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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 13

Belle comme un camion (Epilogue).

Avec plusieurs hommes
Le champagne coulait à flots, pas mauvais d’ailleurs ; les rires succédaient aux rires, les clameurs aux clameurs, les gars lutinaient les filles qui se laissaient plaisamment faire en attendant sans doute de voir une érection se dessiner sous l’habileté de leurs doigts qui couraient sur les verges moles ou les testicules velus. On parlait gaudriole et on faisait connaissance, on se souvenait de nos meilleurs corps. Bref, la fête battait son plein.
On avait sorti quelques desserts du frigo et quelques tétons ou bouts du gland se retrouvèrent nappés de crème ou de Chantilly.
Cela redevenait chaud.
Le patron s’approcha de ma femme, mit ses doigts dans un bol de Chantilly et les lui porta à la chatte. Il en couvrit les poils, comme de la mousse à raser, la doigta profondément au point de la faire gémir et finit par me dire : "nettoie-la" !
Je me mis à genoux pour lécher tout cela et autour de nous, soit on léchait les seins recouverts de nappage, soit la raie du cul pour d’autres. Les queues se redressaient.
Quand j’eus à peu près achevé, ma femme était déjà chaude et mouillait. Il la doigta encore de l’index et du majeur, les suça et fit :
— Elle est à point ! Suivez-moi !
Nous le fîmes sans hésiter.
— Bonsoir tout le monde ! Demain matin, le petit-déjeuner est pour moi ! A bientôt les gars !
Les cris, les bravos, les hourras et les applaudissements déferlèrent, même après que nous eûmes disparu dans le tournant de l’escalier.
Ceci fait, nous entrâmes dans une chambre.
— C’que j’aime, moi, c’est baiser une femme devant son homme. Tu sais pas à quel point tu peux me faire plaisir. Alors tu vas monter sur le lit et faire tout ce que je vais te dire.
Les exigences n’étaient pas bien terribles à première vue. Il fallait juste que j’embrasse ma femme sur la bouche ou sur les seins, que je la caresse par petites touches en lui disant des mots doux pendant que lui ferait ce qu’il lui plairait.

Je montai sur le lit en premier, suivi des deux autres, ma femme ayant l’air d’avoir tout à coup récupéré de sa fatigue.
On défit les couvertures pour dévoiler un drap maculé des cercles jaunâtres caractéristiques des tâches de sperme. C’était un peu dégueulasse, mais l’heure n’était pas à la lessive.
Sitôt sur le plumard, il défonce, pénétra ma femme et ressortit son zob avec un peu de crème fouettée dessus, laquelle disparut en deux coups de langue. Ma femme est gourmande.
Puis en missionnaire, il la replanta en me disant.
— Vas-y mon gars, vas-y, bécote-la... caresse-lui les nichons. J’veux sentir ta paluche entre mon corps et le sien. Roucoulez mes tourtereaux. Allez-y, balancez-vous des mots d’amour.
Nous essayâmes de nous conformer à ses désirs, un peu maladroitement au départ, compte tenu du côté un peu artificiel de la situation, mais, petit à petit, nous nous prîmes au jeu.
De son côté, il nous encourageait.
— C’est bien, continuez... vous êtes un beau petit couple... allez, à votre tour, encouragez-moi !
Et comme nous ne voyions pas très bien ce qu’il attendait par là, il nous pilota.
— Toi, Yannick, invite-moi à bien la baiser, montre-moi que tu veux que je saute ta femme, comme jamais tu l’as fait, et jamais elle l’a été, et toi ma poupée, dis-moi que t’aimes ma grosse queue, que tu la préfères à toutes celles que t’as eues, que je te pine mieux que ton homme.
Ce ne fut compliqué, ni pour elle ni pour moi.
En effet, ma femme paraissait à l’aise dans ce rôle qui ne semblait pas être de composition. Elle flattait d’autant mieux l’étalon que, de mon côté, je l’encourageais d’une sincérité non feinte.
