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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 3

Chapitre trois – un bon voisinage est très important

Trash
Elle s’est jetée sur ma queue. Elle m’a sucé longuement, elle semblait adorer cela ; tant mieux moi aussi . Je me suis branlé entre ses seins avant de jouir dans sa bouche. Elle a tout avalé. Je l’ai léchée, allongée sur un transat, sa chatte entièrement épilée est délicieuse, je me régale. Elle mouille bien, je me délecte de sa mouille. Ses lèvres sont parfaites, gonflées juste ce qu’il faut. Ma langue joue avec son clito. Je la fais jouir avec ma langue et mes doigts. Faire jouir les femmes me procure énormément de plaisir. Je ne comprends pas les hommes égoïstes qui ne pensent qu’à se vider les couilles. Il n’y a pas plus beau qu’une femme qui jouit. Quand elle ressentait son premier orgasme, je rebandais comme un âne. Elle a souri d’envie. Je l’ai emmenée dans la chambre. Elle m’a repris un peu en bouche.— Je pourrais te sucer sans arrêt tu sais.— Arrête, ne me tente pas eh eh.— Ta queue est trop bonne bébé.— Et encore tu ne l’as pas encore en toi.— Viens.Elle est allongée sur le dos je me glisse entre ses cuisses pour un missionnaire. Je la pénètre doucement, elle m’avoue qu’elle a eu pas mal de partenaires mais jamais aussi gros. Elle est tellement excitée, que bien que bien serrée, ma queue la pénètre sans trop de difficulté. Elle atteint un deuxième orgasme quand me fige tout au fond d’elle et me met à onduler tout contre elle. Elle fond littéralement, et met plusieurs minutes à reprendre ses esprits, minutes que je passe à l’embrasser, la caresser, doucement, tendrement. Puis tout en restant en elle je me redresse et la soulève et la prend debout. J’alterne les saillies fougueuses et les moments plus calmes. Je la fais sauter sur mon pieu gorgé. J’enchaîne en levrette, sur le lit. Avant de la plaquer, sur le ventre, de tout son long et d’aller et venir au dessus d’elle. Elle sent toute la puissance de mes assauts. Elle hurle de jouissance pour la troisième fois. Elle s’étonne que je n’ai pas encore joui. Elle m’embrasse.— Laisse moi réparer ça.Elle me suce, je suis allongé sur le lit, elle suce vraiment très très bien. Elle est patiente, c’est divin. On entend du bruit en bas. Elle lève les yeux.— T’inquiète, c’est mon père qui rentre. T’arrête pas ma belle.Elle ne s’arrête pas. Elle me pompe à fond, jusqu’à ce que je remplisse sa petite bouche pour la deuxième fois. On reste allongés un peu.— Putain, t’es un vrai taureau toi.— Et toi une très belle salope.— Comme tu aimes.— Comme j’adore !— On m’a jamais fait jouir comme ça.— Je sais ma belle. Tu as faim ?On se lève, on passe vite fait à la salle de bain attenante à ma chambre (oui j’ai pris la suite parentale de la maison quand on a emménagé ; mon père a à peine bafouillé un « mais... » puis  n’a plus jamais évoqué le sujet). Juliette remet son maillot, et le mini-short en jean et un petit top qu’elle avait en quittant sa maison. Moi suis juste en boxer blanc. Le blanc me va à ravir. On descend. Je présente Juliette à mon père. Il bave devant elle. Elle le remarque et semble contente. Je rebande. J’ai à peine eu le temps de dire à mon père de nous préparer à bouffer que je me tourne vers Juliette :— Attends, j’ai la dalle, mais j’ai trop envie de toi là.Elle est aussi surprise que mon père habitué à ce genre de comportements. Il ne dit rien. Elle n’ose rien dire. Je la prends par la main et l’entraîne dans le salon. Je lui roule des grosses pelles et glisse ma main dans son short. Elle proteste.— On peut pas faire ça ici.— Ah bon ? Pourquoi pas ?— Et ton père ?— Il fait à manger. — Mais...
