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Histoires d'un mâle alpha

Chapitre 10

Chapitre dix – une nuit

Trash
On était allongés l’un contre l’autre, Manon se remettait de son orgasme, on s’embrassait, mes mains la caressaient délicatement. Puis elle m’a fait basculer sur le dos. Elle me souriait, me roulait de grosses pelles et a fini par descendre le long de mon torse, le couvrant de bisous et de caresses puis entreprit de m’enlever mon boxer. Quand ma queue a jailli de là, Manon a souri, m’a regardé. Ses yeux étaient transportés.
— Mmmmm encore mieux qu’en photo.
Elle l’a léchée tout du long, maladroitement, apparemment un peu gênée par la taille de la bête. Elle semblait moins à l’aise que Sophie, mais plus amoureuse. Je me mis rapidement à bander vraiment dur. Elle suçait quand même très bien, je lui caressais les cheveux. Je l’ai soulevée d’un coup pour l’amener sur moi, je l’ai embrassée.
— J’ai envie de toi Manon.— Moi aussi mon chéri.— J’ai des capotes dans mon pantalon.— Mmmmm Monsieur est prévoyant.— T’es bête.
J’en ai attrapé une et Manon me l’a prise des mains. Elle a enfilé la capote sur ma queue.
— Je pensais pas qu’elle serait aussi grosse.— Je vais doucement ne t’en fais pas.— Je mouille comme une folle.— Parfait.
J’ai pris ma queue d’une main, je tenais Manon de l’autre. J’ai senti une de ses mains me guider en elle, tandis que l’autre écartait ses lèvres. Le gland est rentré, en effet, elle mouillait vraiment beaucoup et heureusement ; je la sentais terriblement serrée. Cela me fit bander encore plus et encore plus dur. Manon descendit une première fois doucement, un petit peu puis remonta, et rebelote, un peu plus loin. Quelques répétitions de ce traitement, et je restais finalement en elle. Je n’étais pas au fond d’elle, on allait doucement. Je commençais à la faire aller et venir sur moi, elle se libéra un peu, se cambra au-dessus de moi. Elle était magnifique, sa poitrine juste sur mes yeux. Je l’ai plaqué sur moi et l’ai embrassé. D’un bras je maintenais son bassin et j’ai commencé à la limer plus rapidement et plus profondément. Jusque-là elle gémissait, elle s’est mise à crier. D’abord elle a voulu se retenir, se contenir.
— Je suis bien en toi Manon.— Alors restes-y bébé. Baise-moi, s’il te plaît, baise-moi encore mieux que toutes les autres.
Je me suis enfoncé en elle d’un coup. Elle a hurlé. Quelques allers-retours ainsi puis je me suis figé au fond d’elle, en appuyant sur son bassin. Deuxième orgasme. Je sentais sa mouille dégouliner. Après quelques secondes pour la laisser souffler, je me suis levé en restant en elle, je l’ai baisée debout ainsi. Elle s’agrippait à moi, elle prenait son pied, se lâchait de plus en plus. On se roulait de superbes belles. A un moment, figé en elle, elle m’a regardé :

— Je me sens toute petite dans tes bras, et tellement bien.
Alors j’ai osé :
— Ça te change, non ? — Elle a ri.— Le jour et la nuit.— Tu aimes ?— J’adore Isaiah.— Moi aussi ma belle.
Toujours en elle je l’ai posée sur le lit et l’ai prise en missionnaire. Elle a joui une troisième fois. Elle semblait dans un état second.
— Et toi mon amour ?— Je veux jouir où et comme tu veux toi ma belle.— Je te veux dans ma bouche.— Mmmm, alors tu sais ce qu’il te reste à faire.
Je me suis mis sur le dos sur le lit. Elle m’a souri.
— Non, lève-toi mon amour.
Je me suis levé, je lui souriais. Elle s’est mise à genoux devant moi. Elle a pris ma queue couverte de sa mouille à la main et m’a regardé dans les yeux.
— Comme le vrai mâle que tu es, et ta femelle à genoux devant toi.
Je me suis penché sur elle, l’ai embrassée tendrement, avant de lâcher :
— Suce-moi maintenant.
Elle m’a sucé, toujours un peu maladroitement mais mieux que la première fois, et surtout de manière décidée. Je l’ai avertie que j’allais jouir, elle a accéléré le mouvement et a pris une première grosse giclée en bouche. Elle l’avait à peine avalée que déjà la deuxième salve arrivait, épaisse et abondante, il lui fallut un peu plus de temps, elle était un peu surprise de la quantité. J’ai posé ma main dans ses cheveux et pris ma queue dans l’autre main.
