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Histoire du Vieux mec

Chapitre 3

Louise la passionnée

Hétéro
Louise, la passionnée qui s’émancipe

Après mon aventure avec Marina, je revins plus assidûment vers Sylviane. Apparemment elle ne savait rien de mon ‘infidélité’. Pendant le temps qu’elle avait duré, elle avait eu de nouveaux amants. Un soir, alors que je la pénétrai, j’eus la sensation que son sexe était imbibé de sperme. Quelqu’un m’avait précédé ! Quand, où, qui ? Cela me déstabilisa, mais ne m’empêcha pas de l’utiliser comme défouloir sexuel intermittent pendant encore quelques années. J’avais ce privilège, j’étais son sexe de secours lorsqu’elle n’avait pas de conquête à se mettre dans la chatte. Ce qui précipita notre relation vers la fin fut lié à la séparation d’une de mes collègues de travail d’avec son mari.
Je l’appellerai Louise. Elle fut lâchée par son mari pour une jeunette. Un classique, lorsque les couples quarantenaires se sont émoussés. Comparée à Sylviane et Marina, Louise n’avait pas de sex-appeal. Elle était brune. Les cheveux courts. Grande, un mètre soixante et dix, mince, avec des petits seins, des fesses peu marquées, un visage sévère qui dégageait une certaine masculinité. Ses atouts étaient ses jambes. La plupart du temps vêtue de jeans, elle les exhibait rarement. J’avais eu la chance de les admirer lorsqu’elle était en tenue de tennis : short ou jupette. Longues, galbées, bronzées je ne saurais leur donner les qualificatifs qui me séduisaient. Les jambes des femmes étaient avec les seins mes attirances préférées.
J’avais alors cinquante ans. Avec Louise, nous étions régulièrement sur des projets communs, elle du côté administratif, moi technique. Il nous arrivait d’échanger sur nos vies privées. Ainsi, j’avais senti une certaine amertume envers son mari. Lorsque le couple se défit, elle se lâcha : il la trompait, elle savait, mais l’avait encaissé jusqu’à ce qu’il finisse par la quitter. Une période très dure pour elle. Après la rupture, Louise dériva. Elle fumait beaucoup, maigrissait et déprimait. Au courant, je m’appliquai à être proche d’elle : à la distraire en parlant de tout et de rien... à être attentionné. Pas suffisamment pour la revigorer. Le déclic pour aller plus loin vint d’une collègue commune qui comme moi s’attachait à la stimuler. Un jour, elle m’interpella :
— Louise n’arrive pas à remonter la pente. Elle n’a plus confiance en elle. J’ai essayé de la sortir. De la faire rencontrer des coups, mais elle est si effacée que les mecs me draguent à moi, mais pas à elle. Ça ne lui remonte pas le moral. Il faudrait vraiment qu’elle rencontre quelqu’un le plus tôt possible. Je sais qu’elle apprécie ta gentillesse, termina-t-elle tout en me fixant avec insistance. Tu devrais essayer de la tirer de là.
Suite à ce message, en plus des contacts que nous avions sur notre lieu de travail, je passais la voir chez elle. De la compassion ? Un désir ?Un soir, une occasion franche se présenta. Mon épouse étant partie chez ses parents, j’en profitai pour inviter Louise à dîner au restaurant. Elle accepta.Je choisis un restau discret à l’atmosphère intimiste. Au début elle était contractée, quasiment apeurée. Petit à petit, la chère et le vin aidant, elle se laissa aller. Je l’écoutais en jouant au psy de bas de gamme. À la fin du repas, je m’invitai à un dernier verre chez elle. La porte de son appartement fermée derrière nous, je lui pris la main. Elle se tourna vers moi.
