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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 3

Cocu (et vengé... en partie) le jour de mon mariage.

Avec plusieurs hommes
Nous nous sommes mariés le samedi 26 juin 1976.
A cette époque, on faisait les choses en grand. Mairie le matin tôt, puis l’église, le vin d’honneur et le repas du midi qui s’éternisait jusqu’à 17 h 00, suivi d’une promenade digestive pas très loin, puis retour pour un lunch et le bal.
Il y avait foule. Mon père tenait l’un des plus gros garages de la région et était au conseil municipal ; ma femme, Catherine, était fille d’un des plus gros fermiers du canton. Les familles, surtout la sienne, étaient nombreuses.
Au bal, le soir, il y avait plus de 250 personnes, peut-être 300. La canicule de cette année-là avait déjà rendu la chaleur insupportable. La journée s’était cependant très bien passée.
Vers 1 H 00, le bal battant son plein, je cherchai ma jeune épousée. Personne ne l’avait vue. Sa mère m’avait dit qu’elle avait dû se mettre à l’écart parce qu’elle devait prendre une aspirine.
Je demandai à mes témoins, Charles, Dominique et Thierry. L’avaient-ils aperçue ? L’un d’eux me fit une réponse coquine. N’était-elle pas déjà partie avec un autre mec ? Je croisais sa cousine Josyane qui avait défrayé la chronique en épousant le fils d’un riche négociant antillais qui était aussi black qu’on peut l’être. Les commères du village avaient délié leurs langues. On n’avait jamais vu ça !
Non, je ne l’ai pas vue. Mon pauvre Jean-Louis, nous sommes célibataires tous les deux. Je cherche aussi mon Jean-Robert.Il y avait beaucoup de monde dehors, sur le parking. La buvette ne désemplissait pas.
Josyane et Jean-Robert avaient une 604, voiture de prestige qu’ils nous avaient prêtée à l’époque et que lui conduisait comme voiture officielle de la noce, toute couverte de fleurs. L’association d’idées me fit penser que Catherine avait pu se reposer dans le confortable véhicule qui d’ailleurs n’était plus à sa place. La nuit était sombre, je parcourus le parking à la recherche du véhicule. Je le trouvai enfin, mais avec peine, dans un endroit très reculé et très sombre.
Mais aussi sombre que fût la nuit, ce que je vis me sidéra. Car, plus je m’approchai plus une silhouette blanche se distinguait à l’arrière, mouvante, mobile, animée, extatique. Sur la banquette arrière, ma femme était en train de se faire sauter par Jean-Robert. Je m’approchai au plus près, très discrètement, par l’arrière (comme lui dans ma femme ?). Elle le chevauchait en lui tournant le dos et je pus voir distinctement malgré l’obscurité les grosses paluches noires sur les seins blancs. J’avais honte. Honte d’être cocu alors que nous n’étions sans doute que trois à le savoir. J’avais honte... Et envie de me venger aussi, de venger cette terrible humiliation.
Je m’écartai, me planquai dans un buisson et jetai une énorme caillasse dans l’espoir de péter la vitre arrière.
Mais je visai mal et la pierre tomba sur le coffre dans un bruit de tonnerre. Cela créa un mouvement de panique. Ma femme et son amant sortirent de la bagnole précipitamment en se rajustant et tentèrent de disparaître dans la nuit. Tout à coup ma femme fit demi-tour au moment où ils passaient devant moi...
Le type lui chuchota :
— Qu’est-ce que tu fais ?— J’ai oublié ma culotte dans la voiture— Tant pis, on s’en fout, personne va te la réclamer là ! Je vais revenir la chercher. Pour le moment il faut rentrer vite. A mon avis y a des mômes dans le coin qui font des conneries... Je ne sais pas qui a fait ça mais il ne faut pas se faire pincer.— Tu crois qu’on le connaît ?— Si c’était ton mari, il serait venu directement, non ?— Olala ! Qu’est-ce qu’on a fait !— On reprendra plus tard, je te le promets ma belle !— Mon Dieu, mon Dieu... faut pas qu’on arrive ensemble, fais-le tour...
Et leurs voix se perdirent dans la nuit. De mon côté, je remontai vite fait en essayant de ne pas être vu, non sans avoir d’abord cherché la culotte. Ce fut un jeu d’enfant pour moi d’ouvrir la bagnole et d’y récupérer cette preuve du délit. Elle était toute mouillée... la garce !
Alors me vint l’idée de la vengeance.