J’étais en effet en train de réaliser ce qui me plaisait dans cette expérience de cocufiage.
De tout temps, j’avais aimé la pornographie. Chargé de faire mon éducation sexuelle, mon père m’avait mis dans les mains "Lady Chaterley", pensant joindre l’utile à l’agréable et me donner le goût de la lecture. Il y réussit au-delà de ses espérances, me recommandant toutefois de rester discret vis-à-vis de ma mère. Plus tard, je passai à une littérature plus en images et moins en textes et, quand j’eus l’âge requis, je fréquentai les salles spécialisées qui en étaient à leur chant du cygne. C’est là, un mercredi après-midi, alors que nous étions officiellement en train de travailler, qu’un copain et moi perdîmes notre virginité avec la femme d’un couple de quinquagénaires. Elle n’était pas belle, mais nous étions jeunes et elle était chaude. De là, sans doute, me vint cette idée qu’on pouvait être partageur.
Ce qui me plaisait dans les films de cul, c’étaient les seins, plutôt ronds et fermes que gros, et les hommes bien membrés et poilus faisant tâter de leur pénis aux belles gourmandes. Sexes poilus en érection, labourant les chairs, pénétration du zob en gros plan et profondeur, tout en lenteur, boules s’écrasant sur les fesses, voilà ce qui m’excitait. Et là, je le vivais comme acteur et pas spectateur. Voir une belle grosse queue, renter dans une chatte ou un fion, ou être avalée par une bouche pulpeuse, rien de tel pour me faire bander, et puis cette odeur du cul... ah bordel.
Voilà ce que j’aimais, voilà pourquoi je laissais ma femme se faire prendre, parce qu’en plus, elle y prenait un vrai plaisir. On n’était pas au cinoche, elle ne jouait pas, ses orgasmes étaient réels et je triquais dur comme de la pierre.
Alors, oui ! j’encourageai le garçon.
— Vas-y, mets-la ! Elle aime ça, mets-lui bien au fond !— Ah ouais, elle aime ça ?— Fais-la jouir avec ta grosse queue. Elle prend son pied. C’est une bouffeuse de grosses bites. Elle aime la queue.— T’aimes ça, voir ta femme se faire prendre, hein mon cochon. Tu veux que je te la foute ?— Vas-y, bourre-la bien !— Montre-moi ta queue. Ça te fait bander qu’on baise ta femme hein, t’aimes ça ?— Oui, vas-y, vas-y, prends-la !— Et toi salope, t’aimes ça hein, tu la sens ma grosse bite ? Elle est meilleure que ton mari ?— Oh ouiiii, oh ouiii, oh ouiii...— Lève ton cul, là, appuie-toi sur tes talons, lève ton cul de putain !
Il se mit à genoux, puis la soulevant par les reins, il la posséda en position du "néophyte"
— Bouffe-lui délicatement les seins. Parle-lui de moi.

Je le fis.
— T’aimes sa queue, hein ma chérie. Il te fait du bien. Elle est grosse... tu jouis ?
Elle répondait par gémissements.
— Ah bordel, vous êtes doués tous le deux ! C’est le pied... mets-toi à quatre pattes... et toi, va en dessous... non ! la tête entre les cuisses, pour voir mes couilles en action. T’as le droit de lui lécher la chatte pendant que je l’encule... et toi tu fais une gâterie à ton homme... il le mérite.
Il voulut lui défoncer l’anus sans gel. Il y eut résistance.
— Eh bien ? Qu’est-ce qui se passe ? On y entrait tout seul tout à l’heure... lèche la rondelle de ta bonne femme, lubrifie-moi ce trou... suce-moi, mignonne pendant ce temps-là... et doigte-la s’il faut. Ça doit retrouver de la souplesse...
Il changea de place pour opérer la manœuvre, mais quelques coups de langue ne purent pas y faire grand-chose ; aussi, quand il revint, l’enfila-t-il sans plus attendre. Elle eut mal, serra les dents, mais elle se détendit vite et ouvrit son cul.
