Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 64 J'aime
  • 2 Commentaires

Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 12

Belle comme un camion (partie 3)

Avec plusieurs hommes
Il était entre deux et trois heures du matin.
— Oh oui, encore, encore, fourre-moi !— T’aimes ma grosse queue, hein, tu la sens bien là ?— Hmmmm... oui... encore, encore... oooooooo...
Après avoir pris la lampe torche pour éclairer la scène, j’intervins.
— Putain, mais qu’est-ce que vous faites vous deux ?
Hyacinthe était sur ma femme, en missionnaire. Elle avait plié ses jambes autour des fesses musclées du gars et accrochait ses mains à ses omoplates.
— On joue aux legos... On s’emboîte.— Mais... — Mais quoi ?
Je ne savais pas quoi faire. Curieusement, je me sentais plus cocu que lorsqu’ils l’avaient tous baisée devant moi. Là, je n’avais pas donné mon accord. Ils m’avaient pris par surprise. Dans le fond, cela ne changeait rien, il y avait un autre gars sur ma femme et elle aimait ça, mais cela s’était produit sans mon consentement. Je ne sus quoi dire. J’étais assez dépité.
— Ben... euh... vous avez vu l’heure ?— Qu’est-ce tu veux ? Y a pas d’heure pour les braves ! Elle m’obsède ta femme. J’en pouvais plus de bander. Et puis, elle va pas rater l’occasion... c’est pas toutes les nuits qu’elle a droit à une queue pareille.
Il commençait à me gonfler le prétentieux... même s’il avait objectivement quelques motifs de fierté en double décimètre.
— Vous auriez pu faire ça ailleurs.— T’inquiète... c’est ce qu’on va faire. Là, t’es en train de me gâcher mon coup.

Il se mit à genoux pour sortir de la tente.
— Tu viens chéri... On va dans ma cabine. On sera plus à l’étroit, mais pénard.
Elle se leva.
— Tu y vas ?— Ben oui mon gros nounours... j’étais prête à jouir. Tu m’as stoppée net.— Désolé, vraiment !— Tu viens avec nous ?— Non, non vous avez très bien commencé sans moi !— Oh, t’es fâché ? On t’a réveillé !— C’est bon, c’est bon.— Vraiment, tu viens pas ?— Non je préfère dormir !— Bon... comme tu veux.
Je les entendis s’éloigner. Hyacinthe dit.
— Il préfère dormir que de faire l’amour avec toi ! Il est cinglé !— Peuh... quand t’auras vidé tes couilles, tu roupilleras aussi. Vous êtes tous les mêmes.— Ouais... ben allons voir d’abord comment tu me les vides !
Et ils continuèrent leur chemin en riant jusqu’à ce que je ne les entende plus. Je m’endormis au bout d’un long moment, le temps de ruminer mon amertume. J’étais un gros connard dans le fond. Si on en était là, c’est parce que je n’avais pas résisté au plaisir de voir une bonne scène de baise avec une actrice de premier plan... ma femme.
Il faisait déjà chaud à 8 h00 lorsque je sortis des bras de Morphée. La tente était vide. Brigitte était déjà levée, mais je fus marqué par le silence. Me réveillant tout à fait, je constatai qu’elle avait pris son sac à dos. Ne restait que le matelas pneumatique, sur lequel il y avait un mot : "Je pars en éclaireuse avec Hyacinthe. Il m’a dit que Bertrand et Alain nous rattraperaient. A ce soir, mon grand loup".
Là, elle passait la mesure !
Je bondis hors de la tente. Le "camping était désert. Seul, un peu plus loin restait un camion. Je filai vers les douches juste à temps pour en croiser Jean-René qui en sortait en débardeur.
— Salut ! Tu vas te trimballer toute la journée à poil comme ça ?
Dans ma précipitation, j’étais sorti nu.
