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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 11

Belle comme un camion (partie 2)

Avec plusieurs hommes
Brigitte enfin saisit sa culotte. Le black, immobile un moment, gueula :
— Eh, c’est pas du jeu, c’est pas du jeu... Tu ne m’as pas embrassé !— Si !— Tu parles, un petit bisou de rien. Rends-moi mon trophée.
Et il s’élança à sa poursuite.
Il la touchait presque au moment où elle reprit pied sur la berge, mais elle n’eut pas le temps de se redresser complètement et de se mettre à courir. Il fondit sur elle, et ils s’abattirent sur une serviette.
Tout le monde avait vu sa queue majestueuse, tendue comme un rostre vers ma femme pour l’éperonner.
Bien sûr, elle se débattit et il ne lui permit que les mouvements qu’il voulut bien, c’est-à-dire ceux suffisants pour qu’elle se remette sur le dos. Ainsi, à cheval sur elle, sa bite contre le ventre qui se soulevait au rythme de la respiration haletante, il lui bloqua les poignets. La main droite crispée sur la culotte, elle ne la lâchait pas.
Il cherchait sa bouche. Elle secouait la tête pour s’y dérober. Nous étions six à faire cercle autour d’eux. Les mecs bavaient devant le spectacle de cette femme superbe à la peau très blanche, recouverte par un mâle noir en rut, tout en surveillant du coin de l’œil ma réaction.
— Allez, embrasse-moi, j’ai gagné.— Je t’ai déjà embrassé merde !— Tu parles, un petit bisou de rien, j’veux mon gage, un vrai bisou, baveux, avec la langue.
Et il cherchait de nouveau la bouche, qu’il rencontrait souvent, mais sans parvenir à l’ouvrir.
— Allez !
Elle croisa mon regard où elle dut lire de la lubricité, d’autant que, la surplombant, elle vit ma queue tendue sûrement avant d’apercevoir mes yeux.

— Bon... si je le fais, tu me laisses après ?— Promis.
Alors il lui roula une galoche enfiévrée qui dura une éternité. Elle se détendit, lâcha la culotte. Le gars lui libéra les bras en continuant à l’embrasser.
Les spectateurs sifflaient et applaudissaient tout en continuant de m’épier pour savoir si j’allais mettre un terme à ce baiser très chaud qui durait longtemps. Les plus jeunes se branlaient lentement, considérant sans doute ma bite de plus en plus dure comme un blanc-seing.
Enfin, Hyacinthe retira sa langue de la bouche de ma femme. Il descendit un peu pour poser sa tête sur un des seins, mais joue sur le côté vers moi pour croiser mon regard, sa langue chatouillant le téton dur.
Sans doute voulait-il me défier, mais il vit lui aussi mon sexe dressé et mon regard impassible, alors il goba le téton en posant sa main sur l’autre sein.
— Eh ! On n’avait pas convenu ça, protesta Brigitte, sans faire un mouvement.
Il s’arrêta, me regarda à nouveau et, comme je ne bronchais toujours pas, il recommença.
Brigitte me fixait avec son air de Sainte Nitouche, qu’elle sait prendre quand elle a envie de quelque chose. Elle me fait des yeux de coker, se mordille légèrement la lèvre inférieure, porte son index à sa bouche d’un air de dire : "S’il te plaît, dis oui ! C’est une bonne affaire tu sais", comme quand elle veut s’acheter une fringue chère, mais en soldes.
Je m’approchai d’eux et me mis à genoux. Hyacinthe dévorait maintenant les deux seins.
— Baise-la ! Dit une voix dans mon dos.
J’embrassai fougueusement ma femme qui m’agrippa les couilles.
— J’ai envie de te sucer. Me dit-elle tout bas.
Alors je me mis au-dessus d’elle et lui offris mon zob. C’était la première fois que je faisais ça en public et je n’éprouvais aucune gêne. Laquelle d’ailleurs aurais-je pu ressentir ? Devant tous ces gars qui bandaient sans se cacher...
Hyacinthe desserra l’étau dans lequel ses cuisses enserraient la femme offerte. Il étendit ses jambes qui, dans leur mouvement, vinrent occuper le vide que faisaient celles de ma femme qui s’écartaient. Quand elle les plia, il se souleva sur son bras droit et, de sa main gauche guida le membre volumineux vers la petite chatte où il pénétra lentement.
— OOOOOOOOOOOOOOh, fit Brigitte, cessant un court instant de me pomper le dard.