— Je suis prête à aller jusqu’au bout, me dit-elle, décidée dans sa tête, mais le corps raide.
Je l’embrassai à pleine bouche. Elle tremblait. Je passais ma main sous son pull et je caressai sa peau. Elle se détendit et je sentis sa langue répondre à la mienne. Je dégrafai l’attache de son soutien-gorge puis je caressai ses seins. Ils ne réagissaient pas. Elle portait un jean très serré, j’en défis la ceinture et je glissai ma main pour atteindre son sexe. Elle serra ses jambes pour m’empêcher de progresser. Lâchant ma bouche elle me dit « viens » et elle me conduisit dans sa chambre.
Elle se dévêtit et s’allongea sur le lit. En me déshabillant, je réalisai la situation. Une femme qui avait vécu maritalement pendant vingt ans et qui n’avait jamais trompé son époux s’apprêtait à s’offrir en moi. Une décision cérébrale sans la moindre once de désir ? Une situation sans commune mesure avec mes expériences avec Sylviane et Marina où le sexe était le guide.
Elle me fixait en attente de mon bon vouloir. J’observais son corps. Lui aussi était totalement différent de mes deux précédentes maîtresses. Elles étaient blondes, elle était brune. Allongée, son corps délié paraissait plus longiligne. Ses jambes qui m’attiraient étaient surmontées d’un triangle noir de poils pubiens fournis. Ses seins, petits et ancrés haut sur sa poitrine étroite, rappelaient ceux naissants des adolescentes. Un bref instant je pensai abandonner, mais même si aucun sex-appeal ne m’interpellait, le désir de possession me motiva.
Alors que cet acte me déplaisait, je m’agenouillai au pied du lit, je fis glisser son corps pour que son sexe soit au niveau de ma bouche et j’improvisai un cunnilingus. Au bout de quelques minutes, je sentis son corps frémir. Ma langue abandonna son sexe et m’asseyant sur le lit, je la masturbais en la pénétrant de mon doigt et en excitant son clito. Son désir s’amplifia. Quand je la sentis bien lubrifiée, je m’allongeai sur elle et tout en l’embrassant et en caressant ses seins, je la pénétrai, d’abord doucement puis profondément. Le souffle court, elle gémissait. Je me maîtrisai jusqu’à ce qu’elle atteigne un orgasme vaginal puissant. Je n’en avais jamais connu de pareil ! Sa jouissance induisait des mouvements de sa paroi vaginale qui massaient ma verge. Des caresses internes puissantes qui déclenchèrent la montée inexorable de mon sperme sans que je puisse la ralentir. Je me dégageai et j’éjaculai sur sa toison.
Nous avions récupéré de ses orgasmes, quasi simultanés, et nous étions allongés l’un contre l’autre. Sa tête posée sur mon épaule, elle me parla. Elle me dit la peur qu’elle avait eue de faire l’amour. Que les derniers temps de vie commune avec son mari, elle subissait l’acte sans prendre du plaisir et s’en dégoûtait. Ses derniers orgasmes, elle les avait obtenus en se masturbant !

