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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 6

Le rire du sergent... 1

Gay
Jean-Charles, à un peu plus de trente ans, était capitaine.
D’ordinaire, nous logions dans notre appartement de fonction dans le quartier mais, pour cette nouvelle affectation, ce n’était pas pratique. La caserne était en pleins travaux et on nous avait affecté deux anciennes chambrées d’une capacité de dix lits en fond de bâtiment, transformées en logement provisoire, séparées par un couloir qu’on avait quand même muni d’une porte. Cela nous faisait un sas d’entrée. A droite, côté caserne une vaste pièce de vie avec un réchaud pour faire cuisine et à gauche, côté enceinte une vaste chambre qu’une cloison séparait en deux parties inégales pour faire salle de bain douche. On n’avait pas encore mis la porte, juste un rideau.
C’était spartiate et nous n’avions pas droit à plus étant sans enfant, aussi avions-nous pris un appartement en ville, Jean-Charles ne restant à la caserne que lorsqu’il était de garde, ce qui arrivait trop souvent à mon goût, en tout cas plus fréquemment que dans notre précédente affectation.
Ce soir-là, je décidai de lui faire la surprise et de rentrer au quartier pour passer la nuit avec lui. Il y avait trois jours entiers que je ne l’avais pas vu. Il devait en principe rentrer ce soir mais avait téléphoné au cabinet pour dire qu’il devait remplacer un collègue à la dernière minute.
Fille de militaire moi-même, je comprenais ces contraintes même si, avec le temps, elles commençaient à me saouler un peu.
Quand le jeune planton me laissa entrer, je vis au loin que la lumière de notre cuisine était allumée. Il était là. Je garai la voiture et fis le tour du bâtiment pour y entrer. J’aperçus mon mari qui était de dos en train de discuter avec un sergent qu’il appréciait pour sa grande bravoure et pour sa haute taille. Il l’appréciait même tellement qu’il avait obtenu qu’il nous suive dans notre affectation. Il est vrai qu’il était sympathique, prévenant et moins obtus que la plupart de ses congénères. Donc, ils discutaient et j’entendis ceci :
— Affirmatif, le soldat Jouy toujours dans la combine, avec un Antillais, le soldat Gatessos.— Il ne sait rien, ne se doute de rien ?— Il n’a rien vu venir...— Parfait, on y va.— Oui, mais, mon capitai...
Je n’écoutais pas la suite, peu intéressée par les impératifs du service. Je me faufilai sans être vue et montai quatre à quatre jusqu’à nos deux pièces. Il avait laissé la porte ouverte, ce qui me fit gagner du temps.
J’entrai dans la chambre, puis dans la salle de bain et m’y déshabillai en l’attendant. Souvent, il prenait une douche en arrivant. La tête qu’il ferait en me voyant !
Pourtant il n’entra pas directement. Il était dans la cuisine. J’entendis des verres s’entrechoquer. Il devait se servir à boire. J’étais chaude comme la braise, j’avais envie de me caresser en guise d’apéritif. Tout à coup, on frappa.
— Entrez !
— Mes respects mon capitaine... voici les hommes...— Entrez là !
Merde ! J’étais déçue... Il était encore de service... mais pourquoi amener les hommes dans notre logement plutôt que dans son bureau ?
Les quatre hommes pénétrèrent dans la chambre... à nouveau, pourquoi ? Que venaient faire des soldats et un sergent dans notre intimité ? J’étais dans l’obscurité. On ne pouvait pas me voir bien sûr, mais je pris quand même la précaution de me reculer. Si le sergent qui accompagnait mon mari et les deux soldats me voyaient nue, mon époux serait dans l’embarras.
Je n’osais pourtant pas me rhabiller, craignant de faire du bruit et d’être découverte. Je n’avais plus qu’à observer la scène. A travers le rideau entrouvert, je pus tout voir.
Les soldats se mirent au garde-à-vous et se présentèrent.
— Vous savez ce que vous faites ici ?— Non mon capitaine, répondit l’Antillais, apparemment dans ses petits souliers.
Mon mari entra dans une colère impressionnante.
— Mais vous vous foutez de moi ! J’vais vous coller au gnouf pour vous apprendre à vous payer ma tête... Allez-y sergent Vidane ! Dites-nous. Rafraîchissez la mémoire de cette... dame...— Comme je vous l’ai dit mon capitaine, j’ai surpris ces deux hommes dans le local du fourrier se livrant à des pratiques sexuelles !— Quelles pratiques ? Allons messieurs, je veux savoir.— Eh bien... mon capitaine... je... je suçai le pénis du soldat Gatessos.— Et après... allons, après ?