— T’as pas vu ma femme ?— Non.— Et les autres ?— Tous partis. Pourquoi ?— Putain, c’est pas vrai, c’est pas vrai...— Mets ma serviette autour de ta taille, il peut venir du monde... et raconte.— Elle est partie avec Hyacinthe et elle m’a écrit que je devais la rattraper avec Bertrand et Alain ! Regarde !— Tu t’es fait couillonner ! Hyacinthe, il filait sur Bordeaux.— Mais nous, on allait en Méditerranée !— Eh ouais.— Et toi, tu vas où ?— Barcelone.— Putain de putain de putain de merde... comment j’vais faire !— Ecoute, si tu veux leur courir après, je peux au moins te déposer à Toulouse. Là, tu trouveras bien quelqu’un qui ira sur Bordeaux.— Ah cool...— Maintenant, tu te grouilles. Je devrais déjà être parti.
J’enfilai un slip et un short, Jean-René m’aida à plier la tente comme si on avait eu les flics aux fesses et nous nous mîmes en route.Nous ne fûmes pas longtemps à avoir des contacts et Jean-René me mit en relation avec Jacques, un gars qui travaillait aussi aux "Transports Dejoy", la boîte de Hyacinthe.
On allait le croiser à Toulouse et il rejoignait Bordeaux. J’aurais récupéré ma femme en fin d’après-midi.
Jacques était un jeune mec de 25 ans.
— Salut, merci de me prendre avec toi.— Pas de quoi... Alors c’est toi le mari ?— Le mari de ?— Ben, de la fille qu’est avec Hyacinthe. Tu sais, il se vante facilement. Les nouvelles vont vite.— Putain le salaud ! Il peut pas se taire.
J’avais maintenant une réputation de cocu sur toutes les routes de l’hexagone !
— Tu connais pas l’animal. Il va la faire passer pour sa copine, et je pense qu’elle aura rencontré du monde d’ici ce soir... C’est un obsédé, Hyacinthe. Un bon professionnel, fiable et tout, mais y a que le cul qui l’intéresse.— Ouais, enfin, c’est un connard. Partir avec ma femme.— Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Je lui racontai tout.
— Ah quand même, t’es cool... mais alors, c’est quoi l’embrouille ?— Ben il lui a fait croire je pense que j’allais les retrouver ce soir et le temps que je coure après, il profite de ma femme. Puis me laisser tout seul comme ça la queue entre les pattes.— Et il en fait profiter d’autres... si elle est d’accord...— Elle est pas partie avec lui juste pour faire des kilomètres. Répondis-je sans illusion.
En approchant de Bordeaux, la cibi nous permit de joindre Hyacinthe.
— Hyacinthe ? C’est Yannick ! Putain, tu fais quoi avec Brigitte ?— Là ,je peux pas te la passer. On a pris un auto-stoppeur. Elle a la bouche... bien pleine... dit-il avant d’éclater de rire.— Qu’est-ce que c’est que ton truc là avec Bertrand et Alain ?— Ouais, je me suis gouré. Je croyais que vous alliez suivre. Dommage...— Mon œil ! J’suis avec Jacques là. On va à Bordeaux.
Jacques prit la parole.
— On se retrouve comme d’habitude ?— Ouais, je décharge d’abord... ah, ah, ah... non je parle du camion hein... et on se retrouve au relais après.— OK, à ce soir !
J’aidais bien sûr mon chauffeur à livrer sa cargaison, tout en me disant que lui aussi, il passerait ce soir sur le corps de mon épouse, puis nous nous retrouvâmes sur le parking d’un routier dans la banlieue bordelaise.
Pas de Hyacinthe. Nous attendîmes longtemps. Sa cibi était muette. Comme je commençais à m’inquiéter, Jacques téléphona à sa boîte.
— Ouais, il a bien livré sa cargaison. Il doit en prendre une à La Rochelle demain matin.— Mais il est où là ?— Je sais pas. Il ne répond plus. Il nous a posé un lapin.
