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Histoires détournées de l'Histoire de France

Chapitre 4

Avec plusieurs femmes
Histoires détournées de l’Histoire de France
Chapitre quatre
La bête du Gévaudan ou La bête entre vos dents

La servante rouquine, avait revêtu une tenue de circonstance. Comme les autres petites mains, elle ne portait pas de masque. En la dévisageant, je me pris à constater que son visage était fin, et plus que joli. Jusqu’alors, je n’avais regardé bien plus souvent et avec bien plus d’intérêt que son petit cul et ses seins. Là elle apparaissait sous un autre jour.
— Finalement, elle est bien belle cette rouquine !
J’avais parlé à mi-voix, une femme à mes côtés se retourna... c’était la donzelle.
— Vous m’avez parlé ?— Non ma chère, il m’arrive de me parler à haute voix et pour moi même lorsque j’en ressens le besoin.— Je pensais que vous m’invitiez pour m’offrir une de ces merveilleuses boissons qui trônent sur les tables.
Elle me montra du doigt un étalage digne d’un prince.
— Qu’à cela ne tienne ! Ils ont un excellent chocolat chaud qui n’a rien à envier à celui de Versailles, servi dans de délicieuses tasses en porcelaine.— Ne vous moquez pas Monsieur, je ne suis plus une enfant ! Donnez moi un verre de ce vin blanc dont on dit tant de bien.— Je crains ma chère que la chaperonne qui vous suit ne soit pas totalement de cet avis, aussi expert soit-il. Prenez donc ce jus d’ananas qui me semble parfaitement adapté pour vous.
Je m’apprêtai à me rendre à l’une des tables pour en saisir un verre, mais la donzelle attrapa la manche de mon gilet aux passements d’or, le dernier cadeau de mon cousin.
— Monsieur, seriez-vous de ces lugubres individus qui n’en font qu’à leur tête ? Je souhaite un verre de vin blanc, si vous voulez continuer à m’accompagner au cours de cette soirée, je ne saurais que trop vous conseiller d’accéder à ma demande.
La fixant dans les yeux qu’elle avait magnifiques, je pus constater qu’elle ne souffrirait aucun refus de ma part et que dans ses propos secs il y avait bien là une menace réelle. Je ne voulus pas passer à côté d’une soirée qui pouvait promettre d’être excitante aussi, tout en la saluant d’une courbette digne, je répondis :

