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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 19

L'Afrique, ça déménage partie 1

Avec plusieurs hommes
-      Pousse, mais pousse, merde..-      Mais je fais que ça mon chou.-      Attends… encore… plus fort…-      J’en peu plus… on attend Doriane.-      Putain… A ce train là, on n’a pas fini.

La porte de l’escalier s’ouvrit.
-      La voilà.
Mais, en fait de Doriane, c’est un black gigantesque qui apparut dans l’escalier. On aurait dit qu’il en occupait toute la cage.
-      Je peux vous aider ? demanda-t-il avec un fort accent.
Avant qu’on lui réponde, il avait pris ma place, soulevé le canapé et, deux minutes après, celui-ci était à sa place dans le salon.Mickaël, mon mari, remerciait notre sauveur quand Doriane apparut, deux grosses caisses dans les bras.
-      C’est qui celui-là ?-      C’est un voisin… il vient de nous aider à monter le canapé.-      La vache… belle pièce.
Doriane n’est pas discrète, c’est le moins que l’on puisse dire. Le black dut l’entendre et se retourna avec un large sourire. La tête absolument consternée de Mickaël me confirma le fait que ma meilleure pote avait été comprise.
Les présentations furent faites.

Kenjo était camerounais et notre voisin du dessus. Il nous expliqua que l’ascenseur était tombé en panne l’avant-veille pendant l’orage. Cela nous rassura car l’immeuble dans lequel nous venions d’acheter notre appartement venait d’être livré. Kenjo nous expliqua qu’il louait un appart à l’étage supérieur.
Il nous proposa de continuer à nous aider. Il était en location avec trois de ses cousins. L’un était là et ne demanderait qu’à nous aider. Il ne nous laissa pas le choix et très vite nous eûmes deux paires de bras en plus, puis trois, puis quatre quand les deux autres cousins arrivèrent, presque à la fumée des cierges pour le dernier. Yembé, Masango et Lawal formaient la famille de Kenjo, trentenaire légèrement barbu. Ses cousins étaient plus jeunes, atteignant peu ou prou les 25 ans.
Les mecs étaient taillés en force, deux mètres facilement et musclés au-delà de toute mesure, trois d’entre eux travaillant dans le bâtiment, le dernier, Yembé, étant vigile.Doriane ne tarissait pas d’éloges assez peu distingués auxquels les mecs semblèrent n’être pas indifférents. Il faut dire que c’est un cas Doriane. C’est ma meilleure pote. On a grandi ensemble à deux maisons d’écarts. Elle a été élevée au milieu de six garçons et elle a la double casquette de conductrice d’engins et de grutière. Elle s’est ainsi forgé une carrure qui la rend assez peu féminine mais plutôt hommasse, d’autant qu’elle l’entretien par plusieurs heures à manier de la fonte dans une salle de sport, quand elle ne donne pas des cours de self-défense…. Qualités utiles à un déménagement. Elle était la seule à être venue quand tous les autres potes s’étaient décommandés en dernière minute. Si elle a un physique de rugbyman, rendons lui justice, elle a un ravissant visage qu’éclaire un sourie dont elle n’est pas avare et si ses bras, ses épaules et ses jambes ont plus de volumes que les miens et ceux de mon mari réunis, elle a une paire de seins qui ne laisse aucun doute sur son sexe. Ils sont gros comme les godets de sa tractopelle.
Et elle aime les hommes sans le leur cacher et elle s’engagea dans une opération de séduction avec nos quatre nouveaux voisins.Du coup, le déménagement fut terminé beaucoup rapidement que prévu. Mickaël ne put pas faire autrement que d’inviter tout le monde à pendre la crémaillère quand nous aurions défaits les cartons et pris nos marques. Date fut prise pour le samedi en quinze.
Doriane vint nous aider à préparer un apéro dînatoire plantureux. Elle s’était mise sur son trente-et-un à elle, c’est à dire presque comme une pute en chasse.
-      Putain ma Louloutte, dis à ta copine de se tenir.-      Tu la connais…-      Ouais… mais là… Elle va nous en draguer un…-      Ils sont grands… ils font ce qu’ils veulent.-      OK…Mais l’image… Qu’est-ce qu’ils vont penser ?-      Celui avec qui elle va passer la nuit, que du bien… et puis, on n’est pas ses parents.-      Qu’est-ce que vous dites les p’tits loups ? dit l’intéressée en entrant dans la cuisine.-      Micky pense que tes intentions sont… voyantes…-      Ah mais complètement ! J’assume… ils sont beaux… la nuit va être chaude…-      Et tu as jeté ton dévolu sur lequel ?-      Les quatre…
J’éclatai de rire pendant que mon chéri levait les yeux au ciel.
