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Histoires de cocus (extra)ordinaires

Chapitre 23

L'Afrique ça déménage (Fin)

Avec plusieurs hommes
J’étais aux anges. Débarrassée de la crainte de me faire pincer, je profitais des cinq hommes avec délice. Comme les blacks étaient encore en tenue de sport, leurs corps ils avaient transpiré et leurs corps sentaient l’homme à fond. J’étais abasourdie de me trouver à ce point dévergondée. Moins de vingt-quatre heures avant je n’aurais jamais imaginé coucher avec un autre homme ni, à fortiori avec plusieurs en même temps… et je découvrais que j’aimais ça. Les doubles succédaient au double, j’avais toujours un sexe à la main voire dans les deux, je bouffais bite sur bite, les avalant jusqu’aux poils, grâce aux conseils de Lawal qui m’apprit comment faire des gorges profondes.
Comme j’étais en train de chevaucher mon mari, avec Masango dans mon dos qui avait glissé sa queue dans le même trou que celle de mon mari, celui-ci me dit :
-      J’savais pas que j’avais épousé une chaudasse… t’aime grave la queue salope, plus que je ne pensais.-      Et moi, je ne savais pas que j’avais épousé un gros porc, un immonde cochon… tu cachais bien ton jeu.-      Tu regrettes ?-      Non et toi, tu ne m’en veux pas de t’avoir…trompé ?-      Non, vu comment ça finit, non…mais j’aurais aimé qu’on se mette d’accord pour le faire ensemble plutôt que de le faire dans mon dos, même si ça revient au même… enfin presque… je suis sans doute plus cocu comme ça que si c’est moi qui te l’avait demandé… que cela se et on a perdu du temps… et puis maintenant au moins, quand je devrais m’absenter, je saurais que tu es entre de bonnes mains. Je ne m’inquiéterai pas.
Nous nous embrassâmes passionnément. C’est le moment que Masango choisit pour déclarer.
-      J’vais jouir. !-      A genoux !
Masango se retira et je me retrouvai aussitôt sous sa queue qu’il agitait vigoureusement. Mickaël me tirait par les cheveux pour que je mette bien la tête en arrière.
-      Tire la langue et presse tes nichons entre tes mains.
J’attendis ainsi les yeux fixés vers le gland luisant. Le sperme s’écoula comme un lent ruisseau et tomba directement sur ma langue. Il n’y en avait pas beaucoup. On lui en fit la remarque et il s’excusa en disant qu’il avait tant juté avec Doriane qu’il était à sec.J’avalais le peu de sperme après avoir dû sucer l’extrémité du gland. La partie reprit avec les gars les plus endurants. Il restait une chance sur trois pour avoir Masango dans mon lit la nuit à venir.
J’étais en levrette avec la queue de Lawal qui me travaillait quand il vint à son tour. Là, ce fut autre chose. Le sperme jaillit et le premier tir s’écrasa entre mes sourcils jusque sur mon front. Puis le reste s’éparpilla un peu partout sur mon visage. Pour finir les dernières grosses gouttes tombèrent sur mes seins.
Là, il y en avait une sacrée dose. Cela compliquait la situation. Surtout que celle d’après fut celle de Kenjo. Il m’en mit plein la tronche et il me fut impossible de faire la différence placée où j’étais, mais de l’aveu de mon mari qui arbitrait les débats avec jubilation et des autres compétiteurs, ce n’était pas l’avalanche du siècle et il n’y en avait pas autant que Masango. J’étais déçue. Que Yembé fasse mieux ou pas, m’était égal. C’est Kenjo que j’aurais voulu avoir sur moi pendant la nuit, même si les autres ne me laissaient pas indifférente.

Le tir de Yembé fut précis, tout sur la langue et dans la bouche. Je me hâtais d’avaler pour qu’on ne puisse pas faire la comparaison. Et espérer que le débat trancherait pour Kenjo.
-      Regardez-moi ça comment elle avale… Mais tu aimes le jus ma salope ! Là ça fausse le résultat. Comment départager Masango et Yembé ?-      D’habitude, Masango, c’est celui qui jute le plus ! reconnut, Yembé, beau joueur.-      Oui mais, ce soir je peux pas rester hélas !-      Tu viendras un autre soir.-      Sans problème.-      Alors il faudrait départager Yembé et Kenjo… mais tu as tout avalé ou presque. On fait comment ?-      Y’a pas besoin. Moi, je suis comme Masango. Je peux pas rester la nuit.-      Pourquoi ? Elle te plait pas ma femme ? tu ne veux plus me faire cocu ?-      Tant que tu voudras… mais demain, je dois aller déménager un camarade.-      Et tu baiseras aussi sa femme ?-      C’est déjà fait…
Il t eut un éclat de rire général.
