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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 14

Cocu mécontent 1

Hétéro
C’est lors d’un covoiturage que je l’ai rencontrée. Elle rentrait chez elle et devait me déposer près de la gare où mon frère, qui arrivait d’une autre direction, devait me prendre pour me déposer chez moi ensuite. Quand je m’absente longtemps pour mes déplacements professionnels, je prends le train ou je fais du covoit.

Alicia était ma "chauffeuse" et, vraiment, elle m’a chauffé.
Dès le début, je suis tombé sous le charme de cette métisse superbe, drôle, cultivée, pétillante.
— Ça va être plus simple si on se tutoie.— OK, moi c’est Lucas... enfin comme je t’ai dit par SMS.— Alicia.
On avait un peu plus de 100 kilomètres à faire, mais je sus qu’ils passeraient trop vite. Je ne suis pas spécialement un séducteur ou un coureur de jupons, mais elle me faisait de l’effet, incontestablement.
Elle était traductrice et après m’avoir parlé de son boulot, elle m’interrogea.
— T’es marié ?— Non, célibataire. Et toi ?— Célibataire aussi, plusieurs fois par mois.

J’éclatai de rire puis posai la question.
— Tu n’arrives pas à garder les mecs ?— J’veux pas.— Ah bon ? Pourquoi ?
— Je suis incapable d’être fidèle... alors, même si j’aime un mec, dès que je croise un beau garçon, je ne peux pas résister... même si c’est que pour le fun, un plan d’un soir ou histoire d’une heure et que j’aime mon homme... Vous êtes compliqués les mecs à confondre les sentiments et le plaisir.— C’est que c’est parfois lié.— Et toi, pas de filles ?— Trop absorbé par le boulot. Pas en ce moment.
Nous en étions là de ce charmant babillage et on se rapprochait inexorablement de mon point de rendez-vous, trop vite à mon goût lorsque mon frère m’appela.
— Oui, salut... Quoi ? Ah merde... pas grave ? Et tu fais comment ? Le train demain matin ?... Non t’inquiète pour moi, je vais me débrouiller. Ouais à plus.
Comme je venais de raccrocher, Alicia me demanda :
— Un problème ?— Mon frangin. Sa bagnole est en panne... Irréparable sans la pièce qu’il faut attendre plusieurs jours. Il ne peut pas passer me prendre.— Comment tu fais ?— J’sais pas... Trouver un autre covoit... mais à cette heure... Ou faire comme lui, prendre le train demain matin. Mais il faut que je trouve un hôtel.— Ben, viens chez moi.
J’en crevais d’envie bien sûr, mais je refusais poliment en espérant qu’elle insistât. J’avais hâte de devenir l’un de ces amants qui la tiraient de son célibat quelques fois par mois, et la tiraient tout court d’ailleurs...
Elle insista.
— Bon d’accord ! C’est vraiment sympa. Mais tu pourras me prêter un pyjama ?— Pourquoi, tu n’as pas le tien dans ta valise.— J’en ai pas... je dors tout nu.— Tu tombes mal, moi aussi.
Nous commençâmes donc une conversation sur le thème de l’avantage de dormir nu. La soirée se présentait bien, exactement comme je l’espérais. Il n’y avait aucun doute. Nous finirions dans le même lit même si j’essayais de prendre l’air le plus détaché possible, comme si rien ne devait avoir lieu.
— Par contre, mon frigo est vide et j’ai une petite dalle.— Moi aussi. Je nous commande quoi ? Pizza, Sushis ?— Sushis, j’veux bien.
Ce fut fait rapidement.
Arrivés chez elle, je constatais la disposition de l’appart. Il y avait une grande pièce à vivre et une plus petite dont les murs étaient couverts de livres et où trônaient un vieux fauteuil style Art déco et un bureau sur lequel étaient l’ordinateur et l’imprimante.
Revenus dans la pièce à vivre, je m’interrogeai.
— Tu n’as pas de chambre ?— La voilà, dit-elle en dépliant un lit-armoire solidement conçu.— Et je dors où ?
C’était une question purement rhétorique, comme la suivante d’ailleurs.
— Ben là !— Et toi ?— Aussi. Ça te pose un problème ?— Euh... non, non.
Un seul lit et on dormirait à poil... Le temps des allusions et sous-entendus était dépassé. On allait au fait, on gagnait du temps...Nous prîmes cependant le soin de dîner lentement puis je pris ma douche en faisant attention tout de même à nouer une serviette autour de ma taille et, pendant ses ablutions, je regardai mes messages, adossé à l’oreiller, et la couette sagement repliée sur moi.
Elle sortit de la salle d’eau avec une lenteur calculée, entièrement nue.
Elle était magnifique... Des formes parfaites. Des seins ronds où les tétons et l’aréole plus sombres que la peau étaient d’une beauté sans pareille.Sa touffe, soigneusement taillée, au poil très noir, dru et frisotté, produisait un effet hypnotique.Elle monta lentement sur le lit.
— Tu bandes ? me demanda-t-elle tout à trac.

