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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 16

Cocu mécontent 3

Hétéro
Pour le déménagement, je résolus de demander un coup de main à trois de mes potes. Le plus compliqué, c’était de ramener mes affaires. Il faudrait faire deux tours avec la camionnette. Après le premier du matin, le déjeuner pris sur le pouce, je laissai Simon avec Alicia pour disposer ce que nous venions d’amener et finir de vider son studio. Et retournai chercher le reste avec Tom et Yves. Notre absence dura plus de cinq heures, malgré ce que j’avais déjà fait par anticipation, le temps de charger et de faire le ménage, plus le trajet.
Pendant le déchargement de la camionnette, Alicia me glissa.
— Ton pote, là, c’est un super coup !
Le carton m’en tomba des mains !
— Alicia !... Tu plaisantes là !— Ben non, on a fait une pause.— Pas Simon, pas mon pote !— Qu’est-ce que ça change ? Ton pote ou pas, c’est un manche à couilles et un queutard, comme les autres.— Putain, l’enfoiré.— Eh ! Tu te calmes ! Il a résisté si tu veux savoir ! D’ailleurs, tu devrais lui dire que ce n’est pas grave parce que je crois qu’il culpabilise un peu.— Quoi ? Tu veux que j’aille lui dire : " C’est cool mec, t’as baisé ma meuf, super"!— Qu’est-ce que ça peut te foutre que ce soit lui ou un autre ?— Pas mes potes Alicia ! Je pourrais plus les regarder en face. Que vont-ils penser de moi ?— Ce qu’ils pensent d’eux-mêmes ! Je ne veux pas que quelqu’un touche ma femme, mais je touche celle des potes. A vous de faire le tri les garçons, ou on partage tout, ou on partage rien !— Et de toi hein ? Qu’est-ce qu’il va dire de toi ?— Que j’aime la bite et que je suis un sacré bon coup... enfin j’espère.
J’étais dépité.
De fait, depuis notre retour, Simon m’avait évité, étant toujours à la manœuvre avec Tom ou Lucas.
Je ne voulus pas faire de scandale. Mais j’étais hors de moi. Bien sûr j’étais jaloux, mais impossible de faire une scène, elle m’aurait quitté. Je ne le savais que trop. Il fallait accepter ou, comme disait Gambetta, se soumettre ou se démettre.
Le déménagement touchait à sa fin. Je descendais un carton à la cave quand je surpris la discussion entre Simon et Tom.
—... Pas possible. Il va se douter de quelque chose. Tu ne peux pas te barrer comme ça.— J’ai trop honte, j’suis trop mal. Je sais plus où me foutre.— Parle-lui.— Mais tu veux que je lui dise quoi ? Mec, j’ai baisé ta meuf... et tu crois qu’il va me remercier.— Aussi t’es con de l’avoir fait.— Je sais putain, mais j’y pouvais rien.
Bien sûr que si, il y pouvait quelque chose. Elle ne l’avait pas violé que je susse. Mais, pour tout dire, je fus touché par les accents de sincérité de mon pote. Il était au bord des larmes (et ce n’est pourtant pas un cœur d’artichaut) et paraissait vraiment très mal. Ils discutèrent encore un moment de ce qu’il convenait de faire. Simon voulait partir. Il ne supportait plus de me croiser avec le poids de la culpabilité. Il m’expliquerait après en m’envoyant un message. Yves l’incitait plutôt à tout me dire.
— Mais comment je vais faire ?— Comme tu ferais par écrit. Tu lui dis comment ça s’est passé.— Il me croira jamais !— T’es sûr que t’as rien fait pour la chauffer ?— Mais putain, je te dis que je venais de finir de raccorder le lave-vaisselle quand je l’ai vue, debout derrière moi à poil. Tu t’imagines ? Je me suis relevé. Elle s’est approchée de moi et m’a proposé de faire l’amour en me nouant ses bras autour du cou. J’ai refusé et essayé de me dégager, mais elle m’a mis la main au paquet. J’ai eu beau lui dire que je ne faisais pas ça à un pote, elle m’a dit que c’était OK entre eux, qu’il la laisse faire l’amour librement avec qui elle veut et même qu’il participe des fois...— Elle t’a dit ça ?— J’te jure. Mais moi j’essayais toujours de me dégager, mais elle s’accrochait. J’allais pas utiliser la force... et puis elle s’est mise à genoux et a baissé mon froc et m’a pris la queue...— Je le crois pas...— Si. J’ai essayé de me dégager encore, et puis après c’était foutu... Une fois chauffé, j’ai perdu le contrôle...— T’en as bien profité au moins.— Déconne pas. Je suis trop mal...— Faut que tu lui parles. Reste pas comme ça.— Mais comment veux-tu... Déjà quand il va apprendre que sa copine le trompe... en plus avec moi...— Mais puisqu’il sont d’accord et qu’elle le fait avec d’autres mecs !— Un mytho... Tu y crois toi ? Tu le vois dans un plan à trois avec sa meuf ? Elle a balancé ça pour me convaincre.
