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Histoires d’un jeune couple

Chapitre 2

Initiation au Sadomasochisme

SM / Fétichisme
Quelques semaines ont passé depuis sa révélation. Nous sommes sur la même longueur d’onde, nous discutons de nos envies et notre vie sexuelle est maintenant très satisfaisante. Nous avons même fait l’acquisition d’une paire de menottes en cuir. Néanmoins, je n’ai toujours pas honoré sa demande de se faire violer.
Elle prend sa douche, j’entends l’eau couler, il me reste un petit peu de temps pour préparer notre partie de jambes en l’air. J’aimerais ça, la menotter à un crochet, de sorte qu’elle ait les mains en l’air, au-dessus de la tête. Ça mettrait ses seins en valeur.
Je cherche un peu et je me rends compte qu’il y a un petit espace au-dessus de notre garde-robe quand la porte est fermée. Je prends une ceinture et je la mets au-dessus de la porte du garde-robe, puis je le ferme. La ceinture reste coincée, avec quelques centimètres de longueur puis la boucle. Je tire un peu pour vérifier que mon crochet est bien installé. Ça fera l’affaire pour ce que j’ai en tête.
J’allume des bougies pour faire une ambiance tamisée. Je sors les menottes en cuir ainsi qu’un masque de nuit que nous avons gardé d’un voyage en avion et je les dispose à portée de mains. Je prends une autre ceinture que je tiens avec mes deux mains. Je me poste derrière la porte de notre chambre et j’attends qu’elle sorte de la douche.
L’eau coule toujours. Je me questionne sur le bien-fondé de ma manœuvre. Comment va-t-elle prendre ma petite mise en scène ? Et si elle n’avait pas le goût d’être ma soumise ce soir ? L’eau de la douche s’arrête. Tant pis, il est trop tard pour reculer. Peu après, j’entends ses petits pas se rapprocher de la chambre.
Elle ouvre la porte. Je lui saute dessus avec la ceinture comme un lasso que je passe autour de ses épaules. Elle a l’air surprise, enveloppée dans sa serviette de bain. Pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir, je continue. Je la mets dos à moi et je tire sur mon lasso pour qu’elle se trouve collée contre mon torse. Je jette sa serviette de bain par terre. Je l’empoigne par la gorge et je lui susurre à l’oreille « ce soir, tu es ma petite soumise et ma prisonnière ».
Peu à peu, elle se fonde dans le personnage. Elle a l’air d’apprécier ma mise en scène. Ça me donne de la confiance pour continuer. Je passe le lasso autour de son cou. Ma soumise a maintenant une petite laisse. Elle est à moi. Je vais en faire ce que je veux.
Je la promène par la laisse jusqu’à la placer contre la porte du garde-robe. Je la plaque dos au mur et je l’embrasse. Ses lèvres sont délicieuses. Tout son petit corps sent bon en sortant de la douche. Je vais me régaler.
Je m’empare des menottes en cuir que j’attache à chacun de ses poignets. Les menottes sont séparées avec un petit crochet pour les attacher ensemble. Je l’embrasse encore et je place ses mains au-dessus de sa tête d’une manière sensuelle. J’attache ensuite ses menottes dans la boucle de la ceinture qui est coincée au-dessus du garde-robe.
Je redescends mes mains sur ses hanches. Elle a l’air surprise d’être prisonnière de la sorte. Elle n’a pas souvenir que notre chambre soit équipée tel un donjon à sexe. Elle lève la tête pour essayer de comprendre. Elle ne comprend pas trop, elle se mordille la lèvre inférieure et me lance un regard mi-interrogateur mi-aguicheur. Elle est trop sexy dans cette position, menottée, et avec sa petite laisse.
Je la mets dos à moi, le visage contre le mur. Je joue un peu avec ses seins pour faire pointer ses mamelons. Je tire sur sa petite laisse. Je lui mets ensuite une main autour du cou et fais tomber sa nuque en arrière. Je colle mon menton sur son épaule pour lui susurrer à l’oreille : « Ce soir, je te propose un menu trois services : comme entrée, je vais te pénétrer ta petite bouche, comme plat principal, ton vagin, et comme dessert... Ton petit cul ! » Son petit corps frissonne de désir. Ce n’est pas la première fois qu’on fait de l’anal, mais à chaque fois, c’est quelque chose de spécial.
Ma petite mise en scène l’amuse. Son excitation monte. Je lui ordonne de cambrer son petit cul. Elle s’exécute aussitôt. Je caresse doucement ses seins, son ventre, m’attarde un peu sur son nombril.
Je descends ensuite plus bas, caresse l’intérieur de sa cuisse, puis, je pose ma main au complet sur son pubis. La chaleur de son entrejambe m’excite. Je glisse deux doigts entre ses petites lèvres qui sont déjà trempées et commence à jouer avec son vagin. Je suis bandé à bloc et le contact de mon pénis sur ses petites fesses m’excite beaucoup.