— Avec toi, ç’a été super !
Après ses aveux, nous refîmes l’amour. À nouveau sa jouissance vaginale fut surprenante et les spasmes de son vagin propulsèrent mon sperme.
À compter de ce jour, j’abandonnai définitivement mes séances de cul avec Sylviane et j’entamai une relation passionnelle avec Louise. Facilitée par le fait que nos enfants respectifs n’étaient plus chez nous, qu’elle était séparée de son mari et que mon épouse devait s’occuper régulièrement de ses parents vieillissants, elle dura plusieurs années. Je menais alors une sorte de double vie. Nous formions un couple conventionnel qui s’émancipait : fellation, cunnilingus, soixante-neuf, sodomie... ce que nous n’étions pas parvenus à pratiquer dans notre propre foyer, Louise et moi nous le découvrions ensemble. Rien de scabreux, tout dans le respect et pour le plaisir de l’autre.
Notre plaisir préféré était la pénétration vaginale. À chaque fois la jouissance totale était au rendez-vous. Si lors de mon premier rapport ma libido avait été freinée, par la suite elle se libéra totalement. Chaque fois que je me trouvais avec elle, le désir d’elle s’emparait de moi. Je l’embrassai, la caressai, la déshabillai. Je respirais sa peau à l’odeur épicée. Je malaxai ses seins qui bien qu’insensible pour elle était devenu pour moi excitant. Nus dans sa chambre, nous frottions nos corps l’un contre l’autre de mille façons. Mon sexe était toujours gonflé de l’envie de la posséder. C’est ainsi que je la sodomisai pour la première fois.
— J’ai mes règles, m’avertit-elle un jour.
J’avais trop envie de le pénétrer. Elle était sur le dos, je la retournai et frottai mon gland sur ses fesses, sur son anus.
— Je ne l’ai jamais fait. Tu veux qu’on essaye, me proposa-t-elle devinant mon désir.
Nous étions tous les deux quadragénaires, mais l’acte fut aussi important qu’une première relation sexuelle entre deux adolescents : Louise m’offrit son anus vierge comme une mariée son hymen le jour de ses noces. La comparaison est exagérée, mais il y avait beaucoup de passion réciproque dans cet acte.
Elle se leva et partit récupérer un tube de vaseline dans sa pharmacie. Ce déplacement refroidit notre élan surtout que par la suite je dus m’appliquer à badigeonner son anus et mon sexe, une nécessité dans laquelle je ne trouvais aucun érotisme. Il me fallut ensuite ranimer mon désir, mais dès que mon gland s’approcha de ses fesses, il se réamorça. Louise était sur son ventre et pour faciliter la sodomie avait glissé un traversin au niveau de ses hanches. Son cul était surélevé et si rond au-dessus de ses belles jambes et sous la cambrure de ses reins. La pénétration fut laborieuse, mais cette fois, contrairement à Sylviane, j’insistai. Sa rosette céda et je m’introduisis petit à petit. Louise grimaçait, je ne m’engageai pas à fond. Je réalisais quelques mouvements. J’étais si excité que la jouissance vint quasi immédiatement. Je me retirai et éjaculai sur ses cuisses.
— Alors, c’était bien ? me dit-elle.— Je fantasmai, j’avais beaucoup d’envie.— C’est plus étroit ?— Oui. Moins lubrifié, les sensations sont différentes du vagin. J’ai aimé. Et toi ?— Rien d’excitant. J’ai eu un peu mal, mais c’était supportable.
De ce jour-là, alors qu’avec Sylviane elle n’avait été qu’une expérience, la sodomie appartint à la panoplie de nos actes sexuels. Toutefois, le coït vaginal restait toujours le point d’orgue. J’avais toujours du mal à maîtriser mon éjaculation lorsqu’au cours de la jouissance de Louise, les spasmes de ses muqueuses internes massaient mon sexe. Lorsque j’y parvenais et uniquement à ses deux conditions, une fois sur dix, j’avais droit à sa seconde porte. Louise donnait l’impression de se sacrifier pour me faire plaisir. Lorsque je la pénétrai analement malgré la lubrification et mes précautions, ses mains se crispaient et son visage se figeait dans une expression de douleur contenue. Des visions excitantes qui ajoutées à la sensation d’offrande, d’un acte interdit dont j’avais été le premier bénéficiaire et me faisaient éjaculer rapidement dans sa voie plus étroite.
Louise n’a jamais joui lors des sodomies. Du moins, de par la pénétration. La seule fois qu’elle eut un orgasme fut lorsque je la masturbais tout en exécutant mes mouvements de va-et-vient dans son rectum. Ce manque de jouissance anale était-il dû à mon manque d’endurance dans l’exercice ? Je m’appliquai à y parvenir, mais même si Louise prenait un certain plaisir issu du sentiment de s’offrir mêlé à celui d’être dominé, je ne réussis jamais.
Ma relation avec Louise dura six ans. Ce fut la plus longue de toutes mes aventures secrètes. Si avec Sylvianne ce furent son sex-appeal et sa nymphomanie qui nous réunissaient, avec Marina le côté sportif et son esprit de libertinage, avec Louise se fut la passion qui me rendit accro à son corps, à son odeur, à notre jouissance.
Ce fut elle qui me laissa tomber. Lorsqu’elle eut retrouvé son équilibre et reprit confiance en elle, elle décida que notre relation n’avait plus lieu d’être. J’eus beau m’accrocher, elle fut intraitable. Elle se remit avec son ex. Elle fut ma dernière liaison cachée.
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