Je vis un par un mes trois témoins, leur exposai mon infortune. Ils ne voulurent pas me croire mais j’avais la preuve du délit en poche. Je leur exposai ce qu’ils avaient à faire et ils me dirent que pour inhabituel que fût ce service, ils me le rendraient.
Il fut convenu de ne jamais la laisser seule pour que le black ne puisse plus lui parler en tête à tête. Dominique reçut la mission de crever deux des pneus de la 604 quand l’autre l’aurait rapprochée pour qu’il ne puisse pas nous ramener à notre "nid d’amour" après la fin de la soirée comme programmé. Ce qui fut fait.
Quant à moi, je fis comme si de rien n’était.
— Chéri où étais-tu ? me dit-elle quand je la retrouvai dans la salle.— Mais je te cherchais ma puce... où est la voiture ?— Jean-Robert l’a déplacée pour que je m’y repose à l’écart du bruit.— J’espère que tu l’as bien remercié. D’ailleurs sa femme le cherchait tout à l’heure... tu viens danser ?
Elle était en nage mais avec la chaleur qui aurait pu sans douter... Elle était en chaleur et j’étais en rage.
Après la soupe à l’oignon, au moment de monter dans la voiture, il y eut évidemment scandale. On cria au sabotage... Je fis bien sûr la mine d’être outré, surtout quand quelqu’un découvrit qu’il y avait eu un choc sur le capot de la malle arrière. Ma pierre avait bien abîmé la tôle.
Par un autre moyen, nous regagnâmes donc la petite maison, propriété que mes parents avaient héritée de mes grands-parents et qui, n’étant pas louée, devait accueillir les premières années de notre jeune couple.
Mes potes nous y attendaient. Je leur avais dit de nous précéder et d’attendre dans la piaule.
Selon la tradition je passai le seuil en portant ma salope dans les bras. Elle se dirigea vers la chambre.
— J’suis crevée dit-elle.— La nuit a été chaude, répondis-je en me demandant si elle comprendrait l’allusion.
Il était plus de cinq heures et le jour se levait déjà.
— Laisse-moi un moment et viens me rejoindre dans la chambre.— Tu veux pas dormir un peu avant ?— Taratata ! C’est notre nuit de noces...— Bon ben allons-y. Répliqua-t-elle comme si je lui demandais une corvée.— Non, déshabille-toi ici. Tu entres avec ton voile, ta culotte, tes porte-jarretelles, et tes bas.— Ecoute... on peut pas...— S’il te plaît. Allez !
J’argumentai pour lui montrer qu’il était bizarre qu’une femme ne désire pas son mari dans un moment pareil, faudrait-il déjà que je sois jaloux demandai-je sur le ton de la plaisanterie ?
Elle ne put faire autrement que d’accepter.
Les potes m’avaient fait promettre que ce qu’il se passerait resterait entre nous et que jamais cela n’entamerait notre amitié. J’avais promis.
Thierry était le plus dégourdi de nous trois, le mieux monté aussi comme nos fréquentes soirées branlettes à l’internat me l’avaient appris depuis longtemps. On ne comptait plus ses conquêtes et il était parti pour un long célibat tant sa réputation de cavaleur le précédait. On m’avait d’ailleurs plusieurs fois conseillé d’éloigner ma femme de lui... Il faut bien rire.
Il était nu sur le lit. Dans son écrin touffu de poils noirs, son gros sexe tendu jusqu’au-dessus du nombril, attendait la femelle.
Je lui avais demandé de dissimuler son visage sous sa chemise ou un autre vêtement.
Elle entra et le vit sur le lit. Elle s’approcha. Il ôta la chemise.
— Qu’est-ce que c’est que ce délire ? cria-t-elle, se reculant.
J’avais fermé la porte derrière moi.
— Où est ta culotte ?
Car bien évidemment, elle ne pouvait l’avoir.
— Ma culotte ?... mais eux qu’est-ce qu’ils foutent là à poil ? Et lui qu’est-ce qu’il fait sur le lit comme ça ?— Où est ta culotte ?— Mais tu m’emmerdes avec ma culotte... j’ai dû la laisser à côté par inadvertance.— Par inadvertance, tu as donc défait ton porte-jarretelles, enlevé ta culotte et remis ton porte-jarretelles ?— Ecoute, je suis vraiment crevée, c’est bon là.— Explique-moi comment ta culotte est sous le cul de Thierry ?
Il souleva son cul et retira la culotte qu’il y maintenait au chaud.