Je veux l’entendre jouir avant d’entamer le menu trois services. Tout en continuant à la doigter, je joue avec son petit cul bien cambré avec mon autre main. J’empoigne ses fesses, je les malaxe. Ses fesses sont vraiment douces, j’aime m’y attarder.
Je décide ensuite de concentrer mes deux mains sur son plaisir vaginal, une par-devant et une par-derrière, entre ses jambes. La main de derrière écarte ses petites lèvres pendant que la main de devant fait un va-et-vient de plus en plus prononcé sur son vagin. Sa respiration devient saccadée.
Son petit vagin mouille beaucoup, mais il va mouiller davantage une fois qu’elle sera venue, me dis-je. Ma petite prisonnière se crispe en tirant sur ses menottes lorsque le plaisir devient trop intense. Elle est sur la pointe des pieds, son cul bien en arrière. Des spasmes parcourent son corps. L’action de mes deux mains lui procure beaucoup de plaisir. Elle jouit. Elle exprime fort son plaisir par sa bouche ouverte, sans se retenir, et j’aime ça.
Je lui laisse un peu de temps pour qu’elle reprenne ses esprits. Je la serre dans mes bras et je caresse son petit corps, j’aime la douceur de sa peau. Un petit moment passe, puis c’est au tour du premier service.
Je sépare ses menottes pour qu’elle ait les mains libres. Je lui mets le masque de nuit sur ses yeux qu’elle réajuste ensuite. Je lui lance à l’oreille : « si tu n’es pas sage, je vais devoir te punir ». Puis je l’agenouille par terre pour que sa bouche arrive à hauteur de mon pénis. Je lui ordonne d’ouvrir la bouche en grand et de tirer la langue.
Je suis déjà nu et bandé à bloc. Je tapote sur sa langue avec mon pénis. Puis je le dépose sur sa langue. Elle s’empresse de me prendre en bouche goulûment. Elle est très excitée et ça se ressent dans sa manière de me sucer. Elle me dévore carrément.
Elle salive beaucoup pour lubrifier mon pénis, puis elle me donne de profonds coups de nuque qui enfoncent mon pénis au fond de sa gorge. C’est trop bon.
Je regarde en bas et ma vue est digne de mes fantasmes les plus fous : elle, aveugle avec son masque de nuit, qui me suce comme s’il n’y avait pas de lendemain.
C’est le moment de changer de position avant que je n’explose toute ma semence dans sa petite bouche. J’empoigne sa laisse pour la relever. Elle ne veut pas s’arrêter de me sucer et garde mon pénis en bouche le plus longtemps possible lorsque je la remonte. Je lui enlève son masque de nuit et je découvre ses yeux pétillants d’excitation.
Sa fellation était parfaite, mais je cherche une excuse pour la punir. Je l’attrape par les cheveux et je la fais mettre à quatre pattes sur le lit. Elle bouge son cul de droite à gauche et se cambre un peu plus. Elle a une croupe superbe. Elle a l’air amusée, mais ça ne me plaît pas. Je voudrais qu’elle se sente un peu malmenée.
Je lui lance « je vais te donner vingt fessées pour te punir... et tu vas les compter à voix haute ». Je lui assène une bonne fessée sur son cul rebondi. « Un ! » dit-elle les dents serrées. Le claquement de ses fesses résonne dans la pièce. « Deux ! », encore un « Trois ! ». Le sourire sur son visage disparaît peu à peu pour laisser place à un sentiment de soumission. À la vingtième fessée, ses fesses sont un peu rouges. Je les caresse et sens la chaleur qui s’y dégage due aux claques.

