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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 17

Cocu mécontent 4

Hétéro
Nous étions assez fatigués et sans perdre de temps, mais sans se précipiter non plus, nous nous vidâmes les couilles.
Satisfaite de cette petite tournante, Alicia proposa à boire à mes deux comparses. Romain accepta, mais partit assez vite.
— Tu rejoins ton pote ?— Je récupère juste mes affaires et je file. Faut que je rentre ce soir.— Tu n’habites pas là ?— Non, c’est aux grands-parents d’Eliott. Ils lui prêtent quand ils sont en vacances, on passait la soirée ensemble. Moi je dois y aller.
Après une douche et un repas frugal, nous nous mîmes au plumard, Yves dans le canapé du salon, ayant pris rendez-vous le lendemain matin, au réveil quand "le piquet de tente serait bien dressé".
Il devait être quatre heures du matin quand je me réveillai. J’étais seul dans le lit. Je soupçonnai aussitôt qu’elle était allée rejoindre Yves. Mais non. Il ronflait seul, les draps défaits, le sexe à l’air bien au repos.
Alicia n’était pas dans l’appartement. Je retournai dans la chambre. Son portable était là. Je décidai donc de me recoucher, pas tranquille quand même.
Elle revint un quart d’heure après environ.
— Putain, mais tu étais où ? Je m’inquiétais.— Je ne dormais pas, je suis allée me rafraîchir sur la terrasse. Le gras du dessus était seul, alors je les ai rejoints.
Je calculai qu’elle y avait passé une heure à peu près, ce qui mettait le garçon au rang des endurants. Heureusement qu’il n’était pas chez lui et devait repartir.
Yves, lui ne fut pas pressé de s’en aller et resta aussi longtemps que possible dans l’espoir d’être invité à se vider les burnes. Le courant était passé rapidement entre les deux, le garçon état un vrai bourrin et très chaud de la bite. Il ne se fit donc jamais prier quand Alicia l’invita à revenir. Fort heureusement, la distance l’empêchait de rappliquer autant qu’il le voulait.
J’avais espéré qu’il en serait autant de ses autres amants. De fait, elle ne garda que les plus motivés, ceux que ma présence n’indisposait pas, ceux qu’elle préférait et qui venaient aussi souvent qu’elle les appelait, mais à l’improviste, c’était plus rare. La fréquentation étrangère diminua donc un peu, mais les habitués ne manquaient jamais de s’arrêter quand ils étaient de passage et elle eut vite fait de se constituer un nouveau vivier qui s’accroissait de semaine en semaine.