— Bien, alors va pour le vin blanc, il serait fâcheux de vous contrarier et d’en faire les frais.— Voilà qui est mieux ! Vous aurez droit à mes remerciements et...
Mais elle laissa la suite de sa phrase en suspend tandis que j’attendais la suite, puis repris :
— Allez mon ami, offrait moi donc ce verre, il fait une chaleur auprès de ce feu que j’aurai bientôt des vapeurs.
Les vapeurs elle allait les avoir, je n’en doutais pas, mais je pensais à d’autres plus liées à un rapprochement des corps qu’à un feu crépitant. J’allai donc chercher ce verre, un blanc de Bourgogne au parfum fruité et délicat. On me le mis sur un petit plateau d’argent, il ne me restait qu’à le porter à la belle dont j’ignorais toujours le nom.
— Voilà ma chère, vous voilà servie.— Merci, puis-je vous demander votre nom ?— Le masque m’interdit de vous répondre, ma réputation me conseille d’en faire autant, quant à ma personne, elle accepterait sans doute si elle même connaissait le vôtre !— Hélas Monsieur, mon sang et mon rang m’interdisent de vous en dire plus à l’instant, plus tard... peut-être. — Dans ce cas ma chère, je ne vous donnerai que mon prénom, hérité des plus grands de France. Je suis Philippe, petit baron peut-être, mais au grand cœur pour vous servir.— Ravie Monsieur Philippe, mais si j’en crois les papotages, le cœur n’est pas chez vous ce qui a de plus grand, de plus gros et de plus bon ! Mais passons sur cela, on nous observe et je vois que vous ne buvez rien !
Je ne sus si, sous mon masque, pour une fois je rougissais, mais cette allusion dans la bouche d’une jeune fille me donna un tel coup de fouet qu’entre mes jambes la bête s’éveilla. Et comment la cacher si ce n’est en croisant mes mains dessus.
— Non je ne bois pas ma chère, boire nécessiterait que j’ôte mon masque ce à quoi il m’est interdit même d’y penser.— Détendez vous Monsieur, je sens chez vous une certaine gêne, gêne qui n’a pas lieu d’être.
A cet instant il me vint à l’esprit de lui répondre que j’allais me détendre entre ses fesses, mais ma courtoisie stoppa net cette remarque.
— Venez ma chère, faisons quelques pas, éloignons nous de ce feu qui finira par dévorer mon masque sous lequel il me semble déjà fondre.
Je venais de trouver les mots justes pour échapper à l’érection qui maintenant se voyait très clairement.
— Vous êtes toujours tendu Monsieur Philippe, alors soit ! Marchons, cela passera.
La donzelle n’était donc ni aveugle ni sotte. Elle m’accrocha le bras et nous prîmes la direction de la fontaine où l’eau faisait une forme de nappe brumeuse.Marcher me fit le plus grand bien, je sentais mon sexe diminuer, bien que le tissu en irrita le gland.
— Sachez Monsieur Philippe que ma chaperonne me laisse une certaine liberté. Bon sang ne saurait mentir ! Vous connaîtrez dans quelques temps mon nom et vous admettrez alors la réserve, peut-être, que vous semblez déceler chez moi. Ainsi ne vous fiez pas à la distance que je laisse entre nous. Écoutez ce que vous dit votre chose, qui, si j’ai bien vu ce soir, voudrez sans aucun doute à l’instant se trouver à l’air libre.
La petite garce avait donc bien vu, je n’eus plus aucun doute. Et en même temps que ce doute disparaissait, une nouvelle érection prenait place. Je me sentis encore plus benêt.Nous fîmes quelques tours autour de la fontaine, elle me tenant toujours le bras dans un geste princier.
— Puis-je vous demander une faveur Philippe ?
Mon Dieu... Qu’allait-elle encore me faire subir comme supplice ?
— Certes, ma chère, certes !— Alors, merci. Ma demande va vous paraître déplacée mais, depuis que j’en entends parler, j’ai envie de voir ce que vous cachez avec autant de difficultés. Oh... non pas dehors, je ne voudrais pas qu’elle m’agressa non ! Je vous demande simplement d’ôter vos mains, laissez moi juste regarder votre collant ainsi tendu.
Qui était donc cette diablesse ! A quelle jeu jouait-elle ? Je mis un certain temps à lui répondre.
— Ma chère vous m’étonnez et ce que vous me demandez là est-il digne de votre rang, de votre jeune âge et de la bienséance ?— Personne ne nous regarde plus, j’ai l’âge de raison, un peu plus même qu’on ne peut me donner. Telle que vous me voyez j’ai vingt deux ans et, pour répondre à la question qui doit trotter dans votre tête, oui... je le suis encore !— Vous l’êtes encore ??? oui... bien sûr ! Mais encore quoi ?— Ne faites pas le niais. Je sais que vous vous demandez si je suis encore pucelle ! Alors oui, je le suis encore et j’avoue que le loup ne m’a pas encore visitée.— Comment ?— Faudrait-il mon ami vous faire un dessin ?