Tendu par ma surveillance, je n’avais pas entendu Alicia arriver derrière moi. Elle se détacha du mur derrière lequel j’étais en planque et surgit en disant.
— Mais non c’est pas un mytho, hein mon chéri ?
J’en lâchai mon carton une nouvelle fois. A ce train-là, j’allais casser de la vaisselle... Je faillis me prendre les pieds dedans quand elle m’attira à sa suite devant les autres médusés.
— Tu as tout entendu ? demanda Simon.— Tout je ne sais pas, mais Alicia m’a tout raconté dès notre retour.— Ah !
Il y eut un moment de gêne qu’Alicia vient rompre.
— Aller chou. Raconte. Tu vois pas qu’il est mal à l’aise. Dis que tu es d’accord et que tu t’en fous.— C’est vrai. Alicia a... une sexualité très libre...— Ben dis lui que c’est pas grave mon chou.— En effet... y a pas de lézard Simon. Si c’était Yves ou Tom qui était resté, cela aurait été pareil... hein ma chérie. C’est clair.— Merde, je regrette de ne pas être resté ! dit Yves moitié pour détendre l’atmosphère, moitié sincère.— Qu’à cela ne tienne. Il y en aura pour tout le monde ce soir. Lui répondit-elle en se collant à lui et en l’embrassant à pleine bouche.
Yves recula, surpris quand même.
— Ben mon vieux, si je m’attendais...— Bon au boulot, les garçons... On finit et puis après c’est quéquette partie. Vous y avez tous droit. Vous l’avez bien mérité.
J’étais super gêné, mais que faire ? J’aurais voulu que mes potes s’en aillent, mais je ne pouvais pas les foutre à la porte. Simon voulait partir. Il me le dit.
— Tu comprends, même si tu es d’accord, ça me fout mal à l’aise. Moi si j’avais une meuf, j’aimerais pas qu’un pote me la baise... Tu fais ce que tu veux... mais... Et puis, tu me l’aurais dit d’abord, bon, pourquoi pas... mais là, j’l’ai fait dans ton dos... J’t’assure, j’suis trop mal. Faut que je m’en aille là.
Seulement, comme on avait fait du covoiturage, il ne pouvait pas repartir seul. Il devait attendre les deux autres, dont un a priori n’était encore au courant de rien.
Tout était fini. Il était tard.
— Allez ! A la douche les garçons. Pendant ce temps-là, je prépare un apéro dont vous vous souviendrez.
L’un après l’autre, nous prîmes une douche réconfortante. Au fur et à mesure que l’on sortait, Alicia servait à boire. Nous étions tous les quatre autour de la table basse quand Alicia partit à son tour sous la douche.Yves et Simon avaient mis Tom au courant. Il ne voulait pas y croire.
— Lucas, raconte à Tom, il ne veut pas croire.— Quoi ?— Rien, rien ! s’empressa-t-il de dire. Vous êtes cons les mecs.— Ben tu sais pour Simon et Alicia, reprit Yves.— Ouais, c’est vrai, ils te disent la vérité.
.Et force me fut de raconter mon étrange histoire d’amour.
Je n’avais d’ailleurs pas fini lorsque Alicia sortit de la douche. Elle avait fait vite. Elle était en déshabillé, un truc très transparent qui laissait tout voir.
Seul Yves émit un sifflet approbateur. Les deux autres ne semblaient pas savoir où se foutre.