— Ça y est, bon cul, bien serré. Tu l’encules ta bonne femme toi ? Pas souvent hein... sans ça, elle s’ ouvrirait comme une fleur...— Ta bite est plus grosse !— Bien sûr qu’elle est plus grosse. C’est la plus grosse de toutes. Tu la sens là ?— Mais oui, elle la sent... Hein ma chérie, tu la sens la grosse trique... t’aime ça hein ?— Hmmmmmm.— Lèche-lui la fente, fais-la jouir.
Le faire me mettait évidemment dans une position inconfortable, c’est-à-dire avec les burnes du patron sur le nez.
Il y mettait tant d’ardeur, qu’il suait comme un porc. On était, avec la chaleur, dans une atmosphère tropicale humide.
— Maintenant, tu te mets à genoux derrière ta femme, toi aussi poulette... à genoux... Tu lui prends les nichons dans les mains et tu écrases ma pine entre ses deux beautés !
Sa queue allait et venait entre les seins que je comprimais du mieux que je pouvais. Il crachait parfois sur le bout de son nœud pour aider à coulisser.
— T’as d’jà vu de la bite comme ça ma chérie ?— Non...— C’est la plus grosse que t’as jamais vue ?— Oui.— C’est clair ! Et toi, t’as déjà vu des mecs avec une aussi grosse queue... et raide comme ça ?— Non, t’es le mec le mieux monté que je connaisse.— Ben tiens, c’est pour ça que faut que vous profitiez. T’aimes ma queue, pas vrai, cochonne !— Oui, oui, elle est bonne ta queue.— C’est bien, suce-la... et toi, ça te plaît d’être cocu ? T’aimes ça ?— Oui.— Mais ça te plaît comment ? T’aimes voir ta femme faire la pute, prise par tous les trous, par un gros zob ?
Je devinais qu’il fallait plus qu’une affirmation pour le stimuler davantage.
— Oui, j’aime voir ma femme défoncée par un étalon, j’aime qu’un mec la fasse jouir plus que moi et qu’il la couvre de jute...— Ouais, c’est bon ça... tiens, viens pomper le dard de ton mec pendant que je t’enfile.
Il s’allongea sur le dos et elle vint se mettre à califourchon sur son sexe. Il la maintint couchée sur lui un moment pour bien la palocher, puis elle se redressa pour pouvoir me sucer. Je me tenais debout au-dessus de lui.
— Te retiens pas. Tu lui fous tout dans la bouche... et toi, t’avale pas et tu ne recraches pas. Je veux que tu en gardes le maximum.
Je mis assez longtemps à venir, mais il fut patient et j’éjaculai, assez peu forcément, en exagérant cependant mes gestes et mes cris.
— Dégage-toi de là. T’as gardé le jus ?
Ma femme fit signe que oui.
— Ouvre !
Et il enfila sa queue dans la bouche. Immanquablement, du sperme jaillit et dégoulina sur le menton.
Il se retira.
— Embrassez-vous à fond, bien avec la langue.
Et pendant que nous nous roulions cette pelle au jus, il doigta Brigitte vigoureusement.
— En levrette ! Toi, allonge-toi comme ça !
Je me mis en travers du lit, comme il me l’indiquait, et ma femme se coucha sur moi, le cul en l’air.
— Caresse le paquet de ton mari pendant que je te défonce.
Défoncer était le mot exact. Il le fit avec d’autant plus de rage que ma femme ne criait pas. On se souvient qu’elle jouit à voix basse par fréquences plaintives. Il aurait voulu que ses cris résonnassent dans toute la maison.
Et pourtant, je vous garantis qu’elle jouissait. Elle ruisselait de mouille qui dégoulinait sur son pubis et sur son ventre, jusqu’à moi.
Enfin, il aboutit à son tour, à grand renfort de jurons.
Il se retira et aussitôt, m’ordonna de venir lécher la chatte.