L’affaire était claire. Ce gars était quelque part avec ma femme et probablement avait-il convoqué des potes qui allaient passer une sacré bonne soirée à se vider les couilles. Il soignait sa popularité auprès d’autres chauffeurs en les faisant profiter, quand c’était possible de ses bonnes fortunes. Ma femme me raconta plus tard qu’ils étaient quatre à l’avoir prise tour à tour plusieurs fois dans la soirée. De solides gaillards, triés sur le volet, solidement membrés. Elle avait aimé.
— Putain comment je vais faire ? Ils vont me balader combien de temps comme ça... et jusqu’à où ?— Je sais où il doit être demain soir. Faut juste que je te trouve un transport pour te remonter là-haut. Mais discret, sans quoi il te refera le même coup.— Tu connais pas son adresse ?— Son adresse ? Tu veux aller l’attendre chez lui ? Mais il ne va pas y être avant trois jours !— Non... je voudrais parler à sa femme.— Ah non désolé... Mais, la secrétaire de la boîte elle a son numéro...— Tu peux l’appeler.— Ouais... je peux faire ça...
Et j’obtins le téléphone de Hyacinthe. Sa femme me répondit. Je lui racontai tout ou presque. Il n’était pas forcément utile de lui détailler la partouze, simplement que son mari était parti avec ma femme.
Elle fut d’abord muette de stupeur au point que je crus que nous avions été coupés, puis elle entra dans une colère noire, insultant son mari et promit qu’elle se vengerait. Elle savait qu’il serait le lendemain soir au resto "L’étalon dans l’estomac" à Glandelas sur l’Arrey. Elle l’y retrouverait et on verrait ce que l’on verrait.
Je me résolus donc à me rendre au dit lieu, mais il me fallut changer deux fois de camion. Par chance, le dernier était celui de Jean-Lou qui remontait vers le nord et qui accepta de faire étape avec moi jusque là-bas.
— On va arriver tard.— Peu importe.— Non. Le resto ferme à 23 h 00.— J’ai pas faim de toute façon. On retrouvera ma femme dans le camion avec Hyacinthe... si sa femme ne l’a pas massacré.— Pas sûr.— Pourquoi ?— Si ça ferme à 23 h 00, c’est que le patron tire son coup.— Ah ? Avec qui ? — Avec tout ce qui porte jupon, à commencer par ses femmes.— Ses, femmes ?

J’eus droit à l’histoire du patron de "L’étalon dans l’estomac". Le nom de la gargote n’était pas un jeu de mots anodin. Il traduisait, en l’exagérant quand même, la longueur du membre du patron qui s’enfonçait, bien à fond... dans tout ce qui se présentait
.Ildefonse Sonimen était un ancien légionnaire qui avait fricoté avec l’une des filles, Simone, d’un bistrotier proche de la caserne, une sorte de Thénardier qui maltraitait ses enfants et qui n’aimait pas les noirs. Or Ildefonse était métis. Le patron avait donc embauché quelques potes qui avaient rossé notre pauvre Ildefonse qui en fut bon pour trois semaines d’hôpital. Peu après son retour au quartier, on retrouva le patron pendu. On investigua peu, même si personne ne crut qu’il s’était pendu tout seul, mais cela faisait une ordure en moins et à bon compte. Les deux filles restaient seules, Géraldine, l’autre sœur étant enceinte de l’on ne savait qui, si elle le savait elle-même, ce qui lui avait valu d’être battue par son père. Elles ne le pleurèrent pas le moins du monde, au contraire.
Ildefonse se proposa de prendre Simone sous son aile, mais, comme les sœurs ne voulaient pas se séparer, ils avaient fini par former un ménage à trois. A la fin de son temps, le gars avait épousé Simone. Le bistrot avait été vendu, on avait déménagé et, maintenant, ils tenaient ce resto routier, à quatre, lui, ses deux femmes et la fille de Géraldine, Sidonie dont la fraicheur des vingt ans amenait un surcroit de clientèle qui savait que les femmes n’étaient pas farouches et le patron partageur pour peu que l’on se soumît à certaines règles.
Avec des habitués triés sur le volet, certains jours de la semaine, à 23 h 00 on fermait et c’était partouze. Et Hyacinthe avait dû y convier ma femme.
