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Histoire du Vieux mec

Chapitre 1

Sylviane

Hétéro
Gabarit moyen (172 centimètres, 78 kilos), look classique, je ne suis ni ai jamais été un dragueur à succès. La plupart du temps, ce furent les filles qui firent le premier pas.Mariés très jeunes, avec mon épouse, nous avons réussi notre vie familiale, mais nous n’avons pas su nous épanouir sexuellement. Pudiques, respectueux, marqués par une éducation judéo-chrétienne, nous nous sommes limités aux pratiques classiques du missionnaire, de la levrette et des caresses clitoridiennes ; sans fellation, cunnilingus et encore moins de sodomie. Incapables de pimenter notre vie sexuelle et avec le temps, nos relations sexuelles ont sombré dans le néant.
À côté de cette vie conventionnelle, des occasions adultères se sont offertes à moi. Aujourd’hui, ces aventures n’ont plus cours et mes "interdits" se limitent à la masturbation en surfant sur les sites pornographiques. Pour autant, même si je suis fortement tenté, je ne me hasarde pas aux tchats, aux forums, aux contacts, aux échanges... J’ai peur de ce monde aux pratiques débridées qui émoustillent ma libido. Toutefois une expérience me paraît sans risque : écrire en m’inspirant des extras qui ont jalonné ma vie. Mon récit ne sera pas aussi descriptif et chargé de mots crus que la majorité de ceux que j’ai lus, mais ils auront le mérite de consigner les zones cachées de ma vie. Rien de lubrique ni de scabreux : du réel. Ces lignes seront-elles retenues sur un site ? M’ouvriront-elles d’autres horizons ?
Sylviane, la nymphomane