— Ce... c’est pas la mienne...— Pourquoi pas ? Elle est où la tienne ?— Bon ben j’en ai marre de vos conneries, je vais me coucher.— Dans la 604 ? Tu vas y retrouver ton black ? Parce que si c’est pour retrouver ta culotte, je t’assure que c’est bien la tienne, je l’ai récupérée après vous avoir lancé le caillou. Vous vous êtes bien foutu de ma gueule tous les deux... le mari de ta cousine... t’es qu’une grosse truie. Il a quoi de plus que moi ce mec ?— Ecoute... je vais t’expliquer.— C’est toi qui vas m’écouter sale pute ! J’aurais dû vous balancer devant toute la noce ! Mais j’aurais encore eu plus honte que toi... et puis tes parents méritent pas ça. C’est des braves gens. Alors tu vas être bien sage et faire ce qu’on te dit.— Mais il est rien pour moi ce mec... je sais pas... je sais pas ce qui m’a pris.— Moi je sais ce qui t’a pris... c’est sa grosse bite noire... alors puisque tu aimes me faire cocu, tu vas passer ta nuit de noces avec mes potes. Ils vont te baiser tour à tour. Tu baises bien ton cousin par alliance, alors pourquoi pas mes copains ?... et puis ils sont d’ici eux, tu préfères sans doute l’exotisme ? Mais tu vois, ici aussi y a de la grosse bite !
Bon j’avoue, mes propos étaient litigieux mais ils étaient prononcés sous le coup de la colère.
Elle vit qu’elle n’avait pas le choix.
Je la poussai dans le lit.
— Suce ! Dit aussitôt Thierry.
Elle empoigna le zob aussitôt.
Même si c’était ma vengeance, je n’avais pas envie de voir ça, aussi allais-je me coucher dans le canapé de la salle à manger. C’était ma nuit de noces et je ne parvenais pas à réaliser que ma femme allait la passer avec mes meilleurs potes pour lui apprendre à me faire cocu.Elle ne mit pas plus de dix minutes avant de crier. Elle appréciait. Elle ne se retenait même pas...
Au bout d’un moment, je me mis à bander. Excité, je revins dans la chambre. Thierry la besognait toujours, traditionnellement en missionnaire. Les deux autres étaient à poil et triquaient fort en matant la scène. J’avais recommandé que chacun la baise à son tour pour que sa dure plus longtemps.
— Suce ma bite salope. Lui dis-je en montant sur le lit.— T’es sûr que tu préférerais pas la prendre dans le cul ?
Je n’y avais jamais songé.
— Dans le cul ?— Tu devais pas avoir un pucelage ce soir ? Tu auras peut-être celui-là, parce que pour l’autre, j’peux te le dire, y a déjà eu du passage. J’suis sûrement pas le premier, mais même pas non plus le deuxième...— Dans le cul... j’ai jamais fait.— C’est pas plus difficile que la chatte et ça va même être plus serré. Tu vas aimer. Ça va juste coulisser moins bien. T’as de quoi graisser ?— Graisser ?— Ben oui mon gros cocu... faut lubrifier.— Euh non, non Thierry, j’ai rien comme ça.— Ta grand-mère avait sûrement de la crème à vache ! dit Dominique dont les parents étaient aussi agriculteurs.— Tu as raison, je sais où il doit en rester.— Va la chercher, on te la prépare ta gonzesse.
Quand je revins, Dominique était en train de lui lécher le trou de balle... Thierry se faisait toujours sucer.
— Tu sais quoi, dit-il ?— Non.— Charles est puceau.— Vrai ?— Vrai ! répondit l’intéressé.— Alors ça va être un peu ta nuit de noces... lui dis-je.
Vu comment sa quéquette était tendue, la perspective ne le dérangeait pas.
Sur les conseils de Thierry, je me graissai la bite.
— Mets-toi à quatre pattes salope, lui ordonna-t-il.— Graisse-lui la rondelle et fous ta pine... mieux que ça la rondelle... putain mais t’es godiche... fous les doigts dedans... voilà !
Je fis ce qu’il préconisait puis commençai à forcer l’anus.
Elle cria.
J’attrapai son voile de mariée pour lui tirer la tête en arrière.
— Ta gueule salope !
Plus elle avait mal, plus je forçai, c’est dire si je me retrouvai très vite au fond.
Je n’eus aucune pitié pour elle, elle cria, supplia mais je lui déchirai l’anus sans ménagement. Cependant elle s’y fit assez vite et Thierry, quand elle eut fini de gueuler put l’obliger à reprendre sa fellation.
— Putain quelle pompeuse ! Elle aime la bite ta femme. J’en ai baisé des putes, mais celle-là, elle est au hit-parade !
La fatigue se faisait sentir mais c’était super bon.
