Nous sommes un couple dans la vingtaine. On se fréquente plusieurs fois par semaine, on couche ensemble, tout va pour le mieux. Bien que ça fait seulement quelques mois qu’on se fréquente, je trouve notre vie sexuelle un peu répétitive. Il faut dire que mon imagination débordante couplée aux cochonneries que je trouve sur le web m’a forgé des fantasmes que je juge moi-même de déplacé. Un soir, nous avons une longue et profonde discussion. Ce genre de discussion qui n’est pas très agréable sur le moment, mais que je pense nécessaire pour renforcer les liens des couples. Ce genre de discussion qui nous met dans l’embarras, qui, après avoir dit une phrase, nous laisse pendus à la respiration de l’autre personne en attendant sa réponse. À un moment donné, cette discussion bifurque sur notre vie sexuelle et nos attentes. À ma grande surprise, je ne suis pas le seul à trouver que nos ébats manquent de piment. Elle aussi trouve qu’il y a trop de missionnaires et pas assez de positions plus osées. Elle se dévoile, elle parle de sexe sans filtre. La tension monte. Elle me dit tout doucement, comme pour atténuer le sens de ses paroles : « Je ne sais pas si je devrais dire ça... Mais... J’aimerais me faire violer... par toi bien sûr ». Je n’en crois pas mes oreilles, elle qui me demande ça. Mon cœur s’emballe, cela m’excite de l’entendre parler sans retenue, d’effleurer ce qu’elle a au fond d’elle-même. Je pense qu’elle remarque que je suis excité, et qu’elle l’est aussi. Elle continue, ce n’est pas fini : « Tu sais quand je te suce, j’aimerais que tu me tiennes fermement par les cheveux pour me donner le tempo, pour que tu fasses ce que tu veux avec ma petite bouche ». Elle est toujours allongée sur moi, sa tête posée sur mon épaule en train de me parler tout doucement, mais ses paroles me bouleversent. Elle doit sûrement être en train de mouiller sa petite culotte pour laisser sortir des choses pareilles. Sa respiration est rapide, saccadée. Attend-elle de moi que je l’empoigne par les cheveux ? Juste le fait de penser à ça me met la boule au ventre, tellement c’est excitant. Est-ce à moi de faire le premier pas ? Étant donné les paroles qu’elle vient de prononcer, je ne pense pas qu’elle refusera un premier pas autoritaire de ma part. Je me lance, je prends une grande respiration, je passe ma main dans ses cheveux, je les rassemble en haut de sa tête en queue-de-cheval que je serre fermement. Je tire alors ses cheveux pour faire descendre sa tête le long de mon torse. Le fait qu’elle suive mon mouvement me rassure, j’ai bien interprété ce qu’elle voulait. Je continue à descendre sa tête encore plus bas. Je baisse mon caleçon pour y sortir mon pénis pleinement bandé. Ma tension bat à 100 à l’heure, je sens sa petite bouche envelopper mon gland. Les sensations sont incroyables, je sens la douceur de ses petites lèvres contre mon pénis, la chaleur de sa bouche. Sa salive lubrifie abondamment le tout. J’ai toujours ma main sur sa queue-de-cheval, c’est moi qui ai le contrôle de sa petite bouche et elle ne fait rien pour me contredire. Elle fait des va-et-vient délicieux que j’accentue avec ma main en poussant sur sa tête. J’en veux plus, je veux qu’elle descende au complet sur mon pénis. Je raffermis ma prise en main et je rapproche sa tête contre mon bassin. Je sens mon gland écarter le fond de sa gorge. Elle salive encore plus. Je sens ses petites lèvres toutes chaudes descendre sur la base de mon pénis. Sa lèvre inférieure toute gonflée est probablement à quelques centimètres de mes couilles. Je n’arrive même pas à comprendre comment elle fait pour ne pas s’étouffer sur mon pénis. Mais je pense qu’elle est tellement excitée par la révélation qu’elle m’a faite précédemment qu’elle est comme dans un état second. Un état d’excitation insensé où elle perd le contrôle de ses sens pour ne se laisser guider que par ses pulsions. Et ses pulsions sont fortes, intenses, profondes. Tout comme la fellation qu’elle m’offre. Tout m’excite, la chaleur de sa peau, de ses lèvres, la douceur de sa bouche, sa respiration entrecoupée par mon pénis au fond de sa gorge, les bruits de sa bouche et de sa salive, ses seins qui se frottent sur mes jambes. Je découvre une nouvelle facette de ma partenaire et elle a tout pour me plaire. J’en veux plus, je n’ai qu’à tirer sa queue-de-cheval, ou plaquer sa bouche contre mon bassin. Et elle ne rechigne pas du tout. Mon pénis est comblé. Je continue, la douceur de sa bouche et l’étroitesse de sa gorge sont exquises. Je n’en peux plus, mon pénis est gonflé à bloc, prêt à exploser. Je remonte un peu sa bouche pour ne pas éjaculer dans sa gorge. Je sens de longues giclées qui inondent sa bouche. Elle avale tout, comme une pro. Je lâche ma prise dans ses cheveux, mais elle ne s’arrête pas pour autant. Elle redescend tout doucement le long de mon pénis pour y récolter tout le sperme qui y coule. Elle finit en remontant doucement et en appliquant une légère succion sur mon gland tout en tenant mon pénis par la base. Le temps est comme figé. Elle reprend ses esprits doucement et vient se replacer sur mon épaule où nous émergeons de cette frénésie d’adrénaline. La douceur de ses seins sur ma poitrine est exquise. C’est là que je réalise que j’ai encore beaucoup à apprendre d’elle et qu’elle n’a pas fini de me surprendre.
