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Histoires détournées de l'Histoire de France

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Histoires détournées de l’Histoire de France
Chapitre trois
La bête du Gévaudan ou La bête entre vos dents

Et tandis que mon engin sévissait dans la région, qu’il jouissait dans la bouche de l’une et le cul de l’autre, tandis que ma bête était dans toutes les têtes féminines, gourmandes d’y goûter, mon esprit lui était bien plus occupé par la pucelle que j’avais rencontrée.Il me fallut jouer de mes relations, nouvelles certes mais oh combien précieuses, pour à nouveau, avoir l’occasion de retrouver celle qui hantait mes jours et mes nuits.
— Cousin, ne pourrions nous donc point organiser une nouvelle fête en votre château ? Il me semble connaître, bien peu je l’avoue, certaines personnes qui, sans aucun doute, serait heureuses de participer.— Mon cher Philippe, rien ne me ferait plus plaisir, que diriez vous d’un bal à l’occasion des feus de la St Jean ? Bien sûr les cousines seront de la partie, je sais que vous en faites bien souvent vos instruments de débauche, et, de par leurs bouches, j’ai cru comprendre qu’elles en apprécieraient l’augure.— Mais voilà, cher cousin, une excellente idée, et quand bien même sont-elles au fait de la personne qui se cache derrière mon masque, connaissant ma bête pour l’avoir maintes fois caressée, je ne doute pas qu’elles y goûteront à nouveau avec délice, si d’aventure, d’autres plaisirs ne m’attirent pas ailleurs !— Savez-vous que la "Bête du Gévaudan" poursuit son carnage ? Pensez-vous en faire de même en notre territoire ? Ne pensez-vous pas qu’il vous faudrait jouer de votre queue de nouveau à Versailles ? Les bergères, même poudrées et portant perruques n’y font pas défaut et seraient heureuses de découvrir cette bête dont on parle temps en notre région.— Me sommeriez-vous de quitter les lieux ? Je ne pense pas qu’un retour précipité à Versailles serait du goût du Cardinal... et bien moins encore de mon adversaire.— Que nenni Philippe ! Vous êtes ici chez vous et sachez que je profite également de ces petits jeux ! Pas plus tard que samedi, alors que vous fourriez votre bête dans l’antre de quelques donzelles du coin, je m’occupais moi-même d’autres, moins belles certes, mais tout aussi gourmandes et frétillantes. — Vous m’en direz tant ! Et que faisiez vous ? Votre engin me semble, si j’en crois votre collant, bien moindre que le mien tout étant d’une belle constitution !— Mon foi mon cher, la même chose que vous et, j’avoue que le plaisir de jouer à trois, fut une partition musicale intéressante pour les cris que ces demoiselles poussèrent en sentant mon engin les prendre tour à tour. Quant à la taille de ma queue, n’ayez crainte, elle fournit en tout temps et tout lieu à la demande. Et si elle n’est pas aussi épaisse et longue que la vôtre elle n’en n’est pas moins ardente au combat.— Voilà une bonne nouvelle, si mon petit jeu vous permet également de satisfaire vos besoin, j’en suis un homme comblé.
Et tandis que nous bavardions, je vis que l’une des servantes, la petite rouquine, me lançait des regards emprunts d’une envie, disons, bestiale...
— Cher cousin, je me dois de vous laisser, je crois que la bête a faim et je vois là une bergère qui saurait satisfaire son appétit. Nous nous retrouverons, si vous le souhaitez, après le déjeuner. Sur ce mon cousin, ne faisons pas attendre cette charmante personne.— Faites mon cher, faites mais ne vous épuisez point, je crois savoir que ce soir vous pourriez encore avoir quelque petite faim, je pense avoir quelques plats qui devraient vous mettre en grand appétit.
Il éclata d’un petit rire complice.Quant à moi, je pris la direction de ma chambre, indiquant à la servante d’un léger signe de tête, qu’elle pouvait m’y rejoindre.Je n’eus pas à attendre bien longtemps. La gloutonne arriva dans l’instant et sans attendre, se dévêtit si vite que j’en fus surpris. Je pus voir sa toison rousse entre ses cuisses d’un blanc laiteux et ne pus faire autre chose que d’obéir à son désir.