Palocher ma femme avec mon foutre... bon... à la rigueur... mais le sperme d’un autre... je n’eus d’ailleurs pas le temps de réfléchir. Sa main solide m’empoignait les cervicales. J’aurais pu me dégager, mais un ex-légionnaire, c’est autre chose qu’un camionneur fanfaron... ça aurait pu mal tourner... à quoi bon gâcher la bonne entente qui avait prévalu jusque-là ?

Une grosse goutte de sperme sortait du vagin. J’y mis la langue sans me poser plus de questions et mangeais ainsi la chatte jusqu’à ce que lui même se fût satisfait du nettoyage de bite que ma femme lui faisait avec la langue.
Quand tout fut fini, il me congédia.
— Bon, il est temps de dormir maintenant. Tu te mets dans la piaule que tu veux. Du moment que la porte est ouverte, c’est qu’elle est libre. T’es un bon cocu, toi ! J’t’aime bien. Tu peux baiser chacune de mes femmes quand tu veux ! T’as crédit illimité dans la maison.
Et il resta ainsi avec ma femme.
Il était tard. Je trouvai un lit et m’endormis.
Nous restâmes là deux autres nuits, occupées de la même manière ou presque, en fonction des clients de passage ; et le reste de nos vacances se passa entre nous deux exclusivement.

Un peu plus de deux ans après, un dimanche d’octobre pluvieux en début d’après-midi, petit-déjeuner pris, nous avions regagné la chambre.
J’étais assis dans le fauteuil d’angle et je regardais le lit, en donnant parfois des ordres, à la manière d’Ildefonse auquel nous avions rendu visite à deux autres reprises. Pour le moment, je regardai Mehdi embrasser lentement et délicatement les seins de ma femme. Sa peau brune se détachait sur la peau blanche. Il était sur le côté. Je voyais sa grosse queue tendue, attendant que je donne l’autorisation d’aller plus loin. Je me caressai le bout de la queue en silence, jouissant du spectacle.
Parfois, souvent même, nous sortions le samedi soir.
J’avais eu envie de refaire un plan exhib, et quand l’occasion s’en présentait, sur un parking fréquenté par des routiers, dans la forêt, dans des pissotières, en extérieur, je prenais ma femme par derrière. Quelquefois, un promeneur se joignait à nous. Parfois encore, soit au restaurant, soit au cinéma, au bar ou, plus facilement en boîte, car je pouvais m’éloigner, je laissais les hommes approcher ma femme, ou ma femme les aguicher sans aucune honte. Quand le gars me plaisait, j’entrai en contact avec lui. C’est ce qui s’était passé la veille au soir.
— Elle te plaît ma femme ? Avais-je donc demandé à Mehdi, comme à quelques autres avant lui dans d’autres soirées, après l’avoir laissé plusieurs fois danser avec elle et commencer à flirter de plus en plus ouvertement.— Ah... C’est ta femme... pardon, j’savais pas... je croyais qu’elle était seule... Désolé.
Et à voir son visage, il l’était sans doute réellement, mais plus par l’idée qu’un plan venait de foirer et qu’il devrait recommencer avec une autre ou se finir la soirée à la force du poignet, que par le sentiment d’avoir été trop entreprenant.
— Elle te plaît ?— Désolé... désolé.
On sentait bien qu’il capitulait. Il ne voulait pas d’embrouilles. Parfois des gars réagissent différemment en me disant qu’elle les a chauffés et que j’ai qu’à mieux la surveiller avant qu’elle les chauffe.
— Tu prends un verre avec nous ?— Euh...— Viens !
Assis sur la banquette entre ma femme et moi, nous passâmes très vite le marché.
Brigitte lui mit la main entre les jambes.
— C’est dur ?— Eh !... Vous faites quoi ?— Alors, il bande ?— Mou encore...— T’aimerais un plan à trois ?— Sérieux ?— Si t’es équipé pour... Montre ta bite !
