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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 21

L'Afrique ça déménage 3

Avec plusieurs hommes
Il était presque 13 heures quand je me réveillais.

Mickaël n’était plus là.
Je me levai donc, un peu mal à l’aise, pleine d’appréhension.
Il était dans la cuisine.
-      Coucou ma chérie, tu vas bien ?
Il était de bonne humeur, c’était bon signe.
-      Oui mon chéri, et toi ?-      Un peu la tête dans le cul, mais j’ai ris ce qu’il fallait et je n’ai plus mal à la tête… putain, quelle murge ! A quelle heure ils sont partis ?-      Après deux heures.-      Putain ! Doriane n’est rentrée que depuis une heure. Elle en a passé du temps avec eux.-      Tu l’as vue ?-      Oui. Elle était dans un sale état. Elle a filé sous la douche et s’est couchée. Je ne sais pas quand on la reverra… pas avant ce soir.-      Elle reste jusqu’à 19 h 00, à peu près.-      Tu crois qu’elle se les est tapés tous les quatre ?-      Ben, je sais pas…-      Faut que je te dise, j’ai fait un rêve.-      Ah ?-      Vous aviez défait le canapé… il y en a deux qui s’occupaient d’elle et deux de toi.
-      Ah ?
Je ne savais plus où me foutre. Je m’occupais à me préparer un café pour ne pas soutenir son regard dans lequel j’avais peur de lire une accusation.
-      Elle se faisait sodomiser pendant que toi tu en suçais un et que l’autre te prenait en levrette.
Et il me décrivit la scène. J’en déduis qu’il avait tout vu mais je ne savais pas s’il feignait d’avoir rêvé ou s’il était encore trop soûl pour réaliser vraiment… mais cela collait avec le fait qu’il se soit couché dans le bon sens, enlevé sa chemise et son pantalon.
Quand il eut fini son récit, il me déclara.
-      Putain ça m’excite, regarde comme je bande.
Et il baissa son short.
Je n’avais pas envie de faire l’amour... du moins pas avec lui... si, à sa place, j’avais vu la belle queue de Kenjo... Pourtant il bandait ferme. Je préférais faire celle qui avait grave envie de sexe, depuis le temps que nous n’avions rien fait tous les deux...