Le problème, quand les anciens venaient, les habitués qui habitaient au loin, c’est qu’elle les gardait pour le week-end et elle passait le plus clair de son temps au pieu. Je pouvais me joindre évidemment, encore que quelques fois, elle réclamait un moment d’intimité avec l’une ou l’autre de ses plus anciennes pratiques. Je découvris que si la plupart des aficionados étaient trentenaires comme nous, certains pouvaient être beaucoup plus âgés, ce qui motive le plus Alicia n’étant pas les ans, mais la rigidité de la queue et le temps qu’elle se maintient ainsi bien raide. Si elle a une prédilection pour les gros sexes, elle n’hésite pas entre une grosse qui bande mou et crache sa sauce en vingt minutes et une petite dure comme un pic à glace et qui trique au moins trois quarts d’heure.
D’ailleurs, si j’avais avalé ma jalousie et ma fierté, le manège commençait quand même à me peser. J’en étais bien sûr partiellement responsable, car je ne répondais pas toujours à l’appétit sexuel illimité de ma concubine. Une journée sans cul, c’est impensable pour elle, et plutôt deux fois qu’une. Je suis incapable de suivre le rythme.
Il m’arrivait de plus en plus fréquemment de décliner.
— Chéri ! C’est untel ! Tu te joins à nous ?— Non pas aujourd’hui, amusez-vous sans moi.
Et je les laissais pour aller faire du sport, voir mes potes ou faire des courses. Il m’est arrivé, plus d’une fois de partir de longues heures et de trouver, en rentrant un garçon autre que celui que j’avais croisé en partant, un ou deux...
Les choses au final ne tournaient pas comme j’avais pensé pouvoir m’en accommoder. Je m’étais dit que, un garçon de temps en temps, une heure ou deux pendant le week-end, c’était acceptable et, même, qu’un plan à trois à l’occasion n’avait rien de désagréable.
Mais là, c’était trop. Tous les deux ou trois jours déboulait un mec, et les samedis et dimanches, c’était presque non-stop. La liste des élus s’allongeait à tel point que les erreurs de planning se multipliaient et qu’il arrivait de plus en plus souvent que deux mecs vinssent en même temps ou qu’un arrive quand l’autre était dans la place. Il n’y en eut aucun pour s’en formaliser d’ailleurs, bien au contraire. Un livreur de pizza, un facteur moche et bedonnant, mais monté comme un âne et vicieux en diable, un gars rencontré dans un bar, le pompier qui vendait les calendriers et j’en passe...
J’avais bien essayé de demander à Alicia de diminuer le rythme et elle l’avait promis, sans le faire. Cela devenait insupportable. C’était l’hôtel du sexe et je m’étonnais de la discrétion des garçons, car sur les réseaux sociaux, on aurait pu passer pour un lupanar et acquérir une réputation... sans doute méritée.
Le coup de grâce me fut donné par Rodolphe, un black gigantesque, haut comme un basketteur, musclé comme un bodybuildeur, un colosse de chair dont j’avais entendu parler et qui, fort heureusement, habitait à l’autre bout du pays. Il s’invita pour un week-end. A 10 h20, il était à l’aéroport, à 11 h 15 à poil dans le lit.
Il était autoritaire et me traita dès le départ comme si c’était lui le copain d’Alicia, tolérant ma présence seulement au point que je ne pus participer aux retrouvailles qui durèrent jusqu’ à quinze heures. Il exigeait qu’Alicia fut à dispos dès qu’il serait en état de bander à nouveau et, pour ne pas rater l’événement, il fut décidé qu’ils resteraient entièrement nus tout le week-end.
Vers 17 h 00, deux gars sonnèrent à la porte et entrèrent sans façon en m’écartant avant que je leur demande qui ils étaient et checkèrent avec Rodolphe qui se contenta de me dire : "deux potes". Il ajouta à leur adresse : "V’nez les p’tites bites, c’est par là". Comme je suivais, il précisa : "Toi le gros cocu, tu restes là. T’auras ton tour ce soir".
Je laissai donc faire et, au bout de dix minutes, lassé d’entendre les cris du quatuor, je sortis me vider la tête.
Lorsque je revins, les deux types étaient partis et le couvert mis pour trois. C’est Rodolphe qui cuisinait, toujours nu sous son tablier.
Il fut aussi charmant pendant cette pause gastronomique qu’il avait été odieux avant. Il fixa son dress code à tout le monde, nudité intégrale. Il sut établir une réelle complicité, parlant de sexe avec le plus grand naturel possible, évoquant ses conquêtes, sa rencontre avec Alicia, m’amenant à parler des miennes.
Enfin, après ce repas, d’ailleurs excellent – "Il cuisine presque aussi bien qu’il baise", me précisa Alicia"- je fus autorisé à me joindre au couple.
Le gars était moins bien monté que je ne l’eusse cru, même si sa queue n’avait rien à envier à celle de la plupart de nos congénères et dépassait la mienne en longueur et en épaisseur. En revanche, il était vraiment, comme je l’avais déjà remarqué, très baraqué, avec une tête de plus que moi quasiment et une musculature impressionnante que sa nudité me permettait encore plus d’observer... et je ne suis pourtant pas un gringalet. Mais à côté de lui, je faisais petit.
Ce fut lui, cela va sans dire qui dirigea les manœuvres et il imposa sa loi. Il me prit d’abord comme spectateur et, pendant une quarantaine de minutes, il baisa ma femme devant moi, me donnant conseils et invitations, dont celle de me branler avec lenteur.
— Tu l’as déjà baisée comme ça ? Tu vois comme elle est chienne. C’est ce que j’aime chez elle, aucune retenue pour le sexe... elle kiffe vraiment ça... Toujours la chatte ou la bouche en feu ou son trou de balle... Une vicieuse qui sait tout faire et le fait bien... Tu l’as déjà grimpée comme ça ? T’as déjà vu des mecs la déboîter comme ça ? T’entends comme elle couine ? Tu la fais jouir cette pute ? Allez viens te faire sucer pendant que j’l’encule !
Il la prit ainsi dans toutes les positions devant moi.
Enfin, il jouit en elle, bruyamment, et, dès qu’il fut retiré, il m’ordonna de prendre sa place. Je la pénétrai donc.
— Regarde mon jus qui s’barre du trou. Ramasse avec ton nœud et refous- la ! Ouais... Bon garçon...
Et pendant que je m’exécutais sans rien dire en recouvrant mon gland de la semence de ce quasi-inconnu, il se fit rincer le sien, puis il prit ma place dans le fauteuil et, de là, nous recommanda telle ou telle position.
Evidemment, j’eus moins d’assurance que lui et, par conséquent, moins d’endurance aussi, ce qui me valut quelques commentaires sur l’art de bien baiser.
Tout cela nous emmena fort tard et Rodolphe clôtura la session ainsi : "Putain, j’suis claqué moi. Besoin de recharger les accus... Dodo... T’inquiète pas, dès qu’on remet ça demain matin, on t’appelle".
J’étais ainsi relégué au salon où le canapé me tendait les bras, car le lit, s’il supporte une promiscuité à trois ou plus pour niquer, devient un peu étroit pour y dormir à trois, surtout quand l’un des trois est une armoire à glace.
Je me laissai donc faire, chassé de mon propre pieu sans mot dire où ma femme allait passer la nuit avec un mec donc je ne connaissais à peu près rien d’autre que les prouesses sexuelles.
Je dormis par ailleurs comme un bébé, réveillé seulement par les gémissements de ma femme. J’avais ma solide gaule du matin et j’entrai donc dans la chambre, bien décidé à me joindre au couple, comme on me l’avait fait espérer la veille...
A suivre
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