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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Histoire Vécue

Chapitre 1

Hétéro
L’histoire remonte à quelques années alors que je faisait mon service militaire dans la région Bordelaise. Etant originaire de Toulouse je faisais régulièrement le trajet Bordeaux Toulouse en train, et le plus souvent de nuit.
Ce soir là, je monte dans le train et m’installe dans un compartiment vide près de la fenêtre. En attendant le départ mes pensées vagabondent et je m’assoupis. Je m’imagines déjà entre les bras de ma copine qui doit venir me chercher à la gare, et je prépare en rêves la nuit que nous allons passer. J’imagines nos baisers, nos caresses, et je dois avouer que l’évocation de ces pensées provoque en moi un flot d’émotions et même un début d’érection.
Le train s’ébranle, me tirant de mon demi-sommeil. Je constate alors que le compartiment s’est rempli; il est maintenant occupé par deux messieurs voyageant seuls à ma gauche, un couple d’une cinquantaine d’années se faisant face près de la porte et, en face de moi, une femme ravissante d’une quarantaine d’années. Elle est vétue d’un tailleur vert et d’un chemisier blanc au travers duquel on peut deviner la dentelle d’un soutient gorge. Ses cheveux blonds descendent sur ses épaules et encadrent un visage doux soigneusement maquillé.
Seule la lumière de la veilleuse est allumée ce qui fait que lorsque le train quitte la gare le compartiment se retrouve plongé dans la pénombre. J’observe ma voisine par son reflet dans la vitre; je détaille chaque parcelle de son corps en m’attardant un peu plus sur ses magnifiques jambes que gainent des bas si j’en juge par le liseret de dentelle noire qui déborde à peine du bas de sa jupe. La soie de son chemisier tendu par ses seins bouge au rythme lancinant des chaos de la voie férrée et de sa respiration. Elle a les yeux fermés et je peux à loisir l’observer. Des pensées érotiques resurgissent à mon esprit mais cette fois ci ma partenaire n’est plus la même mais bel et bien ma charmante voyageuse.
D’un bref coup d’oeil dans le compartiment je peux constater que tout les autres voyageurs sont assoupis. Je sents en moi monter une douce chaleur qui ne tarde pas à atteindre le bas de mon ventre. Pour calmer mes ardeurs je change de position et tente de m’installer un peu plus confortablement. Ce faisant ma jambe vient au contact d’une jambe de la femme assise en face de moi. Ce contact ne fait qu’aggraver mon état; j’observe sa réaction: rien; soit elle dort, soit elle feint de n’avoir rien senti. Ce contact fortuit me donne des idées et j’accentue ma pression en glissant ma jambe entre les siennes. Qu’elle ne fût pas ma surprise de les sentir s’écarter lentement dévoilant plus largement le haut de ses cuisses. Je ne m’étais pas trompé elle porte bien des bas, et elle ne dort pas; dans la pénombre il me semble qu’elle a ouvert les yeux. Je tente de croiser son regard mais n’y parviens pas. Mon genou caresse maintenant ses cuisses; elle glisse légèrement sur la banquette rapprochant son ventre de mon genou. D’un mouvement habile elle retire une de ses chaussures et pose son pied sur ma banquette entre mes cuisses. Elle fait courrir ses orteils contre ma braguette en une delicate caresse. Je dois me retenir pour ne pas jouir de cette simple mais si merveilleuse caresse.
Le train ralentit et entre dans une gare; les deux messieurs se levent, prennent leurs bagages et quittent le compartiment sans preter attention à nos positions qui peuvent paraitre incongrues. Quelques instants plus tard, le train redémarre; personne n’est entré dans notre compartiment. Le couple de quincagénaires ne s’est pas réveillé. Ma compagne de voyage se lève et vient prendre la place d’un des hommes qui est parti, tout près de moi. Toujours sans un mot, elle se tourne un peu vers moi, tournant le dos au couple endormi et pose une jambe sur ma cuisse. Sa jupe se relève d’elle même. Elle prend ma main et la glisse sous sa jupe; je sents la douce moiteur de son entre-jambe au travers d’une fine culotte en dentelle. Mes doigts griffent doucement le tissu, je pex sentir ses lèvres gonflées par le désir. Je me penche un peu vers elle et dépose un baiser près de son oreille, mes doigts caressent sa fente au travers de sa culotte, ma queue est maintenant en pleine érection. Ma bouche toujours près de son oreille que je mordille, je glisse mes doigts sous sa culotte que j’écarte avec soin. Je caresse ses lèvres qui sont maintenant bien humides et qui semblent aspirer mes doigts. Nos langues se mèlent en un baiser torride, elle a fait glisser ma braguette, a glissé sa main dans mon caleçon et masse tendrement mais fermement ma queue prète à exploser. Nous restons là quelques instants à nous caresser puis dans un murmure elle me demande de la suivre.
