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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 9

Le rire du sergent... Fin

Orgie / Partouze
J’étais trop engagée pour reculer, alors je me remis à pomper le soldat Mazac’h et son camarade ; le dénommé Biroulig.
Mazac’h était puceau, mais il me fit l’amour magnifiquement. Je le suçai, alternant avec la bite de l’autre qui prenait davantage d’initiatives. Nous arrivâmes sur le lit. Je ne réalisai pas ce que je faisais. Dix minutes avant, je n’avais jamais touché un autre homme que le mien et là, j’étais en train de faire l’amour à deux inconnus sous le regard de deux autres, car mon mari était dans le couloir avec un garçon qu’il insultait copieusement alors que l’autre gémissait comme une chienne.
Biroulig aimait les seins et la chatte. Il me la bouffait et ne dédaignait pas de pousser jusqu’à la rondelle ; il fut le premier à m’enfiler, m’ayant mise en levrette pour que je puisse sucer Mazac’h. Puis ils tournèrent. C’était très agréable. Lors d’un changement comme Mazac’h quittait ma chatte, j’entendis Vidane dire :
— Encule-là !— Pas question ! protestai-je !
On me fit bien comprendre que je n’avais pas le choix ; alors j’utilisai l’argument de l’hygiène.
— Eh bien, va te laver le cul, cochonne ! et fissa !
Je fis comme si je n’avais rien entendu.
— Tu y vas toute seule ou on t’y conduit ! C’est rien de te soulever à deux pendant qu’un autre te plongera le tuyau de douche dans le cul... d’ailleurs, je vais m’en charger moi-même.
Je décidai d’obéir pour éviter le contact avec ce gros porc... surtout un contact sur un geste aussi intime. J’enjambai mon mari qui se faisait sucer, et fit le nécessaire. Cela me prit une dizaine de minutes pendant lesquelles je fus envahie de remords.
Quand je revins, le soldat Mazac’h était couché sur le dos. Ils n’avaient pas tenu parole les salauds ! Vidane le sodomisait et le soldat qui avait été enculé par mon mari essuyait les larmes de sperme qu’il avait propulsé sur le visage du supplicié de la rondelle.
— Tiens là v’la ta chienne... tu vois que c’est pas compliqué de la mettre dans le trou.
On me mit de la vaseline. J’eus mal quand Mazac’h me pénétra, très mal... mais fut plus humiliée encore, car tous les hommes me regardaient, y compris mon mari.
— Roulure, tu voulais pas que je te prenne par là ; mais tu aimes...— Retire-toi Mazac’h... à mon tour !
C’était Vidane.
— Pas toi, porc répugnant !— Pas moi ? Tu veux pas savoir ce qu’il aime ton petit mari ? Tu veux pas la prendre ma grosse bite ? Lui, il aime, j’aime mieux te prévenir...
Il était déjà sur moi. Ses mains puissantes s’abattirent sur mes hanches. Il colla sa queue contre ma raie et força.
La dernière chose que je souhaitais, c’était bien me faire prendre par ce type, magnifique pourtant, mais que j’exécrais et qui, plus est, me faire saillir dans cette position dégradante. Je serrai les dents pour ne pas éclater de rage.
— Mazac’h ! présente ton cul au capitaine pour qu’il te lime comme j’vais limer cette chienne.
Le gars obéit.
— Et baisez vous autres ! ordonna-t-il aux autres gars qui semblaient d’ailleurs ne pas avoir besoin d’ordre pour le faire. Videz-vous les bourses une dernière fois de la soirée, qu’elles aient le temps de refaire le plein pour demain.
La partouze était sonore. Mon mari, debout, tronchait le pauvre seconde classe plié en deux en l’abreuvant d’injures. L’autre encaissait en gémissant et demandant grâce pour qu’on lui fît moins mal.
Les trois soldats restants avaient pris position du lit qui craquait sous le poids de cinq corps et où nous étions serrés. Ils s’essayaient à un double sur le soldat qui avait éjaculé sur le visage de Mazac’h.
Elle est serrée, putain qu’elle est serrée, gueulait Vidane en me déchirant l’anus. Je serrai les poings de rage.

