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Histoires détournées de l'Histoire de France

Chapitre 1

La Bête entre vos dents

Avec plusieurs femmes
La bête du Gévaudan ou La bête entre vos dents

Il fut un temps où il était de bon ton de me convier, à sa table, notamment parmi les gens de la haute, et surtout ces petits noblions qui convoitaient une place à la cour de notre cher roi Louis XV, aussi appelé Louis le Bien Aimé.
Je n’étais pas d’une grande beauté, certains en venaient même à dire que j’étais laid, je n’avais pas la bourse pleine et dépensais sans compter le peu qui y entrer mais, j’étais une personne de bonne compagnie, dite, toute de finesse, notamment à l’occasion des joutes verbales entraînant les bons mots qu’appréciaient galants et galantes, lesquelles, en parlant de galantes, appréciaient encore bien plus la taille de mon sexe.
Cependant, tout ayant une fin, je fus amené à quitter Versailles, sous la pression du Cardinal de Fleury, premier ministre de notre Roi, à la suite d’un duel, vainqueur, qui lui fut dénoncé et pour lequel il lança à ma poursuite plusieurs compagnies des mousquetaires du Roi, mais, je parvins à m’échapper de cette chasse à l’homme.
Commençons donc par conséquent par le début. Il n’était pas rare, en cet an de grâce mil sept cent soixante trois, que, dès le printemps venu, je fasse en sorte d’enfoncer mon pieu, dès que l’occasion s’en présentait, dans la fente généreusement ouverte de l’une ou de l’autre des servantes, courtisanes et parfois même de plus haute lignée... Chose n’était pas rare d’en avoir à satisfaire deux voire trois à la fois, jeu plaisant s’il en est. C’est ainsi, qu’un soir, la nuit étant tombée sans le moindre bruit, je me trouvais, non par hasard, dans la chambre d’une jolie soubrette qui, pour mon malheur, était aussi l’amante d’un Duc. Nous faisions tranquillement notre affaire, par devant comme par derrière, lorsque ledit Duc, vint à nous surprendre alors qu’il n’était pas attendu.
D’un soufflet, il me caressa, non délicatement, la joue, se moquant de ma bite (mot utilisé dès 1611) à l’air et bien plus grosse sans aucun doute que la sienne que je devinais rabougri et sans aucun intérêt.
— Voyou, gueux de la pire espèce, bon à rien ! Rendez-vous demain à l’aube pour répondre de votre manquement et de votre perfidie. Vous n’êtes qu’un misérable et je vous ferai rendre âme. Puissiez vous pisser le sang plus que votre foutre !— A votre service, j’y serai et vous ferai grâce, car je ne mets point à mort qui m’offense. Quant à mon foutre, allez vous y faire... et ne soyez donc point jaloux de ce que la nature m’a donné ! — Je suis l’offensé, pauvre laid ! Je choisirai donc l’arme qui vous placera six pieds sous terre ou je ne serai plus.
L’affaire fut donc entendue, rendez-vous fut pris pour l’aube suivante, au parc, avec nos témoins malgré l’interdiction des duels depuis de nombreuses années. Se jugeant l’offensé, il prit le choix des armes, le pistolet. Erreur fatale pour lui, j’étais aussi doué au tir au pistolet qu’au tir au flanc ce qu’il semblait ignorer. Ce après quoi il quitta la pièce, pour mon plus grand bonheur et celui de ma soubrette qui en eut pour son argent, en liquide cela va de soi. Lui caressant la poitrine et jouant du fait que cela put être ma dernière nuit, je la baisai comme jamais elle ne l’avait été ne lui laissant aucun orifice au repos. Elle m’en remercia au petit matin d’une façon adorable, me prenant le sexe en pleine bouche pour avaler les dernières forces que je jetai sans faillir dans la bataille.
— Vous avez là une sacrée bête Monsieur.— Pour te servir et t’en servir avant que Dieu, s’il le désire, ne me rappelle auprès de lui.
Voilà comment, dans le petit matin naissant, entre quatre hommes et de nombreux arbres, je me retrouvai face au Duc, en chemise à jabot, l’arme à la main. Après que les témoins aient rappelé les règles d’un duel entre gentilshommes nous nous tournâmes le dos, puis nous comptâmes dix pas, le bras replié, le pistolet frôlant le menton et le vent jouant dans nos cheveux.