Nos quatre men in black arrivèrent à l’heure. Ils étaient tous habillés en noir, pantalon en coton, ceinture et T-shirt cols en V qui les moulaient tous très avantageusement. Ils avaient apportés des fleurs et l’un d’entre eux avait amené, comme il s’y était engagé, un punch, le tout de son cru, dont l’arôme avait déjà envahi tout le couloir.
On avait dégagé tout le salon, poussant les meubles contre les murs, où se dressait le buffet, laissant de la place pour un dance-floor que Doriane nous avait réclamé à corps et à cris.
 La conversation fut animée rapidement. Les quatre gars étaient sympathiques, drôles ,dynamiques.
Je remarquai assez vite qu’ils buvaient assez peu d’alcool, malgré l’excellence du breuvage apporté. Doriane aussi, dont la descente est proverbiale, séchait un peu.
-      Tu comprends, je m’économise… si je suis trop bourrée…je ne pourrais pas l’être... tu comprends ?-      Oui, oui, j’ai compris. Quel jeu de mot spirituel !
Elle passait de l’un à l’autre en sec collant littéralement à eux, posant sous un air faussement négligé, ses mains sur les biceps, sur les pectoraux et dans le bas du dos jusqu’aux limites de la décence.
-      Mais elle les drague ouvertement ! me fit mon mari lors d’un réassort dans la cuisine.-      C’est plus fort qu’elle !-      Je me demande bien avec lequel elle va s’envoyer en l’air. Ce n’est pas une bonne idée de lui avoir laissé la chambre d’amis.
Quant à moi, je commençai à ressentir une certaine ivresse et à trouver que nos hôtes me frôlaient de plus en plus.Lors d’un autre passage dans la cuisine, ces mecs bouffent comme quinze, Micky reprit.
-      En fait je ne me demande plus avec qui elle va coucher…-      Ah bon, tu sais ?-      Je me demande avec qui, elle ne va pas coucher. Elle les pelote quasiment tous maintenant.-      Ils n’ont pas l’air d’en être choqués…-      Tu m’étonnes.
La soirée s’avançait, toujours chaude. Parfois on allait prendre un peu d’air sur le balcon sans se gêner, les appartements n’étant pas tous occupés, loin de là. Personne en dessous, à gauche ou à droite et ceux du dessus étaient chez nous.
Les quatre gars avaient mis au point un petit manège que je mis du temps à repérer. L’un après l’autre, ils s’entretenaient avec mon homme, remplissant son verre, quand le leur était presque vide. Mickaël buvait beaucoup. Je lui en fit la remarque gentiment, plus pour le prévenir qu’autre chose, car il a le vin gai.
Mais on avait atteint ce point où le buveur croit encore pouvoir contrôler une situation qui lui a déjà échappé. Il en serait quitte pour un bon mal de tête le lendemain matin. D’ailleurs je n’étais guère mieux. On avait commencé à danser.  Doriane se frottait contre nos invités toujours coincée entre eux, l’un plaquant son bas ventre dans la raie de son cul et l’autre lui écrasant les nichons presque à baver dessus. Mickaël en riait désormais de bon cœur, se joignant même à la fête mais en titubant un peu, ce qui m’amusa. Quand il ne dansait pas, un black lui resservait à boire. La cuite était inexorable. Moi je dansais, trouvant les gestes de mes cavaliers successifs bien un peu osés. On me collait de plus en plus, les mains commençaient à se coller sur mes fesses, je me dégageais doucettement mais laissait revenir les garçons qui à chaque fois gagnaient du terrain, les lèvres dans mon cou étant presque à me toucher. Mais tout était dans la mesure et la finesse, aucun geste brusque ne venant provoquer une réaction négative. En fait je m’asmusais comme une folle, contente pour une fois de me lâcher un peu.
Je ne vis pas le temps passer et tout à coup, j’eus, comme ma copine, deux garçons autour de moi, Yembé et Lawal.Doriane était prise en sandwich les mains des danseurs circulant sur tout son corps, celui de derrière n’hésitant pas à lui mettre ses paluches sous les seins.
Je cherchai mon mari du regard. Il n’’était pas là.