Il me baisa sur la table, me bouffa la chatte puis me prit par derrière, debout, rapidement, moi penchée sur le meuble. C’était rare. D’habitude nous faisions l’amour au lit, parfois dans la salle de bain quand l’un croisait l’autre à poil… mais jamais dans la cuisine et encore moins sur le rebord d’une table.
Il se montra beaucoup plus vigoureux que d’habitude me donnant des grands coups et m’injuriant presque. C’était bien, très bien même mais moins bien que….
Et ainsi, pendant, qu’il me fourrait, l’image qui s’imposa à mon cerveau fut celle des quatre gars noirs… tellement mieux… elle ne s’imposait pas qu’à moi d’ailleurs.
-      T’as la chatte vachement élargie… ça prend de la place une grosse queue noire !-      Hein  ? Qu’est-ce que tu veux dire ?-      Rien ma petite cochonne, c’est mon rêve de cette nuit qui revient encore. Qu’est-ce qu’il vous mettait… jamais vu un truc pareil…
Puis, il me lécha la chatte et l’anus. La chatte c’était récurrent, mais l’anus, c’était la première fois…. Et je trouvais ça bon. Il se releva puis plaqua sa queue sur ma rondelle.
-      J’ai envie de te sodomiser… Tu veux…-      Ben, euh.. j’suis pas…propre… et on n’a jamais fait ça.-      Cette nuit Doriane le faisait bien… et elle avait l’air d’apprécier…. Pourquoi pas toi ?-      C’était un rêve… dis-je comme pour me persuader moi-même. A moins que ce nf fût un cauchemar.-      Fais-le, dis, fais-le ! dit-il en faisant pression…-      Non… pas maintenant.-      Ce soir ? ce soir hein ?
Il y mettait de l’insistance
-      Ce soir, comme ta grosse pute de copine qui se faisait mettre dans tous les trous.
Je cédais afin de dévier la conversation en lui lâchant ce qu’il désirait.
-      Oui ce soir.-      Promis.-      Promis.-      Te sodomiser comme l’autre grosse pute…
Il remit sa queue dans mon vagin.
-      Comme l’autre grosse pute, grosse pute…. Grosse pute…
Il répéta l’expression une bonne dizaine de fois en me pinant avec lenteur. Il retirait sa queue, la replongeait et quand il tapait dans le fond, il redisait : "grosse pute", tant et si bien que cela pouvait presque s’adresser à moi.
Puis il finit par éjaculer et s’essuya la bite sur mes fesses ce qu’il ne faisait jamais.
Après cette petite récréation Mickaël partit dans la pièce qui nous servirait de bureau. Elle avait été livrée avec une tapisserie qui ne nous plaisait pas. On allait la refaire.
Quant à moi, je me dédiais au ménage du salon encore occupé par les reliefs de la veille au soir.
Tout à coup, je réalisai que la chemise de mon mari était sur le dossier d’une chaise. Il ne l’avait pas enlevée dans la chambre, mais là. S’il l’avait enlevée là, il nous avait vu. Il n’avait pas rêvé… cela me rendait folle d’inquiétude… Si c’était le cas et qu’il se rende compte qu’il avait rêvé.
Je décidais de le sonder discrètement.
-      Tout se passe comme tu veux ? lui dis-je en passant la tête par la porte.-      Oui et toi ? Tu as fini ?-      Presque…-      Tu fais la lessive ?-      Ta chemise…-      Ah ?-      Elle était dans le salon. Pourquoi l’y as-tu mise ? demandais-je en essayant d’avoir l’air d’être la plus détâchée possible.
Il réfléchit un instant comme s’il hésitait dans sa réponse.
-      Ça a une importance ?-      Non… d’habitude tu mets tes affaires dans le bac à linge…-      Je ne me rappelle plus quand je l’ai enlevée…-      Je finis et je viens t’aider.
Je terminai par aller vider les poubelles. J’y tombais nez à nez avec Kenjo, en débardeur moulant,  très viril.
J’étais gênée. Il devait vraiment me prendre pour une grosse salope... mais je ne regrettais rien des moments passés avec lui. Nous échangeâmes quelques propos vides de sens puis il me dit de but en blanc.
-      On a passé une bonne soirée-      Ecoute, c’était une folie… on n’en parle plus.-      Et ton mari ?-      Quoi mon mari ?-      Il ne t’a rien dit ?-      Dit quoi ?-      Yembé l’a aperçu qui nous matait depuis la porte du salon cette nuit… moi j’ai rien vu car j’étais sous ta copine, et Lawal était dessus… ils n’ont rien vu non plus, ni Masango qui te prenait en levrette… tu n’as rien vu ?-      Non…
J’étais catastrophée.
-      Pour quoi Yembé n’a-t-il rien dit ?-      Ben ton mec se dessapait. Il a jeté sa chemise sur une chaise, puis il a sorti son zgueg mais il n’a apparemment pas réussi à bander… il a titubé et est parti.-      C’est ça… ça se recoupe….-      Ça recoupe quoi ?-      Il m’a décrit la scène…il croit avoir rêvé…-      Tu y crois ?-      Je sais pas.-      Tu reviens quand…-      Jamais… c’était un coup de folie, on oublie cela. Je file
J’étais dans l’escalier quand il me rappela. -      Au fait, Doriane t’a dit pour le bracelet de Masango ?-      Non, je ne l’ai pas vue.-      Il a perdu sa gourmette cette nuit.-      OK, je regarde.
Dès mon retour j’inspectais les lieux. J’avais passé le balai et l’aspirateur mais je n’avais rien entendu. Je regardai donc sous le canapé. Rien. Il fallait donc l’ouvrir, mais discrètement car comment expliquer si j’étais surprise que la gourmette se trouvait dans le plumard.
Au moment où j’allais le faire, Mickaël parut.
-      Tu cherches un truc ?-      Non, rien, enfin si, la gourmette de Masango. Il pense qu’il aurait pu la perdre en dansant.-      Et tu ne la trouves pas.-      Non. Il a dû la perdre ailleurs.-      A moins que Doriane ait voulu garder un trophée… dit-il avec une certaine pointe d’ironie.
Puis, il m’invita à l’aider dans la chambre. J’étais sûre que la gourmette était coincée dans le matelas, ou dans le drap. Je ne l’avais pas enlevé pour ne pas le mettre dans le bac à linge et que Mickaël l’y trouve…. Dans un sale état. C’est là que Doriane vint nous rejoindre peu après dix-huit heures.
Très vite, elle chercha à me parler discrètement, mais Mickaël nous collait. C’était difficile.
Elle arriva à me dire.
-      Comment ça va ? Yembé dit que Mickaël a tout vu.-      Oui, mais il croit que c’est un rêve.-      Ouf ! je t’avoue que j’étais super inquiète. J’ai failli redescendre mais comme Yembé m’a dit qu’il avait remarqué sans rien dire et qu’il avait même sorti sa bite…. Bon cool pour toi.-      N’empêche qu’il est bizarre… Il m’a fait l’amour sauvagement ce midi en faisant plein d’allusions, il m’a même claqué les fesses et il voulait me sodomiser.-      Veinarde.
Je passai sous silence qu’il l’avait traitée de grosse pute et que j’avais eu l’impression que cela s’adressait à moi ensuite. Doriane reprit :
-      J’en menais pas large quand je l’ai croisée ce midi… j’ai filé sous la douche pour éviter les questions. On s’en tire à bon compte. Il devait être bien bourré pour croire qu’il a rêvé.-      Oui… mais s’il voit la gourmette…sans parler du drap. Je sais pas dans quel état on l’a laissé. Je comptais l’enlever quand il sortirait.
Mickaël revint à ce moment là.
-      Vous dites quoi les filles ?-      On se projette dans l’avenir.-      Pour ?-      Quand on se revoit et tout ça…-      Ah…
Il repartit, comme indifférent à la conversation.