Nous arrivâmes sur le parking vers 23 h 30. Il y avait à peine une dizaine de camions dont on devinait la lourde silhouette dans l’obscurité.
La grande véranda qui servait d’avant-salle était plongée dans l’obscurité, mais de la lumière filtrait depuis les arrières.
— Ils sont déjà dans la salle principale. C’est là que ça se passe. On arrive trop tard. Mais il y a peut-être un moyen.
Comme nous traversions le parking, un coup de klaxon et des appels de phares nous firent sursauter.
Nous fîmes demi-tour.
— Viens-là bâtard, viens-là !
Nous nous approchâmes. C’était hyacinthe.
— Qu’est-ce que tu fais là ? Où est ma femme ?— C’est toi qu’as prévenu ma femme, salaud, c’est toi ?— Où est-elle ?— J’te jure, quand on va me détacher de là, j’te casse la gueule !
Nous vîmes alors qu’il était menotté au volant de son camion.
— Où est Brigitte ?— Elle est en train de se faire sauter ta pute, sauter ! avec les autres à l’intérieur... mais s’il y en a un qui touche à ma femme, je le plante.— Bien fait pour ta gueule. J’espère bien qu’on va se la mettre au bout ta femme... ça t’apprendra à niquer celle des autres !
Nous le laissâmes à sa colère, ses vociférations et ses coups de Klaxon et essayâmes d’entrer. Fermé.
— Par derrière, le vasistas des chiottes peut-être.
Je suivis Jean-Lou.
Il fallut faire un peu d’escalade, mais nous entrâmes et nous n’eûmes qu’à suivre le son de l’orgie pour trouver notre chemin.
Quatre femmes étaient sur des banquettes, avec chacune un mec par derrière et un mec par-devant, sauf une qui n’avait qu’un manche à sa disposition. Elles étaient en levrette.

Une cinquième était sur une table, petit coussin sous la tête, le cul au bord, jambes écartées qu’un mec prenait par en dessous en rabattant ses énormes paluches sur les cuisses pour trouver appui. A sa peau mate, sa corpulence musclée et ses tatouages, que je devinais malgré la peau sombre, je sus que c’était le patron. La femme, qu’il pinait avec ardeur, et dont les seins roulaient, était évidemment la mienne.
La plus jeune avec deux types était sa nièce, ce dont le couleur de peau pouvait faire douter. Il aurait pu être son père. La trentenaire, était à coup sûr la femme de Hyacinthe et les deux autres filles les femmes du patron.
Ça sentait le rut.
Une télé crachait les cris d’une blonde, enregistrée sur la cassette qui défilait dans le magnétoscope, qui se faisait piner par deux mecs poilus. C’était un film intitulé, je crois, "Les femmes des autres".
Je m’approchai et quand je fus à sa hauteur, il déclara :
— C’est qui celui-là ?— C’est mon mari. Ca va mon chou ?— T’es rentré par où ? reprit le mec qui ne s’interrompit pas.— Par derrière.— Moi aussi tout à l’heure... ah ah ah ! Et elle aime ça la bougresse ! Tiens, regarde ce que je lui mets dans la chatte avant de la reprendre dans le cul.
Il sortit sa grosse pine, grosse vraiment, toute luisante, de la chatte de ma femme, avec un énorme gland. Une queue bien raide dans sa courbure. Puis il la replongea sans se presser avec ce son si caractéristique que fait la bite quand elle rentre dans une chatte bien mouillée. Ma femme gémit de plaisir.
— Putain serrée... ben mon salaud de cocu... moi si j’avais une femme comme cela, je la laisserais pas partir avec le premier camionneur venu.
A ce moment, Jean-Lou parut.
