendais Aline s’étouffer avec mon sexe. Un régal.
Notre chaleur corporelle nous avait presque fait oublier l’humidité qui remontait de l’herbe. On finit tout de même par retourner dans le salon sans prendre le temps de se rhabiller.
Il m’était difficile de ne pas me laisser aller à quelques comparaisons malvenues entre mère et fille. Je ne sais pas qui de la génétique ou de la pratique sportive explique le mieux la rondeur de leurs fesses.
En matière de sexe, je suis plutôt classique, voire un peu chiant peut-être ? Disons que je préfère coucher dans un lit. Aline elle, semblait plutôt d’humeur à faire toutes les pièces de la maison.
On a commencé dans la cuisine puis on s’est arrêté dans les escaliers avant de rejoindre sa chambre en passant par le couloir. J’ai joui deux fois. C’était incroyable.
C’est faux, c’était beaucoup trop long évidemment. J’étais épuisé avant la fin de la première heure. Quand je ne fus plus capable de bander, elle sortit un sexe en plastique de sa table de chevet. Les dimensions du jouet faisaient peur.
Elle ne le sait sans doute pas, mais sa mère en possède un similaire.
Le lendemain, je me suis réveillé sur le canapé. Nous nous étions couchés dans le même lit, mais Aline me tenait beaucoup trop chaud, alors j’étais descendu dans le salon pour avoir un peu d’air frais.
Elle s’était endormie directement après l’orgasme. Nue sur ses draps pleins de nos sueurs, entourée de ses jouets préférés. Quand je suis remonté pour aller voir si elle était réveillée, rien n’avait bougé.
Je me demande si Christelle est au courant pour le tatouage pubien d’Aline. Cela me surprendrait, elle est assez réac sur ces sujets-là.
Je suis partie dans la matinée après que nous ayons mangé les viennoiseries que j’avais achetées.
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