-      Masango a perdu sa gourmette.-      Je sais, j’ai croisé Kenjo… elle doit être restée dans le canapé… mais difficile à ouvrir devant Micky..-      Masango en pince grave pour toi.-      Arrête… tu…
Mickaël revint. La conversation s’arrêta.
-      On complote ? demanda-t-il en souriant.-      Histoires de nanas ! répondit Doriane.-      Tu lui racontes ta nuit ?-      Va savoir ! -      J’aimerais bien savoir…mais je me fais déjà une petite idée.-      Je vous raconterai une autre fois… mais là il faut vraiment que j’y aille.-      Déjà ?-      Ben oui.
Doriane fit ses derniers préparatifs, puis je l’accompagnai jusqu’au parking.
-      Au fait, comment ça se passe pour une sodomie ?-      Ben ma cocotte, t’es quand même pas une oie blanche à ce point là ?-      S’te plait…. S’il insiste, j’ai promis…-      Et tu as bien fait car c’est la super éclate.. et puis si ça peut redonner un coup de fouet à votre sexualité….
Elle m’expliqua ce que je devais savoir et me fit même don de son tube de gel.
-      J’en ai d’autres à la maison.
Il était dix-neuf heures. Nous dînâmes rapidement.
Pendant que nous débarrassions la table, Mickaël m’enlaça par derrière. Il me fit de petits bisous dans le cou et se mit à me caresser les seins.
-      On le fait ?-      L’amour ?-      Oui…mais avec ce que tu m’as promis ce matin.-      Qu’Est-ce que je t’ai promis.-      De me laisse te sodomiser.-      Tu veux vraiment ?-      Ouiiiii.-      Il faut que je me prépare alors.-      Vas-y tout de suite ma chérie. Je m’occupe du reste.
Je filai donc sous la douche pour faire mes ablutions et me préparer comme Doriane me l’avait expliqué.
A suivre
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