Je sortis de la pièce et le retrouvais affalé sur notre lit. Ivre mort, il ronflait, la chemise ouverte.

Je retournai dans le salon. Yembé m’offrit un verre que je pris avant de réfléchir. Le punch sortait du frigo, i  était frais, il faisait chaud, j’ajoutais à mon ivresse.
-      Et toi, tu vas pas de coucher ? me demanda Lawal.-      Non, je ne suis pas fatiguée… on danse encore un peu.
On transpirait tous. Doriane, enleva son chemisier. Elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses grosses mamelles se balancèrent avec obscénité. Kenjo, qui lui faisait face, enleva son T-shirt, mouillé sous les bras. Son torse recouvert de poils frisoté, luisait.
Les trois autres gars en firent autant. Désormais quand je mettais ma main sur les épaules ou dans le dos, j’avais leur peau à vif, perlée, odorante. Je perdais le contrôle de mes sens.
-      Enlève ta robe ! me fit Doriane.-      T’es folle !-      Enlève… t seras mieux.
C’est vrai qu’elle me collait.
-      Si Mickaël me voit comme ça...-      Tu parles, il est rond comme une queue de pelle… d’ici qu’il se réveille.
Je résistai mais Doriane prit les choses en mains en je me retrouvai vite en petite culotte et en soutien-gorge. Doriane fit tomber sa jupe. Elle portait un string quasiment transparent.
Les gars étaient de plus en plus entreprenant et il n’y avait pas à s’y tromper. Quand ils me collaient, je sentais leurs bites… dures, si dures… et Mickaël qui dormait à côté…
Doriane avait cessé de danser. La tête penché en arrière, elle embrassait goulûment Masango pendant que Kenjo lui mangeait les seins. Une main dans son string s’agitait frénétiquement. Je m’arrêtais.
Je regardais la scène pendant que les deux mecs continuaient à se balancer autour de moi, l’un scotché contre mo dos, l’autre, décalé, la joue contre ma joue avec ses mains sur ma taille.
Doriane  en me regardant d’un air lascif, se détacha du mec qui la palochait, se mit à genoux, défit la ceinture de Kenjo pendant que Masango prenait l’initiative de s’occuper de la sienne. De fait, plus rapide que Doriane, il fut le premier à libérer sa grosse queue. Je n’en avais jamais vue de pareille.
Celle qui se libéra comme un ressort trop tendu quand ma copine baissa le pantalon de Kenjo était de même dimension. Doriane la prit et la porta à sa bouche. J’étais interdite, ne comprenant pas necore que le même sort m’attendait évidemment.
Le gars dans mon dos défit son futal et me colla sa queue au cul dans un geste parfaitement synchronisé avec Lawal qui me mit sa main entre les jambes.
Sortie de ma stupeur en sursaut, je criais violemment : "bas les pattes" au deux mecs, qui se retirèrent immédiatement, sasn insister, ce don je leur sus immédiatement gré.
Mon cri interrompit Doriane qui vint aussitôt à moi suivi des deux gars qui continuèrent à la peloter sans ménagement pendant quelle me parlait, pas gênés pour deux sous d’exhiber leurs sexes tendus devant moi.
-      Ben qu’est-ce qu’il te prend ma chérie.-      Ben enfin… ils m’ont... c’est… enfin non…Tu…. Tu… Tu fais ce que tu veux Dodo, mais… là, je….moi, je suis mariée… je peux pas… c’est pas possible… tu déconnes là….-      Bah ! Laisse-toi faire, c’est juste un plan baise comme ça en passant... tu vas voir c’est super cool.-      Mais Mickaël…-      Il est bourré, il pionce, il s’en fout… il n’en saura rien…-      Mais je ne veux pas… le tromper.-      Mais qui te parle de ça ? C’est juste un petit plan cul ce soir, je te dis… tu t’éclates avec ces quatre taureaux et c’est tout…sans lendemain… laisse-toi aller ma poupée, t’en as besoin. J’suis sûr que t’as pas baisé depuis des lustres.
Elle avait raison sur ce point, mais je ne lui confirmais pas.
Tout en parlant, elle était venue à moi et dégrafait mon soutien-gorge.
-      Qu’est-ce que tu fais ?-      Laisse-toi aller… tiens, regarde comme ils sont doux.
Je regardai derrière moi, un peu affolée, et sans rien voir à cause de l’imposante stature de Yembé qui, pour s’être écarté ne s’en tenait pas moins très proche de moi. Elle interpréta mon geste comme il devait l’être.
