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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 18

Cocu mécontent 5

Divers
Il n’en fut rien. Allongé sur le dos, chevauché par ma femme qui dansait sur son sexe et lui tournait le dos, empoignant les mamelles de ses mains prédatrices, il me renvoya à la dure réalité de simple comparse.
— On a commencé sans toi... j’avais une telle gaule... elle s’est jetée dessus comme une morte de faim... D’ailleurs, tu files nous préparer le p’tit dej, parce que lui bouffer le cul, ça va pas me nourrir.
Et il passa sa commande.
Frustré, je fis pourtant ce qu’on me demandait et préparai ce qu’il m’avait demandé. Quand une bonne odeur de café se fut répandue dans l’appart, ils apparurent en sueur. Rodolphe bandait toujours.
— La salope veut de la crème dans son café... tu le crois ça ? dit-il en se branlant au-dessus du bol.— C’est gâcher deux bonnes choses ! répliquai-je ?— T’as raison mon cocu... t’aimes le sperme ?— Non, pourquoi ?— Comment tu sais que c’est une bonne chose alors ?— Je disais ça comme ça.
Mais il ne m’écoutait plus. Le sperme fusait dans le bol, en s’y diffusant et coulant avec lenteur.
— Tu bandes plus toi ?— Non ! Préparer le p’tit dej, c’est assez peu érotique.— Allez, vas-y, encule-la, elle est chaude là !— Pas maintenant... je me garde pour plus tard.— OK mec. Comme tu veux.
La fin de la matinée fut consacrée à une sortie, balade à pied, pendant laquelle ils se tinrent souvent par la main, quand il ne la prenait pas par la taille, de sorte qu’on aurait pu croire que c’était moi l’ami du couple et cela me fit plus de mal que de le voir en train de la sauter.
De retour à l’appart, nous fîmes l’amour évidemment.
Je dois reconnaître qu’il savait y faire et, lorsque nous la prîmes en double, moi en dessous et lui au-dessus, nos queues dans le même trou et, lui, imprimant le rythme, en se cramponnant à mes épaules, la femme écrasée et suppliante entre nos deux corps et le poids combinés de ces deux masses sur moi, je trouvai cette intimité ma foi bien agréable.
Bref, il avait pris un ascendant qui devait finir avec ce week-end. Nous n’allons plus tarder à le voir partir, son train n’allait pas l’attendre.
Alicia devait l’emmener à la gare.
Au moment de nous quitter, alors qu’il était sur le seuil, il me lança : "Bon ben à dans quinze jours" !
— Ça va pas être possible ! On part en vacances. Répliquai-je avec un sourire entendu.
J’étais assez satisfait, en effet, de lui signifier ainsi qu’il n’était pas chez lui, mais Alicia me ramena brutalement à la réalité.
— Ben, Minou, Rodolphe vient avec nous.— Quoi ? répondis-je en criant.— Oui. On a décidé ça ce matin. J’t’en reparle tout à l’heure. Bisous mon ange. Je t’aime !
Et elle ponctua cette dernière phrase d’un bisou furtif déposé sur mes lèvres. Lui exultait, d’un air de dire : "j’t’ai bien eu gros cocu".