-      Et toi Kenjo, tu y vas aussi ?-      Non… moi je reste.-      A la bonne heure !
J’étais persuadée que les quelques mots échangés entre Kenjo et ses cousins au début du concours avaient été un ordre pour laisser la place. Mickaël en était-il dupe ? Au fond, peu importait.
Il ne restait désormais que mon mari qui n’avait pas joui. Les quatre déménageurs firent cercle autour de nous.
-      Tiens… est-ce qu’il y a un bon bâtard qui veut se mettre derrière elle et lui soulever les nibards. J’vais faire un joli "cumshot" dessus depuis le temps que j’en rêve.
Lawal se mit aussitôt en position.
Le cocu avait les couilles pleines. Le sperme chaud et lourd tomba sur ma poitrine. Mon mari s’essuya le gland sur les tétons. Lawal recueillit le jus au bout des ses doigts joints et les les présenta à sucer.
C’était fini. Il était tôt encore. On se servi à boire et on discuta, tout le monde restant à poil. Les mecs me foutaient un doigt de temps en temps ou me caressaient ou m’embrassaient. Je flattaient leurs culs bombés et leurs paquets flasques mais chauds et lourds.
Il fut question de moi. On organisa un planning pour savoir quand Lawal et Yembé viendrait chercher leur lot car, s’ils avaient laissé leur tour pour ce soir, ils entendaient bien en profiter quand même. Des échanges dans leur langue prouvaient qu’il y avait des négociations et que Kenjo tenait son rôle de chef de tribu que personne ne lui contestait.
On s’organisa aussi pour les périodes pendant lesquelles Mickaël devait aller travailler au loin.
-      Au moins pendant ce temps-là elle trompera sa solitude et moi avec… au moins, je saurais qui me la baise, cela me rassurera de la savoir avec des gens sérieux et pas avec n’importe qui…

Tous ces petits arrangements auxquels je consentais d’autant plus volontiers que cela me permettrait de voir Kenjo comme je le désirais, furent faits entre mille petits plaisanteries, pas toujours du meilleur goût mais auxquelles je participais tout excitée que j’étais à l’idée de la nuit que j’allais passer.
Ainsi passa le temps et la bande dut se retirer pour nous laisser à trois.
Je ne craignais plus de me faire sodomiser, au contraire. Si je n’étais pas encore devenue une puriste du pétage de fion et que je préférais nettement qu’on me bourre la chatte, en revanche, j’avais immédiatement kiffé qu’on me prenne par les deux trous en même temps.
-      J’vais faire un brin de toilette !-      Pas trop ! demanda Kenjo.-      Oui pas trop… ton cul, c’est tout…-      Mais, je suis toute sale…J’ai encore du sperme sur les seins, sur le visage…-      Tu en as même dans les cheveux… précisa mon black préféré… mais j’aime les odeurs du sexe…ça m’excite…-      Pareil pour moi ! dit mon mari qui tandis la paume de sa main à Kenjo qui la tapa en retour, scellant ainsi une belle complicité.
Je fis donc des ablutions à minima en m’interrogeant toujours sur es goûts spéciaux des hommes.
De retour dans le salon, les hommes s’étaient déjà installés dans le canapé, plus large que le lit. Ils étaient à poil et discutaient bite, tout en se la tripotant. Kenjo bandait à nouveau, pas mon mari.
-      Tu te rends compte, me dit-il, 4 cm ça fait une sacrée différence, on dirait pas comme ça ! Tu l’as sentie toi ?-      Oui… mais c’est plus la grosseur que la longueur je trouve…-      Et t’as vu… il bande à nouveau comme un taureau… Il est capable de baiser jusqu’à cinq fois par jour…-      Heureusement pour nous…-      Bon, ben commencez sans moi. En vous voyant baiser, ça va m’exciter et j’vais avoir la gaule bien dure après. Commence par lui bouffer la chatte.
Kenjo se laissa guider le plus docilement du monde. Fallait-il me prendre en levrette, il me prenait en levrette, me saillir debout, il le faisait et cela jusqu’au bout. Mickaël ne fut pas long à avoir une érection.
Double vaginale, double anale, double dans les deux à la fois, j’eus droit à tout. La double anale était une nouveauté et je la sentis d’autant plus passer que mon cul était encore tout endolori des assauts de la fin de l’après-midi.
J’étais désormais complétement à l’aise et encourageais mes deux amants qui n’en avaient pourtant pas besoin et se stimulaient l’un l’autre. Kenjo commençait à faire des propositions, à prendre des initiatives, aussitôt ratifiées par mon mari.