— Bordel, c’est génial, c’est serré, c’est le pied.
Je ne tardai pas à venir.
— Putain j’vais jouir, j’vais jouir dans son gros cul de pétasse là !— Fais pas ça malheureux ! Viens lui juter à la tronche !
L’idée me parut séduisante et je me défis du trou pour me présenter face à elle.
Thierry rabattit le voile plus qu’à moitié défait sur la tête et je jutai abondamment dessus.
— Putain, t’avais les baloches bien pleines !— Ouais, faut croire... bon ben, maintenant, elle est à vous les mecs, j’vais me coucher... vous pouvez vous y mettre à trois si vous voulez.
Déjà, Charles s’enduisait la pine de crème à vache.
Je restai un instant pour voir.
Il sodomisa ma femme sous les applaudissements des deux autres qui fêtaient ainsi la perte de son pucelage.
— Ah, c’est bon les gars, c’est bon. C’est aussi bon qu’une chatte ?— C’est plus serré mais plus sec. Regarde la différence. Descends d’un étage.
Il ressortit sa bite et la planta dans le vagin. Le garçon s’extasiait.Thierry avait enlevé le voile et se refaisait sucer.
— On pourrait avoir chacun son trou, suggéra Dominique qui en avait sans doute assez de se tirer sur la nouille en nous regardant faire.— Tu veux quel trou ?— J’veux bien me faire pomper.
Je les laissai au moment où ils se mettaient en ordre de bataille sous les ordres du général de corps de pute, Thierry.
Je les entendis encore rire, gueuler, insulter la pute qui criait de plaisir, j’entendis les chairs claquer, puis je me plongeai dans un profond sommeil.
Vers 13 H 00, la porte extérieure s’ouvrit. C’était Jean-Robert. Conformément à ce qui avait été décidé de longue date, il venait nous chercher pour nous emmener chez mes beaux-parents où le retour de noce avait lieu dans la grange.
— Elle n’est pas là la jeune mariée dit-il ?— Dans la chambre à côté. Va la prendre si tu veux.
J’utilisais cette formule ambiguë à dessein.
— J’veux pas déranger.— Bah ! On est assez intime à ce qu’il paraît.
Il frappa et, comme aucune réponse ne vint, il ouvrit.
Il se figea sur place.
Quelqu’un avait tiré les rideaux mais la pénombre n’empêchait pas de voir distinctement ce qu’il se passait.
Thierry dormait sur le tapis, la tête dans un oreiller, un drap sur le corps mais, comme il avait bougé, son gros sexe était à l’air.
Dominique ronflait sur le lit. Charles, toujours fasciné par la découverte de la baise semblait vouloir rattraper le temps perdu et était étendu sur ma femme qu’il sautait silencieusement avec application. Ses fesses bombées et toutes blanches s’agitaient lentement. Les bras de la fille ceinturaient les épaules et les jambes écartées portaient encore les bas blancs.
— Eh ben quoi ? dis-je à l’amant de ma femme. Tu croyais qu’il y avait que toi à pouvoir la sauter ? Le plus cocu des deux c’est quand même bien moi non ? Maintenant, si tu veux pas qu’on continue à cabosser ta belle bagnole et qu’on te crève les autres pneus, tu te casses. Tu dis aux autres qu’on arrive plus tard et puis, après ce soir, tu disparais de ma vie à moins que tu veux que je raconte tout à ta femme.
Comme j’avais été un peu virulent, mes potes s’étaient réveillés.
Thierry fit dans la provoc.
— Tu leur dis qu’on n’est pas bien réveillé. Parce que le temps de la sauter tous les quatre, on va pas arriver tout de suite. Elle aime les bonnes bites, on va pas te faire un dessin, on va lui en donner ! dit-il en se balançant pour faire bouger son sexe qui enflait.
Ce matin-là, nous la baisâmes tous les quatre et lui recouvrîmes le visage de sperme.
Ma vengeance n’était pas complète.
Chaque week-end, elle dut passer la nuit avec un homme de mon choix.
Au bout d’un an, je l’ai foutue à la porte et j’ai reçu peu après la visite de sa cousine Josyane.
— C’est vrai que ta femme a couché avec mon mari ?— Mon ex-femme ! Comment l’as-tu su ?— Alors c’est vrai ?— Oui.
Je lui ai raconté toute l’affaire. Elle était effondrée. Je l’ai consolée en lui limant la chatte du mieux que j’ai pu et en faisant à mon tour cocu le cocufieur. Agréable retour des choses.
Ils ont divorcé peu après.
Et, depuis, je suis resté célibataire.
Fin.
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