Comme il faisait beau, on s’était mis sur la terrasse et on allait et venait vers l’intérieur. Je me demandais ce qu’elle allait faire.
Elle profita d’un moment de silence pour se coller à moi amoureusement, languissante, très chatte. Et sans pudeur, me mettre la main au paquet devant mes potes.
Il fallait croire que les quelques plans à trois auxquels elle m’avait soumis depuis notre rencontre m’avaient déjà désinhibé, car je me mis à triquer. Elle le ressentit et me glissa à l’oreille.
— Ça t’excite que je te suce devant tes potes. T’as envie gros cochon.— Arrête Lili. Putain mes potes... Qu’est-ce qu’ils vont penser ?— Que je suis une pute et toi un gros cocu...; ils bandent déjà non ?
Elle ne pouvait pas les voir, mais moi si. Sous les survêts, c’était compliqué à dire. Sauf pour Yves. La bosse était nette. Quand elle ôta son peignoir et qu’elle s’agenouilla pour me sucer, il fut le premier à s’approcher, en regardant les copains comme pour les inviter à le suivre.
Comme ils restaient là sans bouger, elle s’interrompit et se retourna.
— Ben les gars, restez pas là plantés comme ça ! Approchez. Sortez vos bites.— Non dit Simon, on va y aller là.— Ben quoi, tu veux pas remettre ça ? lui demanda-t-elle.— J’aurais pas dû... J’ y vais.
Il y eut un gros moment de malaise. Pour emporter la décision, elle enleva son déshabillé.
— Bon, Tom, tu me ramènes ?
Tom hésitait.
— Si ta copine sait ça...
L’argument de Simon sembla porter. Il résonnait comme une menace.
— Ouais, on y va.— Mais elle n’en saura rien ta copine. En tout cas, c’est pas moi qui lui dirais. Vous non plus les garçons.— Ça finit toujours par se savoir...
Tom se leva, visiblement à regret.
— Chou, retiens tes amis !— Ils sont grands, ils font ce qu’ils veulent, répliquai-je, peu désireux de les retenir.
Il n’y avait plus à insister. Ils firent la bise à ma femme qui essaya encore de les convaincre, puis saluèrent Yves qui, lui, avait bien décidé de profiter de l’occase.
— Amusez-vous bien, lança Tom à Yves en quittant la terrasse.
Je raccompagnai mes potes à la porte, les remerciai encore.
Quand je revins, Alicia suçait déjà le jonc d’Yves qui se délectait de la situation, un verre à la main et sa queue bien en bouche.
— Chéri, va chercher du gel.— Vous devriez rentrer. On va vous voir.— Qui veux-tu qui nous aperçoive ?— Là, au-dessus.— Faudrait qu’il se penche, et ça à l’air d’être vide.
De fait, nous n’avions aucun vis-à-vis ; seul le balcon du dessus pouvait donner un aperçu sur la terrasse, à condition toutefois que le propriétaire ne se penchât point et que nous fussions à la limite visible par lui.
Je partis donc chercher le gel, mais eus du mal à le trouver. Ils avaient changé de position et, alors qu’elle était agenouillée sur un fauteuil, il lui mangeait le cul. Elle gémissait déjà.
— Amène-moi ta queue Yvon.
Il ne se le fit pas dire deux fois et répondit de fort bonne grâce à cette invitation.
— Chéri, lubrifie-moi le trou.
Je mis une noisette sur mes doigts et en enfonçai deux dans son anus, doucement. Pendant ce temps-là, elle graissait la queue de mon pote qui, il faut le dire, était équipé de la plus belle des manières.
— Enfile-moi, enfile-moi... que je vois si c’est aussi endurant que ferme.
Le gros zob entra lentement et Alicia commenta cette intromission avec force : "ouiiiii, ouiii gros... bon...".
J’étais désormais complètement excité. La capacité de cette nana à me rendre dingue et faire de moi ce qu’elle voulait était extraordinaire. J’avais oublié qu’un de mes meilleurs potes était en train de la foutre et je me rinçais l’œil tout en me faisant sucer.
Yves voulut la prendre dans la chatte. Je jetai rapidement les coussins des fauteuils sur le sol pour leur donner un peu de confort. Il la prit ainsi en missionnaire.
— Va chercher mon portable pour immortaliser la scène.— J’obéis à nouveau.