— Il y en a encore à venir, ça va aller ma belle ?— Putain, mais c’est une usine. Fais ce que tu veux bébé.
Je me suis branlé et ai joui sur ses seins encore pas mal de foutre. Elle n’en revenait pas. Elle a fini par reprendre ma queue en bouche, l’a vraiment bien nettoyé, avant de se lécher les doigts qui avaient essuyé ma semence sur sa poitrine.
— Mmmmmmm, merci Isaiah. — C’était top.— Oh oui. Je pensais pas à ce point.— Ah bon ?— J’ai imaginé que ce serait super, mais là c’était divin. — Oui ma belle.
On s’est allongé, embrassé, caressé. Puis elle m’a mené dans la douche qui était juste à côté. On a pris une douche durant laquelle je l’ai prise debout de dos, elle a joui une nouvelle fois, puis on est retourné au lit. On a discuté, elle m’a sucé, je l’ai de nouveau baisée : levrette, puis de nouveau elle sur moi, puis cuillère, puis missionnaire. Elle a joui trois fois encore. On a discuté un peu encore au lit avant de s’endormir. On s’est réveillé vraiment tôt, le jour se levait à peine. Bisous, câlins, sourires, elle me dit :
— J’adore me baigner le matin, ça te dit ?— OK.
On est descendu, traversé la maison, Élise et Sophie dormaient dans la chambre des parents d’Élise, un couple dans le canapé du salon, il y avait trois ou quatre autres personnes dans la véranda qui dormaient. On est allé dans la piscine. On s’est embrassé. Je lui ai fait l’amour dans la piscine, je n’avais pas de capote. Elle a joui et j’ai continué. Je voulais la faire jouir encore et encore. Quand son second orgasme arrivait, je sentais que j’étais prêt moi aussi. Je l’ai prévenue. Elle m’a embrassé, m’a serré contre elle.
— Reste en moi. — Tu es sûre.— - Je veux te sentir Isaiah. Remplis-moi.
Je l’ai fait jouir et ma semence a giclé en elle au même moment. Nos deux corps étaient secoués par nos orgasmes simultanés. On s’est embrassé.
— J’en reviens pas.— Moi non plus.— Oh toi t’as dû en voir d’autres.— Non, pas vraiment, Manon.— Je suis tellement bien là.— Moi aussi. Mais j’ai faim. — Oh moi aussi. Et je n’ai plus à te servir en plus. — Ah non ?— Et non !
On a mangé, assis dans la banquette dehors, là où je l’avais embrassée la veille. On a discuté longuement. Une fois la passion un peu retombée. Et si la discussion était légère au début, elle prit un tour plus sérieux.
— Isaiah ?— Oui ?— Si on fait le compte : j’avais un mec, je ne l’ai plus, ça c’est simple.— En effet. — Toi, tu couches avec au moins deux filles que je ne connais pas, tu as embrassé une de mes deux meilleures amies et tu t’es fait sucer par l’autre. Avant de m’embrasser moi et que l’on passe la nuit comme ça. — Dit comme ça...— Il n’y a pas d’autres manières de le dire.— Peut-être oui.— Tu m’as dit que tu ne mentais jamais aux filles.— C’est vrai.— Alors que je veux que l’on soit honnête l’un envers l’autre.— Moi aussi Manon. Je t’aime vraiment beaucoup, je ne vais pas dire que je suis amoureux de toi car ça, je n’en sais rien. Je ne l’ai jamais été. Mais tu m’attires, et pas que physiquement. Après, c’est clair que j’ai du mal à résister à la tentation féminine. J’aime les femmes, j’aime les séduire, les sentir succomber, les faire jouir, leur donner du plaisir encore et encore. J’aimerais pouvoir te promettre que si on décide de se mettre ensemble je te serai fidèle mais j’en suis incapable. Dans tous les cas, il y a un truc que je veux te dire : que tu sois avec moi ou non, ne retourne pas avec l’autre nul, vraiment, c’est même pas qu’il ne te mérite pas, c’est qu’il ne mérite même pas une seconde de ton temps.— T’en fais pas pour ça.— Je suis désolé de ne pouvoir dire plus ou mieux. Tout le temps que je passe avec toi je l’apprécie. Vraiment. — Moi aussi. — Et cette nuit...— Oui, cette nuit...
On s’est embrassé. Presque amoureusement.