Nous nous retrouvons dans le couloir, elle s’est placée devant une fenêtre comme pour regarder dehors. Le couloir est désert, je me place derrière elle. L’étroitesse du lieu et les chaos du train nous plaquent par instants l’un à l’autre. Je l’embrasse dans le cou, mes mains se plaquent sur seins; elle a dégrafé son chemisier, je caresse sa peau douce et libère ses seins de leur prison de dentelle. Ils sont magnifiques, dréssés fierement, ils durcissent encore plus sous l’effet de mes caresses. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, malaxe la chair ferme de ses deux globes. Avec une habileté sans pareil elle sort mon sexe de mon pantalon. Je me retrouve ainsi le sexe à l’air et elle la poitrine dénudée dans le couloir de ce train où d’un moment à l’autre quelqun peut sortir et nous surprendre; cela décuple mon désir. Tout en me massant le sexe, elle releve sa jupe de son autre main et écarte sa culotte qu’elle fait glisser à ses chevilles. Elle guide mon membre jusqu’à ses fesses, se penche un peu et caresse sa fente avec avant de se l’introduire. Qu’elle sensation!! J’ai abandonné ses seins pour la maintenir fermement par la taille; Je la pénètre lentement mais profondément. Son bassin ondule, le chao provoqué par quelque passe à niveau manque de nous déséquilibrer, mon sexe est presque sorti de son étui chaud et humide, je l’y replonge avec précipitation ce qui lui arrache un petit cri de bonheur. J’accélère mes mouvements et la laboure maintenant avec régularité, les effets ne tardent pas à se faire sentir j’explose en elle en de longs jets puissants. Je poursuis mes efforts et, prenant de l’assurance au niveau équilibre, je glisse une main entre ses cuisses. Mes doigts s’activent sur son clito dur et gonflé. Elle ne tarde pas à jouir à son tour.
Elle se redresse, réajuste sa jupe et son chemisier, se retourne et nous nous étreignons en un baiser fougueux. Puis, me prenant par la main me guide jusqu’aux toilettes situées au bout du couloir. Nous nous y engoufrons tous deux; l’endroit est minuscule, elle s’assied sur la cuvette et degrafe ma ceinture, baisse mon pantalon puis mon caleçon. Là, elle pose ses lèvres sur mon gland et me prodigue la plus savante fellation qu’il m’ait été donné de connaitre. Sa langue passe de mon gland à mes couilles, elle m’aspire comme pour en extraire tout le sperme, elle aspire mes bourses me provocant une sensation entre bonheur et douleur; J’ai réouvert son chemisier et libéré ses seins qui balottent doucement. Cette vue et la caresse buccale prodiguée ne tardent pas à faire effet et je jouis dans sa bouche, le sperme coule au coin de ses levres sur son cou et descend sur ses seins. Elle se redresse, me fait m’asseoir à sa place relève sa jupe et pose ses pieds de chaque coté de moi m’invitant à déguster son intimité. Je pose mes lèvres sur sa toison. Ma langue descend le long de ses lèvres épilées, les écarte et s’insinue au plus profond d’elle. Je la léche longuement, mon pouce s’occupe de son bouton en le faisant rouler à un rhytme de plus en plus soutenu. Mon index vient tremper entre ses lévres puis descend vers son anus. Après l’avoir bien préparer il s’introduit dans son petit trou pendant que ma langue et mon pouce continuent leur besogne, lui arrachant de petits gémissements qui se transforment bientôt en cris, heureusement couverts par le vacarme du train. Elle est maintenant assise inconfortablement sur le petit lavabo, je me suis levé et la maintient, ses jambes se posent sur mes épaules. Ma queue pénètre d’un seul coup dans sa chatte brûlante, et je commence quelques aller et retour; quand je sents mon membre bien ruisselant je me dégage et le présente devant son anus. Elle est prète, je m’introduis lentement et régulièrement; ma queue remplit maintenant complètement son cul, elle pince son clitoris entre deux doigts et de l’autre main malaxe ses seins. Je vais et vient maintenant aisément entre ses fesses et cette fois ci c’est elle qui jouit la première; lorsqu’elle prend son pied je sents tous ses muscles se contracter ce qui a pour effet immédiat de me faire jouir. Pour la troisième fois je décharge en elle, les dernières secousses passées elle entrprend de me nettoyer la bite avec sa langue, puis, avant de me donner un baiser elle s’humecte les levres se son propre jus; tous ces gouts mélés à nos salives me donnent envie de prolonger nos ébats, mais hélas le train va entrer en gare pour la fin de mon voyage.
Nous nous rhabillons donc et regagnons notre compartiment. Avant de rentrer dans celui ci nous échangeons un dernier baiser. Elle rentre dans le compartiment, je restes seul quelques instants me demandant si tout cela est bien réel, lorsque j’apercois par terre la culotte de ma charmante complice, je la ramasse discrètement et la fourre dans ma poche en souvenir ...
Lorsque je descends du train la femme a disparu dans la foule. Ma copine me fait signe sur le bord du quai.
Je ne sais rien de cette femme avec qui je n’ai échangé que très peu de mots mais j’y repense souvent surtout depuis que, il y a quelques jours ma copine (qui est devenue ma femme) a découvert la culotte que j’avais soigneusement gardé. Je lui ai raconté l’histoire, m’attendant à une vive réaction de sa part, mais ce fût le contraire, l’évocation de cette histoire l’a beaucoup excité et il m’a fallut la satisfaire sur le champ. Et c’est elle qui m’a conseillé de vous raconter cette aventure.
J’espère qu’elle vous fera le même effet qu’à ma femme.
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