— Ah ! c’est toi qui l’as amenée... Jean... jean...— Jean-Lou !— Ah ouais... C’est ça, Jean-Lou... passe tellement de monde ici. Je me disais bien qu’il avait pas pu trouver le chemin tout seul. Y a longtemps que t’es pas venu toi. Tu sais que j’aime pas qu’on entre comme ça chez moi sans me demander.— Je sais patron, mais c’est un camarade. Il cherche sa femme depuis deux jours. Fais excuse !— Elle est entre de bonnes mains sa femme... ahahah... Allez, je pardonne... mais elle reste avec moi cette nuit avec son cocu... vous me devez bien ça... Allez, joignez-vous à nous. Profitez-en !
Pendant cet échange, j’avais eu tout le loisir de le dévisager, si tant est que le pubis tienne lieu de visage. Il était gros, mais musclé encore, terriblement. Ses poils étaient tous blancs, plutôt clairsemés sur le torse, mais très touffus sur le nombril et, de là, jusqu’au manche.
— Non, merci, je joue pas, je perds tout le temps, dit Jean-Lou.— Jouer ? Perdre ? Tu parles de quoi, demandai-je ?— J’ai participé trois ou quatre fois à ces soirées... Le moins endurant paie sa tournée et les petits-déj’ du lendemain. Et je suis rarement le gagnant.— Ce soir, c’est ma tournée. La femme de ton pote, c’est un cadeau. Je renvoie l’ascenseur. C’est pour mes burnes ce soir. Faites-vous plaisir.
Le patron était aux anges avec ma femme et cela lui donnait le cœur généreux, disposé à délier ses bourses.
— Alors si c’est comme ça...
Puis se tournant vers moi, Jean-Lou ajouta :
— Viens avec... je te recommande sa femme. Elle a une bouche à jamais être enceinte.
Et il commença à se déshabiller.
— Minute ! dit la femme de Hyacinthe qui avait tout suivi. Toi, tu viens avec moi. J’ai un compte à régler avec mon mari d’abord !

Le mec qui était en train de se faire caresser la bite entre ses énormes seins nous suivit.
Elle était grosse, tout en rondeur, généreuse, opulente et terriblement sexy, je dois le reconnaitre malgré ma nette préférence pour les nanas fines à gros seins comme ma femme. Mais celle-ci dégageait une évidente sensualité.
Nous quittâmes la salle où l’orgie continua sans nous. Elle ouvrit la porte et nous traversâmes le parking.
— Dis donc, m’apostropha-t-elle, tu te plains que mon mari parte avec ta femme, mais t’as oublié de me dire que tu étais consentant.— Ben, non, pas pour qu’il parte avec sans rien dire.— Non, mais ça t’a pas choqué qu’il la saute à ce qu’on raconte.
Je ne savais pas quoi dire.
— Moi, je vais lui apprendre à sauter la mienne. Dit alors le gras qui nous accompagnait.
Il se présenta alors comme un collègue de Hyacinthe qui avait été trompé aussi, mais involontairement. Lorsque Martine, la femme de Hyacinthe, l’avait appelé, suite à mon coup de fil, pour lui demander de l’aide, il lui avait avoué alors son infortune. Elle avait redoublé de colère, comprenant alors que son mari sautait sur tout ce qui bougeait. Hubert, c’était le nom du gars, était venu avec Martine, bien décidé à se venger tous les deux. Ils avaient piégé Hyacinthe à son arrivée, l’avait lié à son volant et lui avait confisqué ses clefs. Depuis, il était bloqué dans son camion.
Arrivé devant lui, malgré la nuit noire, ses yeux sans doute habitués à l’obscurité, il perçut notre présence et se mit à nous insulter et nous menacer.Hubert approcha sa camionnette (il avait laissé les clefs dessus) et la mit face au camion. Il alluma les phares. Nous étions, tous les trois, à poil, au fond d’un parking, en plein éclairage.
— Prenez-moi devant lui.
Je m’appuyai contre la calandre de la camionnette et elle se baissa pour avaler ma bite. L’autre gars l’enfila par-derrière. Hyacinthe s’égosillait :
— Bandes de bâtards, j’vais vous crever ! La touchez pas, c’est ma femme.— Et la mienne, elle est bonne la mienne ? Tu l’as sautée et tu veux pas que je baise la tienne ! T’es mal tombé, regarde ! L’aut là, c’est différent (dit-il en parlant de moi), il t’a laissé faire, mais moi j’ai rien demandé. T’as pris ma femme, je prends la tienne... On est quitte !— Et puis, t’es parti avec la mienne sans me demander, alors j’avais bien le droit d’avoir un rancart avec la tienne ! ajoutai-je pour ne pas être en reste.