Puis, il se pencha à mon oreille. Son haleine empestait le sperme. La partie n’en était décidément pas au premier mi-temps. On jouait les prolongations d’un match entamé bien avant mon retour.
— Ouais, t’es plus serrée que ton mec... mais c’est normal... il a plus l’habitude lui.— Pauv’ type ! murmurai-je !
Pour toute réponse, Vidane passa de mon cul à ma chatte et, malgré la répugnance qu’il m’inspirait, je ne pus résister longtemps au plaisir. Sa grosse queue faisait merveille et ses coups puissants me chaviraient. Je ne pouvais plus dissimuler un bonheur que j’avais honte d’éprouver.Il m’agrippait les seins tout en me déboîtant violemment.Il murmura encore :
— Tu sais, dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi... de tes seins magnifiques, de ta croupe parfaite, je m’suis souvent branlé en pensant à toi... J’suis pas comme ton mari... lui, c’en est un vrai. Une vraie pédale. Il aime bouffer les gros nœuds et bien se les enfoncer dans le cul, il adore enculer les beaux trous de mecs et bouffer du jus... J’ai bien essayé de le faire grimper ma femme, mais, même dans le cul, il a pas voulu. Faut dire qu’elle est moins bien gaulée que toi...; moi y a longtemps que j’veux te baiser... j’ai pas choix de monde moi. J’suis à la voile et à la vapeur... j’aime les deux pareils... du moment que mes couilles se soulagent, tout est bon... mais toi t’es un beau morceau.
Pendant toute sa litanie, peu sensible aux "compliments", j’essayai de l’interrompre, mais j’avais du mal à lui dire de se taire entre deux cris de plaisir incontrôlables que je me reprochai d’autant qu’il les commentait abondamment, ne se méprenant évidemment pas sur leur signification. Sa voix se faisait de plus en plus douce. Ses mains étaient expertes et ses lèvres, quand il ne parlait pas, provoquaient mille frissons sur mon corps.
— T’aimes ça putain, t’aimes le cul... ouais, c’est bon, t’aimes te faire troncher... il te tronchait pas bien le capitaine pourtant moi, qu’est-ce qu’il me met dans le cul... solide gourdin... il te faisait pas jouir ?— Si... si... répondis-je, alors que j’aurais dû me taire.— Ouais, tu simules pas.; t’es comme ma femme. Elle a beau pigner dans tes jupes, elle est bonne sous l’homme et elle en a pris des coups de bites de soldats quand j’en ramenai à la maison... elle t’a raconté ? Mes amants ? Elle y trouvait son compte ! T’es une chienne comme elle... hein t’aimes ça !— Non... non... arrêtez, dis-je en démentant mes paroles par mon halètement et les ondulations de mon corps.
Mon esprit, ma raison, ma dignité et mon orgueil voulaient qu’il arrête, mais mon corps voulait qu’il continue. Ce fut mon corps qui gagna.
— Non ? tu rigoles ! tu mouilles et tu jouis. Cassez -vous, vous autres ! Allez vous finir ailleurs et demain matin... au rapport ! J’veux des queues droites, des dents propres, des culs lisses et soignés à mon réveil ! Reçu ? Biroulig reste ! Prends-là dans le cul !— Bien chef, mais j’vais pas tenir longtemps ! J’suis au bord de l’explosion.— Retiens-toi un peu et quand tu te sentiras venir, sors !— Bien reçu.— V’nez là mon capitaine.
Sans lui dire un mot de plus, mais sans doute au moyen d’un geste, mon mari comprit qu’il devait se mettre à côté de moi, dans la même position.Vidane enfila mon mari et le sodomisa en même temps que Biroulig m’enculait.
Chauffée par Vidane, j’étais désarmée face au mandrin du soldat dur comme de la rocaille. Néanmoins, si ses proportions étaient aussi enviables que celle de l’étalon qui venait de me monter, il savait moins y faire. Mais lui, je n’avais aucune raison de le détester, ce qui finit de me libérer totalement et d’exclure tout regret.
Mon mari et moi jouissions ensemble. J’avais honte, mais de moins en moins. D’ailleurs, je ne pouvais plus me maîtriser.
— On change !— On change ? Faut que je... sodomise le capitaine ?— Affirmatif !— Vrai mon capitaine ? Je peux ?— Enfile-moi bordel ! Qu’est-ce que tu attends ! répondit mon mari.— A vos ordres !— Moi je te reprends dans la chatte, me dit Vidane comme si je ne m’en rendais pas compte ! Schwanz ! Accourez !
Un soldat, celui que mon mari avait enfilé toute la soirée, parut aussitôt.
— Bouffez-moi le cul et les couilles pendant que je fourre. Biroulig, ralentis, tu vas pas retenir ton jus !
L’homme était vraiment bon. Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et j’atteignis le plus bel orgasme que j’eus jamais connu jusqu’ à lors.Mon corps me trahissait malgré moi. Il m’avait définitivement livrée au rut.
— Putain, elle jouit bien la garce, vous l’entendez brailler ?
Cela provoqua un surcroît de tension sur le pauvre Biroulig.
— J’vais jouir.— Sors ! cria le sergent-chef tout en se retirant lui-même de ma chatte.