Comme les gars avaient baisé à couilles rabattues toute la sainte journée, ils étaient beaucoup plus endurants. Mon marathon sexuel n’en finissait pas. J’étais brisée de partout mais comblée. Mon mari mélangeais les outrages et les déclarations d’amour et Kenjo devenait de plus en plus autoritaire. Il m’insultait beaucoup aussi et commençait à le faire avec Mickaël aussi :
-      Alors cocu, tu aimes voir ta femme se faire prendre… ça te fait bander.  Mets-lui ta petite bite au fond du trou, tape bien à fond, comme ça… gentil garçon.
Et Mickaël semblait aimer ça en lui répondant sur le même ton.
-      Casse-lui la chatte bâtard.
Sans compter d’autres insultes que je ne peux même pas rapporter. Ils en riaient, se congratulaient, se lançaient des bordées de conneries et se donnaient de grandes claques dans le dos.
Mickaël, apparemment fan de plans jute, voulait encore voir le sperme s’écouler sur moi. Alors, l’un après l’autre, ils déchargèrent sur ma poitrine..Ils trempèrent leurs doigts dans leur propre jus pour me le faire sucer ou me doigter après et j’eus interdiction de me laver.
-      Demain matin, au réveil, les deux piquets de tente dressé, tu vas dérouiller ma salope !
J’étais coincée entre les deux gars. Mickaël s’endormit très vite et se mit à ronfler un peu.
Je me tournai vers Kenjo à ma droite. Il était étendu sur le dos, le bars gauche remonté sous sa tête, l’aisselle dégagée ? J’y mis mon nez et ma langue. Puis je descendis ma main gauche vers son sexe mou et humide.
-      Ah non là, c’est trop tôt…j’vais rien pourvoir faire.-      J’peux jouer avec quand même ?-      Elle te plait ma grosse tige ?-      Tout me plait en toi.-      Vraiment ? Toi aussi, tu me plait.
Et il se redressa, me bascula sur le côté et commença à me caresser lentement tout en parlant. Mon mari ronflait toujours à côté.
-      Je te l’ai dit…tu es ma femelle. S’il n’y avait pas ton gros cocu, je partirais avec toi. Tu es belle … Tu es celle que j’attendais depuis toujours…
Tout en continuant à me couvrir de compliments, il s’excitait. Ses mains étaient de plus en plus entreprenantes, il me doigtait les deux trous, serraient mes seins dans une poigne de plus en plus vigoureuse, me couvrait de bisous sur toutes les parties du corps et parfois me mordillait les lèvres… celles du haut comme celles du bas. J’y répondais en soufflant de plus en plus vie,, je mouillais et je commençais à enfoncer plus fort mes ongles dans ses chairs et mes dents dans sa peau.
-      Je suis ton mâle, tu es ma femelle et je m’accouplerais avec toi autant que je le voudrais. Tu seras ma chose…-      Oh oui, prends-moi !
Mais il ne rebandait toujours pas malgré une excitation qui gagnait toujours. J’atteins un orgasme rien que par les vibrations de sa voix sourde et mâle et par ses gestes sur mon corps et dan mon vagin.
Quand je mes mis à onduler du cul au paroxysme de l’ivresse, il colla sa bouche sur ma vulve, il suçait, aspirait, léchait… et me pinçait les tétons pendant ce temps, à m’en faire mal parfois, mais je ne m’en plaignais pas. J’étais trop bien.
Parfois, il ramenait ses mains, les passait sous mon bassin et me forçait à rehausser mes fesses, puis il prenait mes cuisses par en dessous pour me forcer à les ramener vers moi, et à m’arrondir. Alors sa langue s’enfonçait dans ma raie du cul et glissait dans tout l’entrejambe et l’entre-fesses.Il me traita ainsi pendant très longtemps, une bonne partie de la nuit qui me parut courte, ma plus belle nuit d’amour.
Puis, alors qu’il était à nouveau en train de me manger la rondelle, il me laissa retomber d’un coup.
-      Ecarte les cuisses. Je suis prêt. Je vais te saillir.-      Oh oui.
Le nœud entra en moi et il me fit l’amour ainsi longuement en missionnaire, avec une fougue sauvage. Je criais de plaisir. Je réveillais mon mari.
-      Putain ! Vous avez déjà remis ça ! T’a l’air de bien la démonter là ! Branle-moi salope et toi gros, t’arrête pas. Bourre-la. Elle aime ! Y’a longtemps que tu la sautes ?-      J’sais pas ! cinq, dix minutes…Je sais la queue de mon mari et la branlait.-      Mieux que ça… tiens, je préfère que tu suces. Fais-moi de la place gros ! Ouvre en grand salope !