Les gars applaudissaient tandis que j’assistai à cette scène étrange où je baisais ma femme avec un type que je ne connaissais que depuis quelques heures. C’était fou ! J’étais en train de laisser un mec baiser ma femme, et ça me plaisait et ça me plaisait de savoir que tous allaient lui passer dessus. C’était inévitable maintenant.
Un autre gars vint se coller à moi, le vit tendu, à peine décalotté. C’était Jean-Lou.
— Bravo garçon, t’es courageux. Maintenant que t’as laissé ce gars-là commencer, on va tous y passer... Bienvenue au paradis des cocus volontaires. Je peux te dire qu’à partir d’aujourd’hui, ta vie sexuelle va devenir un festival.
Un autre, entendant ces paroles, répliqua qu’étant consentant, on ne pouvait pas me considérer comme cocu. Il y eut débat. Pour certains ; quand un mec se faisait baiser sa femme, il était cocu. Pour d’autres, il n’était cocu que s’il ignorait son infortune, ce qui n’était évidemment pas mon cas, et d’ailleurs, je paraissais prendre cela pour une bonne fortune plutôt que pour une mauvaise. Certains pensaient qu’on ne devait pas sauter la femme des autres, même s’ils voulaient bien, quand on ne laissait pas les autres en faire autant. On débattait.

Pour le moment, je m’en foutais royal. Ma femme continuait de me bouffer la bite et les couilles avec son savoir-faire ordinaire et le gars la bourrait copieusement.
Il faisait maintenant quasiment nuit et la faible lueur des réverbères parvenait difficilement jusqu’à nous. Mais quelques gars quittèrent un moment le terrain et revinrent avec des lampes-campings éclairage gaz. Ils les déposèrent tout autour, projetant une lumière blanche un peu plus vive sur le couple qui copulait.
Il n’y avait pas un souffle de vent et la chaleur semblait plus épaisse. Je voyais les gouttelettes de sueur perler dans le creux des reins du black qui montait ma femme.
Celle-ci venait d’arrêter de me sucer. Elle ne se dédia plus qu’au mec qui, en missionnaire lui donnait de violents coups de bite.
Visiblement, il lui faisait de l’effet. Elle avait ramené ses bras autour du mec et l’embrassait à bouche que veux-tu.
Les autres types avaient bien saisi l’alchimie et s’étaient tus alors que jusqu’ici, ils n’arrêtaient pas de demander leur tour. Mais chacun comprenait bien qu’il faudrait attendre que Hyacinthe finisse. Celui-ci n’arrêtait pas de bouger son cul dans tous les sens pour faire jouer sa queue dans le vagin comme il lui plaisait. Il fit jouir ma femme. Cela dut le stimuler, car peu après, il tendit ses bras, se cambra et expulsa son foutre dans la chatte en râlant.
Il s’abattit, se reposa, alors que d’autres lui demandaient de dégager. Il prit un sein dans sa main, sortit sa queue du trou et remonta sur le corps de ma femme en rampant, jusqu’à ce que son sexe mou soit à la hauteur de la bouche. Là, il se fit téter. Déjà, Joffrey avait planté sa trique et s’agitait comme un fou.
Ma femme le laissa faire. Elle récupérait, les bras étendus en croix et le souffle rapide. Je m’approchai pour l’embrasser. Ses lèvres avaient le goût du sperme...
Hyancinthe, debout, commentait. Il promettait à chacun un grand moment. Et le gars lui faisait confiance. Personne ne poussait le culot jusqu’à me demander de laisser ma place dans la bouche, mais on trépignait d’impatience.
On applaudissait, on encourageait et puis Joffrey arriva au bout. Il s’extirpa pour jouir sur la poitrine à grands jets, déchaînant des commentaires élogieux.
Jean-Lou fut le seul à me demander s’il pouvait y aller. Je ne pouvais pas lui refuser de toute façon, mais j’appréciais son tact.
— Merci fils ! A mon âge, les bonnes fortunes sont rares, enfin de cette qualité-là !
Mais au lieu de s’étendre dessus, il la releva et l’emmena avec lui vers une table de camping. C’était inconfortable et, comme j’avais déjà gonflé mon matelas pneumatique, on le mit sous ma femme. Ainsi, la croupe au bord de la table, Jean-Lou put la planter debout.
On avait suivi le déplacement en procession et, le temps que j’aille chercher le matelas, les mecs avaient pris ma place. Alain et Walter étaient montés sur les bancs pour approcher leur bite. Elle suçait l’une et branlait l’autre alternativement. Hyacinthe se rapprocha pour peloter les nichons, et les doigts couverts de sperme, les faire lécher à Brigitte quand elle arrêtait de sucer.
Jean-René et Bertrand se branlaient en attendant derrière Jean-Lou qui éjacula au bout d’un long moment sans avoir changé de place.
— A quatre pattes ! Dit Bertrand.
Elle s’y mit et il la pénétra en levrette tandis que Jean-René s’allongeait pour se faire sucer.
— Quelqu’un a de la vaseline ?— J’dois avoir ça. Et Jean-Lou partit vers son camion pour chercher cette clef de Sodome.
Quand il revint, ils changèrent de place Bertrand en dessous et Jean-René au-dessus. Tournant le dos au premier qui graissait sa bite, elle attendit qu’il lui enduise l’anus pour venir se figer sur la verge. Le mec attendait vraiment qu’elle vienne ainsi s’empaler sur lui, puis qu’elle s’allonge quasiment contre son corps, offrant la moule au plus gourmand.