L’autre éructait.
— Elle est bonne ta femme, bonne, comme la mienne, meilleure même... j’dis pas que j’y reviendrais pas. Han, han, elle est bonne sa chatte... ça glisse toute seule.— Ordures, salauds, laissez-la !— Bien sûr qu’on va la laisser, dès qu’on l’aura remplie comme une outre. Répliqua encore Hubert.
J’avoue que je prenais un malin plaisir à me faire sucer même si elle pompait sans fantaisie. De temps en temps, je levais un pouce vers la cabine de Hyacinthe, déclenchant une autre bordée d’imprécations. J’appréciais cette mesquine vengeance.
Avec Hubert, nous alternâmes, un dans le cul ou dans la chatte pendant que l’autre était dans la bouche ou coincé entre les nichons. Elle ne faisait pas semblant et, au contraire, exagérait même sans doute son plaisir. Elle criait, gémissait, faisait des oh oui, oh oui, oh oui...
Il passa sur la route, à quelques mètres, deux ou trois voitures dont une s’arrêta presque, pour mieux nous voir sans doute. Puis elles repartirent. Cette expérience exhibitionniste impromptue ne fut pas pour me déplaire. Elle me donna même des idées.
Moins résistant que le collègue de Hyacinthe et marqué par le manque de confort, je finis par éjaculer le premier en m’arrangeant évidemment pour le faire sur le visage de la dame afin que l’autre vit bien.
A nouveau, il nous incendia de menaces et de noms d’oiseaux.
— Et puis Hubert, j’vais balancer au patron, tu vas être foutu à la porte.— Si je lui dis que tu as sauté ta femme, c’est toi qui vas y passer.— C’est pas vrai... elle, j’ l’ai jamais baisée.— Qui crois-tu qu’il croira ? Toi, ou tous les gars comme moi qui veulent se venger ? On est au moins quatre que t’as fait cocu ! Alors, sois modeste parce que t’es pas en position.
Le gars avait vu juste, si j’en crois par les quelques instants de silence qui suivirent. Aussi s’en prit-il à moi. Il allait me casser la gueule, m’écrabouiller le visage..., me pulvériser, me faire manger mes couilles... Il m’énervait.
— Elles sont où ses clefs que je le détache ?— Fais pas ça, il va te frapper. C’est pas que de la gueule. C’est un sanguin. Méfie-toi !— Hyacinthe, je dois te dire que je pratique les arts martiaux... et plutôt à un haut niveau. Je ne suis pas un violent, mais tu commences à m’énerver... Tu veux toujours qu’on se batte ?— Sous-merde, avorton, résidu de fond de capote...— Les clefs ?— Tableau de bord... mais tu es sûr ?— Continue Hubert, tu peux la piner sans te biler, on va s’amuser.
Hubert, peu rassuré quand même, suspendit son mouvement de va-et-vient sans lâcher la femme pour autant, mais paré pour un repli rapide.
Je détachai donc mon cocufieur et il essaya aussitôt de m’attraper, mais un coup de coude que je lui assenai dans la mâchoire me permit de descendre de la cabine et de l’attendre. Il se rua sur moi et fut à terre, puis encore et encore. Enfin, je le rossai complètement, jusqu’à le calmer définitivement quand il vit qu’il n’aurait jamais le dessus et que la douleur commençait à le paralyser.
Alors je lui fis une clef de bras et l’approchai du couple formé par Hubert et sa femme.