Je n’ai aucun doute qu’elle a très envie de se faire pénétrer dans son vagin en ce moment, mais je veux qu’elle me suce encore. Je veux sentir la chaleur de sa petite bouche sur mon gland. Et je trouve que lui offrir une pénétration tout de suite serait trop facile. Après tout, c’est ma prisonnière et je veux épuiser sa petite bouche.
Je l’attrape encore une fois par sa queue-de-cheval et j’écrase sa tête sur le matelas. « Suce-moi » lui ordonné-je. Elle s’exécute de plus belle. C’est très bon, mais sa bouche n’est pas dans un angle optimal pour me sucer. Je lui ordonne de se mettre sur le dos, puis je la tire de sorte que sa tête se retrouve au bord du lit. Je lui pénètre ainsi sa bouche à l’envers. Elle n’a pas beaucoup de liberté de mouvement, alors c’est moi qui donne le rythme. Elle ne fait que subir mon pénis bien gonflé.
Les sensations sont sublimes. La vue aussi. Je peux admirer son cou allongé et sa lèvre inférieure qui longe mon membre. La courbe de mon pénis s’accouple parfaitement avec celle de sa gorge bien lubrifiée. Sa bouche se fait pénétrer à une profondeur que je n’aurais pas imaginée possible. Elle s’étouffe quelques fois, mais tient bon.
Pour affirmer sa soumission, je pose ma main sur sa gorge et j’y enserre mes doigts. Mon autre main étant libre, j’écarte ses jambes et je l’y dépose. Son vagin mouille telle une petite rivière. Je joue en elle avec mes doigts. Ils ressortent gluants et trempés de son jus, ce qui m’excite beaucoup. J’étale son jus sur son entrejambe et son pubis, il y en a de plus en plus. J’agite ma main dans tous les sens autour de son vagin et de son clitoris. Je sais qu’elle va jouir bientôt, mais sans bruit cette fois, car sa bouche est pleine.
Bien qu’étant la tête en bas, elle la remonte sur mon pénis pour le gober profondément. Je sais qu’elle est en train de jouir très fort. J’agite encore plus ma main dans sa mouille. Elle fait de petits gémissements étouffés par mon pénis qui obstrue toute sa bouche. Elle se tortille dans tous les sens, se cambre sur le matelas et donne des coups de bassins sur ma main. Puis elle serre ses jambes pour me faire signe que son clitoris en a eu assez. Je sors mon pénis de sa bouche et je l’entends prendre de grandes respirations à pleins poumons. Elle est épuisée, ses lèvres sont pleines de salive et toutes gonflées. Maintenant, elle mérite sa pénétration, me dis-je.
Elle est toujours sur le dos en train de reprendre sa respiration. Je m’allonge sur elle et écarte ses jambes. Son vagin est mouillé jusqu’aux cuisses. Mon pénis rentre tout seul.
La chaleur et l’étroitesse de son vagin me donnent un frisson. Je fais de petits mouvements pour commencer, puis je lui attrape les mains que je mets au-dessus de sa tête. Ça fait ressortir ses seins qui sont juste en dessous de moi. Ils sont magnifiques. Je ne peux résister à les manger.
Je me contorsionne un peu pour atteindre son mamelon avec ma bouche tout en restant en elle. Je le suce, je bave dessus, je le mordille, je tourne ma langue autour. Elle aime cette position. Elle aime lorsque je m’occupe bien d’elle. Elle s’est bien occupée de moi avant, maintenant c’est à mon tour.
J’aime sentir mon gland à l’entrée de son vagin. Sa mouille abondante est très visqueuse lorsqu’elle jouit plusieurs fois de suite. C’est un vrai délice de la pénétrer ainsi. Elle aussi apprécie cette pénétration, mais elle veut que j’accélère la cadence, elle en veut plus. Je suis tellement excité que je pourrais venir dans la seconde qui suit.
Tant pis pour le sexe anal, son petit trou n’est que parti remis. Je mords son mamelon et j’accélère le va-et-vient, je donne tout ce que j’ai. Elle empoigne ma tête avec ses deux mains pour m’obliger à garder son sein bien en bouche. Je la pénètre avec vigueur et facilité due à sa lubrification naturelle abondante. Nos corps sont en feu. Elle se cambre et je l’aide à se cambrer en la maintenant par la taille. Nous terminons cette formidable partie de sexe en jouissant en même temps.
Ma semence inonde son vagin. C’est une jouissance sublime.
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