— La Karine tu vas le revoir ? — Je ne sais pas. Je ne l’ai pas revue récemment là. — Et ta voisine, j’imagine qu’elle oui.— Elle est censée venir dîner chez moi ce soir avec sa mère. Mon père sera là.— Ah...— Ça je peux annuler Manon. — Je ne suis pas sûre que cela servirait à quelque chose. Je ne cherche pas à te reprocher quoi que ce soit, je veux juste savoir sur quel pied danser et comprendre.— OK. — J’ai envie d’être ta copine ; je ne sais pas pourquoi ni comment, j’en meurs d’envie Isaiah, d’être à toi, officiellement. — Moi aussi. Je voudrais que lundi tu sois à mon bras.— J’ai besoin de temps. — Je le comprends ça. — Si on est ensemble et que tu me trompes. Tu me le dirais ?— Accepterais-tu que l’on soit ensemble et que je te trompe. Si tu ne l’acceptes pas, on ne peut pas se poser la question. Il faut résoudre ça avant. Cela veut dire que toi tu dois répondre à ma question, et ensuite selon ta réponse, moi je dois répondre à la tienne. — Peut-être. Ce week-end je vais essayer d’y réfléchir, OK ?— OK ma belle. — Arrête, j’adore quand tu m’appelles comme ça. Je vais te dire quelque chose que je vais peut-être regretter, mais ce week-end, fais comme si on n’était pas ensemble, fais comme si rien de tout ça ne s’était passé.— Tu es sûre ?— Non, mais c’est mieux ainsi. — Il faut que je te dise un truc encore.— Oui ?— Élise t’a parlé de la journée ?— Oui.— Tu en penses quoi ?— Propose-lui demain. — Tu es certaines Manon ? Je suis sûr qu’Élise comprendrait.— Je ne veux pas.
Long silence, on est l’un contre l’autre. Pas un bruit autour de nous, si ce n’est quelques oiseaux qui commencent à chanter. Manon se tourne vers moi et m’embrasse. Elle me sourit. Un sourire coquin.
— Quoi ?— Avant que ton week-end ne commence, je veux quand même faire en sorte que tu ne m’oublies pas. — Je ne risque pas tu sais.— Je ne veux pas prendre le risque.
Elle m’a regardé droit dans les yeux, sûre d’elle, un air que je ne lui avais que rarement vu. Elle est descendue entre mes cuisses, s’est agenouillée devant moi, entre mes jambes, moi toujours assis sur la banquette. Elle a sorti ma queue et a commencé à me sucer. Cette fois, sans retenue, sans crainte, et sans hésitation. C’était divin. Elle avait progressé depuis hier soir, ça promettait pour la suite. Elle jetait des coups d’œil pour s’assurer que personne n’arrivait.
— T’inquiète, concentre-toi sur ce que tu fais ma belle, je m’occupe de faire le guet.
Elle a repris la fellation, je lui baisais la bouche, puis la laissais s’occuper de mes couilles. Quand je sentis la sève monter, je le lui dis, elle accéléra, et s’appliqua à tout prendre en bouche et tout bien avaler. Je me suis affalé sur la banquette. C’était vraiment divin. Elle s’est redressée, se collant tout contre moi et m’a embrassé.
— Mmmmmm, c’était trop bon Manon.— Je suis folle de ta queue Isaiah, folle de toi.— Je peux te dire une chose.— Oui ?— Ma queue est folle de ta bouche.
On a ri et on s’est embrassé.
— Tu es sûre de toi pour ce week-end ?— Je crois oui.— Il faut que tu en sois certaine Manon.— ... OK... D’accord, oui je suis sûre de moi.
Petit à petit les autres ont fini par se lever. Notamment Élise et Sophie, qui n’ont pas manqué d’interroger Manon sur sa nuit, pendant que je nageais. Après le petit-déjeuner, Manon devait partir, elle rejoignait ses parents et son frère pour partir chez des amis des parents pour le week-end. Je l’ai accompagnée à sa voiture. On s’est embrassé, j’avais envie d’elle.
— J’ai envie de toi Manon.— Moi aussi Isaiah, mais je préfère pas. Je veux que tu sois en forme pour ton week-end.
J’ai souri.
— Oui, je sais, tu n’as sans doute pas besoin de ça, mais laisse-moi y croire, OK ?
Elle a dit cela en riant. Je l’ai embrassée.
— OK ma belle. — Et n’oublie pas tu as carte blanche.— Vraiment ?— Vraiment. Et lundi on discute d’accord ?— D’accord Manon.
Elle est partie. Carte blanche, tout en ayant bien avancé avec elle, j’étais au paradis. Je suis retourné dans la maison. Élise était dans la cuisine.
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