— Alors, c’est qui le cocu maintenant ? Moi, qui te laisse baiser ma femme et dont tu profites comme un malpropre ou toi qui vois sa femme se faire sauter sans son accord ? Moi je dirais que le cornard, c’est Hyacinthe. Grosse queue, mais petite cervelle, prise à son propre jeu ! Mais je te comprends, c’est bon de sauter la femme des autres... très, bonne pipeuse la tienne... J’étais bien dedans...

Il gémit une insulte. Je serrai plus fortement.
Il se tut.
— Lèche le jus sur le visage de ta femme.
Il fallut presque lui casser le bras pour le forcer à le faire, mais il le fit.
— Elle est bonne ta femme, vraiment, t’as peut-être raison, meilleure que la mienne. Alors, parait que j’ai une petite bite ? Tu vois ce qu’on peut faire avec une petite queue... elle jouit ta femme, elle s’éclate, j’vais la remplir de foutre !
Et il éjacula dans la chatte pendant que je maintenais la tête du cocu le plus près possible de la croupe de sa bergère.
Bon maintenant, tu te casses, tu remontes dans ton camion et tu pars ! dis-je à Hyacinthe. Et si jamais il arrive quoi que ce soit à mes potes ou à ta femme, je saurais te retrouver et tu pourras attendre un moment avant de reprendre le volant.
Un peu groggy, il remonta dans son camion, nous frôla de près et cracha vers moi, mais sans m’atteindre.
— Te presse pas de rentrer à la maison... J’ai de quoi m’occuper maintenant, salaud ! lui cria sa femme. Moi aussi j’vais m’amuser, prendre du bon temps, fumier ! Gros porc !...
Nous rentrâmes quand les feux de la remorque disparurent complètement dans la nuit. Il était temps. Il commençait vraiment à faire frais et j’avais le cul et les épaules gelées.
L’atmosphère intérieure était plus chaude. Pourtant, on avait baissé de volume. Le Patron était encore sur ma femme ; elle, jambes repliées, les genoux à se toucher les seins, et l’autre vautré dessus à la piner à grands coups de queue. La plus jeune des autres était encore occupée avec deux gars qui la prenaient en sandwich, pendant que le reste de la compagnie trinquait à poil au bar, en riant, commentant les exploits et jouant encore avec les sexes mous des hommes ou le clito humide des femmes.
Quand il nous vit rentrer, il défonce, abandonna ma femme pour se rapprocher de Martine.
— Viens par là ma louloute, viens me faire dégorger le poireau entre tes grosses loches.
L’un des gars qui s’occupaient de la fille la plus jeune vint immédiatement fourrer ma femme, tandis que l’autre, inspiré par la scène de sodomie qui se déployait à l’écran, s’attachait à la reproduire avec la jeune femme.
— Tu prends un verre ?— Oui Madame.— Simone, Simone... Vous restez quelques jours avec nous ?— Euh... on n’a pas trop les moyens et on voudrait pas être à charge.— Pas de souci... vous visitez la région dans la journée et le soir, vous donnez un petit coup de main...— Ou un gros coup de bite ! renchérit un gars qui déchaîna les rires.
Je fis la connaissance de tout ce petit monde, qui puait encore le sexe, dans la plus grande cordialité pendant que les gémissements des trois couples en action et de ceux de la télé donnaient à l’ensemble une sonorité de bordel. Simone nous avait, en manière d’amusement, incités à nous comparer le paquet, chose qu’elle faisait avec les nouveaux venus pour voir s’ils étaient dignes de rejoindre cette noble société. Elle était en train de me soupeser les roustons quand je reçus une grande claque dans le dos.
— Elle est formidable ta femme... la nuit ne fait que commencer... on va bien s’amuser tous les trois.
Brigitte, avec du sperme sur les seins, arriva à ce moment précis, elle posa sa main droite sur l’épaule du patron et s’appuya sur lui.
— Ah non... j’ai au moins baisé vingt gars depuis avant hier... j’en peux plus.— Cette nuit, y aura que ton mari et moi et après, ton cul prend des vacances !
Là-dessus, il lui donna une grande claque sur le cul et nous trinquâmes dans l’hilarité générale.
A suivre
Diffuse en direct !
Regarder son live