Et avant même que je réponde, elle avait soulevé la couette.
— Oui, tu bandes... et même bien. Mais attention, hein, c’est pas parce qu’on baise une fois que ça donne une carte de fidélité.— J’ai bien compris.

Puis elle empoigna ma bite et commença à me branler en serrant très fort.
— Ben mon salaud ! Avec un machin pareil, tu es encore célibataire ?
Je fus flatté du compliment même s’il ne me parut pas intégralement sincère, mais je jouai les modestes.
— Le sexe ça fait pas tout.— Mais pour ce soir, cela me suffit bien.
Je m’allongeai franchement et elle commença à me sucer comme une pro. Rapidement, elle vint m’offrir sa moule et nous eûmes un 69 très chaud.
— Bouffe-moi le cul aussi... pas que la chatte.
Comment ne pas lui rendre ce service ? Je n’étais pas très coutumier des anulingus, mais elle s’occupait si bien de mon nœud et de mes couilles. Quant à moi, ma langue était au comble du ravissement et mes mains toujours plus avides de lui caresser la croupe ou les nichons.
Puis, cette courte gourmandise passée, elle s’allongea, écarta ses cuisses pour que je continue à lui bouffer la vulve, en attendant de la pénétrer.Elle me tendit une capote et je la pris en missionnaire. Nos bouches se cherchaient, ses mains me labouraient le dos et ses ongles imprimèrent dans mes fesses des zébrures qui restèrent visibles un moment. Si un chat en colère m’avait couru sur le cul, il n’aurait pas été plus marqué.
Jusqu’ici, je lui avais laissé l’initiative, mais il convenait de voir quelle marge de manœuvre elle me laisserait.Je me retirai donc et l’invitai de la main à se retourner. Elle comprit et se mit rapidement en levrette.
— Elle est bonne ta queue.
C’était la première phrase échangée. Nous nous d’abord étions contentés de gémir.
— Et ta chatte putain, elle est bonne ta chatte. T’as une putain de profonde bonne chatte mouillée.— Bourre-moi.— T’aimes la queue hein ? T’aimes ça la bite ? T’en veux, hein t’en veux de la pine ?— Et toi, dis que t’aimes pas piner ! T’es un porc comme les autres. Tu rêvais de me piner dès que tu m’as vue.— Ouais je vais te piner... Hmmmm t’es trop bonne... J’vais te piner comme on t’a jamais pinée.

Bon, je m’avançais sans doute un peu, voire beaucoup.

Peut-être eut-elle peur que je n’arrive trop tôt, car elle sortit d’un tiroir un tube de gel.
Comme cela glissait tout seul, je n’eus pas trop d’hésitation quant à l’usage à en faire. J’en déposais une petite noix, comme par mégarde, sur la rondelle qu’elle ne m’avait sans doute pas demandé de lui lécher pour rien et, comme elle ne dit mot, j’y mis une dose plus importante. Elle tortilla du cul.J’étais au top de l’excitation. Il y a peu de nanas qui se laissent prendre le fion, surtout d’un inconnu et c’est un plaisir dont je raffole. J’aime être bien serré dans un petit cul, le limer en profondeur tout en m’agrippant aux seins et passer d’un trou à l’autre.
Je ne boudais pas mon plaisir, mais la fille savait y faire pour que je ne me laisse pas aller et partir trop vite.Les changements de position qu’elle m’imposa furent propices à une baisse de régime qui me permit de maintenir mon érection plus longtemps. En m’obligeant à m’asseoir, en venant me chevaucher, elle contrôlait la situation, dansant langoureusement sur mon sexe planté en elle, tout en me mordillant les lèvres ou en m’offrant sa poitrine à gober.
C’était une fantastique grimpeuse et, je dois dire, je n’avais jamais baisé comme cela, jamais.
Mais, aussi douée fut-elle pour me retenir, je finis tout de même par jouir, non sans m’être repositionné dans son cul où je remplis abondamment le réservoir du préservatif.
Elle me l’enleva elle-même avec mille précautions puis déversa le contenu sur ses seins avant de l’étaler par un massage circulaire de plus en plus ample.
Si je l’avais pu, j’aurais bandé à nouveau devant une scène aussi chaude.