— Suce moi ma chérie.— Mmmmm, d’accord mon amour.Je suis assis dans le canapé, elle est à genoux à mes côtés, ma queue en bouche, je prends la télécommande et commence à zapper. Je tombe sur un match de foot. Parfait. J’avoue avoir des fantasmes de vrai macho. Me faire sucer pendant que je regarde du sport en est un. J’adore ça. Juliette ne dit rien et s’applique sur ma bite. Je lui demande si elle a soif. Elle me dit que oui. — Carl, tu nous apportes le champagne qui est au frigo. Et deux flûtes.J’ai parlé fort, Juliette sursaute, me regarde interloquée, je lui souris chaleureusement et pose la main sur ses cheveux et la guide vers mon gland. Elle obéit. Mon père arrive deux minutes plus tard avec la bouteille et les verres.— T’en as mis du temps.— Pardon Isaiah, j’avais les mains dans la cuisine.— Ouais ouais. Bon sers nous deux verres.Je maintiens de mes mains, la bouche de Juliette sur ma queue bandée. Elle bave dessus à mort. Je souris à Carl, qui baisse les yeux. Me vient alors une idée.— Tu sais que Juliette vit juste à côté, avec son petit frère et sa mère. Sa mère est célibataire, on devrait l’inviter à diner, qu’en dites vous ? Carl n’ose rien dire et Juliette manque de s’étouffer. Je me retire de sa bouche et l’attire vers moi pour l’embrasser. Elle me regarde furieuse, mais n’arrive pas à garder cet air. Je lui souris, elle fond de nouveau et se colle à moi. La scène est irréelle : je suis assis là au milieu du salon, Juliette collée à moi, assise, on s’embrasse, elle branle tout doucement mon énorme chibre couvert de sa bave, et mon père est là debout, devant nous.— Ce week-end ?— Euh... oui, pourquoi pas.— Ce week-end on n’a rien de prévu je crois. Je sais que Thomas va chez un pote. — C’est parfait alors. C’est décidé. Tu lui en parles Juliette ?— Oui mon chéri.— Bon, c’est bon Carl, tu peux disposer. Il part. J’embrasse Juliette, qui, je le sens, veut me poser des questions. Je lui coupe l’herbe sous le pied, un large sourire aux lèvres.— Tu en étais où ? Elle a joui encore plus fort que les fois précédentes, me chevauchant comme une furie, oubliant mon père dans la cuisine, elle criait et répétait qu’elle me voulait, qu’on ne l’avait jamais baisée comme ça, aussi fort, aussi bien, aussi longtemps. Elle s’est même cambrée un peu plus encore, quand empalée sur ma queue, face à moi, j’ai glissé un doigt dans son cul. La prochaine fois, je le lui prendrai. Elle s’est retirée après un autre orgasme, a enlevé ma capote et m’a sucé, à genoux, et moi debout devant elle. Elle m’avait dans sa bouche, je voulais varier les plaisirs. Je l’ai tenue par les cheveux d’une main et je me suis branlé au-dessus d’elle de l’autre main ; j’ai fini par jouir sur son visage. Troisième fois. Elle n’en est pas revenue de la quantité de foutre cette fois encore. Mon sperme s’étalait en grosses salves sur son visage, dans ses cheveux. Je l’ai relevée et l’ai emmenée dans la cuisine, mon père l’a vue dans cet état et n’a rien dit, un vrai gentleman, comme moi ah ah ! Je lui ai juste dit qu’on allait prendre une douche et qu’on arrivait pour le diner. Dans la douche je n’ai pas pu ne pas la rebaiser. Cette fois sans capote et cette fois j’ai joui en elle. Elle a joui quand je l’ai remplie, que mon foutre est venu frapper tout au fond d’elle. J’ai poussé des râles puissants quand elle hurlait une énième fois de plaisir. On a fini la douche et on s’est allongés. Elle était vraiment jolie comme ça. Elle s’est endormie. Suis descendu. J’ai mangé, j’avais la dalle, là, vraiment.— On va bien s’amuser samedi, tu vas voir, la fille est la copie conforme de la mère. Mon père a bredouillé quelque chose que je n’ai pas compris, et je m’en foutais. J’allais dans le salon et zappais. Dans ce petit moment de calme, je pensais à Manon. Cette petite salope avait pris mon tel. J’espérais que Karine m’avait réécrit, et que Manon avait tout vu. Eh eh. Putain je rebandais. Je tentais de me calmer. J’allais me lever pour rejoindre Juliette dans la chambre. Quand elle est apparue, avec un t-shirt à moi. Elle était à tomber. Elle s’est jetée à mon cou. Les jambes enroulées autour de ma taille, ses bras autour de mon cou, on est allés sur la terrasse, en s’embrassant.