Les deux types étaient toujours au garde à vous, et mon mari tournait autour.
— Eh bien mon capitaine, reprit le sergent, j’ai vu distinctement le soldat Gatessos enculer son camarade.— Est-ce vrai ? Gueula mon mari. Est-ce vrai ?— Oui mon capitaine, répondirent les deux autres.— J’ai rien entendu !— Oui mon capitaine ! Reprirent plus fort les deux mecs.— On dit, oui mon capitaine, nous sommes de grosses lopettes !— Oui mon capitaine, nous sommes de grosses lopettes.— De grosses putes à jus !— De grosses putes à jus ! Répétèrent-ils docilement.
Il y eut un moment de silence.
— Vous comprenez la gravité de la situation ?
Il n’y eut pas de réponse.
— Expliquez leur sergent !— Bien mon capitaine.
Et le sergent leur expliqua le déshonneur qui rejaillirait sur la compagnie si on savait qu’il y avait des tarlouzes dedans. Il leur fit tout un baratin auquel le soldat Jouy répondit que cela ne se reproduirait pas, blablabla... que personne n’en saurait rien, blablabla... et l’Antillais se dépêcha d’acquiescer.
— Il n’empêche, il faut une sanction... n’est-ce pas sergent ? — Affirmatif mon capitaine.
Je savais mon mari peu ouvert d’esprit. Moi-même j’avais peu de sympathie pour l’homosexualité comme c’était fréquent à l’époque, surtout dans notre milieu... Mais là, je le trouvai dur. Qu’avait-il besoin d’humilier ces hommes qui, au demeurant étaient bien libres de faire ce qu’ils voulaient.
— Allez-y sergent.— Bien mon capitaine. Allez, foutez-vous à poil.
Les deux hommes hésitèrent.
— A poil j’ai dit !
Le soldat Jouy commença à se déshabiller. L’autre l’imita... Je ne les vis que de dos mais c’était de très beaux garçons, bien taillés, surtout l’Antillais.
— Remettez vos rangers ! Garde-à-vous !
Ils obéirent. Je ne voyais pas pourquoi les foutre à poil et les obliger à se rechausser. Cela n’avait aucun sens !
Mon mari se présenta derrière le black.
— Ecarte tes jambes sale fiotte !
Le gars le fit.
— Alors mon gaillard, on aime mettre sa grosse bite dans un petit cul blanc ?— Oui mon capitaine. Rétorqua l’autre, à peine audible.
De son côté le sergent fit mettre le soldat Jouy à genoux.
— Alors, on aime sucer de la grosse bite black ?
Et simultanément mon mari et le sergent, défirent leur ceinturon et baissèrent leur pantalon. Ils bandaient.
J’étais sidérée, le souffle coupé. Je ne croyais pas ce que j’étais en train de voir.
— Suce ! Ordonna le sergent.
Le soldat Jouy ne se fit pas prier. D’ailleurs, jusqu’ici, il avait été très coopératif, obéissant toujours aux ordres avant son camarade. Je compris ce que voulait dire le "dans la combine" que j’avais entendu dans la conversation en arrivant... Il n’en était pas à son coup d’essai, il jouait le rôle de rabatteur et obéissait docilement pour vaincre les hésitations et éventuelles protestations de l’autre type.
Mon mari commença à sodomiser le soldat antillais.
— Aïe, vous me faites mal mon capitaine, cria l’autre.— T’es peut-être puceau du cul salope...— Oui... mon capitaine...— Eh ben mon garçon, quand on veut faire la lopette, on le fait jusqu’au bout ! J’vais t’apprendre à enculer tes camarades moi ! Sergent, du gel !
Le sergent fila droit vers l’armoire et y prit sans hésiter ce qu’on lui demandait, preuve qu’il y était un habitué des lieux... plus que moi qui ignorais la présence de ce tube dans mon propre logis.
J’étais assise par terre. Je pleurai abondamment. Je ne sentais même pas le froid du carrelage.
Le sergent reprit sa place pour se faire sucer tout en se déshabillant complètement. Mon mari se mit torse nu.
Le gars pignait mais la queue entra et mon mari se mit à déglinguer le mec.
— Alors, elle est bonne ma queue pédale ? T’aimes la grosse bite hein ?— Elle est bonne mon capitaine ? Demanda Vidane.— Putain, une bonne petite chatte serrée. Vot’ grosse nouille va se régaler sergent. Et la bouche sergent ?— Bonne pipeuse mon capitaine, si je la laisse faire, cette salope va me pomper jusqu’au jus.— Allez, on échange.
Profitant de la circonstance, mon mari se dénuda complètement. Le sergent ordonna au black de se foutre à genoux et le sodomisa d’un coup, arrachant un cri de douleur à sa pauvre victime.