Mickaël s’allongea perpendiculairement au couple que nous formions, Kenjo lui laissant l’espace pour s’insérer. Peu à l’aise, Kenjo se mit sur les genoux, puis souleva mon popotin et continua à me piner ainsi, plus lentement.
Mon époux se servait de ma bouche comme d’une chatte. Je tournai légèrement la tête pour lui faciliter la tâche.
-      Lèche mes boules, lèche la hampe…. Remets la dans ta bouche. Pompe, aspire… lèche bien la collerette.Visiblement, Kenjo attendait que mon mari jouisse le premier. Il était presque au point mort se contentant de remuer doucement son gros vit dans ma chatte.-      J’vais jouir, putain j,vais jouir… nan t’arrête pas… gobe-la à fond, ouais comme ça…Ouais c’est bon, prends-ça sac à foutre…rooooooo….c’est boooooooon….. saloooOOOOopeuuuu…
Le sperme gicla. J’en avalai une partie pendant que l’autre s’écoulait de ma bouche.
-      Crache le jus, crache…ouais… bonne petite pute, bonne petite pute….
Mon mari se retira, resta à genoux un moment à tripoter son sexe lasque. Kenjo s’était rallongé entièrement sur moi et bougeait avec un peu plus de vigueur.
-      Endurant comme t’es, t’en as bien encore pour vingt minutes avant de le la faire jouir c’te salope ?-      Et même plus ! répondit le géant noir.-      Bon ben moi j’vais aller me pieuter dans ma chambre pour dormir un peu alors… mais demain matin, le premier qui a la queue en l’air attend l’autre. On se la reprend en double hein !-      Promis.
Puis il se pencha pour m’embrasser.
-      Hummm. Amuse-toi bien ! Tu pues le foutre !
Il donna une violente claque sonore sur le cul de Kenjo.
-      Baise-la bien…-      T’inquiète.
Puis il disparut.
Kenjo reprit alors une cadence plus rapide.
-      Putain, le cocu, c’est moi… c’est pas lui… t’es ma femelle… ça me gonfle de te voir avec ce bouffon… C’est moi qui te prends et qui te fais jouir…C’est qui l’étalon, c’est qui la pouliche ?-      C’est nous.-      Ouais c’est nous… C’est qui ton mâle dominant, c’est qui qui va te féconder.-      C’est toi… mais tes cousins, ils en disent quoi ?-      Je leur ai dit que tu étais à moi…mais il a fallu négocier… alors, de temps en temps, quand ton mari sera là, tu pourras aller avec eux…mais quand il est pas là, tu es à moi.
Cela me convenait parfaitement. J’étais soumise, comblée par cette masse de chair et de muscles qui faisait bien son quintal, les jambes bien écartées et bien relevées pour le laisser aller en moi, mes bras entourant ses épaules imposantes et tout mon corps répondant à la fougue impétueuse mais parfois contenue de cet homme dont la bouche, les mains et le sexe m’emmenaient vers des plaisirs dont je ne m’étais même pas imaginé qu’ils fussent possibles.
-      Allez dis-le, dis-le…-      Quoi ?-      Que tu es ma femelle… mon épouse infidèle… que c’est moi ton mâle… ton véritable époux…-      Oui, tu es mon mâle… je suis ta femelle…-      Je vais te punir pour ton infidélité… C’est moi qui te dirai avec qui tu dois jouir…lui, tu feras semblant… Seuls les mâles de ma tribu ont le pouvoir de te faire jouir et moi le premier.
Nous étions en plein délire, mais je sentais qu’il était sérieux d’une certaine façon.
-      Et maintenant, je vais te féconder.
Il éjacula en se cambrant au maximum. Quel homme ! Quelle puissance, quelle virilité.
Le lendemain nous passâmes une grande partie de la journée au lit, entre mes "deux maris", l’officiel et l’autre. Je savais déjà où allait ma préférence.
Mickaël organisait désormais notre vie sexuelle au gré de ses envies. Quand il avait envie d’un plan à trois, à quatre ou à plus, il appelait nos déménageurs qui ne nous faisaient jamais faux bond.
Mise au courant de la situation, Doriane voulut en profiter pour proposer de se joindre à nous mais mon mari ne souhaitait pas la baiser.
Elle réussit néanmoins à organiser des partouzes quand mon mari était absent, amenant même parfois un ou deux potes recrutés par ses soins et que mes déménageurs accueillaient de grand cœur même si Kenjo préférait, comme il l’avait dit, s’occuper tout seul de moi quand j’étais momentanément célibataire. Et ainsi, chacun y trouva son plaisir et son bonheur. Fin.
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