Il me bascula d’un coup pour que je retrouve sur le dos.
— Sur les nichons ! Vise bien !

Et aussitôt, quelques gouttes de sperme tombèrent sur ma poitrine.
— A toi mon capitaine !
Mon mari s’approcha, se mit au-dessus de moi et se branla pendant que Vidane le galochait fougueusement en lui pinçant un téton. Il éjacula peu après.
— Une femme ça prend le jus dans la bouche dans la chatte ou sur les nibards... un mec ça prend le jus dans la bouche, sur la tronche, sur les couilles ou dans le cul ! décréta Vidane sentencieusement.
Puis il posa ses mains sur mes seins, les caressa en étalant le sperme sur tout mon torse et s’allongea sur moi. Il me pénétra en missionnaire. J’étais épuisée et n’opposai aucune résistance. Il y alla doucement d’abord puis accéléra. Mon mari, resté sur place, queue pendante, regardait en silence.
— Mange-moi le cul mon capitaine ! Bien à fond la langue... Hmmmm vous êtes trop bons, un de chaque côté...

Ainsi fut fait jusqu’à ce que Vidane éjaculât en moi en gueulant.
— Une femme, c’est sur les nichons, dans la bouche ou dans la chatte... dans la chatte bordel !
Il retira sa pine et me la fit sucer. C’était gluant, répugnant même au premier abord, mais dans le contexte, je le fis sans hésiter.
Puis il s’en alla, suivi de mon mari.
Je serais bien allée me doucher, mais la salle d’eau était occupée et j’étais recrue de fatigue.
Pourtant, je ne m’endormis pas, du moins pas tout de suite. Je culpabilisais à présent. Je me sentais salie, boueuse, fangeuse. Je m’en voulais de m’être ainsi laissée aller sans pudeur, sans amour propre... d’autant que j’étais couverte de sperme. Je tournai, virai, retournai, suai à grosses gouttes jusqu’à ce que, le temps passant, les meilleurs moments se substituent dans ma conscience au déshonneur. Le souvenir de l’orgasme se superposa à la honte, l’entoura, l’étouffa et je m’endormis.
Une main douce me caressait, les doigts effleuraient les poils de ma chatte, le souffle chaud de l’homme glissait sur mon épaule. C’était la limite entre le rêve et la réalité, mais j’ouvris les yeux.
— Que fais-tu là ? Casse-toi gros porc.— Pourquoi ? Tu me tutoies déjà... ta moule est frémissante, dit-il en riant. Tu m’attendais, non ?— Tu te barres ou je crie !— Crie ! Tu vas tous les réveiller et on va se réenfiler avant qu’on ait pu se réconcilier. Moi, je veux un moment d’intimité avec toi. On a juste commencé à se connaître hier au soir. Mais il y avait du monde. Là je vais être qu’à toi et vice versa... vice surtout...— T’es un gros malade ! Tu rêves ! Tu crois que je peux oublier toutes les humiliations ?— Tu sais, si ce n’était pas moi, ç’aurait été un autre. Ton mari aime les hommes. Il aurait choisi quelqu’un d’autre. Autant que ce soit moi qui ne vais pas le crier sur les toits !— Va-t’en !— OK ! On n’a pas été correct avec toi... mais aussi, pourquoi tu nous as balancés ?
Tout en parlant, il continuait à me caresser. J’avais essayé de m’écarter, mais tant que je restai allongée et sur le lit...
— Tu es belle. Tu vois, je viens tout doux pour me faire pardonner. J’ai envie de toi.— Pas moi !— Si, bien sûr que si, tu en as envie... sans cela, tu serais partie en courant déjà... tu vois comme je peux être doux... prévenant, amoureux...
Et il l’était, il l’était vraiment... sa main avait glissé de mon pubis à ma vulve. Il y avait inséré un doigt et j’avais déjà eu un frémissement.
— Tu sais, je l’aime ton mari... et j’aime ma femme... et toi aussi... chacun à ma façon. J’suis amoureux de vous trois... qu’y puis-je ?