Il regarda autour. L’obscurité à peine troublée par les spots, lasers et autres stroboscopes, nous mettait à l’abri.
Sans précipitation, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe. Il prenait notre proposition au sérieux apparemment.
— C’est pas mal... plutôt épais ! conclut Brigitte.— On y va, alors !
Et nous le ramenâmes à la maison comme déjà des dizaines d’autres avant lui. Nous baisions une partie de la nuit, selon l’endurance du sujet, et le midi, après avoir mangé, je prenais ma place pour les regarder commencer à faire l’amour devant moi avant de les rejoindre ou pas.
C’était un beau militaire avec un gros mandrin circoncis, de grosses couilles dans un écrin de poils noirs. Poilu au pubis, à la bite et au couilles, jusqu’aux chevilles et aux tétons. Un monstre de testostérone. Pas rasé, ses lèvres épaisses posées sur les seins, il était magnifique. Je me réjouissais de notre choix. Ça ferait du beau spectacle. J’attendrais qu’il soit bien lancé pour sortir l’appareil photo. Dans le feu de l’action, il me laisserait faire sans rien dire.
Et l’on sonna. Nous n’attendions personne. Je laissai. On insista.
— Putain ! c’est qui ?— J’sais pas.
On sonna encore.
— Va voir chéri. Tu le fous à la porte. Ça nous coupe tout. Si c’est quelqu’un de connu, tu dis que j’suis malade.
J’enfilai mon pantalon de pyjama qui dissimulait mal mon érection qui cependant déclinait. Moi aussi j’étais contrarié dans mes pulsions par cet importun... un voisin en quête d’un service ? Qu’est-ce que ça pouvait être d’autre ?
Quatrième coup, plus insistant.
J’ouvris.
Devant moi se tenaient Hyacinthe et sa femme. Je restai bouche bée.
— C’est Jean-Lou qui nous a donné l’adresse.— Qu’est-ce que vous foutez là ?— Dis-lui mon minou... Il a changé, tu sais.— Hem... un plan à quatre... ça te dirait ?— Là, tout de suite ? Comme ça sans prévenir !— On passait dans le coin... On s’est dit... à tout hasard... sans rancune... Manière de réconciliation...
Martine ouvrit son impair trempé. Elle n’avait rien en dessous que ses gros seins et sa touffe sombre. Mon érection reprit vigueur.
— Entrez... mais, j’ai déjà un... amateur... dans le lit avec Brigitte...— Quatre... cinq...— Attendez quand même, faut que je lui en parle.
Je retournai dans la chambre où Mehdi continuait de sucer les seins en se masturbant lentement.
— Mehdi, viens !— C’était qui ? demanda ma femme.— T’occupe, viens-là, toi.
Il s’approcha. Je lui soufflai à l’oreille :
— Un couple de potes à la porte... Plan à cinq. Un gars à grosse queue et une femme très ronde aux seins énormes... ça te va, ou on continue à trois ?— Non, non... au contraire.— Parfait, tu y retournes, mais tu fermes ta gueule. J’fais la surprise à ma femme.
Je retournai dans la cuisine où étaient mes hôtes.
— C’est bon, déshabillez-vous.
Dès qu’ils furent nus, je pris Martine par la main et, arrivé devant ma chambre, poussais Hyacinthe qui entra avec sa vierge triomphante... Brigitte applaudit.
— Alors, finalement, tu as rejoint le club ? lui demandai-je, quand nous fûmes tous dans la piaule.— Club, de quoi ?— Des cocus heureux.— Y a que les imbéciles qui changent pas d’avis... C’était ça ou je perdais Martine.— Ah tu l’aimes quand même ta femme ?— Dingue.— Mais tu aimes aussi celles des autres... et tu t’es souvenu de la mienne.
Et s’allongeant sur le lit où les deux Femmes s’occupaient déjà de Mehdi, il conclut.
— Que veux-tu, elle est belle comme un camion !
Fin
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