Jean-René s’approcha et lui bouffa la chatte et elle semblait apprécier le contact de sa barbe sur ses chairs hyper-sensibles. Elle gémissait tout en tortillant du cul, ce qui fait que le mec qui la sodomisait n’avait même pas besoin de bouger.
Puis quand le mec eut la barbe pleine de mouille, il s’approcha pour la piner.
Je n’ai jamais vu ma femme jouir comme ça. Non qu’elle jouisse en silence, au contraire, elle est très démonstrative mais elle le fait sans crier. Soit elle gémit, y compris la bouche pleine, soit elle parle en accélérant le rythme, mais sans augmenter le volume, à mesure que l’orgasme déferle. Cela peut donner : "Encore... encore... encore, encore, encoreencoreencore... corecorecorecorecooooooooooooor" ou "C’est bon... c’est bon... c’est bon. bon, bon bon bon bonbonbonbon boooooooooooooonnnnnnnn..." sans oublier les "vas-y... vas-y... vas-y, vas-y, vasyvasyvasyvsaysyyyyyyyyyyyyyyyyy" et autres "ma chatte... ma chatte... ma chatte ma chatte ma chatte ma chatte chatte chattechattechattechattechatte... hmmmmm... dans... ma... chatteueueue.....". Et j’en passe.
Donc là, elle jouissait comme jamais, mais il est vrai que je ne l’avais jamais vue avec tous les orifices occupés à la fois.
Quand Jean-René éjacula, lui aussi sur les seins, Bertrand vint se faire sucer. Walter remit ma femme debout penchée au-dessus de la table pour la prendre par-derrière, tantôt dans le con tantôt dans le cul. Il éjacula sur les globes fessiers, Alain ramassa le sperme du bout de sa bite, puis la planta dans le con où il acheva de tirer son coup en poussant bien à fond.

Il ne restait que moi. Elle se mit à genoux, pressant ses seins l’un contre l’autre dans un mouvement rotatif pour les masser réciproquement et étaler le jus tandis que je masturbai au-dessus et lui expulsai tout au visage.
Les mecs nous congratulèrent, échangèrent des adresses avec nous au cas où nous voudrons revenir ou les rejoindre, puis il y eut douche collective où l’on célébra les exploits de chacun et, qui vers son camion, qui vers le village, qui vers la tente, tout le monde fut se coucher. La plupart prirent congé, devant se lever tôt pour reprendre la route, sans être bien sûr de pouvoir nous saluer. Tous nous proposèrent bien sûr de nous prendre à leur bord, mais nous répondîmes que nous n’avions pas de plan d’arrêté et que ce serait en fonction de notre réveil que nous ferions route avec l’un ou l’autre, ou en reprenant l’autostop.
Allongés l’un contre l’autre, nus sous la chaleur de la tente, je demandais à ma femme:
— Alors tu as aimé ?— Oulala... je suis cassée et fourbue... je vais m’endormir d’un coup.— On en reparle demain ?— Si tu veux.
Alors, prenant un sein dans la main et tétant l’autre, j’attendis ainsi un moment avant de lui dire "bonne nuit" et sombrai dans le sommeil.
A suivre.
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