Estomaqué, je ne sus une nouvelle fois que répondre. Pris d’une soudaine envie d’accéder à sa demande, lentement, je me décidai. Écartant lentement mes mains, je laissai visible ma queue emplissant le collant jusque sous le gilet.La belle lâcha mon bras, fit un pas en arrière pour mieux observer sous les rayons de la pleine lune, la chose qu’elle convoitait. Son regard ne la quittait pas, il me sembla même voir une goutte de sueur perler sur son front.
— Oh Mon Dieu, quelle monstruosité ! Et cela ne vous gêne pas ?— Mais ma chère, je ne fais que répondre à votre requête.— Non Philippe, je parle de la taille ! Comment faites vous ?— Comment faites vous quoi ? Vous ne parlez que par énigme comment voulez vous que je réponde ?— Mais comment faite vous avec un tel membre ? Aucune femme ne doit avoir envie d’avoir ça en elle !— Détrompez vous jeune fille ... vous permettez que j’emploie ce terme ?— Oui, lorsque nous sommes seuls... mais répondez... moi qui n’ai jamais vu le loup, j’en vois là un de belle... non... de très belle taille ! Y en a t-il de plus gros encore ?— Votre curiosité m’honore et je vais vous répondre franchement. Ce que vous voyez n’est pas encore à son maximum. Certes elle peut vous paraître énorme, mais elle n’est encore qu’au début de son désir, désir dont vous êtes la cause, vous vous en doutez. Quand aux femmes, et sans me vanter ... oui, elles en raffolent par tous les orifices. Mais je ne voudrais pas choquer vos petites oreilles. Enfin, peut-être un jour, aurez-vous l’occasion de la voir dans toute sa grandeur, c’est en tous les cas et pour le moins mon souhait.— Mais alors mon cher, montrez moi cela si vous me promettez de rester à dix pas.
Alors là elle me laissa sur mon séant. Fallait-il que je la lui montre ? Était-ce un piège piège ?
— A quoi bon vous la montrer, vous la devinez ainsi assez comme cela ! Il serait imprudent d’aller plus loin... Oh ne vous méprenez pas, je parle de l’imprudence d’être vus ensemble et ainsi !— Mais si je vous supplie ? Acceptez de faire quelques pas encore, allons plus loin et nous serons à l’abri des regards. Faites moi ce plaisir, j’ai envie de voir ça.
Elle pointa son index sur ma queue. Je ne pus faire autrement, après tout, j’avais envie aussi de la lui montrer.Nous avançâmes jusqu’au bord de la rivière délimitant le parc du château. La lune toujours lumineuse éclairait parfaitement les lieux. La belle ne m’avait pas repris le bras et se tenait à une distance respectable.
— Vous y tenez sérieusement ?— Oui... je veux, sans vous l’ordonner, voir votre chose et juger de moi-même de la véracité des propos qui me sont rapportés.— A votre aise jeune fille, mais ne m’en voulez pas par la suite.
Baissant mon collant, je lui fis apparaître sous ses yeux ébahis mon énorme sexe dont peu peuvent se vanter d’avoir le même. Le fait d’être vu ainsi accentua encore mon érection, mon gland sorti complètement de sa protection tandis que mes bourses ne demandaient qu’à se vider.
— Mon Dieu... Mais est-ce vraiment possible d’entrer cette chose dans une intimité féminine ?— Je vous promets qu’elle rentre parfaitement, et, comme je vous l’ai dit, dans tous les orifices dont la nature a doté la gente féminine.— Je n’ose même pas imaginer... Cela m’échauffe les sens, je l’avoue... Je pourrai à présent gagner le couvent, si tel est le souhait de mon père, en ayant vu une bien belle, bien grosse et grande bête ! — Mais vous pourriez voir le loup à votre bon plaisir cela était votre vœu !— Je doute que cela puisse se faire, mais j’adresserai un souhait de ce genre à mon arbre secret à qui je confie tout. Mais, ... ça ne retombe jamais ?— Pour la faire retomber et être plus présentable à notre retour, je vais lui mettre un peu de cette eau glacée qui coule ici. Cependant je n’ai rien pour me sécher !— Prenez Philippe...
Elle me tendit une si petite étoffe que je compris sans même la regarder plus qu’il s’agissait d’une simple dentelle.
— Vous me devez à votre tour, un service jeune fille. Il vous faudra me montrer un jour et sans trop tarder, les beautés que renferment vos atours.

A suivre...
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