Jusqu’à la trentaine bien avancée, mon épouse, mes enfants, le sport et mon travail suffisaient à équilibrer ma vie et me donner un sentiment de bonheur quand le hasard...Un nouveau couple, même âge, même profil social que le nôtre s’établit dans le quartier. Mon épouse se lia avec eux. Au début, je ne partageais pas son enthousiasme : frimeurs, ils évoluaient dans un paraître qui dérangeait ma discrétion. Lui avait un poste de responsabilité dont il se gargarisait et, pour ce, était régulièrement mandaté pour des missions à travers la France. Elle était femme au foyer. C’était une blonde aux cheveux longs et aux yeux bleus très clair. Mince, 1m60, une poitrine plantureuse, de petites fesses qu’elle moulait dans des jeans ou des shorts serrés, elle dégageait un sex-appeal ‘rentre-dedans’ et le mettait en avant par des moues, des sourires, des attitudes ambiguës... Je l’appellerai Sylviane.
Sylviane devint très proche de mon épouse et, avec fierté, elle lui confia des relations... adultères. Elle s’amusait à séduire les hommes qu’elle croisait... jusqu’à coucher. Pour satisfaire ses désirs sans mettre en danger sa vie familiale, elle avait deux règles. Primo ne choisir des partenaires discrets qui perdraient autant qu’elle si la liaison était dévoilée. Secundo ne s’engager que dans des relations de très courtes durées. Un jour, au cours de l’une de nos discussions de couple en toute confiance, mon épouse trahit le secret de son amie infidèle et me fit part de ces confidences. J’en fus émoustillé.
Les deux couples se fréquentaient assidûment : invitations, services, saluts impromptus... Suite aux infos de ma femme, le nombre de mes visites en solitaire augmenta. Son mari absent, chez elle, je notais la présence régulière d’un homme. Je les croisais même à plusieurs reprises ensemble en voiture. L’inconnu était-il l’une de ses prises ? Mon intérêt allait grandissant. Vint un temps où l’individu disparut de la circulation. Appliquant sa règle, l’avait-elle éjecté ?
J’augmentais encore la fréquence de mes visites. Quand son mari était absent, presque tous les midis, les soirs, en revenant de bosser, je m’arrêtais chez elle pour la saluer, prendre l’apéro. C’était une sorte de vice : la voir, imaginer... Un jour alors qu’elle terminait de préparer le déjeuner avant l’arrivée de son époux, après le traditionnel échange de bises, elle me lança :
— J’aimerais baiser avec toi. Ça te dit ?
J’en restais soufflé, abasourdi par une proposition aussi directe. Pris de court, j’invoquais un temps de réflexion et je partis la queue (gonflée) entre les jambes.J’attendis quelques jours en surveillant les horaires de son conjoint pour détecter le moment propice. Au premier déplacement de ce dernier, le midi, avant de rentrer chez moi où mon épouse m’attendait, je passais chez elle.
— Mon mari ne vient pas déjeuner, coda-t-elle dès qu’elle me vit apparaître.— Et tes enfants sont à la cantine, répliquai-je.— Alors ? m’encouragea-t-elle.
C’était l’été, elle était vêtue d’un short et d’un tee-shirt ample et court que sa poitrine soulevait. Les jours d’attente avaient exacerbé mes désirs. Sans d’autres mots, le regard fixe, je l’ai saisie par les épaules et je l’ai embrassée à pleine bouche. Elle a fermé les yeux et sa langue a répondu à la mienne. J’ai passé mes mains sous son tee-shirt. Elle ne portait pas de soutien-gorge. J’ai empoigné ses seins. Lourds et généreux, ils avaient une texture moelleuse et sa peau était douce et chaude. J’adore les seins. J’avais tellement fantasmé sur eux ! Je les ai malaxés à la limite de la brutalité et trituré sur ses tétons. Elle gémissait. Ôtant son tee-shirt par-dessus sa tête, j’ai totalement libéré sa poitrine. Ses seins dévoilés n’en étaient que plus excitants. J’ai sucé, mordillé leurs pointes dressées. Le plaisir montait en elle et, en moi, le désir grandissait. J’ai lâché ses seins, je l’ai soulevée et je l’ai assise sur le bord de la table de la cuisine.
J’ai ôté ses sandalettes, baissé son short et sa culotte que j’ai glissés sous ses fines chevilles. Elle était totalement nue. J’ai embrassé sa peau au goût sucré. Son sexe était bordé d’un duvet blond. J’étais toujours habillé. J’ai descendu mon pantalon et mon slip. Je bandais très fort. Je l’ai pénétrée d’un seul coup jusqu’au bout de ma queue. Son sexe était mouillé et chaud. Il ne m’a pas fallu très longtemps, pour après quelques va-et-vient sentir ma sève monter. Elle haletait, mais je ne voyais pas son orgasme pointer. Je me suis retiré, remplacé mon sexe par deux doigts tout en titillant son clito.
— Je vais jouir, râla-t-elle sous les caresses. Vas-y. Tu peux rester.
J’ai enfourné à nouveau mon sexe gonflé dans sa chatte brûlante. Synchrone avec son orgasme, mon sperme s’est déversé.Le souffle court, nous nous sommes sommairement lavés côte à côte dans sa salle de bain. J’étais devenu une de ses nouvelles prises. Elle n’en dirait rien à mon épouse que j’allais rejoindre avec un peu de retard pour le déjeuner.
Avec Sylviane, nous avons baisé de multiples fois toujours sur le même principe : à la va-vite, à la dérobée. Dans un garage, dans un couloir. Animé par l’interdit et son sex-appeal, j’étais empli de désir rien qu’à l’approcher et mes extases étaient sublimes. Pour autant, nos pratiques n’étaient pas extravagantes. La fellation était la plus osée. Je dois préciser que Sylviane ne la prodiguait pas en préliminaire, mais quand nos positions s’y prêtaient. Notamment deux.
Lorsqu’elle était couchée sur le dos et moi agenouillé à côté d’elle, je caressais ses seins, je fouillais son sexe de mes doigts, je frottais son clitoris. Quand elle était bien chaude, je présentais mon sexe au niveau de sa bouche. Elle le lapait et le suçait, tandis que je la masturbais. Lorsque, à califourchon sur elle, je glissais mon sexe entre ses seins généreux pour une branlette espagnole, je montais mon gland jusqu’à ses lèvres. Elle le gobait et sa langue le parcourait. Dans les deux cas, je terminais en éjaculant sur son visage ou dans sa bouche.
Des souvenirs ineffaçables qui me font encore bander. Je tiens à préciser que si elle s’avérait une experte de la fellation, elle ne me prodigua jamais de gorge profonde et que je n’ai jamais osé manifester ce désir.
Une autre de nos positions m’échauffe encore l’esprit. Elle se couchait à plat ventre, je m’asseyais sur ses cuisses et massais ses lombaires prétendument douloureuses. Mon sexe posé sur son postérieur et coulissant entre ses fesses grossissait au fur et à mesure de l’exercice. Le visage enfoui dans les draps, elle se masturbait d’une main et l’une des miennes rejoignait la sienne. Mon gland passait de sa vulve à son anus. Un jour après avoir l’enduite de vaseline, j’ai tenté la sodomie. Sans doute maladroit, je n’ai pas réussi à la pénétrer : je ne voulais pas forcer de peur de lui faire mal.
— Elle est trop grosse, tu ne pourras pas, m’arrêta-t-elle après mes essais infructueux.
Avait-elle déjà pratiqué l’acte ? Mon sexe était-il vraiment trop gros ? Je n’insistai pas. Cela ne gênait en rien mon plaisir. Je la prenais, ainsi couchée, et je déchargeais soit dans sa chatte soit sur ses reins en fonction de son cycle, car pour mieux jouir, nous n’utilisions pas de préservatif.
Tout le temps que dura notre relation, Sylviane resta la gérante de ces séances de baise. Elle aimait les rapports courts, simplement sentir la chaleur d’une queue dans son sexe. Elle n’était pas vaginale, mais clitoridienne. Je l’amenais à l’orgasme en la branlant puis je la pénétrai. Elle n’a jamais voulu que je lui fasse de cunnilingus. Elle réservait cette caresse à son mari ! Ça m’arrangeait, car j’étais peu expert dans le domaine et que l’acte me rebutait.
Au bout de quelques mois, respectant ses plans, Sylviane ralentit le rythme de nos rapports et voulut arrêter. Elle représentait pour moi un tel défoulement et je me jetais à ses pieds pour continuer. Elle accepta et nous continuâmes nos coups à la sauvette.
Toutefois, peu à peu, avec le temps peu à peu, je trouvais nos accouplements répétitifs et, surtout, manquant cruellement de sentiments. Je n’étais pas un baiseur pur et j’en avais besoin ! Sylviane baisait sans se livrer ! Elle ne m’a jamais rien raconté sur son enfance qui j’en suis certain contenait les stigmates de ses besoins sexuels.
Ce qui maintenait notre aventure, c’était le stimulant de l’interdit, mais n’étant pas assez pervers, je n’ai jamais tenté des rapports sortant des actes classiques : pas de sodomie, pas de partouze, pas de club, pas de SM. Ma libido et sans doute aussi la sienne étaient bridées par l’éducation. Ma seule performance concerna la durée de notre relation qui plutôt que de s’éteindre au bout de quelques mois dura en pointillé pendant plusieurs années.
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