Et il appuya plus fermement sa main entre mes jambes, tout en se penchant pour se coller à moi et m’envelopper un téton de la bouche. Il bandait. Sa queue était droite, raide, ferme contre ma cuisse.
— Tu veux ?
C’était la première fois qu’il demandait.
— Non, répondis-je mollement.— Tu veux ? répéta-t-il tout en remontant.
Ses lèvres frôlaient ma joue. Son index et son majeur coulissaient lentement dans mon vagin.
— Non ! repris-je si bas que je me demandai s’il pouvait m’entendre. Et puis j’avais entrouvert mes cuisses... ou plutôt, elles s’écartaient lentement malgré moi.

Ses lèvres se posèrent sur les miennes. Du coup, mes jambes se détendirent complètement et laissèrent libre accès à mon sexe gonflé. Il me pénétra en douceur.
Mes bras se refermèrent sur son dos, mes mains parcoururent le creux de ses reins et mes ongles vinrent se planter dans la chair rebondie de son cul.
Il me fit l’amour "normalement " et c’était comme si on m’avait fait l’amour pour la première fois. A la différence de mon mari, et je ne saurais expliquer comment je le ressentis, j’avais l’impression qu’il me désirait vraiment.
Il ne me prit pas en levrette, ni dans le cul, ni entre les seins. Il ne me demanda pas de le sucer. Il resta dans ma chatte, variant les angles et le rythme, se tendant parfois sur ses bras pour dégager ma poitrine et venir la manger ou m’écrasant de tout son poids, se mouvant au rythme lent des coups de bite.
Il me fit jouir encore une fois au moment où il expulsa son sperme en moi.
Vint le moment où il fit mouvement pour se retirer, mais je le retins.
— Restez sergent, restez.— Sergent-chef, dit-il en souriant.— Restez.— Nous ne sommes plus fâchés ? On peut se retutoyer alors ?
Je ne répondis pas. Qui ne dit mot consent !
Alors, sa verge encore dure, il se remit au fond de moi. J’avais envie qu’il remette ça et me refasse jouir.Cependant, comme il me couvrait de petits bisous et de caresses en m’enveloppant de compliments sirupeux, sa queue se ramollit. Le sperme s’écoulait de mon vagin. Je réalisai alors que, depuis que mon mari ne me baisait plus, j’avais cessé de prendre la pilule.
Je ne suis qu’une salope, dis-je après de longues minutes pendant lesquelles je m’emplis de son parfum et de sa force.
— Tu sais quoi ? répondit-il. On ferait un magnifique couple... ma femme, ton mari... toi et moi...
Et il éclata de rire.
Fin
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