A dix pas, nous nous retournâmes, visâmes, et fîmes feu. La balle du Duc m’effleura le haut de la tempe gauche, la mienne vint lui faire craquer la clavicule droite, l’obligeant à laisser tomber au sol son arme.
— Comme promis Duc, je vous fais grâce. Sachez cependant et reconnaissez le, que mon canon tire le bon cou lorsque le vôtre, peu gaillard avouons le, n’est qu’un piètre instrument inutile entre vos jambes.
Sur ce je me retirai de la scène du duel pour regagner Versailles. On m’apprit sitôt que le Duc avait averti le Cardinal par le biais de ses témoins, que les mousquetaires étaient en quête de me faire connaître le fond des plus froides geôles d’une lointaine contrée. Cette sombre destinée n’étant pas à la hauteur de mes ambitions, je ne perdis pas un moment.
Sans demander mon reste et sans même chercher à me justifier, je pris mon cheval, abandonnant tout derrière moi, je pris la route du Bugey où l’un de mes petits cousins possédait un château. Fils de Monsieur d’Uffelle, ami de Voltaire, il m’accueillerait sans même poser de question.
C’est après de longues journées de chevauchées, et de nombreuses escales dans les auberges rencontrées, que je parvins au château de Dortan, petite bourgade riche en paysage et en paysans.J’y fus accueilli par deux servantes plus que jolies, l’une rousse, l’autre blonde, même si leur fichu cachait leur tignasse, ce qui déjà, accentua l’appétit non rassasié de ma masculinité. Mieux encore, le cousin accueillait aussi deux autres cousines dont les charmes étaient une invitation à la débauche. L’une d’elle, rousse aux tâches de rousseur innombrables sur les joues, le nez et le front, fit très vite frétiller mon engin entre les jambes. Je me proposai, en moi-même, de commencer par séduire cette dernière, si, toutefois, mon cousin n’y voyait point d’objection. L’autre était brune aux yeux bleus et d’une pâleur extrême. Il me faudrait lui redonner un teint de rose à n’en pas douter.
Mon cousin me rejoignit tandis que je pénétrais dans le château par la porte des cuisines, cuisines dans lesquelles vaquaient nombre de domestiques et où se tenait mon cousin, observant la préparation d’un faisan de la veille.
— Et bien Philippe, vous voici arrivé ! Depuis le temps que t’attends votre venue, je suis content que Versailles vous laisse enfin un peu de temps pour revoir la famille que vous avez semblé ignorer depuis belle lurette. Mais, mon cher, qu’avez-vous au front ?— Rien, rien mon cousin, juste une égratignure, la balle d’un jaloux qui passait par là, et ce, alors que j’étais passé ailleurs avant lui dans une antre qu’il se réservait et qui était fort bonne et fort juteuse à mon goût. Je vous conterai cette histoire un autre jour, il me tarde que vous me fassiez visiter mes appartements.— Louison va s’en charger. Reposez-vous et revenez nous frais comme un gardon pour le souper durant lequel nous pourrons goûter à ce magnifique volatile.
Louison, la belle rousse, avança vers moi. Le ciel était donc de mon côté. Je lui fis mon plus beau sourire. Elle m’y répondit d’un regard conquis.
— Veuillez me suivre Monsieur !— Mais tout de suite, je suis à toi.
Elle m’entraîna vers l’autre aile du château, nous passâmes de nombreuses portes, puis, en ouvrit une.
— Voilà votre chez vous, j’espère que cela vous conviendra.— A ce jour, je n’ai pas à jouer les difficiles. Mais si vous avez un peu de temps à m’accorder, je ne doute pas que j’apprécierai fort votre compagnie pour me remettre de ma longue route.— Monsieur ! Vous n’y pensez pas ?— Et bien si Louison, je ne pense même qu’à cela.
Je m’approchai d’elle, lui baisant le cou, le haut des épaules qu’elle avait gracieuses.
— Monsieur ! Monsieur ! Si quelqu’un nous voyait ?— Si quelqu’un nous voyait Louison, il ne pourrait qu’être un jaloux de plus à accrocher à mon tableau de chasse. Mais en parlant de chasse ... la vôtre est-elle gardée ?— Monsieur, comme vous y allez ! — Ne joue pas la prude Louison, et ôte donc ce corsage qui, je le sais, je le sens, cache à ma vue et à mes sens de bien jolis trésors.