Libre de tout engagement, Yves ne vit pas d’inconvénient à ce que je filme ou photographie ses exploits, mais demanda qu’on ne filmât pas son vidage. On n’est jamais trop prudent.
Pendant qu’il la sautait, toujours en missionnaire, avec une belle ardeur, je fixais en image des gros plans de la pénétration, lui demandant parfois de se dresser sur ses bras pour que je voie mieux l’introduction du pénis. Alicia m’adressait des regards reconnaissants et reprenait ses gémissements dont je l’invitais à modérer les tonalités.
Je me prenais au jeu de ce reportage, pratique inédite pour moi qui me conduisait à dire à mon pote comment baiser ma femme.
— Tiens, tu te retires complètement et tu te remets lentement que je photographie à chaque étape de la pénétration, la tête du gland d’abord, puis tout le gland et toute ta tige jusqu’aux poils... redresse-toi un peu que je vois mieux... comme ça cool !
Je fis un plan assez long sur le lent va-et-vient du long pénis dans la chatte.
— Ça va tu mates bien ? dit Alicia.
Je répondis qu’en effet, je matais bien, mais une autre voix répondit en même temps que la mienne. Elle venait du dessus. Mais je ne compris pas ce qu’elle disait.
Je me reculai aussitôt et regardai vers le ciel. Yves se retira et fit de même.
Nous ne vîmes rien.
— Qu’est-ce qu’il y a ?— Y a deux petits salauds qui regardaient, penchés depuis le balcon du dessus.
Yves se redressa tout à fait, toujours bandant, et il gueula.
— Eh les p’tits vicieux, montrez vos gueules ou je monte vous chercher.
Si les gars avaient bien regardé Yves pendant qu’il grimpait ma femme, ils avaient dû apprécier sa large musculature qui impose le respect.
Un jeune mec apparut.
Alicia, elle était toujours allongée, jambes écartées.
— Alors tu nous espionnes ?— Ben vous faisiez du bruit... répondit le mec en rigolant.— Et ton pote, il est où ?
Le gars parla à quelqu’un qui nous ne vîmes pas, puis un autre jeune type apparut.
— C’est lequel qui se rinçait l’œil ? demanda Yves.— Celui de gauche. Dit Alicia qui se caressait la moule sans vergogne pendant ce temps-là, sous le regard attentif des deux jeunes vicelards.— Faut excuser Romain, il est puceau, ça l’intéressait !— T’es puceau, t’as quel âge ?— 20 ans...— Tu parles, t’as 19 depuis quinze jours ! rétorqua l’autre gars.— Ça te dirait de perdre ton pucelage ? questionna Alicia en glissant deux doigts dans sa chatte.
J’étais stupéfait. Si elle allait maintenant se taper les voisins...
Comme le mec ne disait rien, ne sachant pas si c’était du lard ou du cochon, Yves reprit d’un ton d’autorité et d’impatience.
— Bon ! T’as entendu ce que dit la dame ? C’est maintenant ou jamais. Tu participes ou tu disparais.— Et moi ? essaya le gars qui devait faire office de propriétaire.— T’es pas puceau, vous ?— Non.— Va jouer avec ta bite tout seul alors ! Et toi, le puceau, c’est pour aujourd’hui ou demain ?— Sérieux.— C’est maintenant ou jamais, on te dit.— J’arrive !
Il dut descendre quatre à quatre, car il fut là en un clin d’œil.
Il était grand, un peu gauche avec un visage qui aurait pu être beau s’il n’avait été déformé par un nez un peu gros et de travers. D’où, sans doute, son insuccès auprès des femmes...
Nous étions à l’intérieur pour ne plus être regardés à notre insu. Yves et Alicia étaient dans la chambre. J’y conduisis le puceau.
Yves baisait avec une ardeur renouvelée, comme pour compenser son interruption, en levrette.
— Amène ta bite que je te suce.
Le jeune homme approcha sa teub de la bouche d’Alicia.
Yves est un adorable garçon beaucoup plus doux et sensible que sa carrure et son abord rugueux le laissent supposer. Il prit le débutant en pitié et l’initia toute la soirée aux plaisirs charnels avec ma copine, me réduisant, le plus souvent au second rôle dans ce premier plan à quatre de mon existence.
A suivre
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