-      Détends-toi cocotte, il dort, et il ne le saura jamais. Ces messieurs sont des gentlemen. Ils ne diront rien, juré !
Un "juré" sonore, vibrant, puissant, déterminé, sortit unanimement et simultanément de la bouche de mes quatre déménageurs qui comprirent que le sort de la soirée se jouait sans doute en grande partie sur leur discrétion à venir.
Doriane saisit mon hésitation et continua son emprise pour me circonvenir. Elle prit la main de Yembé qui était resté derrière moi mais sans me toucher et la posa sur mon sein, en appuyant fermement. Forcément, ainsi tracté, le garçon avait dû suivre et sa verge me touchait à nouveau.Le contact de ma main sur mon téton, m’électrisa car, au fond, le spectacle m’avait excitée plus que je n’aurais voulu l’admettre. Je me rendais compte que j’avais trop bu et que ma volonté n’était que de façade. J’étais en train de craquer.

-      Aller, donne-moi ta main !
Elle me la prit et la conduisit sur le sexe de Lawal.
-      Branle-le.
Je résistai un peu mais la poigne de Doriane est plus solide qu’un étau.
-      Branle-le, allez, prends sa bite, vas-y !
Pendant ce temps-là, Yembé s’était lentement mais franchement collé à moi et m’avait pris le deuxième sein sans que je proteste. Doriane maintenait toujours l’autre sous sa pression. Le gars était expert.
-      Bon maintenant, il va mettre sa main dans ta petite culotte, que tu as déjà mouillée d’ailleurs ma coquine... si si, ne nie pas !  et tu vas être sage, tu vas le laisser faire.-      Mais…-      Pas de mais… J’ai envie de baiser moi ! je ne vais pas m’occuper de toi pendant toute la soirée le temps que tu te décides à faire ce que tu crèves à l’évidence de faire ! Assez d’atermoiements !
Lawal mit sa main dans ma culotte. Je ne dis rien et il commença à me caresser le clitoris. Je ne fus pas longue à succomber au charme des mains qui m’entraînaient vers le plaisir. Je fermai les yeux et penchai la tête en arrière.
-      Bon, ça y est, elle est à vous. Faites-là bien jouir qu’elle n’ait pas de regrets.
C’est fou ce qu’un mec peut faire de ses mains. Et ceux-là ne savaient pas s’en servir que pour porter des charges lourdes dans un déménagement. Le gars qui me caressait les nichons le faisait avec une telle maestria que c’était comme si on me le faisait pour la première fois. Un mélange de douceur et de fermeté, de délicatesse et de violence, de sensualité et de sauvagerie. La main dans ma culotte n’était pas moins experte.
Je me laissais faire délicieusement. Quelqu’un avait coupé la musique te la lumière était désormais tamisée, mais je restai les yeux fermés. Je n’entendais plus que le souffle des garçons, les bruits de succion de Doriane et les gémissements étouffés des garçons qui laissaient échapper tout bas quelques mots dans une langue que je ne comprenais pas.
Je continuai de branler lentement Lawal, sans fantaisie, juste par de petits mouvements de va-et-vient sur le plus gros sexe que j’avais jamais tenu entre les mains. Il faut avouer que je n’étais pas non plus experte. Mickaël n’était, à 26 ans, que le troisième garçon de ma vie. Parfois, je descendais, attrapait la grosse paire de couilles qui pendaient.
Nous étions ainsi depuis quelques minutes, sans rien précipiter. Yembé était, comme les autres plus grands que moi, aussi n’eut-il aucun mal, comme j’avais la tête penchée en arrière, à jouer de la langue sur ma bouche avant de m’embrasser.
Pendant ce long et sauvage baiser, Lawal se mit à genoux, descendit ma culotte et se mit à me lécher la vulve. C’était si bon que je leur demandai moi-même de me porter vers le canapé.
Ils me soulevèrent et m’y déposèrent délicatement. J’écartai les cuisses et la tête de Lawal vint s’y intercaler. Il reprit ses mouvements de langues. Le plaisir était intense. Je ne pensais plus qu’à cela.
Debout, Yembé jouait avec son pénis qu’il tenait et promenait le gland sur mon visage, sur mes lèvres, sur le nez, les joues. Il me caressait du bout de son nœud. Il s’attardait très volontiers sur ma bouche presque entièrement close. Puis, il donna le premier ordre : "ouvre" !La grosse verge bien dure entra dans ma bouche.
A suivre.
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