A son retour, je ne pus m’empêcher de lui faire la gueule. Et elle s’emporta.
— On n’avait dit pas de jalousie, rien d’exclusif.— Tu rigoles ! Jusqu’ici, j’ai bien rempli ma part du contrat, non ? Mais là, quinze jours où il va se comporter en conquérant... Sans me demander, sans me prévenir...— Et quoi ? Tu préfères que je me tape les premiers venus quand on sera là-bas, ou que j’emmène un compagnon sur place !— Parce que cela vous empêchera de faire venir d’autres mecs ? Mon cul oui !— Si tu n’es pas d’accord, tu connais nos conventions !
La menace était claire. Il y eut un long moment de silence.
— Allez, tiens, pour te décider, je te promets d’être sage. Que toi pendant quinze jours, jusqu’aux vacances. Tu vois, j’y mets de la bonne volonté.— Que moi... tu parles !— Promis... dit-elle en s’approchant lentement de moi et en ouvrant son corsage. Tout ça que pour toi.
Comment résister devant cette opulente et ferme mamelle ? Je plongeai ma tête entre les deux obus bruns aux tétons bien gonflés au milieu des aréoles rose foncé et j’y sentis encore l’odeur de l’homme, l’odeur de l’autre qui l’avait couverte jusqu’au dernier moment, avant de partir.
J’étais foutu, je cédai tout, je promis tout, j’abandonnai tout.
Evidemment, pendant ce séjour, Rodolphe fut égal à lui-même, dominateur, directif, impérieux. Paradoxalement, j’avais l’impression de lui être plus soumis que ma femme ne l’était. Peut-être avais-je un complexe et reconnaissais-je qu’il avait pour les choses de la baise, une nette supériorité sur moi.
Bien sûr, notre ménage à trois se fit rapidement remarquer et nous suscitâmes les envies d’autres mâles, mais Rodolphe était prudent.
Pas envie d’attraper la chtouille ou une autre saloperie avec le premier venu. Et moi je baise no capote ! Pas négociable.
Cette sagesse m’arrangeait et je ne suis pas sûr que, sans lui, Alicia aurait eu la même prudence, même si elle faisait attention à sélectionner des mecs clean, ayant par deux ou trois fois dû avoir recours à une antibiothérapie après le passage de garçons peu scrupuleux. Mais, mon expérience avec elle me montrait qu’elle fonctionnait encore parfois au seul feeling.
Par contre, je n’étais pas à l’abri d’une rencontre "amicale" puisque Alicia et lui avaient déjà fréquenté cet hôtel et cette île paradisiaque où, selon les dires de Rodolphe : "la blenno est plus répandue que les moustiques".
Bref, nous étions là depuis quatre ou cinq jours et je me retrouvai encore complètement soumis, comme si j’avais été l’accompagnant et pas le conjoint. A tel point qu’il était fréquent qu’on les prit pour mari et femme.
La nuit était chaude, dans tous les sens du terme, et je me retrouvai encore à faire ce que l’on m’indiquait.
Nous étions en 69 et je léchai la chatte pendant que Rodolphe sodomisait ma compagne, méticuleusement, à grands coups de queue, lents et puissants.
Ses gros testicules pendants ballottaient au-dessus de mon visage, et s’y heurtaient bien des fois.
— Bouffe-moi les couilles, Lucas !— Quoi ?— Bouffe-moi les couilles pendant que j’encule ta meuf gros cocu !— Sûrement pas ! C’est pas mon truc. T’es malade ou quoi ?— Bouffe mes roustons, j’te dis !
Il avait employé un ton sec, ne souffrant pas la réplique, et y avait joint une pression ferme de tout son corps assis sur ma tête. Il m’était impossible de me dégager.
J’eus beau résister, rien n’y fit, d’autant qu’Alicia se joignit à lui.
Je finis donc par gober les testicules lisses en surmontant un dégoût, qui d’ailleurs, s’estompa vite. Cela ne me faisait en définitive ni chaud ni froid. Ses burnes étaient lisses, propres, sans goût particulier.
— Mieux que ça ! Applique-toi.
Je n’y mettais, il est vrai, aucun cœur à l’ouvrage.
— A genoux tous les deux ! commanda-t-il avec impatience.
Je ne fus pas fâché de me libérer de l’étreinte et on ne m’y reprendrait pas de sitôt.
— Sucez-moi la queue !
Là, il n’en était pas question et j’essayai de me relever, mais il me rejeta au sol avec une force qu’il m’était impossible de combattre autrement qu’en déclenchant une bagarre ouverte, dont je n’avais aucune chance de sortir victorieux.
— Oh oui minou, suce-le, tu vas voir, c’est bon et puis j’adorerais te voir faire.
Je n’aurais pas dû, mais j’ai accepté et là, je n’ai jamais pu m’y faire, mais dorénavant, je ne pouvais plus lui échapper, et notre partie fine devint pour moi un supplice supplémentaire. Non seulement je le voyais faire jouir ma femme, mais je devais aussi l’amener, lui, à la jouissance. Il ne s’arrêta pas là. Je dus bien sur lui bouffer la rondelle : tu bouffes bien celle de ta femme" ! Mais je refusai de me faire sodomiser et dus menacer de partir sur-le-champ pour y échapper. Ce fut mon seul moment de révolte, mais il vint trop tard.
De retour en France, un peu déboussolé par cette aventure un peu bi, je n’eus même pas le temps d’être soulagé.
— Rodolphe va venir habiter avec nous deux ou trois semaines.— Pourquoi ?— Il change de boulot ; il se rapproche.— J’suis pas chaud.— Deux ou trois semaines. Après il part.— Bon, OK.
La présence de Rodolphe fut, d’un côté salutaire puisque, lui, choisissait les amants de ma femme. Il y eut donc moins de visites. Cela ne veut pas dire moins de baise. Il l’enfilait tous les jours, dormait avec elle et m’obligeait souvent maintenant à le sucer, ce que je faisais toujours avec répugnance bien qu’ils m’eussent familiariser au goût du sperme puisque Alicia m’embrassait souvent à pleine bouche après avoir pompé l’autre gros connard jusqu’au jus.
Nous arrivions au bout de la deuxième semaine et j’avais obtenu qu’il se barre définitivement à ce moment-là. C’est là qu’il voulut une fois de plus me sodomiser et j’usai du même argument.
— Pas question. Je préfère me casser.— Eh ben casse-toi. Ce fut sa réponse.
J’étais chez moi et le lui fis savoir, et appelai Alicia à l’aide.
Elle ne me fut d’aucun secours. Elle me dit que j’allais en éprouver beaucoup de plaisir, que se faire prendre le cul, c’était l’éclate totale, et tous les arguments possibles et imaginables.
J’étais coincé. Prendre une queue ou prendre la porte.
J’ai pris la porte.
Je n’ai jamais revu Alicia ni Rodolphe. J’ai juste su qu’il était parti quelque temps après moi et, depuis, j’ignore ce qu’ils sont devenus.Quant à moi, je suis resté longtemps célibataire avant de me caser avec une fille fidèle... du moins je le crois.
Fin de "Cocu mécontent".
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