— Ne restez habillé Monsieur, faites moi l’honneur de montre la chose.
D’un geste que je voulus lent, j’ôtai mes vêtements, le haut, puis le bas. Ma bite dressée drue attira une fois encore le regard de la rouquine.
— Mon Dieu, chaque fois que je la vois j’en reste subjuguée. Elle est énorme mais vous le savez.— Elle est là pour ton plaisir et... tant que faire se peut, pour le mien aussi.— Puis-je la prendre ?— Servez-vous, ce matin elle est tout à vous.
Sans plus attendre, la servante, à genoux engloutit mon sexe, à moitié... en raison de sa taille il lui fut impossible de m’avaler jusqu’aux bourses. Je sentis rapidement que son ardeur à me sucer était telle que je pensais ne pas résister longtemps pour un premier jet. Saisissant sa tignasse rouge, je la forçai à aller encore plus loin. Elle se retira d’un coup, rouge écarlate, toussant et crachant.
— Monsieur, il vous faudrait une gorge bien plus profonde que la mienne pour capturer et mettre en cage cette énorme bête.— Si ta gorge n’est pas assez profonde, alors ton cul le sera !— Oh oui... prenez le comme vous le faites si bien.
Pas de temps à perdre ! Je pris la rouquine par derrière, lui caressant en l’instant les seins et le cou. Elle poussa un petit cri en sentant ma queue lui défoncer sa petite étoile, malgré le soin que je pris d’y entrer doucement.
— Ah Monsieur... je crois que je vais jouir !
Ces mots me donnèrent encore plus de vigueur et cette fois, sans ménagement, je pris le parti de m’enfoncer à fond. Elle hurla... de plaisir s’entend. Mon va-et-vient continu et rapide lui dilata l’anus en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Mes coups de boutoirs la firent jouir et de sa fente s’écoula un long jet, elle était à n’en pas douter au comble de la jouissance.A mon tour, sentant monter la sève, je me retira et lui présenta ma chose à la bouche qu’elle ouvrit toute grande pour recueillir ma semence. Quelques jets puissants lui arrivèrent pleine face, et elle finit par me sucer à nouveau pour en avaler les dernières gouttes.
— Ah que c’est bon Monsieur.— Ne soit pas si gourmande... ni si pressée.
Je la pris cette fois par devant, labourant ses chairs, lui provocant un nouvel orgasme. L’affaire faite, et tout en se rhabillant :
— J’espère ne pas avoir à attendre aussi longtemps votre retour en moi !— Nul ne sait de quoi l’avenir est fait, mais je ne manquerai pas, dès l’occasion présente, de te donner plus encore que ce que tu attends.— Il se dit, en cuisine, que vous n’êtes pas indifférent à une demoiselle que vous auriez rencontrée dans l’une de vos soirée. Est-ce exact Monsieur ?— Oui, certes, mais je ne connais point son nom et la belle n’est pas comme toi. Si ma bête l’intrigue, elle semble aussi la repousser.— Comment votre chose pourrait-elle repousser même une pure jeune fille ? Tout autour de nous on entend parler que des bienfaits qu’elle produit par ici. Jamais, de mémoire, un tel appareil n’avait fait tant de bruit, si bien que la Bête du Gévaudan devrait être jalouse des échos que l’on vous porte.— Ah cette fameuse bête. Que ne l’ont-ils pas encore mise à terre ! Voilà à ce jour deux ans qu’elle sévit sans que rien ni personne ne semble pouvoir en venir à bout.— Comme la vôtre Monsieur ! (rires) - Aucune femme ne semble venir à bout de votre appétit.
Je me mis à rire de la répartie de cette servante qui ne manquait pas d’humour.
— Allez vaquer ma fille. Gardons nos distances quelques temps. Il ne faudrait pas que nos petits intermèdes soient néfastes à votre réputation.— Merci Monsieur. De ce pas je me sauve, et m’en vais regagner la cuisine où l’on m’attend en effet probablement pour préparer le repas.

***

Le repas, puis le reste de la journée se déroulèrent comme d’ordinaire. Je pus m’entretenir avec mon cousin, curieux de savoir quelle surprise il me réservait pour le soir même.
— Alors mon cousin ? Qu’y aura t-il au menu ce soir ?— Mon ami, je ne vous dirais rien à cette heure mais, je pense que vous devriez être comblé et qu’il vous appartiendra de combler à votre tour la surprise qui vous attend. Si, comme je le pense, vous savez vous y prendre, vous gagnerez ce soir à faire diligence et à vous montrer sous votre plus beau jour.— Mais que de secrets mon cousin ! Par le Diable je ne saisis pas là où vous tentez de me conduire.— Ne cherchez pas et ménagez votre chose... et... un conseil cher Philippe, même si la bête se montre ce soir impatiente, laissez la se languir, marquez votre territoire mais n’en abusez pas.— Vous m’intriguez mon cousin, au plus haut point ! Mais, vous connaissant de bon conseil, j’en ferai selon vos désirs.
Il me tarda d’être au banquet et mon après-midi fut assez morose. Le soir venu, après avoir revêtu mon plus bel habit et m’être affublé de mon masque, j’attendis dans ma chambre le début des festivités.En bas, dans la cour d’honneur du château un grand feu éclairait les murs, de ma chambre le crépitement du bois en flammes me parvenait. De nombreux laquais allaient et venaient, portant maintes plats.Les invités commençaient à arriver, tous et toutes masqués comme cela était devenu de rigueur. Lorsque l’assistance fut assez nombreuse, je descendis à mon tour et, sans en être étonné, mon entrée causa une fois encore un certain trouble.Cela aussi était devenu coutumier ... même si les hommes ne portaient plus la main à l’épée, je devinais qu’ils esquissaient un pas de recul. Les femmes, elles, ne cachaient plus du tout la raison de leur présence, et lorgnaient sur mon collant dans l’espoir d’y découvrir ce qui, dessous, faisait tant parler.
A suivre...
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