Je vis mon mari prendre le soldat Jouy par les épaules pour le forcer à se pencher en avant vers le lit, les jambes écartées le cul bien ouvert. Puis il commença à peloter les fesses du mec, les écarta, se baissa et lui bouffa le cul. J’étais quasi morte !
Puis il prit son ceinturon et en donna un grand coup sur les fesses du gars. Le sergent, motivé, décida d’employer les mêmes moyens avec son partenaire. Ainsi, côte à côte, croupes tendues, les deux soldats accusèrent de violents coups en étouffant leurs cris. Cela ne s’arrêta que lorsque le cul du soldat Jouy fut écarlate.
Alors mon mari et le sergent pénétrèrent sauvagement les deux conscrits.
Ce n’était que gémissements, bruits des chairs claquant les unes contre les autres et propos orduriers des deux actifs.
J’étais choquée parce qu’ils parlaient des appelés au féminin: "pute, salope, chatte, moule, bonne..." Comme si cela avait été une femme ou... moi et, d’ailleurs, je comprenais beaucoup mieux pourquoi mon homme tenait tant à me prendre si souvent par-derrière, debout ou en levrette. Il avait si souvent insisté pour me sodomiser. Je l’avais refusé... toujours. Et maintenant, il... il sodomisait un homme... et avec une jouissance non dissimulée.Plus le temps s’écoulait plus je sombrai dans l’hébétude. Je ne fis même pas attention à la beauté de ces quatre hommes. Les voir ainsi était pourtant propre à satisfaire les plus difficiles en termes d’esthétique. Mon mari était le plus petit des quatre, tout en masse, râblé. Le sergent était un géant de plus d’ 1.90 m. Tous deux étaient très baraqués. Les muscles de leurs dos, leur cul bombé, la puissance des jambes poilues, le tout en mouvement, étaient, à tout prendre, envoûtant. Mais pour le moment, cela me donnait envie de gerber. Je n’étais pas au bout de mes surprises pourtant.
Tout à coup, Vidane mit sa main droite sur l’épaule du type noir lui libérant ainsi les hanches auxquelles il se cramponnait fort, et dégageant ainsi son bras gauche. Il posa alors sa main sur les fesses de mon mari. Celui-ci l’imita, mais bien sûr de sa main droite, et ils se penchèrent l’un vers l’autre pour se rouler une pelle gigantesque tout en continuant de bourrer les deux types. Jamais il ne m’avait embrassée comme cela.
Le soldat antillais était grand et musclé également et le jeune Jouy bien que plus gracile était très dessiné. Ses poils bruns qui descendaient entre ses pectoraux jusqu’à son sexe n’étaient pas le moindre de ses atouts virils.
On leur demanda de se mettre tête-bêche sur le côté en fellation, allongés sur le lit. Et, tandis qu’ils se pompaient vigoureusement, mon mari prit le black et le sergent l’autre.
Je finis par ne plus voir ce qu’il se passait. Mes yeux étaient pleins de larmes, mon esprit fracassé. Combien de temps restai-je ainsi à entendre confusément les cris, les grognements, les bruits de rut, je ne puis le dire. Je ne fus tirée de ma torpeur que par des cris plus forts que les autres.

C’était le sergent qui gueulait.
— Avale, salope, avale...
Le sergent tentait de maintenir sa queue dans la bouche du black alors tout en éjaculant mais ce dernier faisait des efforts désespérés pour se dégager et recracher le flot de sperme qui l’étouffait.
Le sergent se retira finalement en riant, un rire de contentement... et Jouy dut aller ramasser tout le jus dans la bouche ou sur les lèvres du black.Quand il eut fini, mon mari s’approcha et se masturba sur les deux visages des types à genoux devant lui... et il leur juta dessus. Souvent il voulait le faire avec moi mais je n’aimais pas cela.
Le soldat Gatessos répugnait visiblement à cette douche blanche. Il fermait les yeux et la bouche. L’autre, au contraire, tirait la langue et recherchait sa dose avec avidité.
— Allez, rhabillez-vous et cassez-vous...
Les gars remirent leur treillis rapidement, à mon grand soulagement car j’avais craint qu’on leur proposât de se doucher et d’être ainsi découverte.
— Et souvenez-vous que vous êtes à nos ordres. Tenez vos langues. Personne ne doit savoir qu’il y a des phoques dans ma compagnie. Bien reçu ?— Bien reçu, mon capitaine.
Et ils tournèrent les talons.
J’attendis. Je devinais que mon mari viendrait se doucher... avec le sergent ? Qu’allais-je faire... lui dire ?
A suivre
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