Quand elle eut fini cet excitant manège, elle s’allongea contre moi et, la main couverte de sperme, elle me pelota délicatement les couilles tout en me couvrant de petits bisous.
— Tu mets combien de temps à recharger mon chou ?— Euh... je sais pas.— Une heure, deux ? Moins, plus ?— Franchement je sais pas... pourquoi ? Tu veux remettre ça ?— Grave ! Pas toi ?— Putain si !
Nous restâmes ainsi quelques minutes, échangeant baisers et caresses, mais il était tard et la fatigue nous gagnait tous les deux ; et constatant que je ne me remettrais pas rapidement au garde-à-vous, nous jugeâmes préférable de nous laisser aller dans les bras de Morphée non sans avoir convenu d’un très très prochain rendez-vous.
— Demain matin, je m’enfile sur ton piquet de tente bien dressé.— Tu sais déjà dans quel état je serai demain matin ?— Dois-je te rappeler que tu ne m’as pas dépucelée et que j’en ai vu d’autres des bites... et il n’y en a aucune qui ne soit aussi dure que le matin au réveil.— Et tu en as vu tant que cela ?— Que veux-tu, j’aime la bite... et je ne laisse pas les hommes indifférents.— En effet... J’en suis la preuve vivante.
Nous nous tripotâmes encore un peu puis le sommeil vint nous chercher.
J’eus un réveil des plus agréables. Elle me suçait avec application. Nous eûmes encore un long moment de plaisir. Avec les préliminaires, comme la veille au soir, ce fut presque une heure de jouissance.

Nous nous quittâmes en nous promettant de garder contact.
Je me rendis très vite compte que cette nana m’avait complètement retourné. Je ne pensais qu’à elle, je rêvais d’elle, je me masturbais en songeant à elle. Bref, j’étais raide dingue.Je trouvais très vite un prétexte pour retourner la voir. Puis un autre, et un autre encore. A chaque fois, elle me fit bon accueil et à chaque fois, l’éclate au pieu fut totale. Et ainsi de suite. Il était né une véritable complicité et, désormais, nous baisions sans capote. J’étais complètement dingue d’elle, mais je n’osais le lui dire et nous ne parlions jamais de sentiments. Cela dura plus de quatre mois. J’étais presque tous les deux ou trois jours chez elle.
Mieux, elle s’invita à passer un week-end chez moi. Autant dire que je n’y fus pour personne, portable éteint, volets fermés, et que nous ne sortîmes quasiment pas du plumard.
A la fin de ces deux jours, comme j’étais très mal de la voir partir, je lui avouai mon amour et elle n’y fut pas insensible. Alors je lui proposai de vivre ensemble.
— Moi aussi j’en crève d’envie mon doudou, mais tu sais bien que ce n’est pas possible ! Dit-elle après avoir refusé plusieurs fois malgré mon insistance.— Mais pourquoi ?— Mais je ne veux pas me caser, je ne veux pas d’enfants.— Moi non plus je ne veux pas de mômes.— Et puis je t’ai dit que je ne te serai jamais fidèle, enfin pas au sens physique, dans mon cœur il n’y a que toi, mais pas dan mon lit.— J’m’en fous !— Tu dis ça, mais...— Non, tu feras ce que tu voudras, tu verras qui tu voudras, quand tu voudras, j’accepte tout, du moment que je suis avec toi.— Tu sais j’ai déjà fait l’expérience trois fois. Le plus tolérant est resté trois semaines. Ils en ont vite marre de me voir sortir avec des mecs ou les ramener à la maison.— Moi j’accepterai !— Tu dis ça, mais tu imagines me voir avec un autre mec dans le lit.— Avec un, deux trois... autant que tu veux du moment qu’au final, je sois toujours avec toi.— Et tu ne me feras aucun reproche, aucune scène de jalousie !— Rien, je te le jure !
Cette discussion fut suivie de beaucoup d’autres, car elle refusait toujours. Mais à force d’insistance et de serments, elle finit par accepter. Evidemment, aveuglé par la passion, je ne réalisai pas ce que je faisais ni où mes promesses m’entraîneraient.

A suivre
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