— Ça te dit un petit bain de minuit.— Mmmmm, vous croyez que je suis là pour quoi monsieur ?— Parfait.Le temps de lui ôter son t-shirt et mon boxer et on était dans la piscine. On s’embrassait.. On a parlé de mon père et de ma relation avec lui. Elle ne semblait pas choquée, même si elle avouait que ce n’était pas banal. Je lui ai dit que j’avais fait ça avec elle parce que j’avais senti qu’elle pouvait assumer. Elle a pris cela comme un compliment. C’en était un. Après une demi-heure dans l’eau à discuter on est sortis on s’est séchés. J’avais quand même cours le lendemain, mais je rebandais. Juliette a vraiment un corps incroyable. Ferme, bien proportionné. — T’es infatigable toi.— C’est de ta faute. C’est toi qui me met dans cet état ma belle. — J’en peux plus moi.On a ri tous les deux, je l’ai embrassée. Elle a glissé tout doucement à mes pieds, ne m’a pas quitté des yeux et a juste dit presque en chuchotant :— Mais j’ai trop envie de ta queue Isaiah.Elle m’a sucé, encore plus longuement que la première fois. Un vrai délice. Elle prenait son temps, alternait entre mon pieu et mes couilles. Elle les aspirait, elle jouait aussi de sa langue sur mon gland. Elle caressait son visage avec ma bite raide. Je ne pensais à rien. J’étais bien. Enfin non, je mens : je pensais à elle, et... à sa mère, leurs deux bouches sur ma queue. Ma queue passant d’une poitrine à l’autre, de la fille à la mère. J’ai joui dans sa bouche. Elle a avalé. Puis a nettoyé ma queue de sa bouche. On a parlé encore un peu. Puis, elle voulait rentré.— Il vaut mieux que je rentre.— Tu peux rester tu sais.— Je sais, c’est gentil, mais j’ai des trucs à faire demain.— Ouais, moi aussi. Je ne suis qu’un petit lycéen.— Petit ? Vraiment ? On a ri. Je l’ai embrassée. — Je propose à ma mère pour samedi, tu es sûr ?— Oui oui, c’est bon.— Ok. Donne moi ton numéro.Je lui ai donné. Elle s’est éloignée en roulant du cul de manière exagérée. Je souriais. Elle a juste lâché un « pense à moi bébé ».— Toi aussi ma belle.
Je me suis endormi finalement et ai dormi trois heures. Je me suis réveillé avec une trique d’enfer.  Je pensais à Juliette, à Karine, à mon portable. À Manon. Je me suis aussi surpris à penser à Élise et Sophie. La douche m’a fait du bien. J’ai mangé comme quatre au petit dej.  On était jeudi matin. Vendredi soir, Élise, la copine de Manon, organisait une soirée de rentrée chez ses parents, c’était apparemment une petite tradition pour elle. Tant mieux. Cela me laissait deux jours pour avancer avec Manon, c’était court mais jouable. Samedi soir, diner avec Juliette et Catherine. Parfait. J’arrivais au lycée, en retard. Mais le prof ne me dit rien. Privilège de... non, de rien, juste la peur. Eh eh. Je me suis glissé à côté de Manon. Elle était à tomber. Une mini-robe verte et blanche, moulante, un peu décolletée et qui avait l’air très très courte, avec des mules à talons compensées. Dès que je suis entré dans la salle, j’ai senti qu’elle ne me quittait pas des yeux. On n’a rien dit durant de longues minutes. Quand je suis revenu après l’intercours, mon portable était posé à ma place. Je l’ai mis dans ma poche. — La lecture a été bonne ?— Je suis encore vivante si c’est ça la question.— Me voilà rassuré. Vivante, et à tomber ce matin.— Oh... merci Isaiah.— C’est pour moi ?— Pour toi quoi ?— Que tu t’es faite aussi belle ?— …— J’adore savoir qu’une jolie fille s’est habillée en pensant à moi le matin.Elle se tourne vers moi. Et me sourit. Et elle glisse un papier devant moi. C’est le papier de ses échanges de la veille avec Élise et Sophie. Je le prends, non sans poser d’abord ma main sur la sienne. Étrangement, ou non, elle la laisse quelques longues secondes avant de la retirer. Je la retiens. C’est capital : qu’elle réalise qu’elle a mis le pied dans la porte mais que c’est moi qui ouvre ou ferme la porte. Je lui rends la liberté. Elle ne s’en va pas de suite. Puis elle baisse les yeux en souriant et pose sa main sur sa cuisse. Je vais pour ouvrir le papier.— Non, s’il te plait. Attends ce soir.— Ok. Comme tu préfères Manon.— Moi aussi , j’aime bien quand tu dis mon prénom.
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