Joignant le geste à la parole, je fis d’une main, glisser la bretelle du corsage de la belle tandis que de l’autre je mis à l’air mon membre tendu.
— Oh Monsieur, quel instrument ! — Comme toute chose, ce que vous voyez est là pour être protégé et je ne doute pas un instant que je trouverai plus bas, la caverne où ma chose pourra se réfugier !— Mais Monsieur, jamais elle n’entrera ... elle est ... bien trop longue ... bien trop grosse !— Nul endroit ne se refuse à accueillir un tel appendice Louison, je vais te le prouver.— Vous allez me tuer Monsieur !— Seul le mal d’amour frappe en plein cœur ! Ma verge, puisque c’est d’elle dont il s’agit, ne te frappera que le cul, celui-là même que tu vas, sur le champ, m’offrir, et personne n’en souffrira, bien au contraire, je peux te l’assurer et je te donne gage, sans fausse modestie, qu’il en redemandera.
Louison, bien que rouge de honte, accepta l’offrande que je lui fis de ma bite tendue. Dévêtue, elle reçut nombre de coups de boutoirs pour un plaisir non feint. Je déversai en elle les jours d’abstinence dont le voyage m’avait puni, bien malgré moi.La chose faite, Louison se rhabilla dégoulinante de sueur, mais pas que.
— Merci Monsieur... J’espère encore goûter à cet instrument. Hélas, mes tâches m’appellent, mais, si vous en sentez le besoin, j’ai d’autres endroits de mon intimité à vous proposer.— Ma belle, le plus bel endroit sera entre tes dents, n’en doute pas, ce sera pour bientôt.
Le soir même, ce fut à la brunette de venir m’apporter un verre de vin chaud dans mes appartements. La belle, point timide, eut tôt fait de se retrouver nue à son tour, suçant mon pieux et, vu la taille, manquant de s’étouffer à plusieurs reprises avec.
Elle était bien belle, et je ne fus pas en mal de bander devant ce corps aux formes fermes autant que délicates. A mon tour, je plongeai ma tête entre ses cuisses pour m’y délecter du nectar qui s’écoulait à flots à mesure que je titillais son petit bourgeon sorti de sa cachette.
Puis, les jours suivants, ce fut au tour de mes cousines de connaître la chose, telle sans doute, qu’elles en avaient entendu parler par les soubrettes. Elles avaient dû fantasmer à l’idée de se faire prendre par un tel instrument, si bien, qu’un après-midi où tout semblait calme, elles se présentèrent dans mes appartements pour une partie osée.
La première, la rousse, commença par se dévêtir, tandis que sa sœur lui baisait le cou, puis, une fois dénudée, les seins qu’elle avait fermes et petits mais dont les tétons roses pointaient déjà de plaisir. Je regardai la scène, tout en m’astiquant la verge, ce qui faisait haleter encore plus mes cousines. Très vite nous fûmes nus tous trois, et les deux donzelles s’occupèrent à pleine bouche de mon sexe, l’une prenant mon énorme gland en entier entre les dents, l’autre m’avalant les bourses. Je ne fus pas en reste de mon côté, suçant le petit bouton rose de l’une et enfonçant les doigts dans l’intimité de l’autre. Alors que je voulus me retirer de la bouche de la gourmande, celle-ci retint mon sexe pour recevoir à pleine gorge mon foutre chaud. Toujours tendu, je pris la seconde par derrière et à grands coups je la fis jouir par le petit trou étroit qui était un véritable plaisir à découvrir.
— Cher ami, votre énorme bête n’est pas à mettre entre toutes les mains, encore moins dans toutes les bouches. J’ai cru périr mille fois m’engorgeant de votre pénis et j’ai bien cru défaillir en avalant votre semence.— Et moi mon cher, j’ai bien cru que vous alliez me transpercer l’anus de vos coups de queue, mais quel fut là le plaisir que vous m’avez procuré.— Mes tendres amies, ces instants furent appréciables au plus haut point, ne doutez pas que nous remettrons cela sans réserve aucune et le plus tôt sera le mieux.
Et c’est ainsi que se déroula ma première soirée au château, pour ma plus grande satisfaction et de toute évidence, pour la leur aussi.Nous nous endormîmes tous trois, toujours nus, et, au petit matin, d’autres surprises m’attendirent.
.....à suivre
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